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is this a joke (bonaventure)

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Ça me fait de la peine d'entendre que Bonaventure doit subir, au 21è siècle, des conneries de ce genre. Je soupire légèrement et secoue la tête de droite à gauche. " C'est complètement ridicule... " Ça me dépasse, ça me met en colère mais je sais ce que c'est. Les villages voisins à celui où j'habitais étant petites ne m'ont jamais accepté. Les villageois disaient que j'étais le diable. Une blonde, batarde et catholique, franchement, ça fait beaucoup pour les villages pauvres d'Afghanistan. Sans oublier d'ajouter que ma mère est tombée enceinte d'un américain qui se fichait d'elle comme de sa première couche. J'avais un tas d'étiquettes collées sur le front plus jeune. Mais ici, tout était différent. " Il s'est passé quoi en décembre ? " Soufflais-je. Parce que ça, c'est clairement pas tombé dans l'oreille d'une sourde. Je le regarde et souris. S'il pouvait juste éviter d'être gay, ce serait vraiment pas mal. Je dis ça je dis rien hein.. " En tout cas, une chose que tu cumules c'est bien les conneries " Je suis taquine, c'est la vie. Et ma main continue de se balader sur son dos. Je l'écoute et acquiesce. Un peu de mouvement ça ne fait jamais de mal à personne mais quand il y en a trop, c'est franchement pas agréable... J'aimais bien être au calme, me sentir bien et protégée... Mais je savais que chercher ça à longueur de journée, de vie, c'était le meilleur moyen pour tomber la tête la première dans des pièges sans nom et sans fond. Je n'avais aucune envie de me faire avoir une nouvelle. On devait être fidèle à nous même, ne pas se cacher et encore moins se fondre dans la peau d'un autre. Comme ma mère me disait souvent, sois toi même, tout le monde est déjà pris. Un sourire se dessine sur mes lèvres. " À l'horizontale et à la verticale... Une bataille de pouce ? " Demandais-je pour trouver quelque chose à dire. " Non, regarder la télé ! Debout ou allongé, c'est un suuuuuper sport " Je ris légèrement en frissonnant alors que ses mains touchent ma peau fraîche. C'est fou cette proximité et ce cocon dans lequel j'ai l'impression de me retrouver à ce moment même. " Ouai mais tu rends pas service à la planète en consommant de l'énergie à force de regarder la télé hein " Parce que je me trouve drôle, je continue mes blagues débiles encore et toujours. Je n'arrêterais jamais, c'est comme ça. Ça me détend et puis, ça permet d'éviter de discuter de trucs qui peuvent être embarrassants. Je suis pas le genre de nana qui parlent de coucher avec Pierre, Paul ou Jacques et tout ce qui va avec. Surtout pas avec un homme. C'est vraiment le truc qui n'est pas prêt d'arriver. Entre copines, autour d'une boisson et d'un gâteau, pourquoi pas mais sinon... J'ai beau faire de gros efforts sur moi et ma façon de vivre les choses, j'ai encore du mal à parler de sexe comme ça. Autant passer à l'action ! Je rougis en pensant à ça. Sérieusement Andrea... Comme si t'allais faire des cochonneries avec lui alors que t'as une putain de balafre sur le bas ventre qui va te faire super mal au moindre mouvement. C'est pas comme si j'avais pas tenté l'expérience il y a quelques jours.. " Sérieux ? Et c'est quoi ta nouvelle mission ? " Je suis la fille la moins discrète du monde alors je ne risque pas de l'aider et il risque de m'envoyer pêtre parce qu'il doit bien y avoir un serment qui l'empêche de divulguer les missions confiées par ses clients mais bon... " Je sais pas trop... C'est juste qu'en y pensant, je ne connais pas plus de chose de toi que ça alors qu'on a quand même beaucoup parlé ensemble... C'est sûr que, à côté de moi qui suis un vrai moulin à paroles et un livre ouvert, tu ne peux que me paraître mystérieux " Je souris légèrement. " Mais le mystère c'est... excitant " Soufflais-je proche de ses lèvres. J'avais envie d'y goutter une nouvelle fois. J'étais attirée et repoussée en même temps, aussi fou que cela puisse paraître. J'avais peur de franchir une limite qui nous mènerait à un point de non retour, peur d'aller trop vite, de brûler trop d'étape parce que je ne voulais pas que Bonaventure ne soit qu'un nom qui s'ajoute sur une très courte liste. Je ne voulais pas qu'il soit quelques coups de rein et voilà. Plutôt ne jamais connaître le bonheur de ne faire qu'un avec lui. " J'espère bien que tu préfères m'imaginer moi oui ! Ça suffit les délires creepy hein ! " Je ris légèrement et j'espère qu'il ne m'en voudra pas de pointer ses petits ébats avec Leanne de cette façon, une nouvelle fois. Je n'ose même pas lui dire que s'il veut, il n'a clairement pas besoin d'imaginer, ni d'attendre des photos. Il y a quelques mois, j'aurais tout fait pour éviter de me déshabiller parce que les sous vêtements en coton Hello Kitty n'étais vraiment pas ce qui met le mieux une femme en avant... Mais bon, maintenant c'était dentelle, couleur et effets de transparence. Je glisse ma deuxième main sur son dos et secoue légèrement la tête de droite à gauche. Je fais glisser mes doigts jusque sur ses omoplates. Un pas vers lui et je me colle presqu'entièrement à lui. Je l'embrasse à nouveau. Du bout des lèvres avant de l'embrasser d'une manière un peu plus forte, un peu plus intensive. Jusqu'à ce que je lâche ses lèvres, le souffle court. " Il fait super chaud ici " riais-je de bon coeur, honteuse de ce que je viens de dire. Enfin pas trop non plus parce que j'enlève ma veste en la laissant tomber parterre, à mes pieds..
