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Des enfants de cet amour là ♥ JUNEL

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19 janvier 2016  
Depuis la soirée où j'avais tenté de faire une belle surprise a ma petite amie, nous étions un peu dans une ambiance tendue a la maison. June avait faire en quelque sorte une demande pour que nous nous marions, et j'avais simplement dit que nous avions le temps pour ça. Bien sur, elle l'avait mal prit et avait suivit une énorme dispute. A la maison aujourd'hui, pas de cours et en repos, j'étais tranquillement entrain de monter un meuble dans le salon. Notre chez nous prenait forme, c'était plaisant d'avoir un intérieur a notre image. C'est notre bulle, alors c'est important de s'y sentir bien. J'avais la notice dans les mains, concentré dans ce que j'étais entrain de faire. Sauf que j'entends June dans la chambre qui commence a crier, l'air un peu paniqué et surtout, j'avais l'impression qu'elle avait mal. Je lâche tout, et je commence a courir pour atteindre l'étage et entre dans la pièce ou ma petite amie se trouve. Bon, elle perdait les eaux. Mon coeur commence a accélérer, mais il ne fallait pas que je panique sinon la situation va se compliquer. Je sors mon téléphone, et je compose le numéro pour avoir une ambulance. En attendant, j'installe June sur le lit et je tente de la canaliser comme je peux. Malgré les prises de têtes, je ne supporte pas de la voir dans un mal comme celui la.

Quelques minutes, et nous voilà dans l'ambulance. Je n'avais même pas prit d'affaires ni rien, c'est une première pour moi. Je ferais l'aller retour plus tard, la, c'est bientôt la naissance de mes deux bébés. Une fois a l'hôpital, je suis le mouvement pour finir dans une chambre. L'infirmière explique qu'il faut encore attendre car la c'est des contractions et que le travail doit se faire. Je ne comprends pas tout, mais tout ce que je sais c'est que mon amoureuse souffre, qu'elle continue de pousser des cris... Je viens alors a coté d'elle, espérant que ça se calme.   " Mon Amour... Ca va aller, je suis là. "    Ne sachant pas trop quoi dire pour le moment. Je peux juste dire que je suis bien content d'être un garçon sur ce coup. Ma main vient attraper la sienne doucement.
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19 janvier 2016  
Aujourd’hui je suis encore et toujours entrain de faire la décoration pour la chambre de nos futurs enfants. Je n’ai pas voulu faire des couleurs basiques que tout les parents font c'est-à-dire rose pour les filles et bleu pour les garçons. Nous avons fait une chambre verte et l’autre orange pour que ça change un peu mais les couleurs sont quand même un peu pastel pour ne pas perturber leur sommeil. Je veux vraiment que nos enfants soient les plus heureux du monde. Je suis entrain de ranger des petits livres et des petites affaires pour l’arrivée des enfants, nous avions tout prévu il est vrai. Je ne voulais pas que mon homme coure pendant que j’étais à la maternité pour tout acheter. Nous avions déjà les habits et j’avais préparé un sac avec des affaires. Des lingettes, une peluche chacun, des premiers habits et aussi des habits pour moi. Des chemises amples et des culottes, j’espérais franchement pouvoir remettre bientôt mes habits car j’en avais mare des trucs de grossesse. Alors que j’étais entrain de ranger des livres dans la bibliothèque pour enfant que nous avions achetés avec Gaël, je sens une vive douleur dans le bas du ventre. Je ne sais pas ce qui se passe mais lorsque je me relève je comprends que j’ai perdu les eaux en voyant une marre d’eau à mes pieds. Bon j’ai perdu les eaux et j’essaie de ne pas paniquer mais je ressens une douleur horrible quelques instants plus tard. Une douleur que je n’aurais jamais cru pouvoir ressentir, non franchement c’était difficile de se tenir debout : « GAELLLL ». Arrivais-je à hurler depuis la chambre des enfants, je me demande comment je vais faire pour descendre les marches, cela me semble être le parcours du combattant, vraiment. L’ambulance vient nous chercher et je suis installé plus tard dans une chambre. Heureusement avec Gaël ça va mieux mais je n’ai pas oublié notre prise de tête suite à la question du mariage. Je tends ma main vers lui pour qu’il me la tienne et je lui réponds : « Tu sais que là, maintenant, je te déteste Gaël Vesper… ». Oui car sans lui je ne serais pas entrain de souffrir le martyr mais je savais que c’était pour la bonne cause.
