Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibility(flashback) JACOBS ♡ Ce n'est pas seulement un diner entre amis... n'est ce pas ?
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(flashback) JACOBS ♡ Ce n'est pas seulement un diner entre amis... n'est ce pas ?

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Des boucles d'oreilles « DIOR », des chaussures à talons de chez « GUCCI », la plus belle des robes de « JEAN-PAUL GAULTIER » noire avec un décolleté plongeant, le dos nu. Le corps parfumé par du « Lady Million », du rouge à lèvres de chez « LISE WATIER ». Tout ce qui faisait qu'une femme était magnifique. C'était ce que j'avais, ce que j'étais ce soir là, une femme raffinée, douce, et agréable à regarder comme témoignaient les regards qu'on avait posé sur moi. Mais j'étais belle que pour un seul homme. « Jacobs Hell Ford ». Jacobs m'avait invité à diner, je ne pouvais pas dire non à mon bel ami et pour l'occasion, je devais me faire belle pour lui, non ? J'avais laissé les cheveux au naturel, histoire de ne pas être trop...superficielle. C'était un ami, pas un rendez-vous pour séduire ou faire bonne figure, enfin, je pense pas... A mes yeux, ce n'était qu'une simple soirée, j'imaginais que nous allions bien manger, discuter un peu et revenir au camps. Enfin, je le pensais. Un taxi me déposa devant l'hôtel du village où m'avait invité mon ami. Une fois entrée à l'intérieur, j'espérais qu'il soit déjà là, je n'aimais pas trop être seule dans un endroit que je ne connaissais pas, surtout que je n'avais pas emmené mon téléphone portable pour ne mettre qu'un peu d'argent dans mon petit sac et de quoi me remaquiller. Je cherchais Jacobs, il devait bien être quelque part, non ? C'est alors que je le vis, non loin du restaurant. Le sourire aux lèvres, je me dirigeais vers lui, l'enlaçant tendrement. J'étais heureuse de le retrouver. Hey, mon beau. Je suis contente de te voir. Je déposais un baiser sur sa joue, lui offrant un tendre sourire. Je restais blottis contre lui, sagement. On devrait aller manger, non ? Comme ça, on profitera du temps qu'il nous restera pour discuter.
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Jamais je n'aurais cru être aussi boulversé par un simple rencard. Dire que depuis ce matin, je ne cessais d'y penser ! Me retournant les sangs sur chaque détail et scénarii inimaginables - toutefois plausibles - je crois qu'en j'ai ai perdu tout aplomb ! Cela faisait quelque minutes déjà que je me lamentais, accoudé au lavabo de ma salle de bain, le regard perdu : je ne rendais presque plus compte de la réalité tant elle m'effrayait. D'ordinaire, je me rendais simplement à un rendez-vous, la démarche élégante et presque en retard sans que cela me tétanise, mais cette fois-ci semblait différente des précédentes. Mes mains tremblaient sous la pression que je m'imposais à moi-même tout en m'apprêtant à me saisir du rasoir. Une énième et tant détestée question me traversa l'esprit : une barbe de trois jours serait-elle déplacée dans les circonstances ? J'hésitais à le reposer, mais elle pourrait croire que j'aurais passé toute mon après-midi - et plus encore! - à me préparer, et ainsi passer pour quelqu'un que je suis bien évidement. De plus, j'usais de tout moyen afin de dissimuler la disgracieuse fossette qui orne mon menton.

Sur ce combat mental, je préfère garder ma mince pilosité mettant tout aussi bien mon visage parfait et mes cheveux coupé assez court ces temps derniers. Après m'être relevé, je me dirigeai en direction de mon armoire, renfermant multitudes de fripes comme trésors chinés à divers ventes privées : j'accordais beaucoup d'importance à l'apparence. Je me focalisai aussitôt vers un chino immaculé, agrémenté d'une simple chemise bleu moyen. Mes nouvelles paire de clark's nude s'imposait si bien que je n'hésitai pas un seule seconde : elles étaient ravissantes. Afin de parfaire ce portrait, j'enfilais un blaser lui aussi blanc d'un touché excellent. Plutôt fier de mon image, je m'autorisai un sourire agréable tout en glissant mon portable dans ma poche arrière. L'anxiété s'était quelque peu dissipée, si bien que je parvins à me mouvoir convenablement. Avant de plier bagage, je jetai un dernier regard à l'horloge murale qui m'indiquait que j'allais être en avance de quelques minutes, fort heureusement !

