Nate ►I'm broken, could you repare me ?

I'm broken, could you repare me ?

Ma dignité... J'ai l'impression qu'elle s'est fait la malle en même temps que ma mémoire... Je suis là, comme un con sur mon lit, l'infirmière qui s'occupe de moi vient de partir... Elle a fini ma toilette. A cet instant précis, j'ai l'impression d'avoir prit soixante ans dans la gueule... Je peux pas me lever, ou plutôt, je ne peux pas me tenir debout sans personne à mes côtés, je ne peux pas forcé sur ma jambe et surtout, je dois faire attention à ma tête... Bref, c'est limite si je peux lever le petit doigt sans risqué de me faire engueuler par le doc, le kiné ou même une infirmière... Je déteste cette situation... Celle d'avoir l'air d'un petit vieux... Mais il faut que je tienne bon, c'est juste une passe, puis faut quand même bien que je reste propre, surtout que j'ai pas mal d'amis qui viennent me rendre visite au final... Enfin, là, je suis propre... Du moins aussi propre que peut l'être un malade incapable de se laver tout seul, que le moindre effort fait trop facilement transpiré à cause de la douleur éprouvé, et cela malgré la dose de morphine, qui semble bien trop faible. Mais je ne me plains pas, du moins, pas ouvertement. Je souffre en silence. Mais là, maintenant que j'ai regagné mon lit, je profite de moelleux du matelas. Je fermes alors les yeux, occultant tout cela du mieux que je peux, la machoire crispé à cause de la douleur. Il faut que j'arrive à me détendre, à décontracté mes muscles... Je souffle alors, essayant de respirer lentement et profondément tout en gardant les yeux fermés pour tenter d'oublier que je suis à l'hôpital.

@Nate J. Hawkins

On avait passé le mot à Nate... Jay s'était réveillé. Quand il avait appris pour son accident, il n'avait pas pleuré, ni eu de réaction bien particulière. il s'était contenté de rentrer chez lui, de s'asseoir sur son lit, et de regarder dans le vide. En fait... il était heureux qu'il soit en vie. Peut-être que ce n'était pas approprié comme réaction quand on apprend un accident pour quelqu'un... mais lui, l'Hawkins, il souriait sur son lit. Il souriait de savoir qu'il était entre de bonnes mains, qu'il allait se remettre et il se remémorait tous les bons moments qu'ils avaient passés ensemble. Pour une fois... il n'était pas pessimiste. Il l'était surtout pour lui-même en fait, rarement pour les autres.

Bref, du coup, quand il avait donc appris ce fameux réveil, il s'était empressé d'aller à l'hôpital pour le voir. Revoir son ami, recommencer à faire la fête, à rire. A ne penser à rien d'autres qu'à des conneries. Enfin... il se doutait que ce serait pas tout de suite mais... mais ça lui faisait quand même plaisir de le revoir. Il lui avait même fait des muffins qu'il avait dans une petite boîte. Son trajet lui avait paru une éternité, et quand il arriva et qu'on lui indiqua la chambre de Jay... il s'empressa d'y aller. Il toqua lors, attendit une réponse qui ne vint pas, et se risqua à entrer.

Il dormait... ? Dur à dire. Mais il avait vraiment une sale gueule. Sûrement que Nate devait pas être beaucoup plus beau après son accident. Mais soit, le blond se mit à sourire. Il s'avança vers le lit avec sa boite de muffins qu'il serrait entre ses doigts comme si sa vie en dépendait. Et il osa prononcer quelques mots. D'une voix timide, assez basse, parce qu'il avait peur de le déranger.

"Hé ben... tu t'es pas loupé..." Il rit un peu. "Content de te voir de retour parmi-nous. Je t'ai fait des muffins au chocolat."

I'm broken, could you repare me ?

