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Qu'est-ce qui nous a prit? (Jarod)

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QU'EST-CE QUI NOUS A PRIT!
— with Jarod

Pompier ou pas quelque chose me disait à présent que même sans ça, le jeune homme viendrait à ma rescousse dans n'importe quelle situation. Je pouvais me tromper mais, je pense qu'il tenait malgré tout à moi avec le temps. Je ne répliquais toute fois qu'un léger sourire en lui dévoilant notre petit destination, mon nouvel appartement. J'avais ressenti ce besoin d'avoir mon chez moi ici, avec l'argent de papa bien entendu. Je ne louais pas, c'était un achat. Un cadeau diront nous. Pour se faire pardonner certaines choses. C'était tombé à point nommé parce que même si j'adorais mes comparses roses, j'avais parfois du mal à vivre avec ue tonne de nanas. Un sourire malicieux prit alors place en entendant les paroles d jeune pompier. Oh je m'y prendrais d'une toute autre façon pour ça. Tu aurais les menottes aux poignets et... Je ne finis pas ma phrase pour ne pas soudainement paraitre déplacée. Dans le fond c'était assez étrange cette façon que j'avais d'hésiter et de me retenir en sa présence. Jarod dévoilait la facette de moi que je laissais volontairement de coté. Quand j'avais visité cet appartement et vu toute la place qu'il offrait. Une idée avait germé dans ma tête. Je voulais la lui proposer mais, j'attendais qu'il soit dans les lieux pour me lancer. Du moins, si j'osais. Surtout après ce qui s'était passé entre nous. Je le laissais alors conduire, dans le plus parfait des silences ayant pour seul son le bruit ronronnant de ma voiture de luxe presque flambant neuve. Même pas vingt minutes plus tard nous étions en bas de l'immeuble. Sortant de la voiture, je regardais Jarod. Alors? T'en dis quoi du quartier?Je cherchais à connaitre son avis.  

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QU'EST-CE QUI NOUS A PRIT!
— with Sanaa

Un sourire aux lèvres, je continuais à conduire tout en profitant. C’était dingue, Sanaa pouvait profiter, entre guillemets, de l’argent de son père pour s’offrir un tas de choses neuves, quelque part je l’enviais même si au fond mon éthique me rattrapait souvent étant donnée la provenance de cet argent. J’arquais un sourcil alors qu’elle se mettait à parler de menotte, d’habitude ça aurait pu me faire rire… enfin ça aurait dû nous faire rire mais depuis ce qui s’était passé, quelque chose s’était brisé. Je tentais alors de rattraper le truc en posant mon regard sur elle, l’air de rien. « Tu es diabolique. » C’était vrai, quelque part, j’étais un des seuls à connaître son histoire et ses nombreuses facettes derrière ce visage d’ange blond. Quelques longues minutes après, je me garais à la place indiquée. J’avais laissé trainer mon regard sur quelques trucs comme les voitures du voisinage ou même les immeubles en soi il n’y avait pas à dire, c’était le grand luxe. Je coupais le contact puis je descendais de la voiture tout en regardant une nouvelle fois autour. « C’est… franchement calme. » Ouais on va dire que je n’étais pas habitué à ce que l’on n’entende… rien. Chez moi tous les soirs c’était engueulade et le bruit d’un tas de choses se brisant en tombant sur le sol, comme une machine à laver ou une simple bouteille, oui je vous l’accorde, mon quartier n’était pas fréquentable, voilà pourquoi je n’invitais personne. Je lui adressais un léger sourire et la suivais de bon cœur jusqu’à son appartement.

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QU'EST-CE QUI NOUS A PRIT!
— with Jarod

