Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibility(flashback) JACOBS ♡ Ce n'est pas seulement un diner entre amis... n'est ce pas ? - Page 2
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(flashback) JACOBS ♡ Ce n'est pas seulement un diner entre amis... n'est ce pas ?

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Je me sentais mal. Une chose était sûre, Jacobs m'aimait. Mais moi dans tout ça? Qu'est ce que je ressentais ? Je l'appréciais, j'adorais passer du temps avec lui, j'adorais aussi l'embrasser chaudement comme je m'amusais à le faire à l'instant t. Il était beau, riche, il m'aimait, il avait tout pour s'occuper de moi, mais aussi s'occuper de « lui », s'il m'acceptait. Je devais profiter de ça au moins, saisir le bonheur avec un peu d'argent, c'était ce que je voulais. Mais il me stoppa, ce qui me surpris vu que nous étions bien partis pour nous amuser. Je fis une petite grimace, un peu perdue, je me laissais entrainer jusqu'à sa chambre. J'avais complètement envie de lui, peut-être parce que j'étais enceinte et que de savoir que dans quelques mois j'allais faire ceinture. Je n'en savais trop rien mais j'essayais de reprendre mon calme. Une fois dans la chambre, il partit à la recherche de mon « cadeau » tout en me proposant de m'asseoir en attendant. Je m'asseyais sur le bord de son lit, enlevant mes chaussures pour m'asseoir à genoux sur le lit. Je pris l'écrin qu'il me tendit et je me mis à sourire en voyant le joli bracelet qu'il m'offrait. Il venait de m'offrir un joli bijou, c'était vraiment magnifique. Je mis alors le bracelet à mon poignée droit avant de me jeter dans ses bras. Merci beaucoup, Jacobs. C'est vraiment magnifique. Je le serrais fort contre moi avant de reculer mon visage, posant ma main sur sa joue pour le regarder tendrement. Il m'avait offert son coeur, il m'offrait un bijou, et à présent, qu'allait-il m'offrir ? Sérieusement, je me sentais heureuse et honorée qu'il soit aussi gentil avec moi.

Et dans un élan de tendresse, j'approchais mon visage du sien pour l'embrasser tendrement. L'envie de lui faire l'amour était restée présente. J'avais envie de lui, en m'offrant son coeur il me donnait envie de lui, de sa présence encore plus qu'avant. Lorsque je décollais mes lèvres des siennes, il me manquait déjà. J'ai envie de toi... mon jacobs... Je l'embrassais et cette fois-ci je me mettais à califourchon sur ces cuisses pour l'embrasser encore plus chaleureusement alors que je lui enlevais ses vêtements petit à petit, pour le retrouver torse nu. Je ne l'avais jamais vu, jamais touché, et croyez moi que de le voir ainsi, de toucher son torse ça me rendait folle. Je pris soudainement son visage entre mes mains en le tenant fermement, l'obligeant à me regarder dans les yeux. Promets moi que quoi qu'il arrive, quoi qu'il se passe et que tu apprennes de moi, saches que je serais toujours la même pour toi. Que je serais l'une de tes meilleures amies, malgré ce que je suis et ce que je vais devenir. Je savais où je voulais en venir moi, je savais que je parlais de ma grossesse. Mais pas maintenant, je pouvais pas lui dire, je voulais sentir Jacobs avec moi et même plus que ça. Je l'embrassais encore une fois. Fais moi l'amour, Jacobs. Fais moi l'amour, mon beau. Un énième baiser sur ses lèvres avant de m'écarter de lui pour retirer ma robe et me retrouver en sous-vêtement sous les yeux de mon ami. Je retirais mon soutien-gorge, mon bas et à présent nue, je lui offrais mon corps. Je posais une main sur mon ventre, sentant la présence de mon enfant, mais j'essayais de l'oublier, j'avais besoin d'un peu de bonheur moi aussi. Pour l'amour que tu me portes. A présent nue, je m'approchais de lui. Je voulais sentir l'amour d'une personne, je voulais me sentir aimée, c'est tout.
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Le présent semblait lui plaire, ce qui me fit chaud au cœur. J'espérai toutefois que ses paroles fussent sincères et non teintées d'hypocrisie. J'en doutais fort à la connaissance de Teodora. La belle se leva et me regarda avec une tendresse qui me déstabilisa un peu : j'étais encore étranger aux sentiments amoureux. Même si malheureusement, avec ma chance légendaire elle risquait d'aimer un autre. Je songeai tout en sentant son corps contre le miens juste pour le temps d'une accolade. Que c'était agréable ! Tout autant que de savoir le bracelet à son bras, qui lui seyait si bien d'ailleurs. Un mince sourire naquit sur mes lèvres, mais vite effacé par les siennes s'y collant : quel délice ! Cependant ; le contact se rompu pour être remplacé par une phrase tout aussi plaisante qui me chamboula l'esprit. Je l'avais bien senti qu'elle avait envie de moi, dans la cage d'escalier comme dans le couloir, mais je devais avouer que de l'entendre est bien plus agréable. J'aurais voulu répondre quelque chose, mais toute réponse me semblait bien trop fade pour suffire. J'aurais souhaité qu'elle sache qu'il n'y avait rien en ce monde qui m'obsédait le plus, mais je ne savais comment le tourner correctement.