Sans perdre d'avantage de temps, je m'élançais à la poursuite de mon rendez-vous et de ma sublime Teodora. J'avais hâte d'admirer sa silhouette parfaite et son visage envoutant au point de s'y abandonner ! Il faudra que je prenne garde à ne pas rester hébéter devant tant de beauté durant le repas, ce qui serait fâcheux. Je songeai tout en prononçant mes adieux au camps, et marchant vers une soirée qui s'annonçait des plus merveilleuse. Une brise fraiche balayait les environs, presque trop froide si l'on est frileux : je l'étais. Je frissonnais à ce contact tout en parcourant à grande enjambée ce qui me séparait du restant ; et d'ailleurs je ne tardais à en voir l'entrée. Je m'y campais tout en guettant Blondie. Un parfum qui ne m'était nullement inconnu pour l'avoir humé tant de fois, Lady Million, me chatouilla les narines tandis qu'un corps se colla au miens, si vite que je n'eus à peine le temps d'apercevoir la tenue de la demoiselle. Sa voix, son apparence, tout était grandiose...

«Tu es superbe. Si j'aurais su, j'aurais mis quelque chose de plus apprêter. Peut être me raser ?»

Après quelques instants de réflexion, je lui demandai s'il ne s'agissait pas de la robe star du dernier Podium de Jean-Paul Gaultier, portée par l'inoubliable Arizona Muse aux jambes athlétiques mais fascinantes - toutefois je gardais la dernière remarque pour ma pomme. Nous rentrâmes donc aussitôt dans le restaurant, elle toujours blotti contre moi, après m'avoir embrassé sur la joue. Il fallait avouer que j'aurais préféré à un autre endroit, mais je n'avais pas mon mot à dire. Aussitôt, nous nous installâmes à une table de deux assez isolée pour nous offrir un peu plus d'intimité. À peine assis que je fouille dans ma poche de veste à la recherche d'un présent, qui n'est évidement plus à sa place. Paniqué pendant quelques secondes, je m'excusai :

«J'avais prévu un petit cadeau en bon gentleman, mais il est resté dans ma chambre... On pourra toujours y passer à la fin pour que je te le donne ?»