Mes paupières se soulèvent alors que j'entends une voix à côté de moi. J'ouvre les yeux, regardant la personne, le garçon. Je ne le reconnais pas... Qui est-ce ? Vu son comportement, on est ami ?Je le fixe, sans trop savoir quoi dire. Je reste d'ailleurs silencieux un long moment à cause de cela, à savoir si je peux ouvertement lui demander un t'es qui ou pas... Je suis perdu. C'est pire que de me dire qu'on est en janvier et non pas en août... Je tente de me redresser un peu dans mon lit pour tenter de lui faire un peu plus face et pouvoir le détailler un peu. Mais non, rien ne me revient en mémoire. Je ne le connais pas. Plus, devrais-je plutôt dire. "Excuse-moi... Mais qui es-tu ?" Voilà, la question à finalement franchit mes lèvres... Les médecins auraient du prévenir les personnes que j'étais amnésique et pas les laissé déboulés comme ça... Pas à l'improviste... Parce que là, je ne sais pas du tout quoi faire, ni quoi dire alors qu'il m'a apporter des muffins et tout. Je le fixe, réfléchissant, essayant encore de me forcer à me souvenir, mais tout ce que ça arrive à produire, c'est un mal de crâne encore... Je grogne un peu, de douleur et de frustration alors que je porte ma main à ma tête pour me masser un peu au risque de confirmer encore un peu plus ma blessure à l'arcade sourcilière. Comme il l'a dit, je ne me suis pas loupé.

Là, Nate eut un grand moment de solitude. Alors qu'il avait été extrêmement enjoué de retrouver l'un de ses amis les plus proches, il se reprenait une claque dans la gueule. Son sourire avait laissé place à une figure déconfite. Il devenait de plus en plus blanc au fur et à mesure que les secondes passaient. Nan... nan, il lui faisait une mauvaise blague c'était pas possible autrement. Il pouvait pas... ne pas se souvenir de lui, si ? C'était pas possible... Il avait l'impression que le sol se dérobait sous ses pieds tant il était pris de vertiges, ses oreilles sifflaient et il regardait Jay avec toujours cette même tête indescriptible ment perturbée et triste.

Nan... nan nan nan. Il lui faisait une blague c'était forcément ça. Y avait pas d'autre moyen. Il faisait genre de pas se souvenir. Il faisait ça pour le faire flipper un coup pour ensuite lui dire que c'était pour rire et pouvoir faire revenir la bonne humeur. Un ascenseur émotionnel. Alors, Nate se remit à sourire tant bien que mal, il émit un rire nerveux qui avait quelque chose d'assez flippant. Il avait besoin de tout sauf de perdre un ami en ce moment. Un ami proche en plus de ça. Non... vraiment il fallait pas que ça arrive. Et s'il se souvenait plus de lui... c'était foutu, jamais il arriverait à se rendre intéressant une nouvelle fois. Parce qu'il était trop mal, parce que personne ne voulait d'un boulet comme lui dans sa vie.

"T... Tu me fais une blagues là c'est ça ? Tu plaisantes ?"

I'm broken, could you repare me ?