Je n'eus nullement le temps de penser plus qu'elle se mettait à califourchon sur moi, m'embrassant avec fougue. La splendide me défit de ma chemise qui d'ailleurs commençait à se faire inutile. Dès que mes mains se dirigèrent vers sa robe, ses mains emprisonnèrent mon visage, me forçant à la regarder dans les yeux. Pile poil au moment où j'envisageai de découvrir un peu plus son corps. Ses paroles me paressèrent étranges, et je ne parvenais à les comprendre totalement. Que pouvais-je apprendre sur sa personne risquant de me dissuader de la revoir ? Et que va-t-elle devenir ? J'avais beau songer à toutes les possibilités plausibles, aucune ne seyant à merveille à la situation. Je restais muet suite à cela, et décourager à l'entente de meilleure amie. Me considérait-elle donc comme un simple ami ? Déçu je soupirai.

« Tu sais, je crois qu'au point où j'en suis, le nombre de chose que j'ai faite, je ne vais pas te rejeter pour une facette de toi. »

La suite se déroula à une telle vitesse que je n'eus aucunement le temps de me rendre compte qu'elle se déshabillait à présent, m'offrant alors quelques parcelles de sa silhouette. Rien qu'à la vue d'un tel corps, je frissonnais déjà, et imaginais les différentes choses que je pourrais faire lorsqu'il sera proche de moi. J'en profitais alors pour me dévêtir complètement, rapidement imité par ma partenaire. Cependant je fus surpris lorsqu'elle porta ses mains à son ventre. Les informations fusaient au sein de mon esprit, entre sa abstinence d'alcool, son discours des plus étrange et ce geste final. Je n'osais guère songer à la seule hypothèse qui me taraudait. Serait-elle... en... Non, je ne pouvais penser à ce mot, c'était tout à fait impossible. Même si, moi-même j'avais un secret assez incongru - qui aurait cru que je serais vierge à vingt-deux ans ? - pourquoi ne posséderait-elle pas le sien ?

D'un mouvement de tête, je chassais toute hypothèse désuette pour me concentrer sur une Teodora plus attirante que jamais. Je la couchais sur le lit, me mettant au dessus. Pour ma part, je n'aurais nullement deviner vouloir garder une position de supériorité dans ce domaine, mais je continuai mon activité. Nos langues se mêlèrent, mes émotions se troublèrent dans un ballet déchainé. J'aurais pu en trembler tant j'avais de la peur teintée d'envie : ma première fois. Je n'osais lui avouer, la situation risquerait de changer. Peut être partirait-elle aussi sec, se moquant éperdument de moi ? J'envisageai tout en massant tout en douceur ses seins ronds et fermes. Pour avoir déjà caressés ceux d'une mannequin, je préfère d'avantage ceux d'une femme moins osseuse tout en restant mince. Toutes ses sensations m'envahissant me rendirent presque fou, fou d'amour ?

