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Flashback [Bukowski Tavern, Olivia & Sheldon]

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✖ Olivia & Sheldon✖
« just a drink right ? »


« Mes premiers points ? Je suis rapide, t’as vu ça. Plus que quelque points et tu feras toutes mes volontés alors, c’est ça ? » Je ne pus m’empêcher de sourire. Je décidais des points à attribuer, et je ne comptais pas forcément la faire arriver à dix. Pas tout de suite en tout cas. Après avoir trinqué, je lui posais quelques questions plus personnelles pour entamer la conversation. « Oui oui, je suis partie de Détroit il y a peu pour atterrir ici ... En faite ... Heeeeu, et toi ? » Pendant un instant, j’eus l’impression qu’elle n’était pas vraiment à l’aise à l’idée de parler d’elle. Et qu’elle essayait de changer de sujet en me posant la même question. Qu’elle ne veuille pas parler d’elle ne me pose pas de problèmes, sauf que pour moi aussi, parler de mes origines était un sujet difficile ces derniers temps. Je n’avais plus vraiment envie de parler d’Atlanta et de ma famille adoptive, mais je ne pouvais pas vraiment ne pas évoquer vingt années de ma vie et faire comme si elles n’avaient pas eu lieu. Je choisis à mon tour d’éluder un peu la question. « Je suis originaire de Phoenix, et j’étudie à Harvard depuis six ans » Clair, net et concis. Je fis signe au serveur qu’il m’apporte une nouvelle bouteille de bière aromatisée, et je tournais à nouveau mon regard vers la jeune femme. « Il ne me semble pas non plus t’avoir déjà croisée à l’université. Ou je me trompe ? » Le barman fit glisser la bouteille jusqu’à moi, et j’en bus une gorgée, attendant sa réponse. Olivia semblait réfléchir. Oui, j’avais vraiment l’impression qu’elle essayait d’éviter de livrer trop de choses sur elle. La conversation n’allait pas durer très longtemps à ce rythme.


Je n’étais pas vraiment sur qu’elle accepterait de me suivre, comme elle semblait si bien s’amuser à se déhancher sur la piste de danse, sous le regard envieux de presque tous les hommes présents ce soir. Elle était jolie, le savait et n’hésitait pas à utiliser de son physique. Oh oui, elle savait qu’elle plaisait et semblait apprécier ce petit pouvoir qu’elle avait sur les hommes. Mais je ne me sentais pas menacé. Encore une fois, j’aimais les filles sûres d’elles. Je la tirais par la main en direction de la sortie, elle marcha à ma suite. Ce n’est qu’au bout d’une minute qu’elle me posa la question fatidique. « Où m’emmènes tu ? » Je n’en avais aucune idée. Emmener des filles dans le studio que je louais l’été ne me posait en général pas de problèmes, sauf qu’il n’était pas vraiment en état de recevoir quoi que ce soit. La dernière soirée pizza avait laissé quelques traces que je n’avais pas encore pris le temps de ranger. Il y avait l’option de l’hôtel, mais je trouvais cette solution vraiment impersonnelle, presque dégradante pour la fille . En réalité, j’espérais qu’elle allait m’inviter chez elle, pour un dernier verre, voire plus. « Dehors. J’ai trop chaud ici. » Je me retournais vers elle, elle avait un grand sourire sur les lèvres. J’avais apparemment eu tord de m’en faire.

J’avais fait reculer Olivia jusqu’à la petite commode du couloir, et j’étais à deux doigts de renverser par terre tout ce qui s’y trouvait pour la porter et l’asseoir dessus pour qu’elle soit à ma hauteur. Elle se détacha de moi, et me regarda dans les yeux. Ce qu’elle y vit semblait la satisfaire, car elle me prit à nouveau par la main et avança dans le couloir, vers une porte que je n’avais pas encore vue. Elle l’ouvrit tout en continuant à me regarder, et m’entraina à sa suite dans ce qui semblait être sa chambre. Les volets étaient fermés, et la seule lumière venait du couloir. Je n’en distinguais presque aucun meuble, juste des formes, des ombres. Comme si encore une fois, elle voulait que les gens en sachent un minimum possible pour elle. Je regardais Olivia s’allonger sur son lit, le fait qu’elle me regardait avec autant d’intensité changeait complètement l’ambiance de cette soirée. Elle semblait soudain en attendre beaucoup. Je mourrais d’envie de me jeter sur elle, de la déshabiller tout de suite. Je commençais par retirer mon tee-shirt, le jetant dans un coin de la pièce. J’avais envie de sentir sa peau contre la mienne. Doucement je m’allongeais au dessus d’elle, toujours en la regardant. Finalement, son regard m’excitait presque. Je posais mes lèvres quelques secondes sur les siennes, un peu plus sauvagement qu’avant, lui montrant encore une fois combien qu’elle me plaisait, avant de laisser glisser ma bouche sur l’angle de sa mâchoire, son oreille, son cou. L’une de mes mains remontait le long de sa cuisse.