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Andrea & Bonaventure
« Je sais mais tu ne pourras pas empêcher la connerie humaine » rétorqua-t-il en haussant les épaules d’impuissance. Au départ, Bonaventure s’était révolté contre son sort. Il ne comprenait pas pourquoi on lui faisait du mal alors qu’il n’avait rien demandé à personne puis, petit à petit, il s’était forgé une carapace pour que leurs attaques ne l’atteignent plus. Une carapace qui l’avait coupé peu à peu des autres au point que même lui, avait oublié la manière dont on pouvait se livrer. Est-ce pour cela qu’il craignait tellement de dévoiler ses sentiments ainsi que ses faiblesses ? De peur qu’on les retourne contre lui et qu’à nouveau, il en souffre ? Très certainement. L’humour et la pudeur étaient deux mécanismes de défense vieux comme le monde et le métisse se laissait approcher que difficilement bien qu’il soit d’un naturel avenant. « Deux hommes me sont tombés dessus un soir. Ils m’ont frappé dans le dos avant de me faire perdre l’équilibre et après la suite, tu t’en doutes ! » marmonna-t-il car il ne voulait pas vraiment se rappeler des coups, des insultes. Au final, il s’en était tiré avec deux côtes fêlées, un léger trauma crânien et une entorse au poignet. « Heureusement pour moi, une bonne âme passait dans le coin sans quoi, je sais pas… sûrement que je serais plus forcément là pour te parler » avoua-t-il à contrecœur. Dans les passages à tabac, on ne savait jamais où était la limite ni même si ses agresseurs allaient s’arrêter de frapper. Andrea lui rappela alors qu’il cumulait les conneries et il eut un sourire contrits. « C’est un coup bas ça »rigola-t-il faiblement, appréciant de sentir ses mains sur lui. Savait-elle à quel point elle lui faisait du bien juste en étant câline avec lui ?!

« Je suis démasqué ! Je ne résiste pas à regarder la télévision… J’adore me faire des marathons film et série »rigola-t-il cette fois-ci avec plus d’entrain car tous les deux savaient pertinemment que ce n’était pas vraiment de ça qu’il parlait. « Ouais va falloir que je songe à me trouver un autre passetemps que la télévision »soupire-t-il faussement dépité, laissant ses doigts effleurer son dos, remontant le long de ses cotes avant de redescendre dans une douce caresse sur ses hanches. Le geste était inconscient comme si porté par cette sensation de calme et de tendresse, il se laissait aller à ses envies les plus intimes et secrète. En parlant de secret, il lui confia qu’il était détective privé. « C’est secret défense, si je te le disais, je serais obligé de te séquestrer jusqu’à la fin de tes jours » la taquina-t-il en déposant un baiser sur son front. « Alors je sens que je vais rester trèèèès mystérieux à tes yeux »ajouta-t-il suite à sa remarque sur le mystère. Andrea était si proche qu’il ne lui fallait que simplement se baisser pour l’embrasser. Une envie qui le tiraillait depuis plusieurs minutes déjà ; depuis leur premier baiser pour être honnête. « Plus de délire creepy promis… pas alors que j’ai une femme extraordinairement belle et attirante dans mes bras »osa-t-il lui dire comme si de minutes en minutes, il gagnait en assurance. Bonaventure ne jouait pourtant pas les beaux-parleurs, il pensait réellement ses mots. Andrea était magnifique et attirante. Il serait fou pour penser à une autre alors qu’elle était tout contre lui surtout lorsqu’elle combla à nouveau la distance les séparant pour l’embrasser. Le métisse accueillait chacun de ses baisers avec plaisir, cherchant à capturer ses lèvres toujours un peu plus longuement à chaque fois si bien que lorsqu’elles s’unirent enfin, il prolongea et approfondit le baiser avec sensualité. « Oui… Très chaud même »surenchérit-il en se raclant la gorge. Mais où est-ce qu’ils allaient tous les deux ? Bonne question ! Toutefois, Bonaventure ne résista pas à l’envie de reprendre ses lèvres à nouveau comme si déjà, il venait de découvrir une nouvelle drogue. « Tu.. veux boire quelque chose ? »lui demanda-t-il à nouveau distraitement en déposant une suite de baisers le long de sa mâchoire jusqu’au creux de son cou. Bonaventure savait qu’il devait se reculer maintenant. Il lui avait déjà montré une image peu flatteuse de lui en couchant avec sa sœur, ce n’était pas pour qu’elle s’imagine qu’il sautait sur tout ce qui bouge seulement, l’attraction était forte. Vraiment forte.