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On était pas bien là ? Tous les deux, moi dans ses bras, ça me réconfortait. Vu l'état actuelle où j'étais, j'avais besoin de me changer les idées. Je me sentais bien dans ses bras et ça me faisait tellement de bien que je me laissais guider par la soirée. «Tu es superbe. Si j'aurais su, j'aurais mis quelque chose de plus apprêter. Peut être me raser ?» me dit-il, ce qui ne put m'empêcher de me faire rire. Il était vraiment adorable. Je caressais sa joue en souriant, rasé ou non, je le trouvais tout aussi beau. Tu n'as pas besoin de ça pour me plaire tu sais... Je déposais un petit baiser sur son menton, avant de le suivre dans le restaurant. Nous étions seuls, et franchement, c'était tant mieux, ça ne me plaisait pas trop de manger à coté de personnes que je ne connaissais pas. Nous étions assis dans un petit coin, sur une sorte de banquette en cuir qui me permettait de rester proche de Jacobs. Je le voyais s'agiter sur la chaise, je ne comprenais pas vraiment ce qu'il pouvait chercher. Je le regardais, un peu surprise, il semblait pas à l'aise. Je me sentais bien curieuse. «J'avais prévu un petit cadeau en bon gentleman, mais il est resté dans ma chambre... On pourra toujours y passer à la fin pour que je te le donne ?» je fus un peu surprise, d'ailleurs, je me pinçai la lèvre inférieure, me questionnant intérieurement sur ce que pourrait être ce cadeau. Je posais ma main sur son bras en souriant. Ne t'inquiètes pas, on a le temps tu sais. On passera dans ta chambre et ça nous permettra de discuter un peu, non? Piii... j'ai besoin de câlins en ce moment, enfin... surtout de toi, de ta présence. Je n'osais pas vraiment lui en parler, c'était pas quelque chose qu'on annonce comme ça, qu'on parle comme ça entre deux bouchés. Le serveur arriva, nous demandant commande. Je posais ma main sur la bouche de Jacobs en me tournant vers lui. Nous prendrons les plats du jour, et pour Monsieur Ford, il prendra le meilleur vin que vous aurez. Pour moi, ce sera de l'eau s'il vous plait. Le serveur acquiesça et s'en alla. Je fis un petit sourire avant de me blottir dans les bras de Jacobs. Ma main se glissait jusqu'à la sienne pour y entremêlé mes doigts. J'avais besoin de tendresse, besoin de me changer les idées et Jacobs y parvenait sans s'en rendre compte. Et bien... passons une merveilleuse soirée à présent? D'ailleurs, je veux bien que tu commences à me parler de cette petite surprise que tu as oublié dans la chambre. C'est quoi ? Un bijou ? Un billet pour un voyage en Italie ? Hm... il y a tellement de choses possibles... Un string ? Petit coquin... lui dis-je alors que je tapais gentiment mon épaule contre la sienne. Je me mis à rire alors que je serrais un peu plus sa main dans la mienne. Il était si gentil avec moi, si différent, je me sentais unique à ses yeux, et ça me faisait du bien.
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Ses gestes, ses paroles, tout d'elle m'était agréable... Si bien que j'aurais voulu que notre proximité ne s'écourtera jamais, me permettant ainsi de savourer chaque instant. Ma partenaire ne semblait pas aussi en forme qu'a l'accoutumée sous ses rires et accolades : quelque chose à m'annoncer ? Je songeai tout en traversant la salle bordée de monde jusqu'à notre table isolée. Nous décidâmes de partager la banquette afin de réduire au maximum l'écart entre nos deux corps. Le sien blottit contre le mien et ses doigts s'emmêlant avec les miens ne me laissaient aucunement indifférent : j'aurais pu rougir si je ne me contrôlais pas plus. Cependant ce fut le regard du serveur et son arrivée qui m'interdit cette faiblesse. Malgré ses airs hautains, il ne devait pas être un mauvais bougre et je m'apprêtais alors à me saisir de la carte et commode qu'une main se pose sur ma bouche. J'entendais sa jolie voix commander deux plats du jour, un excellent vin pour moi, et de l'eau pour Teodora... Je fus assez surpris d'être le seul à boire de l'alcool - de plus je tenais très mal la route après deux verres - et qu'elle n'avait pris que de l'eau... Me cachait-elle quelque chose ?

Je ne pus toutefois aboutir dans mon idée puisqu'elle décida de me questionner au sujet du mystérieux cadeau... Toutes ses propositions me parurent plausibles, sauf la dernière qui m'attira un sourire : elle était vraiment adorable. Le voyage en Italie était une bonne idée pour tout avouer, et je pourrais toujours le rajouter au premier car après tout, rien n'est trop beau pour elle. Je marquais une pause, réfléchissant à ma réponse, puis me jetai à l'eau. Je lui volais un baiser avant de lui répondre aussitôt, comme pour éviter de me faire gronder pour cette folie.

«Et bien... Tu as un peu près juste à toutes tes propositions, sauf la dernière : je n'ai pas trop l'habitude d'offrir des strings aux personnes à qui je tiens, sinon ce serait une peu... pas très romantique quoi... C'est un bijou, mais après je ne dirais rien, sinon ce n'est pas très drôle.»

Je lui sourirai tandis que le serveur apportait les boissons, et me servit un verre de vin qui me paraissait excellent ainsi qu'un autre d'eau pour la demoiselle. Il nous avertit que les plats mettront encore dix minutes à arriver, ce qui n'était pas bien long pensais-je. Tout en apportant la coupe à mes lèvres, les questions qui me turlupinaient tantôt revinrent tourmenter mon esprit : pourquoi ne buvait-elle pas non plus ? La perpective qu'elle y soit allergique m'étonnerait un peu, et je songeai à une autre beaucoup plus plausible. J'observai son visage parfait tout en hypothésant sur la raison, qu'il était beau ! Je restai presque une minute à le contempler avant de retourner à mes moutons, passant cette fois-ci une étape supérieure.