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Olivia & Sheldon « Un jeu de crétin ? Peut-être bien, mais c’était notre jeu ! - Jeux d'enfant »




Le jeu des points était vraiment une très bonne idées. Ce genre de choses attirent l’attention et met du piment. En effet, quelque secondes après leur présentation, Sheldon venait d’attribuer ses premiers points à Olivia. Bien pour elle, mais dommage pour lui, car à ce rythme, il allait surement faire ses quatre volontés. Mais elle ne pu s’empêcher de sourire et de le lui dire. C’était tellement comique ce truc des points. Mais elle ne s’ennuierait pas au moins pendant sa soirée. La vraie discussion arriva progressivement. Olivia n’aimait pas se dévoiler. Ils ne se connaissaient pas et n’avait pas l’intention de lui raconter sa vie. Si c’est ce qu’il attendait et bien manque de chance. Même saoule, ça n’arriverait pas. Ce n’était pas le genre d’Olivia. Celle-ci avait apprit à se méfier de tout et encore plus des hommes. Lorsqu’elle abrégea sa réponse et lui retourna la question, elle vit rapidement qu’il était comme elle. Pas à l’aise à son sujet et sur sa vie personnelle. Et bien au moins, ils avaient un point commun. Assez drôle, non ? Deux inconnus qui fonctionnaient presque pareil. Coïncidences ou destin ? Oli’ n’en savait rien, mais elle trouvait ça assez drôle. « Tu viens d’une grande ville. Ca ne doit pas te changer d’être ici. Moi c’est le jour et la nuit par rapport à ma ville de naissance. » Et oui, Olivia était née à Mc Comb, une toute petite vie dans le Mississippi. Quand vous débarquez à Détroit ou Harvard, ca vous change la vie ! Mais il étudie ? C’est ce qu’il venait de dire, non ? Mais quel âge pouvait – il avoir ? Olivia n’aurait jamais cru parler avec un étudiant un jour ... Depuis qu’elle était sorti de la fac, la jeune femme n’avait plus jamais repensé aux étudiants etc .... C’était du passé. Mais à cet instant, un peu de nostalgie arriva dans son esprit. C’était les meilleures années de sa vie. « Des études, de quel genre ? Mais quel âge as tu ? » Olivia posait peut-être trop de question, mais il fallait qu’elle sache avant d’aller plus loin. Cette dernière n’avait pas pour habitude de fréquenter des petits jeunes. Sheldon ne se gêna pas pour dire à Olivia qu’elle était inconnue sur le Campus. Ce qui était vrai. « Tu marques des points aussi. En effet, j’ai ma propre entreprise. » Celle-ci n’en dit pas plus. Serait-il assez curieux pour vouloir en savoir plus ?

*** FIN DE SOIRÉE ***

Ce qu’elle voyait en Sheldon .... Elle ne l’avait jamais vu chez les autres. Il avait cette sensibilité et cette fragilité au fond de lui qui l’avait touché ce soir. C’était peut-être pourquoi, le jeune homme était chez elle au final. Mais ce n’était pas une relation, c’était comme tous les autres, un homme de passage, quelqu’un à qui elle ne s’attacherait pas, quelqu’un en qui elle n’aurait pas confiance. Il était peut-être touchant, confiant et tout ce qu’il voulait, mais il restait un homme. Olivia avait donné son cœur deux fois, et il avait été piétiné. Une fois à son père, qui l’avait trahi en trahissant et brisant le nid familial, et une autre fois à son mari, qui lui avait fait croire à cette vie de rêve qui n’était qu’au final faux semblant. A présent, Oli’ ne croyait plus en rien et ne faisait plus confiance à personne. Bref, cet instant n’était pas aux pensées tristes mais aux choses agréables. La soirée des deux jeunes gens s’annonçait plus que bien. Sheldon avait prit les devant mais Oli n’avait pas pour habitude de laisser un homme prendre toutes les décisions. C’était comme elle l’avait décidé et pas autrement. Cette dernière l’entraina dans sa chambre un peu plus loin dans la maison. Celle-ci ne perdait pas le contact puisqu’elle le regardait avec le tenait par la main. Une fois entrés dans la chambre, juste la lumière du couloir éclairée légèrement l’espace, cette dernière prit le chemin vers le lit. Allongée et le regardant intensivement, elle n’attendait qu’une chose, qu’il vienne à elle. Son désir se réalisa. Sheldon était au dessus d’elle et l’embrassa avec plus de passion que la première fois. Olivia pouvait sentir à quel point ce dernier avait envie d’elle et la désirait. Un homme dans cet état était capable de tout pour avoir ce qu’il désirait. Olivia inversa les rôles. Celle-ci roula un peu sur le côté pour finir au dessus du jeune homme. Se redressant un peu, la jeune femme le regarda intensivement tout en enlevant sa robe. Le regard de Sheld’ ne trompait pas. Elle se baissa un peu pour être à la hauteur de sa bouche. Olivia l’embrassa tendrement. Ce baiser était étrange mais elle savait que Sheldon pensait comme elle. Ce n’était plus du sexe pour du sexe avec ce baiser là. « Fais moi l’amour .... » Lui murmura t-elle au creux de l’oreille une fois ce tendre baiser terminé.