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" T'es sur de ça ? Je suis une super justicière pourtant " Pas encore un personne de Marvel mais bon, ça peut finir par arriver. Après tout, il y a bien un personnage qui a été créé à partir d'un des membre d'un groupe connu... Peut être que je vais inspirer des gens dans ce monde avec ma campagne publicitaire. J'en doute mais ce serait une sacré surprise quand même... Plutôt agréable comme surprise, on va pas se voiler la face. Je l'écoute me confier ce qu'il lui est arrivé ce soir de décembre et déglutis difficilement. Je sens même ma mâchoire se serrer. Attaquer quelqu'un comme ça c'est tellement lâche... Et je le savais bien. J'avais été, moi aussi, attaquée en septembre. Je me souvenais encore de ce qui c'était passé ce soir là, alors que j'allais au boulot... Je m'en souviens tellement bien que je ne sors plus sans bombe au poivre pour me protéger un minimum. " Dis pas ça s'il te plait " S'il était arrivé à l'hôpital amoché, ou pire, ça aurait été le grand drame de cette fin d'année... Je plonge mon regard dans le sien et déglutis avec difficulté. " C'était avant ou après notre sortie ? " On s'était pas mal confié ce soir là et ça me ferait de la peine qu'il ne m'ait rien dit. Ou peut être que je le comprenais. Se montrer aussi vulnérable alors qu'on ne parlait pas forcément de ça... En tout cas, ça me révolte totalement. On est en 2016 bordel ! " Frappe les avec ta prothèse la dernière fois. Parait que ça fait mal " Je tente une petite dose d'humour. J'avais menacé Maxime de le castrer à coup de prothèse s'il venait à me faire du mal. Ouai, j'avais dis ça pour rire mais je pense que j'avais pu le faire, quitte à passer pour une folle-psychopathe. J'étais prête à tout pour me faire respecter et ne surtout pas me faire prendre pour une conne. Le rôle de la folle, j'étais prête à l'accepter sans problème. La preuve, j'avais débarqué ici comme une furie, complètement irréfléchie mais est-ce que je n'avais pas fait le bon choix ? J'étais collée à Bona, câline et sa présence me faisait un bien fou... J'avais l'impression d'être sur un petit nuage et qu'est-ce que c'était agréable. " La lecture c'est un passe-temps plutôt sympa ! Le seul truc chiant c'est que les livres, ça s'accumule, ça prend la poussière et de la place précieuse quand on vit en confrérie " Les chambres mises à disposition étaient vraiment cool, pas de problèmes là dessus mais je m'étais vite trouvée à l'étroit dans mon ancienne chambre. J'étais bien heureuse d'avoir fini par trouver un appartement pour me poser et être tranquille. Vivre à l'hôtel n'était pas pour moi et la vie à la confrérie... N'en parlons même pas ! La conversation saute vraiment du coq à l'âne mais ça ne me gêne pas. J'aime passer de la confidence qui te broie les tripes à un petit éclat de rire qui te réchauffe le coeur. Après tout, la vie n'est pas qu'amour ou haine. " Vu que t'es un pro de la télévision, je pense que je pourrais résister à une petite séquestration " Ouai ouai, c'est ça. Détective privée, c'est un sacré truc ça... Comme quoi il est vraiment mystérieux. Je rougis rapidement et je regrette de n'avoir pas plus foncé mon blush ce matin pour que ça ne se voit pas.. Je dois avoir l'air d'une grosse tomate. C'était vraiment fou la sensation que je ressens alors qu'on se frôle à peine du bout des doigts. Je sens tellement bien que je pourrais rester là pendant des heures mais il est en plein travaux. Je n'ai pas fais attention à l'odeur de la peinture en entrant et je suis tellement perdue dans ses magnifiques yeux que je ne fais même pas attention à tout ce qui se passe autour de moi. Il pourrait y avoir une invasion du SWAT que je ne bougerais pas. " Sérieusement, en vingt minutes on a réussi à parler de nécrophilie, séquestration et délire un peu étrange. On est complètement maboule " Je ris légèrement avant de l'embrasser à nouveau. Je l'embrasse parce qu'il prend pas l'initiative et que j'en peux plus d'être proche de son corps. C'est plus fort que moi et je m'en fiche de passer pour une sauvageonne, je peux vivre avec ça. C'est tellement agréable, salvateur, libérateur... Je ris légèrement. Oui, la température est montée d'un coup. Mes mains continuent de passer sur son corps, de profiter de chaque trace de muscles alors que nos lèvres se retrouvent une nouvelle fois. Je soupire de plaisir quand je sens ses lèvres sur ma mâchoire, sur mon cou. " Non Bona, non j'ai pas soif " Soupirais-je alors que mon cou se tend sous ses baisers et que mes mains glissent sur ses bras, sur ses épaules pour faire tomber sa chemise ouverte depuis le début. C'est pas à boire dont j'ai besoin là. J'ai besoin de lui. J'ai envie de lui. Je ferme lentement les yeux avant de passer mes mains autour de son cou, sur sa nuque pour m'approcher encore plus de lui... " Bona ? " Soupirais-je. " C'est pas une connerie ce qu'on est entrain de faire hein ? " Parce que je ne veux pas perdre mon ami.. Je serais prête à renoncer à des tas de choses mais clairement pas à ça. 
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Andrea & Bonaventure
« Je ne voulais pas t’effrayer, pardonne moi » murmura-t-il en déposant un baiser sur sa tempe. Par moment, Bonaventure oubliait que son sort pouvait compter aux yeux de quelqu’un. Il avait pris le pli depuis trois ans de vivre en solitaire malgré tous les amis qu’il pouvait avoir. Il ne savait plus vraiment ce que signifiait être deux bien qu’avec Andrea rien était clair si ce n’est qu’il se sentait bien auprès d’elle. Là, dans ses bras. Elle avait le don de créer un cocon autour d’eux qui l’apaisait et lui donnait envie de la serrer dans ses bras pour au moins l’éternité. Cette pensée romantique acheva de le convaincre que cette femme ne le laissait pas indifférent mais pouvait-il tout tenter à nouveau sur un coup de tête ? Il craignait tellement de se voiler à nouveau la face, de s’enflammer une nouvelle fois. Le métisse ne souhaitait pas perdre son amitié qui avait été plus ou moins malmené avec sa coucherie. « C’était bien avant notre sortie. Je n’en ai pas parlé parce que je n’aime pas… enfin ce n’est pas quelque chose qui m’est facile et puis je ne voulais pas gâcher l’ambiance avec quelque chose de passé » lui répondit le métisse avec un léger sourire. Oui, garder ses problèmes et sourire au reste du monde, telle était sa devise mais au-delà de ça, Bonaventure avait réellement voulu passer une bonne soirée avec Andrea et oublier tout cela. Cette dernière lui donna un conseil qui le fit rire. « Je me vois mal me défroquer en plein combat pour détacher ma prothèse »rigola-t-il. Cela pourrait être comique dans un sens !

