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Des enfants de cet amour là ♥ JUNEL

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19 janvier 2016  
Comment ma petite amie faisait pour réussir a sortir des bêtise alors qu'elle souffrait de dingue? J'étais amusé de voir qu'elle avait toujours son humour, qu'elle réussissait un peu a se détendre en proposant des idées farfelues. Mon rire s'atténuait pour laisser un sourire sur ma bouche avant de reprendre la parole   " Bien sur. Et puis, pourquoi torse nu? Autant être totalement nu en dessous du tablier non? "  L'équipe du staff de l’hôpital devait se dire que nous étions un couple hors du commun. Et ils auraient raison de penser ça. Le rire, c'est le meilleur médicament du monde peu importe la situation. Bon, les douleurs commençaient a se faire de plus en plus violentes. Ma main était toujours dans celle de ma moitié, et ma deuxième se posait dessus pour la lui caresser doucement. Je sais que mon geste ne la soulagera pas, mais je marque ma présence.  "  En tout cas, garde en tête que je suis fier de toi. Quoi qu'il arrive, je resterais toujours fier de toi. "   Je pense que ces mots auront plus d'impact qu'un simple 'Je suis la', parce que j'espère que ma jolie brune a bien conscience que je suis, et que je serais toujours là. Mon bonheur c'est avec elle, et bientôt nos futures merveilles. C'était dingue de se dire qu'il venait de s'écouler neuf mois. Le temps était passé assez rapidement, pour moi. Je suppose qu'elle ne sera pas de mon avis vu que c'est elle qui a dû les portes pendant tout ce temps.

Le travail avançait, et June poussait comme elle le pouvait. Je me tenais a coté d'elle, l'encourageant et en ne manquant pas de lui glisser des mots d'amour pour la motiver. J'avais les larmes qui montaient au fur et a mesure. Mélange d'empathie de sa souffrance, et de bonheur en réalisant ce qu'il était entrain de se passer dans cette pièce. Et, en tournant la tête, je peux apercevoir mon fils. Trop émouvant, mes larmes coulent doucement alors que mes lèvres affichent un petit sourire malgré que mes dents s'amusent a m'en pincer une. Une des personnes présente me tend alors l'outil qui sert a couper le cordon, en me proposant de venir a ses cotés pour le faire. J'avance, tout confiant, mais une fois la paire en main, mon teint devient pâle. Mon regard va sur le visage de ma petite amie qui ne manque pas de se moquer gentiment de moi. Main sur le front, qui passe ensuite sous mes yeux pour essuyer mes larmes qui coulent toujours.  " J'sais pas trop. Je... Je ne pense pas, mais nous allons vérifier. "   Et ma main s'active pour couper le cordon doucement. Une fois fait, je souffle fier et soulagé avant de rejoindre ma place initiale. Je regardais mon fils, je souriais, et j'étais totalement heureux. " Salut bonhomme. C'est papa... "
Une femme vient ensuite le prendre pour le nettoyer, et je tourne les yeux sur ceux de June avant de lui dire  " Allez. Au tour de notre princesse maintenant. "   Et ma bouche se pose tendrement sur la sienne. Bordel, je suis papa. Mes yeux humides ne cachent pas ce que je ressens.
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19 janvier 2016  
Il me faisait rire à me parler d’être nu alors que je suis entrain d’accoucher, il veut me tenter ou quoi ? Mais n’a-t-il pas compris que je suis entrain de souffrir et que je ne peux rien faire actuellement, je hoche la tête avant de lui répondre : « Tu vas continuer tes allusions quand je serais entrain de pousser ou pas… ». Je me mis à rire tellement je trouvais cela ridicule. Je souriais par la suite quand il me disait qu’il restait fier de moi, qu’il serait toujours fier de moi. Oui j’avais envie qu’il soit content de ce que j’avais fait. Une naissance ce n’est sans doute pas si difficile mais ça me faisait peur surtout pour des jumeaux. J’avais peur qu’un enfant n’aille pas bien, ou que moi je n’aille pas bien et que mon petit ami doive affronter des épreuves difficiles tout seul. « Et si les bébés sont pas très beaux, tu seras toujours fière de moi ? ». Je restais sérieuse quelques secondes avant de me mettre à rire. Vu la tête de mon petit ami je savais que mes enfants seraient beaux. Enfin peut être pas dès qu’ils sortiront de mon ventre mais juste après.
Je commence à pousser, j’ai de plus en plus mal, j’ai vraiment l’impression d’avoir comme des organes qui sortent de mon corps et je me demande comment cela est possible. Mais au final après une immense douleur le petit garçon sort de mon ventre et je suis soulagé, je vois bien que Gaël hésite à couper le cordon comme si il n’était pas capable de le faire, moi je sais bien qu’il peut le faire et je me moque gentiment de lui : « Heureusement que tu n’es pas à ma place sinon les enfants resteraient longtemps dans ton ventre… ». Je vois rapidement mon fils avant que le petit soit nettoyer, j’avais peur qu’il ne soit pas beau et que Gaël soit déçu, oui c’était un peu stupide comme réflexion. Il me dit que je dois ensuite continuer pour la petite fille, notre petite princesse. Je soupire avant de pousser de nouveau, je lui répondis alors : « J’ai peur que ça se passe mal… ». Oui une mauvaise impression j’avais peur, j’avais mal et je voulais que les choses se passent au mieux mais bon, était ce si simple ?