*** LE LENDEMAIN ***

Après cette nuit, une nuit passionnelle et troublante. Voilà comment on pourrait décrire la nuit qu’Oli’ venait de passer avec Sheldon. C’était un inconnu hier soir encore, et pourtant, durant cette soirée, elle ne s’était jamais senti aussi proche de quelqu’un depuis des années, même presque jamais en faite. C’était peut-être ça le problème. Ils avaient été proches, mais ils ne savaient rien l’un de l’autre. Sheldon ignorait tout de sa vie, de son mariage catastrophique, de sa fuite pour y échapper, de son arrivée ici bref il ne savait rien, juste les banalités qu’elle avait bien voulu lui dire. A présent, la nuit était passé, le jour s’était levé. Le jour avait pénétré dans la chambre à travers le couloir. Tous les stores de la chambre étaient fermés mais la porte était resté ouverte. Ce n’était pas prévu que Sheldon reste .... Mais après avoir fait l’amour, il lui avait caressé le visage, l’avait regardé et embrassé. Des simples gestes pour faire plaisir à la jeune femme surement, mais c’est ce dont elle avait besoin. Et peut-être qu’en réalité, il avait été touché lui aussi par Oli, non ? Tout était possible mais elle n’était pas dans sa tête. Il y avait très peu de chance pour qu’ils se revoient. Après tous, ils ne se connaissaient pas et Olivia n’avait pas envie d’une relation, tout comme Sheldon. Au petit jour, Olivia se réveilla .... Le lit était vide, seule sa présence s’y trouvait. Ce dernier était parti. Il avait prit la fuite sans même dire quelque chose, un mot, non rien, il était parti comme un voleur. Finalement, il était comme les autres ....
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«Tu viens d’une grande ville. Ca ne doit pas te changer d’être ici. Moi c’est le jour et la nuit par rapport à ma ville de naissance. » Je souris en portant la bouteille de bière à la bouche et en avalant une gorgée. « J’ai la chance d’être à l’aise partout, ville comme compagne, c’est vrai. Mais Harvard reste à l’échelle humaine je trouve, pas comme New York ou Los Angeles où il faut des années pour s’en sentir un vrai habitant je pense … » J’avais passé quelques jours dans chacune de villes que je venais d’évoquer, et elles n’avaient rien à voir avec Phoenix ou Atlanta, ou encore Harvard, où je me sentais comme chez moi. Au point que je songeais vraiment à rester ici même mes études terminées. Ca me permettait de rester plus proche de ma sœur quelques années de plus aussi. « Des études, de quel genre ? Mais quel âge as tu ? » Je ne pus m’empêcher de sourire. Je venais de comprendre qu’elle avait surement déjà du terminer les siennes, ce qui expliquait son absence des couloirs de l’université. Elle devait surement s’imaginer être en présence d’un étudiant à peine majeur qui se sentait pousser des ailes en présence de personnes plus âgées. « Je suis majeur, rassure toi. J’ai fêté mes vingt-quatre ans il y a un mois. » Soit elle me croyait, soit elle ne me croyait pas. Mais je n’allais pas sortir ma carte d’identité pour lui prouver ma bonne foi. « Et je vais entamer ma dernière année d’étude en septembre, maths appliqués et informatique. » J’attendais sa réaction sur ce point, beaucoup de personnes imaginait les informaticiens comme des étudiants à lunettes, pas vraiment à l’aise en société, et surtout pas du genre à aller sortir boire un verre en soirée. Et dans un sens, j’aimais surprendre les gens par ma personnalité et mon physique qui détonnait avec ce que j’aspirais à devenir dans la vie. Lorsque je lui fis remarquer que je ne l’avais jamais vue à Harvard, elle complimenta mon sens de l’observation. « Tu marques des points aussi. En effet, j’ai ma propre entreprise. » J’avais vu juste, elle était déjà dans le monde du travail. Je ne me risquais à demander son âge, de un parce que les filles n’aimaient pas vraiment qu’on leur pose ce genre de question, et de deux, parce que je n’en avais absolument rien à faire. Elle devait ne pas être très loin du mien de toute façon. « Une femme active donc … une entreprise de quoi si je peux demander ? » Elle semblait moins dérangée de parler de sa vie professionnelle, autant en savoir plus là-dessus.

Juste après que je l’ai embrassée, lui faisant bien comprendre que je mourrais d’envie de la déshabiller tout de suite , elle inversa les rôles, nous faisant rouler sur le lit, et passant au-dessus. Elle était à présent assise à califourchon sur moi, et je posais mes mains sur ses hanches, la regardant. Elle était si désirable. Elle me fixait aussi, ce que rendait le moment encore plus excitant. Sans que je le vois venir, je la vis faire remonter sa petit robe le long de ses cuisses, de son ventre, de sa poitrine avant de la faire passer au-dessus de sa tête et de lancer le tissu quelque part dans la pièce. Elle était maintenant en sous-vêtements devant moi, un ensemble sombre qui la mettait tellement en valeur. Je mourrais d’envie de l’embrasser à nouveau, et de faire disparaître ces derniers pièces de tissu qui la recouvrait. Elle se pencha à nouveau vers moi, et caressa mes lèvres des siennes, un baiser tendre qui contrastait avec la violence de mon envie pour elle en ce moment. Et elle chuchota quelques mots à mon oreille, qui libéreraient n’importe quel homme des doutes qu’il pourrait avoir. « Fais moi l’amour .... » C’était bien plus qu’il ne m’en fallait. Impossible de me retenir. D’une main, je fis sauter la fermeture de son soutien-gorge avant de nous faire pivoter dans l’autre sens et de reprendre les choses en main, repassant au dessus d’elle. Je me penchais pour l’embrasser dans son cou, passant mes lèvres sur sa clavicule, son épaule, rapprochant ma bouche de sa poitrine, passant mes doigts sous la dentelle et frôlant sa poitrine juste pour le plaisir de la voir frissonner entre mes mains.