« Tout l'amour que je te portes ? J'aurais souhaité qu'il soit réciproque, mais peu importe. »

Ma bouche descendait sur sa nuque qui était tout aussi enviable que n'importe quelle merveille du monde. J'embrassais désormais sa poitrine, moment encore plus délicieux. J'espérai que rien ne se termine, que ces instants soient infinis. Alors que l'une de mes mains s'aventurait un peu plus bas, je bloquais au niveau de son ventre plat. Etait-elle véritablement enceinte ? Cette perspective me terrifiait : n'était-il pas dangereux pour le développement de l'enfant que de faire de telles choses ? J'hésitais presque à lui demander. Je songeai alors à une autre tactique pour laquelle je risquais gros.

« Si je te disais que je suis toujours puceau, tu me dirais ce qui te tracasse ? »

thekillingmoon
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Je voulais le prévenir de mon futur. Je n'étais destiné qu'à un seul homme, et malheureusement, pour lui et peut-être pour moi qui l'appréciait énormément. J'essayais de lui faire comprendre que je le préparais à une nouvelle qui risquait de le foudroyer. Mais je ne voulais pas presser les choses, ma grossesse, mais aussi mes fiançailles qui avaient peut-être une chance d'être terminé. Je me concentrais sur le moment présent, l'embrasser, le caresser, toutes ses envies en moi se bousculaient pour se faire, pour assouvir ces envies. Je me sentis rougir lorsqu'il m'allongeait sur le lit, je profitais de ses lèvres, j'entourais ses jambes ou je caressais ses mollets doucement. Je me sentais toute chose lorsqu'il vint à s'attaquer à ma poitrine, la douceur de ses mains me faisait du bien. Je me montrais plus vigoureuse et passionnée pendant que nous mêlions nos langues et que nos lèvres se caressaient. Il me fit par de la tristesse que ce ne soit pas réciproque. Ce n'était pas ça, je l'aimais beaucoup mais... je ne pouvais pas lui promettre ma main, mon cœur, car je ne savais pas si je pouvais me le permettre. Je souris. je t'aime assez pour te rendre heureux ce soir. Mais je me taisais lorsqu'il continuait à torturer ma peau de sa douceur et de son amour. Je fis quelques râles pendant qu'il s'amusait avec ma poitrine. Je frémissais en sentant sa main, pensant qu'il irait me faire « plaisir », mais il resta sur mon ventre. Je fus un peu déroutée, étant enceinte, ça me perturbait qu'il reste sur cette partie de mon corps. C'est alors qu'il m'annonça quelque chose, en plein acte, alors que je m'attendais à ce que nous commencions à faire l'amour. Il m'annonçait être vierge, lui, vierge ? J'avais tellement de mal à le croire. Il brisait des cœurs, je pensais qu'il avait déjà volé la virginité de jeunes filles. Mais non... je pris son visage entre mes mains, déposant un doux baiser sur ses lèvres et l'incitait à remonter vers moi. je vois que je me trahis toute seule... Je ris. Je l'embrassais encore, et encore, ça me faisait du bien. Je renversais la situation pour me retrouver à califourchon sur lui. Ce n'est pas grave...si tu es puceau. Il fallait me le dire, je ne voulais pas te forcer à faire ça avec moi. Tu dois le faire avec quelqu'un qui te rendra heureux et ce n'est pas mon cas. Je suis incapable de te rendre l'amour que tu me portes. Je tapotais sa peau, cherchant mes mots pour lui annoncer ce que j'allais lui dire. Je voulais tout dire avant le laisser de s'exprimer. Si je suis un peu troublée, différente, c'est parce que... je suis fiancé à un homme qui n'est pas amoureux de moi. J'adore cette personne mais je veux qu'il soit avec la personne qu'il aime, on essaye d'arrêter le mariage, mais...je fais partie d'une famille de mafieux... la sienne aussi. Les crimes, le trafic... c'est ce qui m'entoure depuis toute mon enfance. Et arrêter un mariage comme ça... c'est signé la guerre ouverte et se préparer à un bain de sang, c'est tellement...délicat. Je commençais à peine à lui faire le récit de ma vie, de ce qui me tourmentait depuis des mois. Je prenais une profonde inspiration. Sauf que le mariage est devenu plus compliqué à annuler. J'ai couché avec Romane, et... je suis tombée enceinte de lui. J'ai mis trop de temps à lire la lettre, pensant être malade, ça me faisait peur. Et malgré tout ça... on va essayer d'annuler le mariage, pour le bonheur de tous. J'étais triste, il allait sûrement me repousser à présent. Je me résignais. Je suppose que je te dégoute, et que l'idée de me toucher te répugne ? Je ne veux pas t'embêter plus que ça maintenant... Je quittais le lit, attrapant ma robe, je voulais prendre une bouffée d'air frais. Je la remettais à l'endroit, espérant que les choses s'arrangent mais comment imaginer ça avec un bébé qui attendait encore 7 mois pour pointer le bout de son nez.
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Teodora renversa la situation, si bien qu'elle se retrouva à califourchon sur ma personne. Après un petit baiser, je fus bien étonné de ses paroles. Comment pouvait-elle insinuer que j'agissais contre mon gré ? Depuis quelques semaines déjà, je me reprenais à rêver d'elle ! Des rêves dont il ne serait pas correct de parler en publique. Alors, si la première personne que j'ai aimé, et que j'aimerai ne deviendra pas celle qui me fera perdre ma virginité, je n'osai me demander qui s'occuperait de cela... À peine voulais-je m'exprimer que son adorable voix reprit le dessus : elle m'expliquait alors sa situation. J'étais impressionné par cette épopée, et chagriné : que cela devait être épuisant de vivre de tels moments ! Par la même manière, elle confirma mes doutes et craintes. Je tentais un regard sur son ventre, comme si cela rendait cette vérité bien plus concrète. La nuance de tristesse dans son timbre me fendait le cœur, et j'avais l'insistante envie de la prendre dans mes bras et de l'aider, même si je n'avais aucun moyen d'apaiser tout ceci. Dès qu'elle se leva tout en se saisissant de sa Jean Paul Gaultier, je dû avoué être surpris, si bien que j'haussais les sourcils. Que faisait-elle ? Ce fut à cet instant que ses dires me percutèrent en plein fouet. Moi ? Être répugné par elle ? J'étais horrifié rien qu'à cette perspective. J'étais amoureux d'elle - vérité qui est première pour ma part - et jamais je ne me lasserai de sa présence. Je parviens à me camper sur mes jambes, l'effet du vin me brouillant quelque peu les idées, et lui attrapa les avant-bras, prenant garde à ne pas la brusquer.

