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Le changement c'est maintenant (Ofé)

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Je ne dormais temporairement plus dans les lieux et pourtant, comme un habitué fidèle au poste, me voilà qui passais la porte d’entrée du grand bâtiment de la DH. Ma confrérie, ma maison, mon chez moi. Charlie n’était pas très bien en ce moment, et comme je l’avais un peu abandonné dans notre chambre commune pour prendre soin d’Andrea, j’étais donc passé dans le coin voir si mon coloc y était pour prendre de ses nouvelles. Mon regard balaya la pièce commune. Quelques dunsters concentrés, le nez dans leurs bouquins étaient attablés alors qu’une rouquine était lovée dans le canapé de la pièce, son mac sur les genoux en train de jouer les geeks. Je souris en reconnaissant la demoiselle et vint me jeter dans le sofa près d’elle. En temps normal, je me serais jeté sur elle carrément, rien que pour l’embêter, mais y’avait eu quelques changements dans ma vie et je me devais d’adapter mon comportement. Je me contentai donc de la taquiner avec un coup de coude en lançant : « Alors ça y est, t’étais tellement désespérée que tu t’es inscrite sur meetic ? »
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La dunster house, c'était un peu le refuge de chacun des élèves qui appartiennent à la confrérie pour se poser tranquillement. Et surtout pour travailler un peu. J'avais, certes, un appartement mais parfois, j'aimais revenir ici, comme au tout début pour pouvoir me poser et profiter de l'ambiance de la dunster où bien que studieuse, on entendait différents bruits, une belle ambiance et a tout moment, on avait de l'aide. J'entrais avec mon sac de cours rapidement, souriant a de nombreux visages familiers et par chance, je pus jeter mon dévolu sur un sofa libre de la salle commune. Alors que je m'y étais lovée enfin, je sortais mon mac et débutais mes recherches et écritures diverses pour mon sujet d'étude. Alors que je tombais dans une folle léthargie, concentrée et absorbée, je sentais un poids tomber sur le canapé mais je ne levais pas le regard de mon devoir jusqu'à ce qu'une voix connue me coupe. Le moquerie me fit sourire et je levais les yeux, un sourcil principalement se leva pour dire "tu te fiche de moi là" pour rire. Non... je ne suis pas du tout désespérée ... mieux vaut etre seul que mal accompagné mon cher ! c'est d'ailleurs pour ça n'a pas marché ... dis-je pour le casser à mon tour et le faire suer. Je lui tirais alors la langue avant de lui chatouiller le creux sur le coté, juste au dessus de la hanche.
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Si Ofé ne me calcula d’abord pas, elle releva les yeux à mes mots, levant les yeux au ciel devant ma taquinerie avec un sourire amusé malgré tout. Elle n’était pas désespérée. Elle reprit ensuite le fameux dicton –il valait mieux être seul que mal accompagné- le retournant contre moi en soulignant que c’était pour cela que cela n’avait pas marché entre nous. « Tu te fous de moi ? Je pensais que c’était parce que tu les aimais plus jeunes ? » Elle avait préféré le petit Zacharias, mon cadet, mon Denys… Enfin c'était plutôt parce que ce dernier avait des sentiments pour Ofé qu'on avait stoppé net notre début de relation. Si pendant un temps, cette histoire avec la rouquine m’avait laissé un coup d’inachevé, aujourd’hui on arrivait à en rire. On était devenus de vrais amis, et c’était probablement mieux ainsi. Surtout qu’à l’heure actuelle, j’étais de nouveau avec Talya. Alors aucune pique d’Ofélia ne pourrait m’atteindre et me défaire de mon grand sourire niais. « Bon sérieusement tu fais ta geek là, tu fais quoi ? » fis-je en essayant de zieuter son écran. « Tu mates un porno ou quoi ? » Moqueur et chieur, voilà mon humeur du jour.
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Si j'avais tenté de ne pas le regarder et de l'ignorer pour le faire un peu suer, ça avait été compliqué de poursuivre cette ignorance ensuite alors je jouais les filles, pleine de lassitude devant les yeux fous de Priape. On n'aurait presque cru qu'il était vexé dans sa petite fierté à deux balles quand j'ai parlé de notre séparation si bien qu'il m'a directement lancé un pique vis à vis de son frère pour qui j'étais parti loin de lui. J'ouvrais grand la bouche, choquée et restant clairement bouche bée avant de le taper en ricanant. Il me casse toujours. Là, il ne me laissa pas parler, poursuivant en continuant ses taquineries. Il me demanda sur quoi j'étais geek au moment précis et tenta de zieuter, je bougeais donc pour le faire encore plus rager mais je lâchais tout en entendant le mot Porno ; Pardon ? ... Mon cher, je suis satisfaite moi, j'ai pas besoin de ça petit pervers. Je fermais le clapet de mon mac et le posais sur le canapé dont je venais de me lever comme pour jouer avec lui. Je me mettais devant lui le regardant de haut : Zacharias, tu n'es qu'un petit obsédé pervers ... je travaille moi tu sais ... Je lui tire la langue. J'avançais vers une fenêtre plus loin et taquine, je poursuivais : j'espère que ta progéniture ne sera pas comme toi, à ton image parce que les pauvres ... petit sourire en coin.