Sans vraiment savoir pourquoi, ou comment, j’avais fini par passer la nuit chez elle, dans son lit, dans ses draps, son corps tout chaud contre le mien. Je ne dormais pas à chaque fois avec les filles avec qui je faisais l’amour, surtout si on savait tout les deux que ce n’était l’histoire que d’une nuit. A quoi bon partager un lit si on n’allait jamais se revoir ? Mais curieusement, j’étais resté dans celui d’Olivia alors que nous avions tous les deux que nous ne nous recroiserons sans doute jamais. Les rayons du soleil, venant du couloir dont la porte était restée ouverte toute la nuit, me réveillèrent en premier. La jeune brune était toujours couchée à mes côtés, sa main posée sur mon torse. Je souris et lui caressa les cheveux. Pourquoi ne pas profiter des dernières heures qu’on passerait ensemble ? Je pourrais partir à la découverte de sa cuisine et lui faire un petit-déjeuner. J’allais soulever sa main, pour pouvoir m’extraire des draps sans la réveiller, quand je remarquais un détail qui ne m’avait pas sauté aux yeux rien, sans doute à cause de la nuit, de la pénombre qui avait entouré notre rencontre. Une bague. Une alliance à son annulaire gauche. Mon inconnue de hier soir était mariée, et n’avait pas mentionné ce fait. Comment avait-elle pu ? Ce n’était pas rien ! Je me sentais traître, pensant au mari, peut-être parti en voyage, qui imaginait sa femme sagement endormie dans leur lit. Je me sentais sale, incapable de rester une seconde de plus dans ces draps, dans cette maison. Je mis pied à terre et me rhabillais aussi vite que possible, récupérant mes vêtements aux quatre coins de la pièce où je les avais lancés en me déshabillant hier soir. Je passais dans le couloir, un peu ébloui par la lumière qui y régnait. Juste avant de mettre la main sur la poignée de la porte d’entrée, j’aperçu un carnet de post-it. Je n’étais pas un salaud, je ne voulais pas qu’elle pense que j’étais parti comme un voleur parce que je collectionnais les filles d’une nuit. Saisissant un stylo, je traçais quelques mots sur un des papiers autocollants et le colla sur la porte d’entrée juste avant de la renfermer sur moi. « Je comprends maintenant pourquoi tu n’aimais pas parler de toi … mes amitiés à ton mari … S. »..

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Olivia & Sheldon « Un jeu de crétin ? Peut-être bien, mais c’était notre jeu ! - Jeux d'enfant »



La jeune femme sourit à la remarque de ce dernier. Les grandes villes n’étaient pas le truc d’Oli. Trop de monde, trop de gens, pas à l’aise. Ce qu’elle préférait, c’était les petites villes où tout le monde se connaissait sur le bout des doigts. Mais à Harvard le changement était radicale. Mais celle-ci savait s’adapter. « Ce genre de ville n’est pas faite pour moi. Je viens d’une toute petit ville donc les grands espace comme ça, je ne m’y sens pas à l’aise .... Trop de personnes, trop d’inconnus.... » Mais elle se stoppa. Comme ci, elle s’empêchait de continuer pour ne pas dévoiler sa vie un peu plus. C’était si facile de parler avec Sheldon, et s’en était presque troublant d’ailleurs. Pour se changer les idées, elle bu une gorgée de Guinness. La bière enlève bien des soucis quelque fois. La question des villes n’étaient que secondaires. Olivia se plaisait bien à Harvard, mais de là à y rester, ce n’était peut-être pas la même chose. Cette dernière avait bien envie mais elle verrait ce que l’avenir lui réserve. On ne connait pas son avenir. Les études, sacrées débats, non ? Le jeune homme était encore à l’université, mais quel âge avait – il ? De toute façon, il ne pouvait être que majeur car à l’université, il faut un minimum, enfin sauf quand on a son BAC à 14 ans, mais ça, en général, on le voit. Sheldon n’avait pas l’air d’un adolescent, c’est surement ce qui lui avait plus chez lui. Ce dernier faisait mature et bien dans sa peau. Les hommes, les vrais, voilà ce qu’elle aimait et ce qui l’attirée. « Et bien, on a deux ans d’écart alors .... Pourtant, j’ai fini mes études il y a quelque temps déjà. » Dit – elle en souriant de plus belle. Le jeune homme était marrant, son côté enfantin l’amusait beaucoup. C’est le genre de chose qui détend et met de l’ambiance lors d’une soirée. « Qu’envisages tu de faire, une fois tes études terminées ? Ouvrir ta société ou quelque chose de complètement différent ? » Olivia aimait les hommes ambitieux, l’était – il ?C’est ce qu’on allait voir immédiatement. L’âge d’Olivia n’était pas un problème pour elle et son travail encore moins. C’est les seules choses dont elle arrivait à parler sans trop de tabous. A présent, son entreprise marchait plutôt bien. Mais elle avait tout changé depuis sa fuite de Détroit .... Personne ne devait la reconnaitre. Même son nom et prénom n’était plus les mêmes ... Une fausse identité était sacrément dure à porter. « Rassure toi, ça ne me gêne pas. Tu peux demander. Je suis architecte. Donc j’ai créé une entreprise de construction sur mesure pour les gens qui ont des projets. C’est mon concept pour résumer la chose. Mon entreprise est en plein centre ville. » La connaissait-il ? Oli’ attendait de voir ce qu’il avait à dire avant d’aller plus loin ....

*** FIN DE SOIREE ***

Olivia avait prit les devant, celle-ci aimait faire montrer les hommes en tension. C’était ce qu’il y avait de plus excitant pour une femme. Voir ce que les hommes peuvent montrer. Sheldon ne montrait pas son désir, enfin pas comme les autres. C’est seulement dans son regard qu’elle avait pu le voir. En voyant ça, cette dernière décida de jouer. Se faire désirer encore plus, pour ça, il fallait qu’il voit son corps, qu’il la voit le dominer, qu’il puisse se rendre compte qu’elle n’attendait qu’une chose, LUI ! C’était ça que les hommes aimait, c’était sentir qu’il était les esclaves avant de reprendre les reines et d’être les maitres. Voilà et c’est ce qu’elle avait provoqué chez Sheldon. Ce dernier n’avait rien vu, Olivia était très forte à ce petit jeu. C’est ce qu’elle préférait d’ailleurs dans les préliminaires. Cette tension, ce jeu, cette ambiance torride qu’on ne peut contrôler. Avec Sheldon c’était le cas et son envie montait de plus en plus lorsqu’elle sentait ses mains sur son corps. Lorsqu’il la regarda, c’est à ce moment là, qu’elle lui lança le signal. Il ne se fit pas prier. Il la fit basculer à son tour tout en lui ôtant sa lingerie. Sentant ses mains de plus en plus expressive, la jeune femme en pu s’empêcher d’agripper son dos. C’était preuve qu’elle le désirait bien plus encore. Sheldon était décalé, pas complètement sur elle. Sentir ses mains lui donné envie d’exploser. Olivia ôta le bouton du Jean’s de Sheldon tout en défaisant sa braguette. Celle-ci passa la main son caleçon doucement. La tension et le désir se faisait de plus en plus fort ....