Je ne pouvais pas m'empêcher de ressentir ce trouble, ce presque vide entre nous. Je tentais de faire comme si rien ne s'était passé mais, ça je me leurrais c'était impossible. Alors je tentais de minimiser, de rester telle que j'étais qui à porter un masque s'il le fallait. En ce moment je ne faisais que des erreurs. J'avais beau m'en rendre compte, je continuais malgré tout comme si j'étais à la recherche de quelque chose d'essentiel, quelque chose que la vie m'avait prise. Tu as raison je suis dangereuse. lâchais-je soudainement. Et oh grand dieu, que je le pensais. Alors mon regard c'est porté sur la route sans plus en déroger. A vouloir être trop proche, on fini par s'éloigner, plus d'un exemple me l'avait déjà prouvé et ça semble sans cesse recommencer. S'il faut que j'enfile encore ma carapace, que je redevienne la reine des glaces alors soit. Ouais, j'avoue c'est ce qui m'a plu en premier. Mes pas me menaient vers l'immeuble avec lui sur les talons. J'ouvrais la porte et l'invitais à prendre le petit ascenseur. L'atmosphère était lourde et pesante. Je lâchais un soupir comme pour faire retomber la pression. Une fois devant la porte, je déverrouillais et le laissant entrer. L'appartement était grand et clair. Trois chambre, la pièce de vie étrangement grande pour renfermer le salon et le living, une salle de bain, une terrasse et la cuisine. Je me tournais alors vers Jarod. On va vraiment jouer à ce jeu-là? Tu t'en veux d'avoir couché avec moi? Ben oui c'est là que j'ai lâché ma bombe. Je ne voulais pas que cela n'arrive encore une fois, comme il y a peu de temps juste avant les enchères où de nouvelles barrières s'étaient mises devant moi.   

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QU'EST-CE QUI NOUS A PRIT!
— with Sanaa

Le quartier était cool, plus que sympa, à côté le mien était l’un des plus craignos de cette ville, attendez… en fait ouais, c’était le plus craignos, celui des camés et autres. Mon appartement tombait en ruine, j’avais peur de poser tout mon poids sur le parquet qui menaçait presque de s’effondrer à chaque pas. C’était tout ce que je pouvais m’offrir pour avoir mon indépendance. Je ne supportais pas de vivre au sein de la confrérie, s’était étouffant pour moi, et puis comme ça j’étais libre de mes mouvements. Et puis maintenant je n’étais plus seul dans mon appartement, il y avait aussi Croquette. J’entrais alors dans l’appartement après avoir gardé le silence dans l’ascenseur, je sifflais alors automatiquement. « Eh bien c’est royal princesse, un peu grand pour toi toute seule non ? » Je tournais sur moi-même, sidéré par chaque pièce. D’un coup les poils de ma nuque se hérissaient, j’avais bien entendu ? Je reposais mon regard sur la blonde qui s’était à nouveau transformée en reine des glaces, je détestais lorsqu’elle faisait ça. « Tu… » Je soufflais longuement en croisant les bras contre mon poitrail. Je venais m’appuyer contre l’immense bar qui séparait deux pièces, qu’est-ce que j’allais bien pouvoir répondre ? J’étais tiraillé entre plusieurs songes. « Tu veux que je te réponde quoi . Non, je ne m’en veux pas et d’un autre côté je me sens coupable. Coupable vis-à-vis de Joanne alors que quelque part, je ne devrais pas. Coupable d’avoir apprécié cet instant avec toi, quitte à ruiner ce qui nous unis depuis que l’on se connaît. Tu veux que je te dise quoi d’autre… Ce n’est vraiment pas facile de réagir face à ça, surtout quand tu ne connais pas le ressenti de l’autre. »

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QU'EST-CE QUI NOUS A PRIT!
— with Jarod