Ma question était sincère, je ne me souvenais réellement pas du jeune homme qui se tient présentement à mes côtés. Je suppose que l'on est ami, vu son attitude, on ne peut pas être que des connaissances, sinon, il aurait pas jouer les pâtissiers pour moi, car je suppose que les muffins sont fait maison. Je le fixe, attendant sa réponse, mais sa réaction me fait de la peine, le voir se décomposer comme ça, blêmir ainsi, rire nerveusement... Est-ce qu'on avait un lien si particulier que cela pour avoir une telle réaction de sa part ? C'est assez... Louche... je ne sais pas trop ce que je dois penser surtout qu'il essaie de prendre ça comme une blague. Le déni... C'était ce que je faisais aussi au début, en cherchant à oublier ce que les médecins avaient dit et simplement continué à me dire qu'on était en août et pas en janvier... J'inspire alors profondément. Comment lui dire ? Pourquoi est-ce qu'il était pas tout simplement marqué sur ma porte que je suis amnésique, ça m'éviterait de toute le temps me heurté à des personnes surprises par cela... Je cherche mes mots, pour lui dire... Lui dire que je suis désolé de ne pas me souvenir... Mais comment... Parce qu'au final, c'est bien plus dure pour moi non ? Parce que je vois des visages que je ne me souviens pas avoir déjà vu, que je ne me souviens pas de mes retrouvailles avec des proches revenu après une trop longue absence... Alors d'une voix brisée, je prends la parole. "J'aimerais tellement que ça soit une blague." Parce que ça serait mieux, ça serait plus facile pour moi... Juste faire semblant de pas me souvenir, mais là, c'est loin d'être le cas, je ne me souviens de rien pas même des fêtes de fins d'années ou bien même pire... De l'attaque en elle-même... Feindre l'amnésie serait bien plus drôle que de l'être réellement... Mais est-ce qu'il peut comprendre que je ne joue pas ? Que les premiers jours on été une putain de torture pour moi et que ça l'est toujours au final, parce que je vois des gens comme lui qui ne me dise rien et qui pourtant sont proche de moi... Je ferme alors les yeux. "Je suis désolé."

De toute façon... la vie était une vaste blague. Mais son humour ne plaisait pas à Nate. Lui qui avait désespérément besoin du soutien de ses amis en ce moment se retrouvait encore une fois tout seul. Il avait réellement peur, de ne jamais réussir à redevenir ami avec Jay. Il en tremblait d'ailleurs un peu. Alors... son annonce qui lui disait que ce n'était pas une blague... ça lui laissait juste une boule dans la gorge qui l'empêchait de parler. Il était bien trop fragile en ce moment pour pouvoir encore encaisser ce genre de connerie. Bien trop fragile. "Evitez les surcharges émotionnelles ou... les situations émotionnellement difficiles" qu'elle avait dit la psy.

Ouais... comme si c'était facile. Quand tu te tapes des angoisses parce que t'as perdu une chaussette... je vous laisse imaginer ce que ça donne dans une vraie situation difficile. Nate tapota un peu de ses doigts sur la boîte de muffins avant de la poser sur la petite tablette à côté du lit de Jay. Là... il n'arrivait plus à sourire. Il voyait bien le malêtre de son ami (s'il pouvait encore l'appeler comme ça) mais il ne pouvait rien dire. Il se contenta juste de dire oui de la tête à ses excuses avant de s'asseoir sur le fauteuil de la pièce et de regarder dans le vague, les yeux légèrement humides.

En plus d'avoir un humour de merde, la vie était vraiment une pute. Nate se mit à jouer avec ses doigts dans l'espoir de se calmer un peu. Mais il ne pouvait pas s'empêcher de penser à tout ce qu'il avait perdu dans sa vie d'un coup... rien qu'à l'annonce d'une amnésie. Il resta donc silencieux pendant des minutes qui devaient être une éternité. Il avait essuyé les quelques larmes qui avaient eu l'audace de rouler sur ses joues, et au final, il releva les yeux vers Jay pour parler d'une voix tremblante, il avait réussi à rassembler un peu de courage.

"Je suis Nate. Nate Hawkins. J'ai 20 ans et je suis en première année de médecine et neurosciences. On s'est connu à la soirée d'Halloween de l'Université. Et ensuite on est... devenu amis." Il baissa de nouveau les yeux pour ravaler un sanglot. "Je suis... content que tu ailles bien."