*** LE LENDEMAIN ***

Se retrouver seule le lendemain d’une telle nuit .... Cela peut provoquer quelque chose de triste, non ? Et bien chez Olivia ce fut tout le contraire. La jeune femme était presque en colère et se sentait trahit. Pourquoi une telle réaction ? Passer la nuit avec un inconnu, ce n’était pas le problème, mais CETTE nuit, si ! En le faisant entrer chez lui, elle sentait bien qu’il avait ce truc, quelque chose de plus que les autres. C’était d’ailleurs le seul à être entré chez elle. Jamais, non jamais une seule fois elle n’avait fait entrer un homme dans sa maison, dans sa vie, bref, jamais elle ne s’était senti aussi proche de quelqu’un depuis des années. Depuis qu’elle avait connu Tom, son mari, elle n’avait jamais eu un lien si fort avec quelqu’un. Lorsqu’il avait fait l’amour, c’était bien le terme, ce n’était pas bestial, pas juste pour du sexe, quelque chose de plus à ce moment là c’était passé. A un moment, il était au dessus d’elle, il avait balayé de sa main les cheveux qui lui cachait le visage, un geste plein de tendresse que normalement seul un couple ou deux personnes près proches peuvent avoir. Pour tous les deux, ce n’était pas le cas. Ils n’étaient rien de plus que deux inconnus et pire, deux inconnus qui s’étaient attachés à quelque chose. Avaient – ils besoin de tendresse ? Avaient – ils besoin de compagnie ? Avaient – ils besoin d’amour ? Olivia n’en savait rien. Tout ce qu’elle savait, c’est qu’après avoir fait l’amour, elle avait eu cette envie de se blottir dans ses bras, elle s’y sentait bien et en sécurité. C’était bien la première fois de sa vie qu’un homme lui donnait cette sensation.En s’endormant dans ses bras, elle lui avait donné l’opportunité d’entrer dans sa maison, dans sa vie et pire .... Dans son coeur. C’était vraiment le pire. Tout ce qu’elle ne voulait pas c’était s’attacher à quelqu’un et encore moins à un homme. Mais avec Sheldon c’était vraiment différent. C’est comme ci, elle se sentait bien et elle même quand elle était avec. Se réveillant et ne trouvant personne .... Olivia ni comprit absolument rien. Il était comme tous ces hommes, le sexe pour le sexe. C’était donc une illusion hier soir, et elle s’était fait avoir en beauté ! Le jeune femme prit sa robe de chambre en soie et descendit. La jeune femme ne trouva personne en bas, il était vraiment parti. Mais elle vit ce bout de papier jaune sur sa porte accroché là ... « Je comprends maintenant pourquoi tu n’aimais pas parler de toi … mes amitiés à ton mari … S. » Voilà ce qu’elle venait de lire. Regardant sa main, elle comprit. Mais pourquoi gardait-elle cette maudite bague ? Elle s’en moquait de Tom et de son passé. Elle l’a retira et la jeta dans le couloir. Si il avait mit ce mot, c’est qu’il avait été touché lui aussi. Olivia comptait – elle finalement pour lui ?
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« Ce genre de ville n’est pas faite pour moi. Je viens d’une toute petit ville donc les grands espace comme ça, je ne m’y sens pas à l’aise .... Trop de personnes, trop d’inconnus.... » Elle s’arrêta de parler presque en plein milieu de sa réflexion, comme si encore une fois, elle ne voulait pas dévoiler trop de choses sur sa vie privée. Encore une fois, je ne m’en formalisais pas. Je restais un inconnu pour elle, et elle était en droit de ne pas me confier toutes les anecdotes existantes sur elle. Revenant sur le sujet de notre conversation, les grandes et les petites villes. Je n’avais jamais vraiment mis les pieds dans les petites villes de province, et je ne savais pas si je m’y sentirais à aise. J’appréciais le fait de pouvoir aller faire des courses à n’importe quelle heure du jour et de la nuit, de pouvoir laisser sa voiture devant son appartement et de se déplacer en bus et en métro, de toujours trouver quelque chose à faire quand le temps était gris et pluvieux. Car s’était connu, il y avait moins de distractions dans les villes de campagne. « Mais qui dit petite ville, dit aussi moins de moyens de faire de nouvelles rencontres … » Je lui appris ensuite mon âge. « Et bien, on a deux ans d’écart alors .... Pourtant, j’ai fini mes études il y a quelque temps déjà. » Je fis rapidement le calcul dans ma tête, elle allait sur ses vingt-six ans. Qu’elle soit plus âgée ne me posait pas vraiment de problèmes tant qu’elle n’était pas une couguar de plus de trente cinq ans, blasée par son mari qui cherchait de nouvelles expériences auprès de jeunes étudiants fascinés par le fait qu’elle en savait tant sur la vie. « Eh bien, tu pourrais facilement passer pour un étudiante en tout cas. » Je bus une nouvelle gorgée de bière. « Qu’envisages tu de faire, une fois tes études terminées ? Ouvrir ta société ou quelque chose de complètement différent ? » Ce n’était pas une question piège, mais je pris presque une minute à réfléchir avant de répondre. Parce qu’en réalité, je n’y avais jamais vraiment réfléchi. Etre étudiant avait un côté rassurant : à part avoir des bonnes notes, il n’y avait aucune responsabilité. Aucun choix à faire. Dans un an, j’allais devoir entrer dans le monde des adultes, ceux des travailleurs. « Soit trouver une boîte qui embaucherait un jeune informaticien, soit rester à l’université, devenir assistant d’un des professeurs de maths, puis prof dans quelques années. Je n’ai pas encore fait mon choix final … » J’haussais les épaules, oui, c’étaient certainement les deux choix les plus logiques au vu des mes études. Rendez-vous dans un an pour voir la réponse finale. Je lui demandais ensuite ce qu’elle faisait dans la vie, espérant ne pas la mettre mal à l’aise. « Rassure toi, ça ne me gêne pas. Tu peux demander. Je suis architecte. Donc j’ai créé une entreprise de construction sur mesure pour les gens qui ont des projets. C’est mon concept pour résumer la chose. Mon entreprise est en plein centre ville. » Je ne connaissais pas son entreprise, tout simplement parce que je n’avais jamais eu à m’intéresser à l’architecture. Mais j’admirais le fait qu’une jeune femme de vingt-ans avait déjà sa propre boîte. Elle m’impressionnait, vraiment. « En gros, tu es plutôt un bon parti c’est ça ? »