« Oui ça pourrait être un passe-temps mais en optant pour l’option liseuse » s’amuse-t-il à lui répondre au sujet de la lecture. Elle avait de la chance car là, mise à part la bâche qui recouvrait le sol et les meubles, le jeune homme n’avait pas encore placardé sa grande carte de Boston ni même tous les articles de journaux. Sa chambre allait rapidement devenir une annexe de son site internet de détective consultant -grosso modo, un joyeux bordel. « Ne me tente pas trop sinon je te séquestre volontiers » surenchérit-il, la trouvant délicieusement craquante lorsqu’elle rougissait. Bonaventure ne put s’empêcher d’éclater de rire à son trait d’humour. « Que veux-tu on est trop des champions mais je suis certain qu’on peut encore faire mieux. C’est à méditer pour la prochaine fois » déclare-t-il tandis qu’il se surprenait à considérer ses baisers comme une nouvelle drogue puissante. Le métisse planait dans une nouvelle dimension peuplée d’Andrea aux sourires effrontés. Il tenta tant bien que mal de retourner sur Terre mais sa piètre tentative se termina par un nouveau baiser alors qu’elle le débarrassait de sa chemise.

Andrea et lui étaient en train de perdre pied et il trouvait cela délicieux. « Je ne sais pas, je n’arrive plus vraiment à réfléchir »murmura-t-il contre la peau tendre de son cou qu’il mordilla. Ses mains attrapèrent le bas de son T-shirt pour le lever. Il voulait sentir sa peau contre la sienne. « Je… »commença-t-il en se traitant de tous les noms. Il avait envie d’elle, vraiment envie d’elle mais ne faisait-il pas ce qu’elle était venue lui reprocher ? Céder à un désir brut alors qu’elle n’était pas dans un état de santé idéal ?! « On ferait mieux d’arrêter là… tu as été opérée il n’y a pas longtemps et je refuse de prendre le moindre risque avec toi. Tu m’es trop précieuse pour que je puisse supporter de te faire souffrir » lui dit-il à contre cœur en relâchant son T-Shirt. Il devait se montrer raisonnable parce qu’il voulait lui prouver qu’il n’était ni un connard ni même indifférent à son bien-être. « Crois-moi j’en ai vraiment envie Andrea mais je ne veux pas te mettre en danger » soupire-t-il en l’embrassant tendrement. Il était dingue, totalement dingue mais Bonaventure restait Bonaventure.

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" C'est rien... C'est juste que, ce sentiment qu'on aurait pu y passer c'est... " Je n'arrive pas à finir ma phrase. C'est déstabilisant, perturbant, déchirant... Je n'avais pas eu à me poser cette question quand un mec m'était tombé dessus en septembre dernier. J'avais reçu quelques coups et Phoenix était arrivé par je ne sais quel miracle. Je n'avais que quelque bleu et la lèvre éclatée ce jour là. Mais là, il y a quinze jours avec ma salpingectomie, je me suis réellement demandée si j'allais m'en sortir. Et ça m'a tétanisée, j'ai tellement eu peur et je sais que c'est mauvais d'avoir peur avant une anesthésie. " Tu voulais pas gâcher l'ambiance soupe miso c'est ça ? " Je ris légèrement. J'espère que Bona comprend qu'il peut se confier à moi, que je serais pas comme sa crétine d'ex fiancée à se barrer dès que quelque chose de négatif se posera sur son chemin. On a tous les deux vécus des choses importantes, tristes, difficiles et c'est ce qui fait de nous ce que nous sommes aujourd'hui. Sans ça, peut être qu'on ne sera que deux âmes errantes. Ou deux joyeux de la vie. Tout pourrait être différent mais j'aime ma vie comme elle est. Enfin, c'est ce que je me dis. De toute façon, c'est moi qui suit aux commandes de cette dernière. Et pour la première fois depuis longtemps, j'avais l'impression d'être à nouveau aux commandes de ma vie, comme Han qui reprend les commandes de Faucon Millénaire. Ça semble tellement juste, tellement mérité. " Si tu veux, on va s'arrêter là pour ce mois-ci. Je ne pourrais pas supporter une extravagance de plus " Je ris légèrement. Bien sûr que je pourrais supporter des extravagances de plus mais je n'en ai pas envie. Autant découvrir les petits trucs dingues petit à petit pour en rire au fur et à mesure de tout ce qui se passe. Ce serait dommage de s'ouvrir au point de ne plus avoir grand chose à apprendre de l'autre en trop peu de temps. J'avais envie de profiter de cette chance que j'avais de découvrir Bona. Il m'avait toujours intéressé, son passé m'avait intéressé mais je savais très bien, par expérience, qu'il n'aurait jamais ouvert son coeur de cette sorte sans certains détails. On ne parle pas de sa prothèse à qui veut l'entendre, on ne dit pas à une fille qu'on s'est fait tabasser si on n'a pas envie de lui donner une place un peu plus importante dans la vie. Et moi, je ne lui ouvre pas mon coeur pour le voir jouer avec. Je sais que je peux avoir confiance en lui, que