« Je suis navré d'avoir dit ça. J'aurais.. dû me taire... On n'en serait pas là... Et tu sais, je crois que le jour où tu me répugneras, je serais tombé complètement barge. Là, en ce moment, et même pour plus tard, tu es la personne que j'aime le plus, et la première. La personne avec qui j'aurais aimé ne plus être puceau, j'aurais aimé que ce soit toi. Si tu ne veux pas, c'est pas grave. »

Je marquais une pause afin de reprendre mon souffle. C'était peut-être à mon tour de me confier ?

« J'ai eu peur dès que je t'ai rencontré de te dire tout sur moi. Et comme tu l'as fait, je me lance. Ma mère était et l'est, folle. J'ai vécu avec ça toute mon enfance, j'ai cru en lisant un bouquin de psycho' que j'étais donc un génie. Chose absurde peut être. Dès que j'ai quitté Bristol, la misérable ville dans laquelle j'ai vécu jusqu'à mes 17 ans, j'étais fasciné par les Etats-Unis. Mais sans un dollar, en poche, j'ai dû faire quelques choses dont je ne suis que peu fier. J'ai arnaqué des femmes mariées assez riche, j'ai dealer, et ça, je le fais encore. Même si aujourd'hui je peux me permettre de toutes les folies inimaginables, je continue. Je ne sais pas pourquoi, j'ai peut-être peur de ne plus exister, car l'homme existe que lorsqu'il a une activité. Puis j'ai vu tes jolis cheveux blonds, ton sourire si charmant... Même chacun de tes mots me chamboulaient. J'ai arrêté tout, j'ai passé plusieurs de mes journées à penser. Encore heureux que je n'avais plus cours. On est devenu assez amis, mais je me gardais bien de tout d'avouer. Je n'avais jamais aimé personne avant toi, j'ai été une pourriture... Et j'en suis navré. Et j'ai toujours associé la virginité à l'amour, restant assez idéaliste malgré tout. Tu as le droit de me détester, de me foutre une claque si tu veux, je crois que je l'ai mérité. T'aurais dû passer ta soirée avec un type bien. »