Pendant que j’embrassais sa peau à la lisière de son soutien-gorge, je sentis ses mains se poser dans mon dos, s’y accrocher presque. Si Olivia avait des ongles, elle m’aurait sans doute presque griffé. Je fis glisser les bretelles de son haut un peu plus bas le long de ses épaules, découvrant complètement sa poitrine. Mais alors que j’avais glisser plus bas, pour pouvoir poser ma bouche sur cette partie d’elle nouvellement découverte, je sentis l’une de ses faire faire sauter le bouton de mon jean, puis en descendre la braguette, mettant à découvert mon caleçon. Sur lequel elle posa sa main, commençant à me caresser. Une vague de plaisir m’envahit, me laissait quelques secondes incapable de bouger, presque statufié. Puis je repris mes esprit, et j’emprisonnais ses lèvres entre les miennes, avec un peu de violence, avant de glisser vers le bas, me mettant hors d’atteinte de ses caresses. Je posais d’abord l’une de mes mains sur l’un de ses seins à présent découvert, jouant avec son téton du bout de mes doigts, avant de me pencher davantage vers elle, et d’y poser ma bouche. J'avais posé mes bras de chaque côté de ses hanches, pour pouvoir la maintenir en position couchée si jamais elle tentait de se relever.

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Olivia & Sheldon « Un jeu de crétin ? Peut-être bien, mais c’était notre jeu ! - Jeux d'enfant »



La discussion était tournée vers les villes, grandes et petites. La jeune femme avait grandi dans une petit ville et n’aimait pas vraiment les grosses villes. Détroit était l’une d’elle et ce n’était pas vraiment sa tasse de thé. Harvard, l’était aussi mais dans un style différent. Oli’ appréciait cette ville mais moins que sa Mc Comb natale. C’était certain ! Bien sur que les grandes villes avaient leur avantages, il fallait être lucide. C’était super de pouvoir faire ce que vous voulez à n’importe quelle heure du jour ou de la nuit, d’avoir des taxis, métros, et bus pour vous transportez d’un point A à un point B. C’est ce qu’il y a de mieux au monde. Et pourtant, Miss Walker était loin d’en être fan ! Ce qu’elle préférait avant tout, c’était les dimanche pluvieux en famille à se raconter les histoires de différentes générations, les barbecues entre voisins où tout le monde se connait, les supermarchés ou la caissière connait vos parents depuis toujours et sait tout de vous, les commerçant qui vous arrêtent dans la rues pour prendre de vos nouvelles en se rappelant des souvenirs de vous enfants. Rien n’était mieux que ça pour Oli’. « C’est certain, à Mc Comb, tout le monde connait tout le monde. Alors qu’ici, à coup sur, je ne connais personne ! » Dit-elle en souriant. L’âge était la suite de leur longue conversation autour d’une bière. C’est mauvais de boire trop ... Après, on parle souvent trop aussi. Mais Olivia n’avait pas trop peur ce soir. Lorsqu’il lui dit qu’elle pourrait être une étudiante, celui la fit rire. « Flatteur va ! Mais bon, ça me va, on dirait que les soirées étudiantes sont surement les meilleures, tu n’es pas de cet avis ? » Dit-elle en lui faisant un clin d’oeil. Les soirées étudiantes étaient souvent très arrosées et mouvementées. On ne s’y ennuyait jamais ! La question du travail arrivait. Olivia aimait poser ce genre de questions. C’est souvent grâce à elles qu’on pouvait voir la motivation et l’ambition des personnes qu’on avait en face de nous. A la réponse du jeune homme, Olivia comprit que gérer une société serait surement trop pour lui. Après, ce n’était pas donner à tout le monde. Le métier de professeur est une belle chose. Il faut la patience d’apprendre. Olivia en serait incapable ... C’était trop pour elle. A chacun ses défauts. « Il faut une sacré patience pour enseigner. Je te souhaite du courage et de la réussite. La vie est faite pour réalisé ses rêves, pas juste pour les attendre ! » C’était son diction. Il fallait tout faire pour réaliser ce dont on rêve chaque jour. Il posa ensuite la question à Oli. Cette dernière lui expliqua ce qu’elle faisait dans la vie. Ce dernier avait l’air impressionné. Pourquoi ? Ce n’était rien. Oli’ avait juste suivit son père, mais au final, cette dernière s’en était complètement détachée. Un bon parti ? Pourquoi une jeune femme ayant sa propre boite, est forcément un bon parti ? Bizarrement cette remarque la fit de nouveau rire. Sheldon était vraiment très drôle. Buvant une gorgée de son verre de Guinness avant de répondre .... « A toi de voir ce que je suis .... » Dit-elle d’un ton assez détachée.