« Tu ne... bois pas ? Et si c'est trop indiscret, t'as le droit de ne pas me répondre ma belle... »

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Comment expliquer à un ami aussi proche que Jacobs que j'étais enceinte ? J'avais peur de sa réaction, de ce qu'il pourrait penser de moi; pire, j'avais peur qu'il m'abandonne. Et je ne voulais pas de ça, pas maintenant, je préférais attendre que mon ventre me trahisse que de l'annoncer alors que nous étions dans un moment des plus parfait qui soit. L'un contre l'autre, la main de Jacobs dans la mienne. Je préférais parler de ma surprise, de ce qu'il voulait m'offrir. Je le faisais céder, mais ça m'amusait de sentir qu'il ne pouvait pas résister de me le dire, et après son baiser volé, je le regardais encore plus attentivement, espérant que le doute soit rompu. « Un bijou » Je me demandais bien ce que c'était. La perspective d'un string ne m'aurait pas plus déplu, je le savais que je l'aurais emmené dans sa chambre pour l'essayer, voir je me serais amusée à le « remercier » comme il se doit. Cette idée me faisait frissonner, mais en parler ? Du tout, je n'oserais pas auprès de Jacobs. C'était beaucoup trop...direct, et puis, c'était un ami, je ne devais pas à aller chercher plus que ça même s'il était mignon, qu'il était mon genre, et que notre proximité m'attendrissait et me plaisait beaucoup. Nous changions de conversation après que le serveur soit parti.

C'est alors qu'il me posa une « colle ». « Tu ne... bois pas ? Et si c'est trop indiscret, t'as le droit de ne pas me répondre ma belle... » Ou comment se faire capter. J'avais de la chance qu'il ne se doutait pas dès cet instant que j'étais enceinte. Je ne savais pas vraiment comment expliquer cela sans parler de la grossesse. Je laissais habilement ma main déraper sur sa cuisse pour frôler une partie très... sensible (sans le blesser) pour aiguiser ses sens et je lui répondais sur un ton qui cachait toutes hésitations de ma part. Euh... non. J'ai pas envie de boire ce soir et mon médecin m'a dit que je devais arrêter les abus de consommation d'alcool alors je préfère être sage ce soir. Je rapprochais mon visage du sien, pour se détendre, j'avais envie d'un peu de...tendresse et mes lèvres n'attendaient que celles de Jacobs. Nous étions si proche que je sentais son souffle caresser ma peau, me faire tressaillir, nos lèvres se rapprochaient mais...n'atteignirent jamais leur but final.

Le serveur venait d'arriver pour déposer les plats. Je m'étais écartée soudainement de Jacobs, attrapant mon verre d'eau pour en boire une gorgée alors que le serveur déposait nos assiettes sur la table. Je me maudissais d'avoir eu envie de l'embrasser, parce qu'après tout, c'était un ami et même si c'était un proche, je pouvais non plus lui sauter dessus sous prétexte qu'il était beau, que nous étions célibataires et que j'étais fortement attirée par lui ? Si ? Je n'en savais rien et pour l'instant, je me lançais plus dans l'hécatombe du plat qui me faisait face. Bien sur, je devais « tabler » la discussion. Et sinon... tu passes de bonnes vacances au Summer Camp ? Tu as pas brisé trop de cœurs, j'espère. Alors que je venais de mettre une bouchée dans ma bouche, je regardais Jacobs, sans me rendre compte que je le fixais, le regardais sans gêne. Il était beau, n'est ce pas ?
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Jacobs Hell Ford a écrit:
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Alors qu'elle semblait hésiter quand à la réponse, sa main qui se baladait sur ma cuisse, dépara vers une zone beaucoup plus sensible. J'étais si agréablement surpris par ce geste que je ne fis aucunement attention à sa réponse bien que je perçu quelques mots «médecin» et «abus» et je ne tardais pas à comprendre qu'il lui avait conseillé de réduire sa consommation. C'est tout à fait compréhensible, et de plus la vision d'une femme pompette n'est pas forcément des plus attirant, je songeai tout en reposant mon verre sur la table sans avoir bu. Encore plus étonné de voir son visage se rapprocher du mien, nos souffles se mêlaient pour ne faire plus qu'un... J'aurais eu envie que cet instant dure une éternité, que je puisse conserver pour toujours cette proximité, mais malheureusement nos lèvres ne se rencontrèrent pas et je dû réprimé tout désir de l'embrasser.