Je ne savais pas si j'avais fait le bon choix. Allait-elle me haïr aussitôt ? Je le craignais comme la peste, si bien que je regardais le sol, pour la première fois que je n'affrontais pas directement dans les yeux... J'avais terriblement peur, aurais-je dû me taire ?

thekillingmoon
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Oui, il pouvait être répugné, après tout, je ne vivais pas dans un conte de fée, mais plutôt l'inverse. Même si la possibilité que le mariage ne se fasse pas était presque « sûre », j'avais encore du mal à m'y faire, et croire que c'était bientôt fini cette histoire entre Romane et moi. Mais il semblerait que je me trompe, que Jacobs ne se sente pas répugner. Il vint à moi, en me prenant par les bras. Il me disait que j'étais la première personne qu'il aimait, que j'étais la personne avec qui il voulait faire cette fameuse première fois. Je savais ce qu'il ressentait pour ça, l'aillant offerte à mon ami d'enfance. Ça me rassurait qu'il ne soit pas effrayé parce que j'étais. D'ailleurs, il vint à m'avouer ce qu'il était « lui ». Il m'avouait tout. Ce qu'il était par le passé, ce qu'il était, sa famille, ce qu'il a fait pour pouvoir survivre aux États-Unis. Je connaissais ce qu'il faisait, je vivais presque la même chose. Ça me surprenait un peu venant de lui, je ne m'attendais pas à ce qu'il ai une vie comme ça, mais après tout, je ne le connaissais pas assez bien pour pouvoir juger. C'est vrai que j'étais surprise, que ça effaçait l'image du mec tranquille et riche que je me faisais de lui, mais ce n'était pas pour autant que ça me dérangeait. Comment pourrais-je me permettre de lui reprocher ça alors que je le vis depuis toute petite ? Que j'ai vu des tonnes de drogues à l'âge de dix ans, que j'ai vu des femmes différentes aller dans les chambre de mes frères, alors qu'ils étaient mariés. J'avais vécu dans une vie sans véritable morale, je pouvais pas lui faire. Je tapotais sa joue gentiment, pour le ramener à la réalité. Parce que tu crois que je suis une fille bien ? je soupirai, écartant mes bras des siens.

Je croisais les bras. Je te déteste pas. Tu es peut-être pas le futur Saint Jacobs, mais je ne suis pas non plus une sainte. J'ai vendu de la drogue comme toi, j'ai vu ma famille faire des choses dont tu ne peux imaginer, c'est même pire que ce que tu as fais, alors de nous deux, je pense être la pire. Et ça m'empêche pas de vivre et d'être apprécié, alors je ne vois pas comment je pourrais te détester. Je t'apprécie Jacobs... même si... je ne peux pas te rendre l'amour que tu me portes, à présent. C'est pas que je veux pas... mais j'y arrive pas. Et... je ne veux pas qu'on fasse l'amour...même si tu m'as donné envie de toi... Comment pourrais-je le toucher alors qu'il m'aime et que le lendemain en partant, je lui briserai le cœur car je ne suis pas amoureuse de lui ? Sur l'amour, je ne rigolais pas. Même si je me sentais jamais amoureuse, je respectais les sentiments des autres, et surtout d'un ami comme Jacobs. Je posais mes mains sur ses joues en souriant tendrement. Je ne veux pas prendre quelque chose que tu pourrais regretter, Jacobs. Certes tu m'aimes, moi aussi je t'aime mais... comme un ami, seulement. Si tu apparentes la virginité à l'amour, ça serait injuste de te la prendre... je ne te dirais pas non continuellement, mais je veux pas que tu regrettes et finisses par me détester. Ça serait dommage de gâcher une amitié... je souris tendrement alors que je posais un tendre baiser sur ses lèvres. Je cherchais mes affaires des yeux. On pouvait pas dire que j'avais été soigné, je ne retrouvais pas mes sous-vêtements. J'étais pas très courageuse ce soir, et je m'asseyais sagement sur le lit, défaisant les plis de ma robe. Je passais une main dans mes cheveux, un peu refroidie par ce moment...touchant.
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❝ Ce n'est pas seulement un diner entre amis... n'est ce pas ? ❞