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Taquins, et tactiles... Voilà ce que nous avions toujours été l'un pour l'autre Ofé et mii, malgré la fin prématurée de notre histoire, pour le bien de Denys. Alors aujourd'hui, de nouveau avec Talya, c'était seulement la partie taquinerie que nous pouvions conserver. Je n'avais pas envie de mettre en péril ma relation avec ma petite amie, surtout après les tumultes qu'il y avait déjà eu entre nous. Je voulais que cette deuxième chance fonctionne, même si cela impliquait de mettre un certain frein à mes habitues avec Ofé. Mais rien ne m'empêchait de l'embêter, et c'est ce que je fis, m'attirant le regard réprobateur de la demoiselle. La rouquine maintenait son écran hors de ma vue ce qui ne fit que redoubler ma curiosité. Elle affirma sa satisfaction sexuelle avec un petit rire, pas besoin de porno donc, et me traita au passage de pervers ce qui me fait marrer. Elle termina par fermer carrément son Mac pour échapper à mon regard inquisiteur. Puis elle se leva et elle se planta devant moi, me toisant de haut. Elle affirma qu'elle travaillait et un petit rire moqueur s'échappa de mes lèvres : "Pourquoi ne m'as-tu pas laisser regarder alors? Avoue que tu regardais d'anciennes photos de nous eux en te languissant de moi ouais !" Humeur taquine, j'avais clairement envie de la titiller. Visiblement, elle aussi. Et lorsqu'elle évoqua ma progéniture, je rétorquai à ce sujet : "Mila n'aura pas de petit ami avant ses 30 ans de toute façon, c'est tout vu." Ma fille serait un ange, pure et chaste. On pouvait bien rêver...
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Il cherchait clairement à me pousser à bout mais je refusais de me laisser faire aussi facilement, c'était hors de question alors je me débattais pour ne rien lui montrer, tout cacher et qu'il ne puisse rien dire de plus ou se servir d'un de mes travaux, histoire de bien me pousser. Je m'étais mise debout face à lui et encore, il parlait de l'ancien nous que je préférerais à présent zapper, sachant que monsieur à une copine mais si il veut je peux moi aussi le pousser en cherchant bien la merde avec sa copine : Alors qu'il ne me cherche pas celui là ! Je restais circonspect devant sa provocation avant de taper du talon comme une enfant pour le faire rire : Non, je me fous de toi complètement et encore plus, de ce soi disant "nous" je vois pas du tout de qui tu parles ... NAAAAH ! dis-je en tournant dans la grande salle bientôt libre et vide de dunster. je revenais à ses cotés et je le frappais doucement comme une folle, avant de le chatouiller. Je ne voulais pas que tu vois parce que je suis tellement intelligente que tu trouverais des choses à mettre dans tes exercices d'expressions ... parce que tu seras un bon médecin illettré alors que moi, je suis super douée pour écrire et parler ... dis-je en étant pas du tout convaincu de ma réponse mais j'avais trouvé que ça comme excuse. il me parla de sa fille et je souriais, reprenant du sérieux et un comportement plus réel et amical ; Oui, je n'en doute pas tu es un bon père et tu le seras toujours autant que tu as été un bon frère ... Je souriais caressant son épaule. Oui, Il avait été mon ex mais aussi, il était mon ami et j'étais là pour lui faire vivre un enfer gentiment mais aussi, lui dire les bonnes choses comme une bonne amie.
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Taquinerie était le maître mot entre nous. C'était pour volontairement me tacler qu'elle me rétorqua qu'elle n'en avait rien à faire de moi. Il en faudra plus pour me vexer miss Black, je n'étais pas dupe. Même si notre ancienne histoire avait été brève, elle n'en avait pas été moins intense pour autant. C'était surement pour cela qu'on avait tendance à se chercher toujours d'ailleurs. Comme maintenant, quand elle commença à me taper et à me chatouiller, je me mis à rire en me débattant un peu d'abord, elle connaissait plutôt bien mes points sensibles mais pas de chance pour elle moi aussi. Je ripostai donc, attrapant ses mains pour la bloquer alors que les doigts de ma main libre laissant courraient sur sa taille, remontant vers ses côtes pour quelques une guillis en bon et du forme. Je me stoppai néanmoins assez vite, en réalisant que ce genre de petits gestes pouvaient paraître ambiguës de l'extérieur que c'était donc plus le genre de chose auxquelles nous pouvions nous adonner. Un "Hey !" de protestation s'échappa de mes lèvres lorsqu'elle me traita de médecin illettré. Mais c'est ensuite avec un peu plus de sérieux qu'elle reconnut que j'étais dans ton père autant que j'avais été un bon frère. Petite référence au fait que j'avais renoncé à mon attirance pour elle juste pour ne pas blesser davantage Dennys. Un petit sourire naquit sur mes lèvres. "Merci." Sauf qu'en sentant sa main sur mon épaule, je me crispai un peu. "Ofé... Attends, faut que je te dise... J'ai quelqu'un à nouveau maintenant... J'suis en couple..." Y'avait plus vraiment de place pour le tactile comme ça entre nous, sauf si la rouquine voulait s'attirer les foudres de ma petite amie.