ce soit en tant qu'ami ou plus si affinités. Et là, on va vraiment vers le 'plus si affinités' et je me demande - je lui demande - si c'est pas une erreur, si on ne va pas le regretter. J'ai pas envie de le perdre. Mais j'ai aussi tout envie de me perdre avec lui. Dès qu'il se décale légèrement et que je sens mon tshirt retomber sur moi, je déglutis avec difficultés. Pourquoi j'ai ouvert ma gueule ? Il est respectueux, je ne peux pas dire le contraire, loin de là. J'ai tellement envie de lui dire qu'il ne va pas me mettre en danger et que si ça ne va pas, on arrêter directement mais aucun son ne sort de ma bouche. C'est donc ça un homme, un vrai. Je soupire légèrement et passe une main dans mes cheveux. Je lui adresse un léger sourire. " On est pas obligé de... Je... " Je lâche ma chevelure et lui prend la main. Ce geste me semble tellement normal, tellement logique. Tellement que ça me perturbe. Je me dirige vers son bureau et tire la chaise pour qu'il se pose dessus. Pas de lap dance, do not worry Bona. Je souris et me pose sur lui, à califourchon. J'enlève mon t-shirt, découvrant mon soutien gorge en dentelle rouge et me colle à lui, glissant mes bras derrière son cou. " On est rien obligé de faire, vraiment rien... " J'ai pas froid aux yeux comme nana, loin de là. Mais je dois avouer que j'aime la façon dont il me regarde. Ça fait tellement de bien. Je l'embrasse légèrement et colle ma poitrine à son torse. " Tu sais qui est mon personnage préféré dans Harry Potter ? " Je dis ça pour tenter de refroidir l'ambiance. Ou juste pour penser à autre chose qu'au fait que j'ai envie de ne faire qu'un avec lui. Sauf que la réponse me revient en pleine tête. Ronald Billius Weasley. Weasley quoi ! " Weasley " Soufflais-je au creux de son oreille, déposant un baiser sur le haut de sa mâchoire. Tue l'amour par excellence, well done Andrea !
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Andrea & Bonaventure
« Je sais… N’y pensons plus » la coupe-t-il en voyant combien elle éprouvait de difficulté à terminer sa phrase. Andrea et lui étaient des survivants à bien des titres bien que la jeune femme avait connu bien plus de malheur que lui. Ce point commun les rapprochait, les renforçait dans leur relation. Ils se comprenaient sans avoir besoin de mots. Bonaventure n’en ressentait pas moins cette volonté de vouloir la protéger, d’espérer la préserver de malheurs prochains. Andrea ne méritait pas de souffrir. Il voulait tellement que son regard pétille de malice, revoir son sourire qui s’avérait effronté par moment surtout lorsqu’elle se moquait gentiment de quelqu’un voire même de lui. « Non je ne voulais pas gâcher l’instant ! Attends, tu étais trop ravissante avec ta jupe soupe miso… D’ailleurs, c’est un concept que tu devrais breveter » rétorqua le métisse en riant avec elle. Cela faisait du bien de se livrer songea-t-il. Depuis combien de temps n’avait-il pas passé un moment aussi intime avec une femme ? Il ne parlait pas de relation sexuelle mais simplement de ressentir une communion telle qu’il pouvait se laisser aller aux confidences ? Depuis Lucy en fait. Son ancienne fiancée avait été sa confidente, sa meilleure amie, son amante. Il avait espéré qu’elle puisse endosser le rôle d’épouse et de mère de ses enfants. Hélas, le destin en avait décidé autrement et lorsqu’il plongeait son regard dans celui d’Andrea… Bonaventure éprouvait de la peine à le regretter. Peut-être que finalement, tout était mieux ainsi.

« Tu as raison, il vaut mieux y aller en douceur ! On ne sait jamais ce qui peut arriver si on abuse de l’extravagance. Ce n’est pas comme sur les paquets de cigarette, aucun avertissement ne nous met en garde alors restons prudents » lui sourit-il avec malice. Ils pouvaient en raconter des conneries tout de même. Cette faculté à détourner les choses de la vie, de tourner cette dernière en dérision, rien n’était plus distrayant aux yeux du métisse. Bonaventure devait se faire violence pour ne pas s’enflammer, ne pas y voir un signe que peut-être cette femme était la bonne. Andrea lui plaisait à bien des égards et il ne parlait pas uniquement d’une attraction physique. C’était plus profond, bien plus intense et leurs baisers n’y changeaient rien. Absolument rien. C’était même tout le contraire, ses sens s’échauffaient et il dut faire appel à tout son contrôle pour trouver la force et même la volonté de se détacher d’elle. Il ne pouvait pas. Andrea avait subi une opération récemment et puis, il ne souhaitait pas lui donner une mauvaise image de lui. « Non.. nous ne sommes pas obligés »reprit-il ses mots avec un tendre sourire, déposant un léger baiser sur ses lèvres tandis qu’elle prenait sa main. Il entrelaça leurs doigts, la suivant jusqu’à son bureau.