Encore plus déçu lorsque Teodora s'écarta de moi afin de se désaltérer, je me fis une raison tant bien que mal et remerciai le serveur de nous avoir amené nos plats. Une agréable odeur que j'humais me prédisait un excellent repas, même si j'aurais préféré la savoir plus proche de moi. À vrai dire, il s'agissait de la première personne capable de me produire un tel effet : en toute mes années de Dom Juan, aucune ne m'excitait si bien qu'à vingt-deux ans, je suis toujours vierge. Pas en signe astrologique je vous rassure. Je soupirai tout en lui souhaitant un très bon repas, me demandant si je lui plaisais ou pas. Car après tout, son presque-baiser et la manière dont elle m'avait effleuré tantôt ne présageait pas quelque chose ? Je devais me faire des idées : je n'étais sans doute pas assez digne d'elle. Sérieusement, qu'une fille aussi belle et élégante irait faire avec un arnaquer et dealer de surcroît ? Et alors que j'entamais mas première bouchée - quel met exquis ! - Teodora s'assurait que je n'avais pas brisé de cœur durant le Summer Camp tout en me fixant. Après l'avoir avalée, je m'empressais de lui répondre.

« À vrai dire, je m'en fiche un peu dans la mesure où mon cœur est déjà pris par une belle blonde. Et toi ? J'imagine que tu as tout Harvard à tes pieds, n'est-ce pas ? Du moins, tu as déjà moi si ce n'est pas toute la ville. »

Selon moi, Teodora devait se retrouver dans les premières du classement des plus délicieuses de tout Harvard. De plus, son caractère demeurait tout aussi parfait que l'extérieur, me disais-je tout en détaillant sa silhouette. J'aurais adoré l'embrassé sur le moment, l'emmener dans ma chambre et lui offrir mon cadeau, et tant d'autres choses qu'il serait incorrect de citer... Pour mon grand dam, elle ne devait être nullement attirée par moi, et je n'avais aucune preuve qu'elle soit célibataire.

« Par un pur hasard, si le serveur ne serait pas venu, m'aurais-tu embrassé ? »

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J'étais un peu bête d'avoir tenter, mais j'avais eu envie, comme ça. La raison m'était inconnue, mais j'en avais envie alors je le faisais. Seulement, j'avais été coupé dans mon élan et je m'en voulais d'avoir tenter. J'étais un peu gênée de vouloir tenter avec un ami qui était resté avec moi depuis tout ce temps sans me toucher plus qu'une étreinte affective. Je préférais passer à autre chose et là, le repas devait être bien. J'avais mis sur le table un sujet qui m'intéressait en empruntant un chemin indirect. « À vrai dire, je m'en fiche un peu dans la mesure où mon cœur est déjà pris par une belle blonde. Et toi ? J'imagine que tu as tout Harvard à tes pieds, n'est-ce pas ? Du moins, tu as déjà moi si ce n'est pas toute la ville. » Je fus surprise qu'il soit attiré par une fille, elle devait en avoir de la chance et j'avais du risquer quelque chose, comme briser le possible couple entre eux. J'aurais bien aimé qu'il m'en parle, mais peut-être avait-il des confidents qui l'écoutaient tout le temps et mieux que moi. C'est plutôt le mien qui est brisé. murmurais-je avant de prendre une nouvelle bouchée de mon repas. Bizarrement, je me sentais un peu vexée qu'il ne m'avait pas parlé d'elle, et voir même un peu jalouse. Sûrement que je ressentais ça sur le coup et que ça passerait.

