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Why are you so obsessed with me ?
Histoire
22 ans › Américaine › Née à Dallas
Fille de Rex Tillerson, président d'ExxonMobil
Charlie est l’archétype de la reine de lycée, la prom queen par excellence. Elle est habituée à mener la danse, avoir tout ce qu’elle veut, être regardée, prise comme modèle, et porter une couronne. En apparence, elle est sure d’elle, vicieuse et maligne : elle est du genre à monter des sales coups par vengeance, ou juste pour jouer. Fille à papa, elle sait que quoiqu’elle fasse, elle demeure dans l’impunité et que de toute façon, elle n’aura jamais à assumer les conséquences de ses actes. Et puis, son père qui la voit comme la fille la plus gentille, mignonne, et adorable de la terre, aurait bien du mal à croire que Charlie puisse faire quoique ce soit de mesquin ou de perfide.
Au-delà des apparences, Charlie est loin d’être une fille stupide. Passionnée par la mode, elle poursuit ses études en journalisme afin de devenir un dictateur de la beauté, comme Meryl Streep dans Le Diable s’habille en Prada. Elle est consciente de sa situation et de l’image qu’elle renvoie. Parfois elle en profite, d’autre fois elle la rejette. Car, dans le fond, elle la vit comme un fardeau : elle doit toujours être au top, se montrer sous son meilleur jour, et tout réussir pour ne pas que ses « amies » se moquent d’elle. Pire encore, que sa mère le fasse. Elle appelle ce fardeau « l’enfer rose à paillette ». Elle se sent excessivement seule et n’a jamais eu de relation profonde avec qui que ce soit, amis ou amants. En fait, tout comme ce qu’elle semble être, la vie de Charlie est très superficielle – tout est fait dans la superficialité. Les garçons l’ont souvent vu comme une pimbêche imbue d’elle-même et Charlie s’est très vite retrouvée coincée dans cette image dont elle a un mal fou à se sortir.
22 ans › Américaine › Née à Dallas
Fille de Rex Tillerson, président d'ExxonMobil
Charlie est l’archétype de la reine de lycée, la prom queen par excellence. Elle est habituée à mener la danse, avoir tout ce qu’elle veut, être regardée, prise comme modèle, et porter une couronne. En apparence, elle est sure d’elle, vicieuse et maligne : elle est du genre à monter des sales coups par vengeance, ou juste pour jouer. Fille à papa, elle sait que quoiqu’elle fasse, elle demeure dans l’impunité et que de toute façon, elle n’aura jamais à assumer les conséquences de ses actes. Et puis, son père qui la voit comme la fille la plus gentille, mignonne, et adorable de la terre, aurait bien du mal à croire que Charlie puisse faire quoique ce soit de mesquin ou de perfide.
Au-delà des apparences, Charlie est loin d’être une fille stupide. Passionnée par la mode, elle poursuit ses études en journalisme afin de devenir un dictateur de la beauté, comme Meryl Streep dans Le Diable s’habille en Prada. Elle est consciente de sa situation et de l’image qu’elle renvoie. Parfois elle en profite, d’autre fois elle la rejette. Car, dans le fond, elle la vit comme un fardeau : elle doit toujours être au top, se montrer sous son meilleur jour, et tout réussir pour ne pas que ses « amies » se moquent d’elle. Pire encore, que sa mère le fasse. Elle appelle ce fardeau « l’enfer rose à paillette ». Elle se sent excessivement seule et n’a jamais eu de relation profonde avec qui que ce soit, amis ou amants. En fait, tout comme ce qu’elle semble être, la vie de Charlie est très superficielle – tout est fait dans la superficialité. Les garçons l’ont souvent vu comme une pimbêche imbue d’elle-même et Charlie s’est très vite retrouvée coincée dans cette image dont elle a un mal fou à se sortir.
© Nalex
(Invité)