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19 janvier 2016  
J'avais tenté a plusieurs reprises de me préparer a ce jour. Celui où June m'engueulerait pour me faire comprendre que les bébés allaient sortir. Sauf que ça me tombe dessus sans que je ne puisse mettre en pratique mes entraînements, surtout ceux de relaxation. Affolé, je fais quand même ce qui est de mieux a faire. J'appelle une ambulance, et je tente de canaliser les douleurs de ma petite amie. Je me sens impuissant, mais heureusement que les ambulanciers ne perdent pas de temps a débarquer chez nous pour m'aider et nous mettre en route pour l'hôpital de Boston.
Une fois sur place, j'avais mon coeur qui continuait a battre la chamade. Je suis, et je me retrouve dans une chambre, une sorte de pièce pour l'accouchement. Je ne voyais ça que dans les films, et maintenant j'en devenais l'acteur. C'était insupportable de voir ma jolie brune dans un mal comme ça, et je m'approchais doucement en lui tenant la main qu'elle venait de me tendre. A sa remarque pour dire que la, elle me détestait... Je la fixe, sortant un petit sourire, un peu crispé par la peur.  " Je sais, je sais... Je t'aime aussi. "   Je voulais me détendre mais ce n'était pas possible. Le fait d'entendre les infirmières dirent qu'il fallait attendre, que le travail devait se faire. Je ne sais même pas comment June va accoucher. Je sais qu'il existe plusieurs méthodes, et je n'ai pas le souvenir d'en avoir discuté avec. Qu'est ce qu'il faut dire dans des moments comme celui la. Je me contente de lui caresser la main, restant a ses cotés. Mes yeux restaient sur son visage, et d'une voix tendre   " Surtout bébé, si quelque chose ne va pas... Dis le tout de suite. "   C'était dangereux, et il ne fallait pas oublier la sécurité. Si jamais il arrivait quelque chose a nos enfants, je plongerais dans une immense tristesse, et si il arrivait quelque chose a June... Je crois que je ne serais pas capable de surmonter l'épreuve. Ma bouche vient embrasser son front, je stressais, je n'étais pas serein et je ne pouvais pas le cacher. Je vais m'en vouloir si mon amoureux s'imprègne de cette peur, car il va falloir qu'elle soit calme.
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19 janvier 2016  
Je lui disais que je le détestais et il me répondait qu’il m’aimait, je trouvais ça tellement mignon et je finissais par me dire que j’avais choisit l’homme idéal pour avoir mes enfants même si au début avoir un enfant avec lui ça n’était pas prévu. Surtout avoir deux enfants, je pensais encore être stérile à l’époque et ne voulait pas le priver de ce bonheur et finalement j’avais réussit à avoir deux enfants avec lui. Enfin j’étais sur le point de réussir mais j’allais y arriver, j’essayais juste de ne pas trop me stresser mais c’était difficile quand on a aussi mal. Je n’arrêtais pas de bouger, sur le brancard j’étais mal installé et j’avais l’impression que chacun de mes enfants me disaient qu’ils voulaient sortir en tapant bien contre mon utérus. Je n’en pouvais plus l’infirmière revient avec un anti douleur et je le prends de suite en lui disant : « J’aimerais avoir une péridurale le moment venu… ». Oui, pour moi pas la peine de souffrir inutilement, je ne suis plus à l’époque de mes grands-mères. Je le regarde avec un sourire en essayant de le rassurer : « J’ai mal mais le comprimé va faire effet vite, enfin j’espère que ça ne va pas durer trop longtemps quand même… ». Déjà que des jumeaux c’est plus risqué qu’une grossesse normale alors si en plus ça met longtemps. J’essaie de sourire pour le rassurer mais je vois bien que je n’y arrive qu’a moitié. « Essaie d’être détendu car cela ne m’aide pas… ». Oui le voir dans un état pareil me faisait encore monté en pression, comme si je n’en avais pas assez. Je soupirais un grand coup avant d’embrasser doucement sa main.