« Par un pur hasard, si le serveur ne serait pas venu, m'aurais-tu embrassé ? » me demanda t-il, manquant moi même de m'étouffer avec l'eau que j'étais en train de boire. Je me sentis rougir, je connaissais la réponse puisque j'avais tenté. Je tapotais doucement mes lèvres avec ma serviette pour enlever l'eau, puis je répondis à mon ami. Peut-être. Il aurait fallu qu'il soit absent pour le savoir. Du mystère ? J'en mettais. Je ne voulais pas lui montrer mon attirance pour lui, il avait apparemment quelqu'un qui lui convenait, ça briserait notre amitié si je lui en parlais. Je finissais mon assiette, buvait un petit peu avant de m'asseoir plus proche de lui. Je voulais savoir un peu plus de chose sur cette fameuse fille. Je posais ma tête sur son épaule, mon visage était si proche du sine. Et sinon, cette fameuse blonde qui a prit ton coeur, tu m'en parles un peu ? Elle est à Harvard, je la connais ? Tu comptes lui dire que tu tiens à elle, ou pas ? Tu serais qu'elle pourrait être jalouse de savoir que tu m'offres un bijou ? J'sais pas... à sa place, je te kidnapperais dans ma chambre et je te ferais l'amour toute la nuit jusqu'à ce que la fatigue me fasse tomber. Tu vois un peu le genre ?

Et pendant que je parlais mon visage s'approchait petit à petit de celui de Jacobs. Oui, mon envie était toujours présente, mon attirance pour lui n'était pas qu'un simple petit blabla. Sérieusement, pourquoi je me retenais de l'embrasser ? Je n'en savais rien, mais à présent, j'étais à quelques centimètres des lèvres de Jacobs, et qu'une envie me tiraillait : qu'il fasse le dernier pas, que j'espérais effacer cette fille de son cœur pour prendre sa place. Au pire, tu peux toujours l'oublier... je suis là moi... murmurais-je timidement. Je n'avouais rien, juste que j'étais là pour lui, mais à quel point, je ne le disais pas.
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J'étais choqué par sa réponse, et surtout de savoir que ce petit cœur que je voulais mien soit brisé par une quelconque personne. Par ma faute ? Murmurait une voix inaudible dans le fond de mon être, que je voulus refouler. Non, il ne pouvait s'agir de moi, puisqu'elle ne ressentait aucun sentiment à mon égard, si ce n'était de que de l'amitié. Elle devait parler d'un autre homme qu'elle aurait aimé, et vice-versa, puis qui aurait déguerpi pour une tiers raison. En pensant cela, je me jurais d'emmener ce malotru dans une ruelle sombre afin qu'il regrette d'avoir fracassé à terre une telle fragilité. J'eus de la peine pour elle, j'aurais voulu la serrer dans mes bras, et qu'elle comprenne enfin qui était la somptueuse blonde citée tantôt... Peut être avait-elle décidé de ne pas relever ma déclaration à mots couverts ? Préférait-elle faire la sourde oreille afin de ne pas gâcher notre amitié ? Songeai-je tout me délectant du plat du jour.

Dès que je lui demandai ce qui serait advenu de notre baiser si le serveur ne nous aurait aucunement interrompu, son visage troqua son adorable couleur opaline pour une plus rougeâtre. D'ailleurs, Teodora manqua de s'étouffer dans son verre d'eau. Je guettais sa réponse comme ses divers réaction, mais cette première ne me plut nullement puisqu'elle se faisait trop indécise et vague. Je me fis silencieux jusqu'au restant du repas, méditant sur ses paroles. Ce n'était donc pas moi qu'elle aimait, ou du moins pour qui elle éprouvait une once de sentiment : sinon elle aurait réagit autrement. Peut être m'aurait-elle dit de retenter l'expérience dans ce cas ? J'aurais nettement préféré. Mes sourcils se fronçaient, je me sentais terriblement sot et j'aurais voulu être invisible pour ne plus à avoir à porter l'échec de mon cœur. Sans nul doute qu'elle devait être amoureuse de ce type qui lui avait brisé son cœur sans une once de remord, et pas de l'idiot qui se trouvait à ses côtés en ce moment même.