Docilement, Bonaventure se laissa asseoir sur la chaise, la réceptionnant sur ses genoux en posant ses mains sur ses hanches. Andrea en profita pour ôter son T-shirt et cette fois-ci, le jeune homme ne put que se perdre dans son décolleté, déglutissant difficilement. « Du tout, on peut très bien rester là comme ça »murmura-t-il d’une voix rauque. Sa volonté fondait comme neige au soleil. La jeune femme vint lui faire une confidence qui lui arracha un frisson mais également un petit rire. « J’ignore s’il y a un personne qui porte ton nom mais si c’était le cas, sache que cela aurait été mon personnage préféré également »lui dit-il en posant ses lèvres au creux de son cou, traçant une ligne imaginaire jusqu’à son épaule, ses doigts écartant sa bretelle de soutien-gorge devenue vraiment gênante. Sa peau appelait les baisers, les caresses et Bonaventure n’était qu’un homme après tout.

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Je fais une petite moue quand il me dit de ne plus y penser. Oui fin c'est plus difficile que ça quand même... J'aimerais tellement oublier tout ce qui a pu se passer de négatif dans ma vie mais ce n'est pas si facile que ça. Oh non. Surtout quand tous les jours, on a quelque chose qui nous rappelle nos soucis, les fois où on a pas su si on allait mourir ou survivre. Mais je n'ai pas envie de déprier, je n'ai pas envie de ruminer et tout ce qui va avec. Ça ne sert à rien, vraiment rien. Je suis avec Bona, j'apprécie ce moment que nous partageons et c'est là dessus que je dois me concentrer, m'arrêter. Je secoue la tête de droite à gauche tout en levant les yeux au ciel. " Tu vas voir le concept que je vais breveter ouai ! " Je ris légèrement. C'était vraiment pas agréable de sentir sa jupe s'humidifier et sentir un peu une fois sèche. Sans compter le côté cartonné... Mon dieu, rien que d'y penser, j'ai des frissons. C'était pas si sale que ça non plus mais cette sensation, non merci. Il faudrait que ça lui arrive tiens, juste pour voir comment il réagirait. J'avais pu me débarrasser de tout ça très rapidement et assez facilement mais si ça avait été lui, la victime, le jeans trempé, c'est une autre affaire. " Ce serait dommage que tu me trouves fadasse après surtout " Je fais une légère grimace, tordant ma bouche avant de lui sourire. Moi, fade ? Jamais ! Enfin, je dois bien avouer que j'aimerais être fade de temps à temps quand même, ce serait bien plus facile. Et pas pour autant ennuyant. Ce serait plutôt bénéfique pour moi, reposant et tellement agréable. Je ne pense pas que je serais le genre de jeunes femmes à chercher les ennuis parce que je m'ennuie, justement. Non, un peu de tranquillité n'a jamais tué personne ! Ce serait bien le comble. Rapidement, on arrête de parler parce qu'on a trouvé une nouvelle occupation pour notre bouche : s'embrasser. J'ai fais le pas vers lui, à nouveau. Mais pour la première fois depuis longtemps, je ne me sens pas mal en faisant ce pas. J'ai vraiment pas l'impression de le faire pour me prouver quelque chose, pour prouver quelque chose à mon partenaire. Écouter son coeur fait du bien. Et mon coeur me dit de ne rien brusquer avec Bonaventure. Ça ne sert à rien de tout bousculer, d'y aller à la vitesse éclaire. Je veux prendre mon temps avec lui et ne pas sauter dans la gueule du loup. C'est pas franchement pour me protéger mais je ne veux plus brûler les étapes. Mon avis et mon regard compte pour lui mais il en est de même pour lui. Je n'ai aucune envie qu'il me prenne pour une fille facile, pour une belle parleuse qui fait la calme et posée pour le faire encore plus craquer. Je veux que tout soit différent avec Bona, vraiment. Je m'en voudrais trop de ne faire qu'une bouchée de lui, tout ça pour rien. Je suis heureuse de voir qu'il est sur la même longueur d'onde que moi. Je souris légèrement et me sens rougir quand je le vois me regarder. Je me mets vraiment à nue. La lumière du jour éclaire encore sa chambre et puis, je ne me cache pas. Alors qu'avec Camilo, j'ai éteint la lumière dès que j'ai pu. Je ne voulais pas qu'il me voit vulnérable, fragile comme un sucre. Alors qu'avec le Quincy, je me fiche bien de tout ça. Je veux être moi même. Je veux qu'il compte pour moi et que je compte pour lui. Je m'en rends compte maintenant. Je me suis attachée à lui il y a de nombreux mois et le fait de passer du temps avec lui m'a fait du bien, m'a fait réaliser qu'un homme bien, ça existe. Parce que oui, c'est ça le plus important. Il n'y a pas que des connards sur terre. Je me mords légèrement la lèvre inférieure quand je lui confie que mon personnage préférée est Ron. Et sa réponse me fait rire. " Peut être qu'à beaux-bâtons il y avait une Cermolacce " Soufflais-je en sentant ses baisers se glisser sur ma peau. Les sorcières venant de France, mon pays d'origine. Enfin, le pays de ma mère parce que je n'avais jamais mis les pieds là haut. Je retiens ma respiration lorsque je sens ma bretelle glisser le long de mon épaule. Intérieurement, je bous. Je bous et je me demande si je vais vraiment résister au fait de ne rien faire avec lui. Je ne sais pas ce que je veux vraiment à ce moment, je suis perdue dans ce cocon que l'on forme. J'ai l'impression que personne ne pourra venir nous déranger, nous enquiquiner alors qu'on découvre chacun le corps de l'autre. Mon corps se tend sous ses baisers et j'ai l'impression qu'une armée de papillon surexcitée danse la samba dans mon ventre. Mes mains courent sur son corps, mes doigts exerçant une pression sur ses muscles. " Je suis plutôt déterminée comme nana mais alors là... " Ma détermination à ne pas aller trop vite, à coucher avec lui est à moins huit mille et encore, je suis gentille ! Je ne vais pas lui résister bien longtemps. Je n'en ai pas envie. Je me sens toute étrange, trop pensive. J'ai envie de lui mais j'ai peur de gâcher quelque chose. Mais notre amitié ne serait-elle pas déjà remise en cause avec ces baisers et ces caresses ? Je n'en sais rien. Mais si je reste là, je vais vraiment finir par m'abandonner à ses bras, à lui...