Il ne croit pas si bien dire, oui c'est trop grand pour moi seule surtout que même si j'aime préserver de petits moments à moi, je n'aime pas la complète solitude non plus. Peut-être avais-je une idée derrière la tête mais, le moment n'était pas encore venu. Pas tout de suite. Si bien grand pour quelqu'un qui se morfond de solitude...¨J'aime pas quand tu m'appelles princesse. Je n'aimais pas parce que ça me rappelait mon "pédigrée" ma toute droite lignée. Je n'étais pas prétendante au trône, j'en était pas moins de la famille d'une impératrice. Mais, moi je m'en fichait et surtout je voulais qu'on me traite comme n'importe quelle autre nana de ce campus. Puis, alors que nous n'étions là que tout les deux, que personne ne pourrait venir nous déranger ou entendre notre conversation, je n'y tint plus. Il fallait que je lui pose cette question, que je sache ce qu'il pensait. Nous avions fait un dérapage incontrôlés, commandé par une pulsion, un désir, une envie. Je ne sais pas. Je ne savais pas ce qui l'avait poussé à poser ses lèvres sur les miennes. Ses mains à se faire aventureuses sur les courbes de mon corps. Les miennes à se risquer à lui rendre la pareille quitte à me brûler les ailes. Nous n'étions pas ivres, nous n'avions pas perdu la tête si? Et ce qui était arrivé, je ne l'avais tout de même pas rêvé. "Je" quoi? Oui je te la pose cette question. Regrettes-tu d'avoir couché avec moi. Je ne voulais pas qu'il s'aperçoive que j'avais besoin d'être rassurée. Il prit difficilement la parole. Il ne s'en voulait pas mais, se sentait coupable c'était pareil non? Il parlait du fait que tout puisse être brisé entre nous. Juste pour avoir succombé? Je l'écoutais dans un silence presque glacial. Silence que j'allais rompre c'est certain. Je ne sais pas n'importe quoi, tout plutôt que cet air détaché et ailleurs que tu as quand tu me regardes. Je ne t'ai pas provoqué à ce que sache? Je ne l'ai même pas cherché. Et s'était vrai, ça s'était produit seul, comme ça sans crier gare, sans que ma tête ne se soit mise à réfléchir aux conséquences ou au pourquoi j'aurai du freiner tout ça. J'étais de l'autre coté du bar, lui faisant face et je fis alors volte face, lui tournant le dos laissant mes mains s'appuyer sur le bord. Je cherchais à lui cacher les larmes que je sentais me monter aux yeux. Non ça surement pas. Dire que je voulais te demander de venir vivre ici avec moi... lâchais-je alors. Non je ne lui demandais pas de se mettre en ménage avec moi, je non c'était pas ça. Dans ma tête, je ne pouvais pas en être clairement là mais, vu que je sortais ça là. Oui, c'était pas le bon moment pour lui sortir un truc comme ça.  

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QU'EST-CE QUI NOUS A PRIT!
— with Sanaa

Je ne répondais pas, je me contentais de me retourner vers elle en faisant une moue. Elle savait bien que je ne disais pas ça pour me moquer ou lui rappeler son statut, j’étais simplement… en train d’essayer de la complimenter, maladroitement, comme à mon habitude. Je soufflais alors en croisant les bras contre mon poitrail, je savais que lorsque Sanaa avait quelque chose en tête, elle ne l’avait pas ailleurs et que son caractère pouvait parfois se montrer dur, une vraie reine des glaces. « Je sais. » C’est tout ce que je me contentais de dire alors que mon regard se posait sur le sol, il fallait que je prenne quelques secondes pour réfléchir à ma réponse car je savais qu’elle allait m’attendre au tournant. Mes paroles allaient être jugées, chacun des mots choisis allait être décortiqué soigneusement par ses soins. J’avalais avec difficulté le peu de salive qu’il me restait. C’est dingue, parfois dans les incendies, l’oxygène manquait et pourtant ce n’était pas dans ces circonstances que j’avais l’impression de suffoquer, c’était bel et bien à ce moment, lorsque je sentais le froid accusateur de la blonde sur moi. « Tu… sais bien que je n’aurais pas accepté. » J’étais plus qu’étonné, ouais ma mâchoire se décrocher, comment aurais-je eu les moyens de me payer un luxe pareil ? Cette idée était complètement irréaliste. Je faisais alors le tour et venais m’approcher d’elle. Je posais alors mes mains sur ses bras frêles et j’essayais de plonger dans le sien qui me fuyait comme il le pouvait. « Écoute Sanaa, non je ne regrette pas, et c’est ça qui me fait flipper car… ça ne me ressemble pas tout ça, regarde-moi, je ne suis pas le genre d’homme à succomber à ses pulsions ou ses envies. Et si je t’évitais c’est que je n’ai pas eu le temps de réfléchir à tout ça, que je n’arrive pas à me positionner. J’ai tout simplement peur que tu m’en veuilles pour ce qui s’est passé entre nous et nous voir nous séparer… Ce n’est vraiment pas ce que je veux car j’ai besoin de toi dans ma vie, tu comprends ? »

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QU'EST-CE QUI NOUS A PRIT!
— with Jarod