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Les excuses, chez moi, ça vient pas facilement et pourtant je venais quand même de lui présenter mes excuses, parce que j'étais mal... mal de ne pas me souvenir de tout ça, de notre rencontre, de lui tout court en fait...J'ouvre alors à nouveau les yeux, pour le regarder, cherchant à voir qu'il ne m'en veut pas, mais ce que je vois... Ça m'étonne et je ne comprends pas pourquoi il réagit de cette façon. Qui était-il pour moi ? Pourquoi réagir de façon si extrême ? J'ai du mal à le cerner, je ne comprends pas... Je ne sais pas comment je suis sensé réagir à ses larmes... Car au final, elle me met mal. Mal à l'aise et surtout, elles me confirment que j'ai oublié des choses importantes, des choses que je n'aurais pas du oublier... Je continue cependant de le regarder, alors que je ne devrais peut-être pas, parce que ça risque de le mettre à son tour mal à l'aise ? Je suis un peu comme un voyeur non ? Non... Parce que je ne m'en cache pas, il pleure devant moi, à cause de moi, ou bien peut-être même pour moi, je ne sais pas, mais dans tout les cas, il ne cherche pas réellement à cacher ses larmes, bien qu'ils les estompent sur ses joues rapidement. Je l'écoute alors, parce que je ne sais pas quoi faire d'autre... Je ne sais pas ce que je peux lui dire, parce que je ne sais plus rien de lui... Je suis misérable... Il se présente, m'explique qui il est, ce qu'il fait comme étude et comment on s'est rencontré, sauf que je ne peux pas confirmer tout ça... Puis ça façon de me dire que l'on est amis... Hésitante... Il y a un soucis ? On s'est disputé avant que je ne perde la mémoire ? Je le fixe, essayant dans un sens de le sonder, de savoir ce qu'il peut bien penser avant de finalement prendre parole quand il me dit qu'il est content de voir que je vais bien... Même si bien n'est pas le terme adéquate, j'ai quand même pas mal de bleus, une arcade fendu, un trauma crânien et les séquelles d'une balle dans la cuisse... Mais soit, je vais bien. On se convainc tous comme on peut et si cela l'empêche de me regarder d'un air trop inquiet, je préfère lui laisser croire cela. "Nous ne le sommes plus ?" Finis-je par lui demander, vu l'hésitation qu'il a eu en disant que l'on était devenu ami.

C'est vrai que les excuses était quelque chose de très très rare chez Jay. Et le dunster en avait bien conscience. Il était mal aussi de ce qui était arrivé au rouge. Parce que... la douleur il avait connu lui aussi il n'y a pas si longtemps que ça. Alors il ne pouvait que comprendre, compatir. La seule chose qu'il ne comprenait que partiellement était l'amnésie. La seule chose qui pouvait un minimum le faire compatir ici... c'était le fait qu'il ne se souvenait de sa soirée d'Halloween que par flashs incohérents. Des bribes, des moments marquants mais rien de plus. Ce n'était rien par rapport à lui qui avait oublié des mois entiers. Nate releva les yeux vers lui à sa question, il essuya une nouvelle larme sur sa joue et lui sourit un peu.

"On est venu amis par un concours de circonstance. Enfin je crois... je sais pas... si tu voudrais encore de moi aujourd'hui."

Il était un cas, il le savait et ça lui pesait souvent quand il devait faire de nouvelles rencontres ou établir de nouvelles amitiés. Et... même s'il connaissait très bien Jay, lui ne le connaissait plus. Ce serait d'autant plus compliqué que ce serait à lui de devenir le moteur de la relation. Il n'y aurait plus rien des souvenirs de cette soirée d'Halloween où son ami avait décidé de prendre Nate sous son aile pour pouvoir lui apprendre à se lâcher. C'était fini tout ça... enfin... potentiellement. Le dunster regarda dans le vague, avant de finalement réussir à lâcher de nouveau quelques mots.

"En fait... je suis pas hyper sociable comme garçon. Et tu avais un peu décidé de me trainer partout en soirée pour que je profite de la vie et que j'apprenne à me lâcher."