*** FIN DE SOIREE ***

Olivia sentait les doigts de Sheldon sur son corps. Il l’a couvrait de baisers, de tendre baisers. Il faisait d’elle une fille exceptionnelle, comme ci il n’avait d’yeux que pour elle. Mais lorsqu’elle passa la main sur son caleçon .... Elle senti que c’était vraiment, ce n’était pas du cinéma, Sheldon ressentait du plaisir et pas que ça. Ce qu’ils se passaient à cet instant n’était pas que du sexe pour du sexe. C’était une façon différente de d’habitude. Pour la première fois depuis des années, elle faisait l’amour avec un homme. Juste l’amour avec de la tendresse, de la complicité et du bien être, rien de plus. Ce n’était jamais arrivé à Olivia, à part avec son mari, du moins au début. Mais là, ça la troublait, le plaisir intense qu’elle ressentait, elle ne pouvait pas l’évoquer. Pourtant, elle avait juste envie de hurler, hurler parce qu’elle se sentait bien et qu’elle aimait ce qu’elle ressentait, ce que Sheldon lui provoquait. Ce plaisir, pas n’importe lequel. Lorsqu’on ressent du plaisir, la personne qui vus le provoque est souvent spéciale. Il y a différent plaisir. D’ailleurs, en philosophie, le plaisir est souvent associé au plaisir sexuel. A cet instant c’était le cas pour Olivia, du moins leur cas. Sheldon l’avait bloqué pour ne plus qu’elle puisse se dégager. De toute façon, elle n’en avait aucune envie. Une fois leur vêtement enlevés .... Sheldon plongea son regard dans le sien, un moment intense. Il l’a pénétra doucement ... Faisant un mouvement de balancier. Ce dernier ne lâchait pas Oli’ du regard. La jeune femme serra fort le dos de ce dernier, le plaisir montait de plus en plus. Sheldon faisait durer le plaisir et il était très doué ...

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✖ Olivia & Sheldon✖
« just a drink right ? »

« C’est certain, à Mc Comb, tout le monde connait tout le monde. Alors qu’ici, à coup sur, je ne connais personne ! » Je notais dans un coin de ma tête qu’elle venait de me dire le nom de sa ville d’origine, un indice sur son passé, que je n’étais pas forcément sûr d’utiliser. Tout dépendra de la suite de la soirée en réalité. Peut-être avait-elle glissé cette partie d’elle intentionnellement, peut-être par mégarde en buvant un peu trop. Mais je ne pus m’empêcher de la taquiner un peu. « Tu me connais moi maintenant. » Je lui fis un petit sourire. Je lui fis remarquer que même si elle avait terminé ses études, elle aurait sans soucis pu se faire passer pour une étudiante. « Flatteur va ! Mais bon, ça me va, on dirait que les soirées étudiantes sont surement les meilleures, tu n’es pas de cet avis ? » Je ne l’avais pas flattée que pour la forme, je le pensais réellement. Elle ne semblait vraiment pas plus âgée que je l’étais. Elle évoqua les soirées étudiants, j’en avais fréquenté pas mal depuis que j’avais mis les pieds à l’université, m’en servant essentiellement pour sortir avec des filles, plus ou moins à la recherche de cette perle rare que je n’avais pourtant pas encore trouvée. Je ne faisais jamais partie des étudiants ivres morts qui n’arrivaient plus à quitter le sol, je faisais partie de ceux qui maitrisaient leurs consommation, et qui finissaient juste désinhibés. « Les soirées étudiantes finissent toujours en apothéose, tu es bien renseignée. Dommage qu’elles soient terminées pour le moment, j’aurai pu t’y emmener si tu avais voulu … » Je ne pouvais m’empêcher d’essayer de la charmer, alors qu’encore une fois, je n’avais rien prévu en venant ici ce soir, surtout pas de ramener une fille avec moi, ou de passer chez elle. Mais je me prenais à son jeu, car je sentais qu’au fond, elle aussi avait envie de s’amuser. Elle me posa des questions sur mon futur, je restais évasif car pour moi, rien n’était encore définitif. Le côté enseignant l’interpella d’avantage. « Il faut une sacré patience pour enseigner. Je te souhaite du courage et de la réussite. La vie est faite pour réaliser ses rêves, pas juste pour les attendre ! » Je haussais les épaules, il fallait de la patience surtout pour les petites classes, mais ce n’était pas à ce type d’élève que je me destinais si je franchissais le pas. « Je ne suis pas sûr de me tourner vers l’enseignement comme dit. Je verrai courant d’année je pense. Mais va savoir pourquoi, je pense que c’est un métier qui pourrait me convenir. » J’évoquais ensuite le fait que comme elle avait sa propre entreprise à 26 ans à peine faisait d’elle un bon parti. Je connaissais peu de femmes qui avaient aussi bien réussi à son âge. « A toi de voir ce que je suis .... » Je pris ces quelques mots comme une invitation, à plus apprendre à la connaître, à lui poser plus de question, et même à passer une partie de la soirée en sa compagnie. En réponse, je levais mon verre vers elle, façon de trinquer, et but une gorgée.