Soudainement, je sortis de mes songes lorsqu'elle se blottit une seconde fois contre mon corps et approcha dangereusement ses lèvres des miennes, mais pour me questionner à mon grand dam. À ses dires, je compris qu'elle n'avait aucune idée quant à l'identité de la jeune fille que j'aimais, et j'en fus presque amusé. L'on aurait pu tirer cette scène d'un roman ou encore d'une comédie,« tant le coup de l'amoureux transit qui essaie de faire comprendre à son amie qu'il l'aime à mots couverts mais celle-ci s'efforce de croire qu'il s'agit d'une autre » est excellent.

« Oui, elle est à Harvard, tu la connais très bien et d'ailleurs elle porte le même prénom que toi. Et quant à ce que j'éprouve pour elle, j'ai beau lui dire par des moyens détournés elle n'arrive pas à me comprendre. Et je ne pense pas qu'elle sera jalouse du bijou, puisqu'elle l'appréciera autant que toi. »

Je pouvais admirer chacun des détails de sa peau si parfaite en raison de notre proximité. Ses yeux m'envoutaient tandis que nos souffles se mêlaient entre eux... J'aurais voulu l'embrasser dans l'instant, surtout depuis qu'elle a achevé la fin de sa phrase, mettant en scène un kidnapping des plus coquin. Toutefois, mon état de contemplation se stoppa nette lorsqu'elle me proposa d'oublier celle que j'aimais pour elle, ce qui était tout à fait illogique dans un sens. Aussitôt, je soupirais puis lui ébouriffais les cheveux.

« T'es trop mignonne. T'as même pas compris depuis tout à l'heure que c'est de toi que je parlais. C'est toi la belle blonde. »

Sur ces mots, je l'embrassais sans attendre une quelconque réponse de sa part.

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Je devais vraiment être à l'ouest, peut-être parce que j'étais enceinte ou que je me mentais en voulant ne pas me faire de film. J'étais franchement mal, mais au fond, je le cherchais peut-être à l'être. Et ce bébé qui attendait dans mon ventre et que peu de personnes étaient au courant. Je m'en voulais de pas lui dire, mais je pouvais pas, pas maintenant. Il me fuirait peut-être. Et puis, ça servait à rien, il en aimait une autre. Je me sentais troublée de la description qu'il en faisait d'elle – de moi-, elle s'appelait comme moi, elle ne comprenait pas. Non, j'étais trop fière pour avouer que je ne comprenais pas, ou je cherchais peut-être à me faire désirer. J'essayais de lui voler un baiser, le faire puisque le serveur ne me l'avait pas permis avant. C'est alors qu'il se mit à rire lorsque je lui demandais de penser à moi, d'être avec moi, que j'étais là pour lui. Il me taquina en ébouriffant mes cheveux, je fis alors la grimace. « T'es trop mignonne. T'as même pas compris depuis tout à l'heure que c'est de toi que je parlais. C'est toi la belle blonde. » me dit-il. Il me touchait en plein cœur, il m'avait attrapé, il … me tenait. Sans pouvoir lui répondre, il m'embrassait et je le lui répondais avec une passion qui se voulait sauvage, mais à la fois remplis d'amour. C'était le plus important.

Je ne me rendais pas compte du monde qu'il y avait autour de nous, du nombre de personnes qui pouvaient nous regarder nous embrasser, j'étais juste bien. Ma main sur sa joue alors que nos lèvres se caressaient, nos langues s'entre-mêlaient. Je ne cherchais que son affection et savoir que j'avais obtenu même son amour, ça me faisait à la fois du bien et c'était bizarre. Lui faire plus qu'un baiser ? Bien sur que j'en avais envie, j'avais envie de le faire sur cette banquette, lui arracher ses vêtements et les miens. J'en mourrais d'envie. Mais le serveur passa à coté de nous en toussotant. Je me mis à sourire. Je crois qu'on devrait aller chercher le cadeau dans ta chambre, Jacobs. Je souris, et quittais la table en prenant bien évidemment la main du Dunster dans la mienne. Allez, viens par là. Je me mis à sourire alors que je le tirais jusqu'à l'ascenseur. Nous étions pas seuls, il y avait quelqu'un dedans qui nous amena jusqu'à l'étage de Jacobs. Je me blottissais dans ses bras, en attendant que nous arrivions. J'avais envie d'être seule avec lui et l'embrasser pendant des heures.