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J'aimais le critiquer juste pour le faire un  peu suer, c'était notre petit jeu à nous ! Je voyais bien qu'il était pourtant moins taquin et surtout bien plus distant que d'habitude ce qui commençait à me faire étrange mais je m'en fichais. C'est pas comme si il était indispensable donc je vivais au jour le jour. Il prit mal - vous voyez ce que je veux dire - le fait que je l'insulte de médecin illettré mais on en riait tout de même. Là, je venais le rassurer et le complimenter car les amis sont aussi là pour ça et si j'eus le droit à un merci, mon geste de compassion, ma main sur son épaule ne passa pas. Il se recula et se remit à parler. Il ne voulait plus de rapprochement physique, mais croyait-il que notre relation était ambiguë ? il est fou, n'importe quoi... je toucherais l'épaule de n'importe qui, c'est juste affectueux dans la normalité des choses. Je pars dans des justifications mentales folles et surement bien ridicules. Je m'offusque un peu et le regarde, quelque peu énervée : Ecoute... c'est bien et je le savais que tu avais quelqu'un ... mais tu sais tout ce temps quand on avait des gestes affectueux, je n'y voyais rien d'ambigue ; je ne te veux pas Zacharias et je trouve cette réaction totalement ridicule dans le sens où j'ai juste mis la main sur ton épaule chose que je peux faire à Alexys ... Je secouais la tete, lasse et navrée de tant de crétinerie avant de reprendre : Merde,... vous faites toujours tout à outrance les mecs ! C'est vrai ... il se mette en couple, trompe les filles et quand elles pardonnent, ils veulent plus qu'on les approche ; controlez-vous, c'est tout, toucher quelqu'un ne veut pas dire que y a un truc... bien sur, je ne parlais pas de Priape, juste un exemple comme ça de mes pensées sur la gente masculine.
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 « T’énerves pas comme ça Ofélia… C’est juste que même si pour toi et moi c’est clair et que ça ne veut rien dire, de l’extérieur, ça pourrait être perçu autrement. » Je voulais juste plus d’embrouille du genre. Avec Talya, on avait eu nos hauts et nos bas, enfin surtout nos bas en fait, je voulais que cette deuxième chance que l’on s’accordait soit parfaite et que surtout, ce ne soit pas des amitiés trop tactiles qui viennent jeter le trouble entre nous. C’était quand même drôlement rassurant d’entendre qu’il y avait zéro ambiguïté du côté de la rouquine. « J’ai eu peur que tu sois encore folle de mon corps tu vois… » la charriai-je avec un petit rire histoire que la bonne humeur refasse surface entre nous et que cette petite mise au point ne soit pas source de tensions. « Bon alors et toi, les amours Ofé ? » demandai-je plus sérieusement, sincèrement intéressé par la vie affective de la demoiselle.
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Je me sentais à présent énervée de sa façon de faire, de s'imaginer des trucs ou de foutre de l’ambiguïté là où il n'y en a pas du tout. Je faisais donc une mine renfrognée, énervée de tant de paroles débiles et je venais le regarder avec de gros yeux.Il s'expliquait et je ne fis que sourire, doucement, très peu franchement parce que je voulais pas qu'il puisse penser que je me calmais si vite;avec juste un coup de pommade. Je veux bien comprendre mais ce n'est pas une raison pour voir le mal partout ou t'imaginer des choses zacharias ... avais-je reprit, offusquée. Je sentais qu'il n'était pas très à l'aise mais par une blague, il tenta d'aller mieux et je le frappais en riant tout de meme un peu. Pas le moins du monde ... tu me dégoutes Priape ! Je riais en me moquant presque. Et lorsqu'il reprit la parole, j'ouvrais grand les yeux, surprise de son questionnement. D'où me parlait-il de mes amours ? Je roulais les yeux, mordais ma lèvre avant de dire, fière : ça ne vous regarde pas monsieur zacharias ! Je ricane.
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