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Olivia & Sheldon « Un jeu de crétin ? Peut-être bien, mais c’était notre jeu ! - Jeux d'enfant »



Olivia venait de dire à un inconnu d’où elle venait. Au final, cette dernière parlait d’elle. C’était peut-être un peu trop ... Olivia ne devait pas faire ça. Son passé ne devait plus être dans son présent. Autrefois, elle inventait carrément une toute autre vie, alors que ce soit, c’était sorti tout naturellement. Peut-être un peu trop ... Pourtant cette dernière n’était pas proche de lui, il ne la connaissait pas et vis versa. Mais finalement, c’était peut-être vrai ce dicton qui disait que c’était plus facile de se confier à un inconnu plutôt qu’à quelqu’un de proche de vous. Le jeune homme était très doué pour faire tourner la discussion en ridicule. Et bien oui, à Cambridge, elle ne connaissait personne .... Du moins, maintenant, elle connaissait Sheldon. Et quelle rencontre bizarre, non ? « Est-ce une chance pour moi alors ? » Dit-elle en souriant de plus belle. Et oui, une chance ou un malheur, seul lui allait lui dire ! Les soirées étudiantes. Quelle belle époque pour la jeune femme. Ca avait été la meilleure période de sa jeunesse. Non pas qu’elle soit vieille maintenant, mais elle avait adoré cette période de sa vie. les soirées étudiantes étaient toujours très rythmées. En général, les garçons buvaient et draguaient tout ce qu’il pouvait et les filles attendaient sagement que les garçons viennent vers elle. Olivia n’avait jamais été de ce côté là. C’était plutôt la jeune femme qui s’éclatait à fond tout en gardant ses esprits et elle savait toujours ce qu’elle faisait. D’ailleurs, ce n’était pas n’importe qui, qui avait le droit de finir la soirée avec elle. Olivia était très exigeante ! Si elle avait croisé Sheldon à l’une de ses soirées, elle aurait sans doute fini la soirée avec lui. « Un retour dans le passé, pourquoi pas. Ca aurait été volontiers. Dommage qu’elles soient fini ces soirées ... » Dit-elle avec un ton de regrets. La demoiselle rentrait dans son jeu. C’était amusant de voir la réaction du jeune homme. Il voulait simplement la charmer, et Olivia lui faisait croire qu’il avait ce pouvoir. A lui de voir si il serait assez intelligent pour le garder et le posséder vraiment ! Tous les deux avaient envie de s’amuser, alors autant se tenir compagnie, non ? La discussion tourna vers l’avenir et le travail. C’était déjà assez chiant de se lever tous les matins alors en plus d’en parler ... La jeune femme faisait ça pour faire la conversation. En réalité, elle ne pouvait pas s’empêcher de tester et d’analyser tout ceux à qui elle parlait. C’était plus fort qu’elle. La jeune femme était tellement habituée à le faire à longueur de journée, qu’elle le faisait tout le temps au final ! « Si tu sens que ce métier est fait pour toi, il ne faut pas hésiter. Tu es jeune, tu as bien le temps de voir ce que tu veux faire. Et puis la FAC c’est plus sympa que le boulot. Tu as moins de contraintes. » Lui dit-elle en souriant une fois de plus. Il leva ensuite son verre suite à sa réponse. Il avait surement du comprendre ou voulait en venir Olivia. La jeune femme fit de même et bu un gorgée de ce dernier. A force de parler, ça donne soif ....

*** FIN DE SOIREE ***

Tout ce qu’il se passait à cet instant était assez rare pour Olivia. Depuis son mariage, jamais elle n’avait fait l’amour ainsi. En réalité, avec Sheldon, c’était tendre et passionné en même temps. Alors qu’avec les autres en général, c’était plutôt animal et rien d’autres. Pas de blabla, pas de sentiments, pas de paroles, rien .... En faite, à chaque fois, la jeune femme couchait avec eux et les foutait dehors. Mais avec Sheldon, elle savait, à ce moment là que c’était différent. La jeune femme voyait dans son regard l’envie qu’il avait de l’embrasser, de lui faire plaisir, de la faire se sentir bien. Avec aucun autre ce n’était comme ça. Et ce soir, elle se sentait mieux que jamais. Le fait qu’il soit là, avec elle, lui provoquait un plaisir immense. Le début de la soirée avait été riche en confidences et la fin de la soirée s’annonçait rien en émotions. Lorsqu’il se mit sur elle, s’immisçant doucement en elle en faisant des va et vient .... Olivia senti le plaisir monter encore plus. La jeune femme le montrait en agrippant le dos du jeune homme et en contractant ses muscles. Celui ci pouvait le sentir .... Olivia montait en température plus le temps passait. D’ailleurs, à cet instant là, Sheldon l’embrassa tendrement. Plus l’effet passait, plus ce baiser devenait intense. C’était toujours à ce moment là que la jeune femme se sentait montait en température. Mais ce soir c’était différent. Oli’ n’avait pas envie que ça s’arrête. Après un long moment .... L’acte prit fin. Sheldon était au dessus d’elle, il regardait Olivia dans les yeux. Cette dernière déposa un baiser sur ses lèvres reposant ensuite sa tête sur l’oreiller.... Olivia n’osait pas parler. C’était bien la première fois. En réalité, elle n’avait pas envie qu’il s’en aille. « Tu as peut-être faim ? »Lui chuchota t-elle à l’oreille. Le jeune homme avait peut-être d’autre projets finalement ....
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