A ce stade, je ne savais plus du tout quoi penser. Tout s'était passé si vite, si intensément et avec tellement de surprise que je n'avais pas eu le temps de me poser la moindre question sur ce que nous avions fait et encore moins pourquoi c'était arrivé. Je lui tournais le dos pour ne pas qu'il voit mon émoi, pour ne pas qu'il se rende compte que j'étais bouleversée car oui, pour la première fois depuis très longtemps, je l'étais. J'étais certaine d'une chose, je tenais énormément à Jarod, oui je m'étais attachée moi qui ne désirait pas m'attacher. Devant lui bien trop souvent je laissais tomber le masque de fille frivole que je m'étais construite depuis trois ans. Avec lui je ne me conduisais pas comme la séductrice ou la garce que certaines nanas du campus pensaient que j'étais. En fait leur façon de me voir me faisait rire car la plupart se conduisaient encore plus frivolement que moi. Ici avec lui tout était différent, il connaissait la femme que j'étais réellement. Je sursautais légèrement quand je sentis ses mains se poser sur mes bras nus. Le contact de ses paumes chaudes me perturbaient et je me dérobais à son regard. J'écoutais ses explications puis je finis par le fixer réellement moi aussi. Je n'ai pas eu le temps de me poser des questions non plus. Je ne t'en veux pas du tout, j'étais bien... Avec toi. Que lui dire d'autre, j'étais loin de regretter cette nuit passée avec lui. Il était l'un des premiers à me regarder réellement, a prôner la douceur. Je n'avais pas eu l'impression d'être une chose entre ses mains mais, bien une personne à part entière. Voilà ce qui était différent mais, comment aurais-je pu lui dire tout ça alors que je ne voulais surtout pas qu'il ne me prenne pour une fille qui faisait n'importe quoi. Le jugement qu'il pourrait porter sur moi m'importait plus que tout les préjugés d'un campus entier. Et puis pourquoi tu ne peux pas accepter? Tu as peur? Je ne te demandes rien de plus que de venir vivre ici. Tu pourrais m'aider si jamais quelque chose tombe en panne et pour la cuisine. Moi j'y connais rien à tout ça. Enfin si je sais cuisiner mais... Enfin je veux pas te forcer la main. S'il ne voulait pas, je ne pouvais pas le forcer. Je rompais le contact entre nous en me dégageant du comptoir. Je n'avais aucune idée de si nous avions mit les choses au point, je ne crois pas. Et si on se faisait à manger? Prêt pour me donner un petit coup de main?finis-je par lâcher avec un fin sourire. Je n'avais pas encore mangé de la journée et je ne sais pas pourquoi mais, je pensais que ça devait être son cas aussi.  

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QU'EST-CE QUI NOUS A PRIT!
— with Sanaa

J’étais aussi paumé qu’elle visiblement, certainement un peu plus étant donné que je me sentais coupable de ce qu’il s’était passé entre nous, après tout c’était moi qui avais rompu cette distance entre nos lèvres non ? « Moi aussi j’étais bien. Tu ignores à quel point je tiens à toi Sanaa, tu es juste une femme épatante et… » Je me taisais, il y avait tant de choses à dire sur elle, tant de choses que j’admirais et j’appréciais. J’étais plutôt fier de la connaître sous son vrai jour, d’avoir su briser les apparences et discerner ce qui était vrai ou non comme le fait que ce soit une reine des glaces frivole. Je l’attirais alors vers moi pour qu’elle se colle à mon corps puis je l’entourais de mes bras, Dieu que j’appréciais ce contact. Je posais alors mon front sur ses doux cheveux blonds tout en soupirant, qu’est-ce que je pouvais bien répondre à sa proposition ? « Je n’ai pas peur si c’est ce que tu penses Sanaa c’est juste que… tu n’as pas eu l’occasion de voir mon appartement ni les dettes que j’ai en ce moment… le peu de thune qu’il me reste je le claque pour acheter les croquettes de mon chat, et encore il m’en veut car elles doivent être dégueulasses et… je pourrais jamais me payer ce genre de luxe. » Je sous-entendais par-là que la proposition était très alléchante mais je m’en voudrais de lui être redevable, oh je savais ce qu’elle allait me proposer, de payer ma part avec l’argent de son père, mais à partir du moment où ce trafic allait débuter, j’allais me sentir redevable et quelque part légèrement souillé par cet argent sale, moi, le pauvre gosse orphelin qui s’était démerdé depuis le début avec seulement ses deux mains pour combattre le destin, je faisais vraiment pitié à l’heure actuelle. Je la sentais alors se décoller de moi et je faisais alors la même chose, regardant un instant la cuisine alors qu’elle parlait de manger, depuis quand je n’avais pas mangé ? Depuis un bon moment, récemment ça m’avait voulu un tour aux urgences d’ailleurs. « Très bien, et qu’est-ce que tu désires manger ? »