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19 janvier 2016  
Il est vrai que l'humour n'était peut être pas utile dans un moment comme celui la, mais d'un coté, je me dis que c'est notre manière a nous de se détendre. De pouvoir se préparer a affronter la suite. Je rigole légèrement a sa réflexion.   " Non pardon. Je vais te laisser te concentrer. "    et je lui souris tendrement en la fixant dans les yeux. Prenant quand même un peu peur en le dissimulant pour ne pas accentuer celle de June. Je le disais même a quel point j'étais fier d'elle, et que je le serais toujours. Parce que je l'aime plus que tout au monde, et qu'elle fait mon bonheur depuis quelques mois, et elle le fera encore jusqu'à la fin de ma vie. Et sa question me fait hausser les sourcils. Comment pouvait elle penser ça? Mais quand son rire se fait entendre, je comprend que c'était une plaisanterie. Je lui souris en baissant un peu la tête pour étouffer mon rire, et je reprend la parole   " Les bébés seront magnifiques. Avec deux parents comme nous... Ils seront mêmes les plus beaux du monde. "   Et je lui embrasse la main.
Le travail commence, et je trouve que ma moitié s'en sort bien. Malgré la douleur, malgré la difficulté, elle sait faire face a tout ça. Je l'encourage, je me tiens près d'elle pour prouver que je suis la, et que je le serais toujours. Il fallait que je coupe le cordon, et autant dire que mon visage indiquait que je ne me sentais pas bien. Mais je le fais quand même, porté par le regard de celle dont je suis amoureux. Et le bébé se fait poser sur la poitrine de sa mère, pour créer le lien. Je souriais, ému et les larmes qui coulaient doucement. Je tentais de les essuyais, et heureusement que ma brune me fait rire a ce moment la.  " Je n'aurais jamais eu la force que tu as... Tu es la meilleure. "   Je pense que lui dire ça l'encouragera pour la suite. Car mon fils se fait embarquer pour que la petite vienne a son tour. Et voilà, nous recommençons. Je laisse échapper mes mots pour la soutenir, et elle pousse. Je place ma tête a coté de la sienne, ma bouche pas loin de son oreille   " Continue mon Amour. N'ai pas peur. Tu vas y arriver, notre fille sera superbe. Allez bébé. Ne t'arrête pas, c'est bientôt fini. "  Ma main dans la sienne, les perles salées coulaient encore plus de mes joues. Je réalisais que j'étais papa, et que je le serais une seconde fois dans quelques secondes, ou minutes. C'était le plus beau jour de ma vie, grâce a June. Rien qu'elle. Et je crois qu'apres la naissance du deuxième bébé, je ne pourrais retenir cette phrase qui a envie de sortir maintenant.
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19 janvier 2016  
Je me mis à rire quand il me dit qu’il allait se taire afin que je me concentre sur mon accouchement, même entrain d’accoucher je suis entrain de rire avec mon petit ami et quelque part j’espère que mon petit ami me fera rire jusqu'à la fin des jours. Même si j’avoue qu’en ce moment nous rions un peu moins car il a refusé ma demande en mariage et ça me fait toujours un petit pincement au cœur quand je repense à ses souvenirs douloureux. Je me pose des questions quant à l’apparence physique de mes enfants et une fois de plus Gaël essaie de me rassurer en me disant que nos enfants seront très beaux, que je n’ai rien à craindre. Je regarde Gaël et je finis par me dire qu’avec un si beau papa, forcément les enfants seront jolis. Mon petit ami me demande de pousser et je me donne à fond mais franchement, cela fait très mal, je ne vais pas mentir. Je n’en peux plus de douleur mais je sais que ma fille doit sortir sinon elle va trop souffrir. « Je ne suis pas la meilleure, je n’ai pas le choix, il faut bien que ma fille sorte, je ne vais pas la laisser là… ». J’hurle, je me sens pas vraiment bien. Je finis par comprendre que la petite est arrivée, je vois une petite tête sortir. Pour être honnête je ne me sens pas vraiment bien, j’ai vraiment envie de me reposer mais je dois voir mes enfants. J’ai vraiment envie de voir mes deux bébés. Je prends la main de Gaël avant de lui demander : « Je veux voir les bébés… ». Je suis un peu comme shooté, je ne sais pas si c’est les antidouleurs ou les calmants qui me font ça mais ça va pas vraiment, la tête me tourne alors je ferme les yeux pour me reposer un peu. J’ai vraiment hâte d’être dans la chambre et de pouvoir dormir tranquillement parce que je ne me sens pas très bien.