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19 janvier 2016  
Je ne pensais pas devenir papa, je ne pensais pas trouver l'amour, je ne pensais pas acheter une maison avec la femme que j'aime... Mais je crois que ce que je n'avais vraiment, jamais imaginé... C'était ce moment la. J'avais tenté de me faire des images de l'accouchement, des douleurs et de June qui souffrirait et m'insulterait ; mais j'étais en dessous. Je voyais bien le mal qu'elle pouvait ressentir, et je me sentais totalement impuissant maintenant. L'infirmière vient alors avec un cachet pour réduire la douleur, et j'espère que ça va fonctionner. Quand ma moitié lui fait la demande pour la méthode a adopter pour sortir les deux petits bouts, je fais un petit sourire. C'était une décision qui ne tenait qu'à elle, et je respectais. La femme indique alors qu'une personne va venir contrôler dans quelques minutes pour savoir où en est le travail.  " J'espère aussi... Déjà parce que je veux arrêter tes souffrances, mais aussi parce que j'ai vite envie de les avoirs dans mes bras. "   Papa impatient. Et puis, je serais bientôt fixé... Est ce que je vais tomber dans les pommes ou non? Ahah. Je la fixais, souriant doucement. Et j'aurais du m'attendre a sa réflexion. Assis a coté d'elle, mes jambes s'agitaient sans que je ne puisse contrôler.   " Désolé mon Ange... C'est une première pour moi... "   Pour elle aussi. Sa bouche embrasse tendrement ma main, et l'appareil qui calcule les contractions n'arrêtent pas de sonner. Je soupire doucement, essayant de reprendre mon calme. Une femme arrive alors, et se positionne devant les jambes écartées de June. Je crois qu'avec ses doigts elle vérifie le col de l'utérus, pour savoir si l'accouchement arrivait. Elle relève le regard sur nous, et nous indique alors qu'elle allait préparer la péridurale. Mon rythme cardiaque accélère, et les minutes passent. Je pose mes yeux sur ma petite amie   " Je crois que je ne réalise pas encore... "   Avec ses douleurs, je crois qu'elle va me dire que elle, elle réalise totalement. Je pose alors mes doigts sur son bidou, lentement et tendrement. Et mes lèvres embrassent son front. Je vais bientôt être papa, c'est dingue mais je suis totalement heureux.
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19 janvier 2016  
Envie de voir les enfants je le comprenais certes mais avant nous avions quand même une étape importante avant c'est-à-dire l’accouchement, enfin nous avions c’était plutôt moi qui était concerné par le problème car lui n’aurait rien à faire, juste à me tenir la main. J’avais peur, ça se mêlait à la douleur et c’était presque de l’angoisse maintenant. Il allait certainement les avoir un moment dans ses bras car je sens qu’après avoir accouché j’allais être épuisé et c’était lui qui allait s’occuper des deux bébés. « Après tu seras plus jamais tranquille, profite de te derniers moments de liberté… ». Il me faisait rire quand il me disait que c’était une première pour lui, c’est vrai que moi j’avais l’habitude d’accoucher tous les jours, je levais les yeux au ciel : « Moi j’accouche tout le temps, t’as raison… ». Parfois il était un peu neuneu ou ça devait être l’émotion, je ne sais pas. Ensuite une infirmière vient me voir et commence à regarder si les bébés arrivent, ça ne vient pas rapidement apparemment. Si peut être plus vite que prévu puisqu’elle m’informe qu’elle va me faire la péridurale, j’espère que ça va bien se passer et que je ne vais pas perdre l’usage de mes jambes, tout le monde sait que je suis assez malchanceuse. « Oh t’inquiètes pas quand ils pleureront toute la journée tu te rendras compte… ». Je sentais les contractions de plus en plus présentes. La jeune femme me demanda de faire le dos rond et me piqua dans le dos, quelques minutes après je me sentais un peu mieux, j’avais moins mal. J’ai très peur qu’il se passe quelque chose pour moi ou pour les enfants, j’ai peur qu’il se retrouve avec les enfants ou alors nous deux mais avec un enfant qui ne va pas bien : « J’ai peur…Si il se passe quelque chose avec les petits, ou avec moi… ». Oui, j’avais peur mais la jeune femme m’indiquait que bientôt je devrais pousser et qu’elle me donnerait les instructions au fur et à mesure.