L'ascenseur s'ouvrait sur le bon étage et je tirais Jacobs dans le couloir sombre. Il n'y avait personne et lorsque nous fûmes entièrement seuls, je le poussais contre le mur. J'ai envie de toi. lui avouais-je et je l'embrassais langoureusement sans vraiment avoir de réponse positive ou négative, je l'embrassais dans une certaine passion, dans une sauvagerie non dissimulé, il était à moi.
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(flashback) JACOBS ♡ Ce n'est pas seulement un diner entre amis... n'est ce pas ? 5a56018761b32d0081b8bf7
La suite se déroulait au plus vite, comme si nos heures en communs étaient comptées. Sa main sur ma joue, nos langues entremêlées un ballet passionné, et les regards appuyés des badauds. Les jaloux, ils devaient regretter ces merveilleux moments auxquels ils ont renoncés jadis. En raison du serveur encore une fois intrusif, notre baiser pris fin. Aussitôt, comme des amants fuyant la société, nous fuyâmes jusqu'à un endroit plus sûr et discret et ainsi, là où se trouvait son cadeau. J'avais à la fois hâte de lui offrir, mais aussi de lui faire l'amour toute la nuit. Je réalisais ceci tout en gravissant les derniers mètres qui nous séparaient de l'ascenseur, où nous ne fûmes aucunement seuls. Dommage me disais-je tout en savourant les instants où son corps était blottit contre le mien, moments que je chérissais. Dire qu'avant nous n'étions que de simples amis, nous discutions des heures de tous et de rien et Teodora demeurera la seule personne qui me connait vraiment. Evidemment, la belle ignorait tout de mes activités, que j'arnaquais des femmes mariées dans le but de crouler sous l'argent, mais du moins, peu savait que ma mère était folle.

Jamais je n'aurais cru l'avouer à une tiers personne, je craignais trop le regard des autres, ce qu'ils pourraient penser de moi. Même si dans un sens j'en étais fière : une mère folle portant son enfant en fait un génie. Cependant cela m'avait rendu assez fragile, si bien que je me construis une carapace. Je redescendis sur terre lorsqu'elle me plaqua contre le mur, et me confia qu'elle avait envie de moi avant de m'embrasser fougueusement. Malgré mon envie de continuer, je mis fin au baiser. Je savais pertinemment ce qui allait ce passer : nous allions coucher ensemble, or j'étais encore puceau. Ma chambre n'était plus très loin, et lui pris la main afin de lui conduire. Je réfléchissais, non je me creusais l'esprit, afin de trouver une manière de le lui faire comprendre. J'allais passer pour un sot, peut être allait-elle me rire au nez ? Nous arrivâmes devant ma porte, j'avais oublié de fermé, si bien que nous y entrâmes sans grand effort. Comme à l'accoutumée, tout était en ordre en en raison de ma maniaquerie récurante.

« Je vais chercher le cadeau, assieds-toi où tu veux. »

Quel idiot ! Je l'avais laissé sur ma commode en évidence. Je m'en saisis et m'assura qu'elle était toujours dans son écrin. Il s'agissait d'une Cartier, en or blanc incrusté de minuscules diamants sur le cadran et à l'intérieur du bracelet délicat, son prénom était gravé. Ce n'était pas le genre de chose que l'on offrait à une amie, mais au point où sont les choses je n'avais aucunement à m'en faire. Je revenais alors à elle, le présent en main. Je m'assis à côté d'elle puis lui tendis d'un air gêné. J'aurais voulu rajouter quelques chose mais je ne pouvais ouvrir la bouche. Je devais lui avouer que j'étais encore vierge, sinon elle risque de me croire nul en la matière.

thekillingmoon
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