La peur est un sentiment naturel que je redoutai plus que les autres, enfin, surtout en ce moment-ci. La peur engendre trop de choses qui vous font perdre le contrôle de vous-même, qui vous fait chavirer entièrement, pas autant que l'amour certes. Je craignais qu'elle me déteste, qu'elle ne veuille plus jamais me revoir... Si jamais cela prenait une telle tournure, je pense que je ne pourrai m'en remettre tout à fait, et resterais confiné ici de bonnes semaines durant. J'espérai de tout mon cœur que je trouvais grâce à ses yeux, que je ne sois pas rejeté par la seule personne pour qui mon cœur battait et continuera de battre pendant longtemps ! Je sentais sa délicieuse main tapoter ma joue, me remmenant par la même occasion dans l'instant présent. Ses paroles me firent grimacer : malgré tout, je restais persuadé qu'il n'y avait pas plus bonne qu'elle. Teodora se dépêtra de mon étreinte à mon plus grand dam. La sensation de son corps contre le mien me manquait déjà.

Ses mots me dévastèrent : je n'avais pas envie d'en entendre plus. Qu'elle ait vendu de la drogue par le passé, ce qu'a fait sa famille... Je m'en fichais d'un côté, ce qui comptait le plus pour moi était le présent, la magnifique personne qui se tenait devant moi. Quelque chose au fond de mon être m'empêchait de concevoir qu'elle puisse ne pas être si parfaite, et je m'efforçais de croire qu'il n'y avait erreur, ou qu'elle ne parlait pas d'elle. Lorsque Teodora en vint à nous deux, j'eus un pincement au cœur. Certes, je savais pertinemment qu'elle n'éprouvait rien pour moi, du moins pas de la manière que je sous-entendais. Ainsi... Elle ne voulait pas qu'elle soit ma première fois. J'étais déçu. Non pas pour l'acte en lui même, je pourrais m'en passer encore pour longtemps pour avoir tenu vingt-deux ans, mais plutôt pour ce que cela représentait.

Ses mains virent se poser sur mes joues, m'extorquant ainsi un sourire nouveau. Celui-ci se gomma bien vite à l'entente de seulement un ami. En aucun cas cela serait injuste de me la prendre, ce sera simplement une bonne chose, que je puisse emporter de cette relation un merveilleux souvenir. Je soupirai tout en la détaillant : je regrettai amèrement qu'elle ne puisse pas être mienne. J'aurais sans doute pas été l'homme parfait, mais j'aurais tenté d'être au mieux. Ses lèvres se posèrent sur les miennes, et un sentiment merveilleux s'emparait de moi. Il prit fin trop vite à mon goût, et la belle vint s'asseoir sur mon lit. « Tu sais... Sincèrement, je pense pas que ce serait mal de faire ça. Ce serait en quelque sorte un souvenir inestimable que je pourrai me remémorer tout le temps ? Et si jamais... Je déprime puisque tu ne ressens rien pour moi, ce sera bien fait. J'ai mené une vie de débauche, et je dois mériter d'éprouver un amour à unisens. »


Je ne croyais qu'à moitié à mes dires et je vins me poser à ses côtés, conservant cependant une certaines distance afin de ne pas la gêner. Je peinais à trouver mes mots, et je dû me faire violence afin d'articuler convenablement. « Tu sais Teodora, je t'aime, et c'est pas du tout grave si tu me considères comme un ami... Je peux me faire une raison, tant que désormais, même s'il se passe quelque chose cette nuit, cette... 'aventure' n'altère pas notre amitié. Ce serait dommage, surtout que j'ai pas envie de te perdre. » Je tentais de prendre sa main, mais je me ravisai au dernier moment et me contenta de caresser ses belles boucles blondes. J'avais envie de l'embrasser tendrement, de la serrer tout contre moi. J'approchai lentement ma bouche de la sienne, me demandant inlassablement si ce que je faisais était bien. Plus que quelques centimètres...

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