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19 janvier 2016  
Mon dernier moment de tranquillité? Dit comme ça, j'avais un peu peur pour mon futur. D'ailleurs, il va peut être falloir que j'annonce à June que j'ai quitté mon travail a l'hôtel pour bosser dans un magazine. Ce qui me laissait déjà plus de temps pour notre future vie de famille. J'avais longuement hésité a faire ce choix, mais disons que je ne pouvais pas refuser. Car en plus, je me retrouve aussi a faire le modèle photo... Je crois que ce n'est pas trop le moment pour l'informer, je verrais ça une fois à la maison. J'étais entrain de la fixer, grimaçant a chacun de ses cris de douleurs  " Tant que toi tu réussies a te reposer, ma tranquillité attendra... "  Comment que je suis mignon. Sauf qu'avec tout le stress, je lance une remarque un peu idiote, faut bien l'avouer. Je sors alors un rire amusé a sa réponse, et je répond  " Désolé... Mais au moins, tu gardes ton sens de l'humour! "   Je souris doucement, espérant ne pas me faire engueuler pour cette taquinerie. Je détendais l'atmosphère non? Jusqu'à ce que l'infirmière rentre pour dire a ma petite amie qu'elle allait procéder a la péridurale. J'ai mal d'avance, bien que ce sera pour soulager.  " C'est certain... Mais la, je crois que je vais pleurer... "   J'avouai ma fragilité, ma sensibilité. Je sentais que ma gorge se serrait au fur et a mesure du temps. Un mélange entre joie et peur. Et justement, ma jolie brune ne manquait pas de me faire part de la sienne après avoir eu la piqure. J'avais un peu détourné le regard sous l'action. Je ne suis pas phobique, mais j'étais trop empathique alors je n'avais pas envie de sentir mon dos qui me piquait. Mon doigt vient sur ses lèvres doucement   " Chut... Tout va bien se passer. Les deux bébés seront en bonne santé, et toi, tu vas juste être fatiguée. "   Je souris tendrement, et je crois que c'est le commencement. L'équipe de l'hôpital se met en place autour de June. J'ai une belle tenue hygiénique et je me poste la où je dois être. Tenant sa main, je l'encourage a pousser, je tente de rester fort et serein. Et surtout, de me comporter comme un bon petit copain.
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19 janvier 2016  
Moi ? Est-ce que j’allais réussir à me reposer, ce n’était vraiment pas certains. J’avais un accouchement de jumeau à faire et j’espérais que ça durerait le moins de temps possible. Mais bon il ne fallait pas rêver, un accouchement met du temps et je voulais juste ne pas être là pendant des heures, allongé sur une table à attendre d’avoir les pires douleurs de ma vie. Cela me fait mal rien que d’y penser. « C’est sûr que je vais être morte après avoir réussit à faire nos enfants… ». Enfin j’espérais quand même que je pourrais les avoir et que je n’allais pas avoir une césarienne, ce n’était pas prévu mais on sait jamais si les choses tournent mal…Enfin je priais pour que ça ne soit pas le cas. Je souriais quand il me dit qu’il allait pleurer, j’en étais toute émue. Je n’avais vu jamais vraiment Gaël pleurer, juste avoir les larmes aux yeux. C’était trop beau de voir les pleures dans les yeux d’un garçon, surtout d’un homme qu’on aime. « Si ce sont des larmes de joie ça sera ton plus beau cadeau… ». J’ai envie de l’embrasser mais le temps arrive pour nous de nous séparer, voilà que la jeune femme vient me faire la piqure et je fais le dos rond. J’essaie de ne pas bouger car je sais que c’est un truc risqué ce qu’elle est entrain de faire. « Je veux juste que tu tiennes le coup c’est tout ! ». Je le vois prendre ma main et la sage femme commence à m’indiquer ce que je dois faire, non je ne suis pas sereine, je ne sais pas quoi faire. J’ai peur de ne rien sentir durant l’accouchement et de ne pas savoir quoi faire. « J’ai peur… ». Soupirais-je avant de commencer à pousser doucement, sentant le bébé poussait de plus en plus.