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QU'EST-CE QUI NOUS A PRIT!
— with Jarod

Tout était étrange, comme si nous étions l'alpha et l'oméga de l'autre, chacun à notre tour. Quand l'un débordait, l'autre apaisait, c'était ça que je ressentais. Il arrivait à mettre des mots sur mes maux et moi du baume sur ses blessures. Quelque chose comme ça. Il était là devant moi, je ne savais plus penser correctement mais, cela me rassurait qu'il me dise être bien aussi. Je pense que ce qui m'aurait fait le plus mal c'est d'être la discorde dans sa vie. C'est justement ça qui le différenciait autant, il était sans doute le seul a me trouver aussi épatante. Attirée soudainement contre son corps, je fus comme tétanisée alors que ses bras se refermaient autour de moi. Ce sentiment de sécurité que je ressentais contre lui, c'était ce qui m'effrayait le plus. Son front contre ma tête, l'envie de le serrer moi aussi sans y arriver. C'était trop enivrant. Je savais qu'il ne vivait pas dans le grand luxe, qu'il avait du mal à joindre les deux bouts, je comprenais sa situation et je savais aussi ce qu'il devait penser. Je suis loin de vouloir te faire la charité. Mais, quand il parla des croquettes de son chat qui devait être dégueulasses, je ne pu me retenir de rire un peu. Pauvre chat, dit. Mais, je suis sûre que tout l'amour que tu lui donnes compense ce petit détail. Il avait toujours le mot pour égayer toutes les situations. Une main posée sur son épaule, je relève les yeux vers lui. Le loyer est payé pour l'année, je te demande pas de contribuer juste la bouffe moitié-moitié. C'est peut-être l'occasion pour toi d'économiser un peu. Promets-moi d'y réfléchir au moins. dis-je en me détachant de lui. Je ne cherchais pas à fuir, non et me retournant vers lui, je souris en ouvrant le frigo. Je glissais brièvement mon regard vers l'intérieur de celui-ci. Aucune idée, ce qu'on peut faire avec tout ce qu'il y a là-dedans. dis-je tout sourire. Il y avait un peu de tout ainsi que dans les armoires. En fait, je ne connaissais même pas son plat préféré. On en avait jamais discuté. Mais, j'étais ravie à l'idée de faire un brin de cuisine avec lui pour changer.  

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QU'EST-CE QUI NOUS A PRIT!
— with Sanaa

C’était si bon de l’avoir dans mes bras que je me sentais à nouveau coupable. Mon corps se raidissait alors que d’un côté, le fait qu’elle soit près de moi me détendait complètement. Mon souffle était plus apaisé, mon cœur battait moins violemment contre mon thorax, c’était dingue de se rendre compte à quel point une personne pouvait vous changer intérieurement, s’en était presque flippante. Je lâchais alors un léger rire, Croquette, ce chat que j’avais recueilli n’était pas le mieux loti le pauvre mais au moins il dormait dans un appartement, avec des courants d’air, mais dans un appartement, et puis il n’était plus seul, dire qu’il aurait pu mourir dans un incendie… « Il m’en veut vraiment tu sais ? Si je déménage, il n’aura plus de rats à chasser pour son petit déjeuner. » Je humais le doux parfum de ses cheveux un instant tout en fermant les yeux. C’est vrai que cette proposition était plus qu’alléchante, vivre avec elle ne me poserait aucun souci, vraiment, restait la barrière de l’argent qui était visiblement réglée… « D’accord, j’y réfléchirais, c’est promis. » Je la lâchais alors presque à regret puis me tournais vers le frigo qu’elle venait d’ouvrir devant moi. « La vache, ça c'est du frigo. Tu n’as pas un plat préféré ? » J’avais sifflé avant de parler. Je m’approchais soudainement du frigo et regardais tout ce qu’on pouvait y trouver à l’intérieur. J’étais limite comme un gosse devant une montagne de cadeaux le soir de Noël, enfin j’imagine étant donné que moi je n’avais jamais réellement fêté ce jour. Je regardais un instant les ingrédients un à un, il y avait de quoi faire, tellement que j’étais limite perdue. « Hum, un plat tout simple, des pâtes carbo ? » Mes doigts tapotaient sur la porte du frigo alors que je tentais de faire d’autres recherchent.

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