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Andrea & Bonaventure
« Te trouver fadasse ? C’est possible ça ? »s’étonna un Bonaventure en mode taquinerie. Andrea n’avait rien de fade et sûrement n’en aurait-elle jamais à ses yeux. Elle était bien trop intéressante qu’il se demandait même si toute une vie lui permettrait de la percer à jour. Le jeune homme étant un passionné de mystère, il ne pouvait qu’être motivé pour dévoiler cette femme ou du moins essayer. Le métisse se souvenait que trop bien du moment où elle était entrée dans sa vie. A ce moment-là, il était dans une période des plus noires, refusant de parler ou presque aux autres, passant le plus clair de son temps dans sa chambre, son ordi portable à proximité. Andrea l’avait tour à tour amusé et agacé mais dans le bon sens du terme. Il se rappelait que trop de toutes ses petites erreurs qui en avait énervé plus d’un puriste sur le forum. Lui, il avait trouvé cela rafraichissant et naturellement, il en était venu à déclencher une conversation privée. Depuis, elle avait toujours été là pour le distraire de ses sombres pensées sans même en avoir conscience. Bonaventure ne s’était jamais plains de quoi ce que ce soit. Il préférait lui parler malgré le caractère impersonnel du clavier. Son amie ne savait même pas le soutien moral qu’elle avait été pour lui grâce à tous leurs échanges et voilà qu’aujourd’hui, il se retrouvait dans sa chambre, cette femme dans les bras à s’embrasser.

La crainte de perdre son amitié ainsi que son estime le poussait à se montrer raisonnable mais son cœur ne semblait pas d’accord avec sa raison. Au contraire, il n’avait de cesse de jouer les petits diablotins sur son épaule droite, le tentant, le poussant à toucher cette femme. Peu à peu, il perdait le contrôle de ses gestes. « Alors j’adore cette sorcière de beaux-bâtons » murmura-t-il en déposant un baiser sur l’arrondi de son épaule, écartant cette petite bretelle gênante, sa main accompagnant sa chute dans une caresse le long de son bras. Bonaventure la désirait mais il n’était pas uniquement question d’un corps serré à la va vite. Il réalisait combien il la voulait dans son ensemble : son corps, son caractère de chieuse, son humour, sa douceur, sa fragilité et sa force. Il désirait le pack complet et cela lui faisait peur. Pouvaient-ils miser leur amitié ? Jouer à la roulette russe au risque de tout perdre ? Son cœur lui souffla que la décision ne lui appartenait déjà plus, qu’inconsciemment il avait déjà fait son choix et la réponse n’était autre qu’un oui. « Sois déterminée à m’embrasser dans ce cas » répondit-il avec audace en reprenant ses lèvres, ses mains prenant en coupe son adorable visage. « On est pas obligés… mais on peut aussi s’embrasser non ? Il n’y a pas de mal à s’embrasser ? » ajouta-t-il avec un petit sourire charmeur qui faisait pétiller son regard bleu. Il la voulait rien qu’à lui mais saurait-il rester sage et se contenter de caresses et de baisers alors que tout son corps se tendait vers elle, vers ce besoin de la posséder à moins qu’il soit encore possible de s’arrêter. Le pouvait-il ? Oui. Le voulait-il ? Non. Etait-ce raisonnable de continuer ? Non. Etait-ce ce qu’il avait envie ? Oui. Oui. Oui.

electric bird.