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19 janvier 2016  
C'est peut être méchant a dire, mais je crois que même si je pouvais prendre sa douleur... Bah je ne le ferais pas. Je l'aime énormément, de tout mon coeur même. Mais je n'aurais jamais le courage de faire ce qu'elle s'apprête a faire. Et c'est d'ailleurs la que je comprend a quel point June est forte, et a quel point j'ai de la chance. Je trouve que la vie ne lui a pas souvent fait de cadeaux, alors je souhaite que pour une fois, la poisse reste loin de nous.   " Je serais la pour te chouchouter. Tu n'auras cas crier mon nom et j’accourrais... Enfin, si tu arrives encore a crier. "   Oui, toujours un peu taquin. Mais, je pense que je laisse l'humour passer en premier pour tenter de dissimuler mon énorme stress. Je ressens tellement d'émotion de toute façon, que j'ai l'impression de jouer a la roulette. Comme la, quand je dis tout d'un coup que j'allais pleurer. C'est vrai, je savais que la boule dans ma gorge allait finir par provoquer une crise de larme. De joie oui. Ma petite amie préfère s'en assurer, et je comprend. Je fais un petit oui de la tête avant de la fixer et de reprendre la parole.  " Bien sur que ce sera de joie mon Ange. C'est le plus beau jour de ma vie la... "   Et pas seulement parce que c'est mon anniversaire. D'ailleurs, je crois que je n'aurais jamais de plus beaux cadeaux que la naissance de mes bébés. J'en suis certain même.
Laissant ma moitié se faire piquer, je tente de respirer doucement dans mon coin avant de la rejoindre pour lui tenir la main. La peur commence a se faire ressentir, approchant du moment fatidique.   " Je tiendrais le coup. Je me montrerais aussi fort que toi. "   Oh j'aimerais. J'aimerais avoir la même force que June. Mais je crois que pour ça, faut endurer tout ce qu'elle a vécue dans le passé. Ma main dans la sienne, pour qu'elle puisse la serrer comme toutes femmes qui accouchent. Je laisse mes yeux sur son visage, jetant des furtifs coups d'oeil a l'équipe présente.  " Souffle mon Coeur. Ca va aller. "    Je souris doucement, et elle commence le travail. Alors oui, ce n'est pas sexy, mais on s'en fout non? Ma femme est entrain de donner la vie... Pffiou.
Entre les cris, les encouragements et les souffles. Je ne lâchais pas ma petite amie. Et, mes yeux étaient mouillés sous l'attente... Je ne faisais même plus attention a l'horloge. Impossible de dire depuis combien de temps nous sommes la. Je caressais simplement son front d'une main, et je déposais quelques baisers en lui murmurant a l'oreille des mots pour la motiver. Je suis certain que la, elle me déteste encore plus qu'a notre arrivée .
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19 janvier 2016  
Je me mis à rire quand il me disait que je n’aurais qu’a crier et il viendrait en courant, j’espérais vraiment qu’il tiendrait son rôle de papa bien au sérieux et qu’en effet, je pourrais me reposer et quand j’aurais besoin de lui il sera là, d’ailleurs j’avais une petite idée pour lui : « Si j’achetais une petite cloche et dès que j’aurais besoin de toi, je te sonnerais, tu serais obligé de venir habillé avec un petit tablier par exemple, torse nue…Je mériterais bien ça non ? ». Je me mis à rire, oui même avec cette douleur j’arrivais à avoir de l’humour. A penser à des sujets drôles alors que j’étais mal en point, je n’arrêtais pas de souffler, toutes les cinq minutes mais les contractions allaient de plus en plus rapidement. Gaël m’affirmait pourtant que c’était le plus beau jour de sa vie, je hochais la tête avant de lui répondre : « Quand j’aurais fini oui, je serais sans doute heureuse, là, c’est un peu difficile… ». Oui c’était dur et même si j’avais des antidouleurs ce n’était pas évident. Je voulais qu’il me soutienne, qu’il me dise qu’il serait là quoi qu’il arrive et qu’il s’occuperait des petits si jamais il m’arrivait quelque chose. Je commençais à accoucher, enfin à pousser, je ne me rends pas compte que je suis entrain d’accoucher encore. Pourtant tout le monde me dit de pousser, mon petit ami m’embrassait sur le front et j’avais peur de ce qui allait se passer, je poussais de toute mes forces avant de sentir une douleur brève et insupportable. Et puis je vois une toute petite boule blanche et pleine de sang, je vois que c’est mon petit garçon. On me met le petit sur le ventre et je suis sur toute tremblante. On demande à mon petit ami de couper le cordon et je ne sais pas si il va accepter, je ne peux m’empêcher de me moquer un peu de lui : « Tu ne vas pas tomber dans les pommes mon amour ? ». Et oui, j’avais peur qu’avec le sang et la vue de son fils il ait un peu peur. Malgré la douleur j’essayais de garder mon humour légendaire.
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