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Je continue de le regarder, pour essayer de le comprendre, de savoir quand penser de ce garçon qui verse des larmes pour moi, pour ma mémoire... Dans un sens, je suis soulagé de voir que c'est ça qui enfin inquiète le plus quelqu'un plutôt que ma gueule trop marqué par les coups que j'ai prit et l'état de ma jambe qui n'est guère bon... Je ne peux pas encore marcher... Je ne sais même pas si je saurais un jour à nouveau marché comme il faut ou si je boiterais le reste de ma vie... Les médecins sont confiants. Moi pas. Je deviens d'un pessimisme alarmant à force de trop regarde ce mur et ce plafond. Mais là, quelqu'un d'autre ce soucie également de ma mémoire et cela me touche, le fait de savoir que je ne suis pas le seul réellement préoccupé par cela...Tout comme moi, en vue de ses paroles, il semble avoir peur que je ne la retrouve pas. Mais le pire, c'est qu'il pense que l'on ne pourrait plus être amis sans elle... C'est un peux vexant dans un sens non ? Je continue donc de le regarder, l'écoutant alors que je cherche à me redresser un peu pour m'asseoir, les oreillers dans mon dos. Je gémis un peu de douleur dans ma manœuvre, mais j'y arrive, forçant sur mes bras et mes abdos pour ça... Une fois plus ou moins assis, je continue de le regarder, ma main se glissant jusqu'à sa tête pour ébouriffer un peu ses mèches blondes.C'est étrange de me voir comme ça chercher à rassurer quelqu'un alors que c'est plutôt moi qui ai besoin d'être rassurer, sur ma jambe, sur ma mémoire, non pas part des médecins, des infirmières ou je ne sais qui du corps médical, mais bien par mes proches, comme Marley l'avait fait le premier jour en me disant qu'elle m'aiderait. Je souris alors à Nate doucement."Ce n'est pas parce que je ne me souviens pas que ça change quelque chose à notre lien... Il te suffit juste de me dire, comme tu viens de le faire, ce qu'on avait comme relation et je me baserais sur cela pour essayer de me retrouver...Si on a été amis une fois, tu ne dois donc pas douter qu'on le sera encore... Même si j'ai perdu la mémoire, je reste le même gars, tu ne crois pas ?" Oui et non... En cinq mois, j'avais du changer, on change toujours, au gré des relations, des histoires de coeurs, des peines et de joies... Perdre cinq mois me faisait dans un sens régresser, même si je gardais au final les même traits de caractères de bases...Enfin, il me semble...

Nate fut un peu surpris de voir Jay avoir un tel geste envers lui. Passer sa main dans ses cheveux... c'était clair qu'on pouvait dire qu'il ne s'y attendait pas du tout. Alors il avait relevé le nez pour le regarder avec des yeux ronds avant de sourire un peu. Il appréciait ce geste, même si ça ne lui ressemblait pas, ou du moins pas à ce qu'il avait connu de Jay. Ce qu'il disait était terriblement vrai, rassurant, beau et juste. nate avait vraiment envie d'y croire car perdre un ami comme Jay, ce serait certainement la pire des catastrophe dans sa vie.

Il avait déjà perdu tant de choses autour. Il était déjà tellement désespéré... qu'il était vraiment heureux aujourd'hui de l'entendre lui dire qu'il voulait encore être son ami. Le point positif de tout ça... c'était qu'au moins il ne se souvenait plus que Nate avait fait une tentative de suicide, ni qu'il avait une attirance certaine pour les hommes. Deux choses desquelles il n'aurait jamais du être au courant et qui s'étaient à présent échapper de sa mémoire. Tout ce que Nate souhaitait... c'était que ça ne revienne pas sur le tapis trop vite.

"Merci... de me dire tout ça c'est... ça signifie beaucoup pour moi. Si tu veux quand tu seras sorti on pourra recommencer à bouger comme on le faisait avant. Profiter de la vie quoi. Et en attendant... je pourrais toujours venir ici pour t'enquiquiner."