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19 janvier 2016  
C'est logique que les parents se posent des questions un peu bêtes. Est ce que nos enfants seront beaux? Mais oui, les plus beaux a nos yeux déjà c'est certains. Ensuite ce sera, est ce que mes enfants m'aime? Est ce que ca va aller dans leurs études? Dans leurs vies? Pour leurs amours? Mon dieu, je crois que je n'ai pas fini de m'inquiéter pour tout et rien. Et la, je commence pour la situation actuelle. June devait mettre la deuxième bébé au monde, et je crois qu'il va lui falloir une force puisait je ne sais où. Car je saisis bien qu'un accouchement c'est fatiguant, épuisant... La, nous passons au deuxième. J'espère vraiment qu'elle ne va pas tomber dans les pommes non plus. Je l'encourage, et je reste bien présent. " Tu n'as pas le choix, mais tu es la meilleure quand même. N'en doute jamais, je crois en toi, et je le ferais jusqu'a ma mort June . " Si c'est pas mignon ça.
Les minutes passent, mais ma jolie brune réussit. Ma petite fille sort, et se fait emmener comme son frère, pour passer au nettoyage et a la vérification de sa santé après que papa ai coupé le cordon, avec un peu plus d'assurance. Je remarque bien que ma petite amie n'est pas bien. Son visage est pâle, ses traits sont tirés, et la fatigue se lit. Elle me prend la main et réclame nos enfants. Je lui caresse en lui fixant les yeux en souriant tendrement " Bientôt mon Ange... T'as été merveilleuse. " J'approche mon visage du sien, et dans un murmure " Je t'aime. Je t'aime tellement. " Une façon aussi de la remercier pour ce qu'elle vient de faire maintenant, et de ce qu'elle a enduré pendant neuf mois.

Revenu dans la chambre. Je me pose dans le fauteuil confortable a coté du lit. Deux infirmières arrivent avec nos bébés dans une sorte de berceau. Ils sont propres, habillés et tellement beaux. Je souris, et une fois de plus l'émotion me gagne. Mes yeux se mouillent, et je me lève pour prendre la petite fille en premier, et je viens la donner a June. Je prend ensuite le garcon, que je regarde fixement. Je suis tellement fier. Je reviens poser mes yeux sur la plus belle des femmes, et je dis " J'ai hâte d'être a la maison... De m'occuper de vous trois. " Et je reviens dans le fauteuil pour me retrouver plus proche des deux femmes de ma vie. Quelle belle image de bonheur. J'ignore le temps que nous allons passer ici, mais je m'en fiche un peu. Je suis tellement bien, que je ne voudrais pas bouger. Je vis le plus bel anniversaire de ma vie.
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19 janvier 2016  
Oui, je savais qu’à l’ avenir mon rôle de maman serait hyper compliqué à gérer, je sais que je vais avoir beaucoup de choses à gérer. Déjà maintenant nous avons une grande maison et qui dit grande maison dit beaucoup de tâche ménagère. Et puis je vais devoir m’occuper des bébés, les laver, les changer, les nourrir, leur faire à manger et puis certainement d’autres choses que j’ignore encore. Va falloir les bercer aussi et leur raconter des histoires ? Est-ce que je vais devoir abandonner le fait d’être danseuse ? Est-ce que je vais abandonner mes études ? Est-ce que je vais devenir une femme au foyer parce que j’ai eu des enfants alors que je me pensais stérile ? Cela faisait trop de questions, et j’essayais de ne pas me prendre la tête mais c’est vrai que maintenant que les questions viennent, elles ne s’arrêtent pas, comme quand on a une insomnie et qu’on se demande qu’elle heure il est et ce qu’on va faire le lendemain. Je souriais quand il disait que j’étais merveilleuse et qu’il avait confiance en moi : « Merci moi aussi, je t’aime… ». J’étais épuisé et je n’en pouvais tout simplement plus et j’avais besoin de me reposer.
Quelques minutes après je me réveille, je ne me sens pas bien, je vois mon amoureux et aussi les berceaux de mes enfants. Malgré un sentiment profond d’amour, je ne me sens vraiment pas au top de ma forme. Gaël veut bien faire et il me donne ma petite fille, j’espère d’ailleurs qu’il a donné le bon nom aux infirmières et qu’il n’a pas confondu, il ne manquerait plus que ça…Je tiens ma petite fille et je la regarde avec amour, oui ma petite fille et mon petit garçon sont les plus beaux il n’y a pas à douter de cela mais j’ai peur de leur faire mal, de les faire tomber ou quelque chose comme ça car je me sens vraiment hyper faible. « Il va falloir car je me sens pas bien…J’ai mal…J’espère que ça va s’arranger… ». Oui moi qui suis une femme très forte d’habitude là je dois bien avouer que j’en ai pris un coup et que c’est difficile pour moi. Je berce un peu la petite avant de demander à mon copain : « Embrasse moi s il te plait ! ». Et oui, nos enfants nous prendraient beaucoup de temps alors autant en profiter car après, ça sera compliqué.
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