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Je souris légèrement. Je doute qu'il me trouve fade un jour ou l'autre. C'est loin d'être mon cas. Je suis plutôt une boule d'énergie avec des secrets de tous les côtés. Enfin, pas forcément des secrets inavouables mais il y a toujours quelque chose à découvrir de moi. C'est ce que je pense du moins. Ce qu'il voit pour le moment n'est que quatre ou cinq pourcent visible de l'iceberg. Quoi que, il connaît des parties de moi que personne ne connait : ma sympathie pour les Marvels et DC Comics que je lis plutôt souvent. Je crois que personne n'est au courant de ce côté geek de ma personnalité. Personne sauf Bonaventure, en l'occurrence. Avec lui, je suis quelqu'un d'autre mais quelqu'un de mieux qui n'a pas peur de dire qu'il lui manque une jambe lors de la deuxième sortie entre amis. Je n'ai pas honte de ma prothèse, loin de là, mais je n'en parle pas facilement non plus. Quand on la voit, on m'en parle, je réponds et ça s'arrête là. De toute façon, à l'hôpital tout le monde sait que ma jambe droite n'est pas d'origine et que c'est comme ça parce que j'ai eu une jolie fasciite nécrosante quelques heures après avoir été blessé lors des attentats de 2013. Rien que de penser que c'est bientôt - très bientôt pour ne pas dire demain - les commémorations, mon estomac se tourne et se retourne. Mais j'évite d'y penser et je me perds dans les bras du Quincy. Ça ne sert à rien de penser à demain et à la bombe que cet événement aura sur moi alors que je suis bien, là tout de suite. Il faut vivre au jour le jour, c'est ce que je me dis sans cesse... Je souris contre ses lèvres. Oooh, je le suis, déterminée à l'embrasser, aucun soucis là dessus. Mais est-ce que j'arriverais à me contrôler et à ne pas sortir totalement frustrée de cette chambre ? Frustrée et complètement excitée, ça ne sert à rien que je me voile la face. " Non, y a vraiment aucun mal à s'embrasser " Soufflais-je en me perdant dans ses yeux. Vraiment aucun mal à se découvrir physiquement non plus après tout... Il voulait être galant, faire attention à moi et changer l'image que j'avais pu avoir de lui. Cette image de mec ne faisant guère attention à la jeune femme en face. Mais il faisait attention... Ma cicatrice était encore bien rouge, bien boursoufflée et donc, par conséquence, bien moche et il savait que faire quoi que ce soit risquait de me faire mal. Et c'est le cas. Je n'ai pas pris d'oxycodone aujourd'hui. Enfin, que la dose prescrite de base et ça risque vraiment de me tuer si on va trop loin. J'ai pas envie que ma première fois avec Bonaventure soit bousillée de douleurs à l'abdomen... Mais en même temps, je ne me voyais pas lui dire "attends, pause trente secondes, je vais prendre un cachet contre la douleur comme ça je vais planer parce que je prends le double que ce à quoi j'ai droit et on reprend où on en était". Je doute que ça le fasse. Pour lui comme pour moi. " Ta peinture va pas sécher et faire des traces ? On peut faire de la peinture non ? " Je ris légèrement, un peu gênée alors que je suis collée à lui. " Je suis pas mauvaise en travaux manuels " Lançais-je avec un léger sourire. Je sais pas, j'essaye de trouver un truc mais si on reste là, comme ça, je donne pas cher qu'on passe de la chaise au lit voire au bureau.. Je lui souris timidement. " Faut que je m'occupe l'esprit et les mains autrement qu'avec ton corps " Sympa la nana. Je sais pas ce que je veux. Lui, pour sure. Mais là, maintenant ? J'en sais rien et ça, ça me retourne le bide. Putain, pourquoi je réfléchis trop avec lui ! Avec Andrew et Camilo, pas besoin de réfléchir. C'est surement parce qu'il compte, lui. Et que je ne veux pas tout gâcher, tout précipiter. Prendre son temps, apprendre à connaître l'autre encore un peu plus, creuser et s'attacher encore plus profondément... " Pas que j'ai pas envie ou quoi mais... J'ai fais assez d'erreurs à vouloir aller trop vite et je veux pas aller trop vite " Soufflais-je. Je n'avais aucun filtre avec Bonaventure, absolument aucun. Je doute que ce soit l'idée du siècle mais bon. Il n'était pas fou, je n'étais pas collée à lui à moitié nue juste pour le plaisir. Enfin si, mais pas le plaisir de lui foutre une carotte, plutôt celui de la découverte charnelle..
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Andrea & Bonaventure
En effet, il n’y avait aucun mal à s’embrasser ni même à apprivoiser le corps de l’autre. Tout était juste d’un naturel déconcertant. Bonaventure se demanda tout de même pourquoi tenir ainsi Andrea contre lui était si facile, même si bon ?! Elle était son amie et il avait toujours eu des difficultés à passer le cap de l’amitié car il était bien connu que l’on ne pouvait transformer un amour en amitié. Il persisterait toujours des traces de la relation -du moins, était-ce son avis. Une petite voix lui souffla que dernièrement, sa conscience s’était fait la malle sur la question alors pourquoi hésiter avec Andrea ? Pourquoi prendre autant de gant ? Certes, elle venait de se faire opérer et il ne voulait guère lui faire de mal mais il n’y avait pas que ça. Le métisse se posait mille et une question tiraillait entre son cœur et sa raison. Le premier lui hurlait de se la fermer et de se concentrer uniquement sur les sensations et surtout sur la femme qui se trouvait à califourchon sur ses cuisses. Et sa raison qui le poussait à réfréner ses ardeurs, à réfléchir, à mesurer ses actions de peur de perdre une amitié précieuse voire simplement pour ne pas précipiter les choses.

Andrea trancha en s’écartant faiblement de lui et surtout en lui parlant de la peinture. Au départ, Bonaventure fronça les sourcils ayant visiblement du mal à revenir à la réalité mais elle poursuivait, lui offrant carrément son aide. « Euh tu veux faire de la peinture, là maintenant ? »lui demanda-t-il hésitant entre scepticisme et incrédulité. Elle lui expliqua alors qu’elle cherchait à s’occuper l’esprit et les mains autrement qu’avec son corps. Le métisse faillit lui rétorquer qu’il ne voyait pas de problème en ça. Son corps, elle pouvait le prendre quand elle le voulait, il était plus que consentant. « Tu as raison.. Nous avons tout notre temps » consentit Bonaventure en remontant sa bretelle le long de son bras pour la replacer sur son épaule. Il était frustré un peu. Beaucoup. Bref vous connaissez la suite mais évitez de passer la case « pas du tout » car vous seriez à cent lieues de la vérité. « Je ne serais pas contre un coup de main en effet » se surprit-il à répondre avec un entrain forcé. La descente avait été rude mais en bon ami, en bon gentleman, il avait accepté sa décision. La suite, disons que sa chambre fut rapidement terminée !

TOPIC CLOS.

electric bird.
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