mission d'évasion pour l'agent strudwick & l'agent luxembourg. (orphël)

AGENT 007, BITCH.
L'dauphin et la sauterelle.
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Bon ça y est, vous aviez trouvez un nouveau jeu, et sérieusement ça t’excitait plus de que de faire space montain sans barrière de sécurité. T’étais là comme une gosse à trépigner d’impatience rien qu’à l’idée d’imaginer la tête de ce connard lorsqu’il découvrirait sa voiture dans un état pitoyable, genre, la toute nouvelle caisse devenue vieux tacot irréparable, du moins pas à moins d’une très bonne assurance. T’étais trop heureuse. Vous vous avanciez vers le gymnase et tu riais en l’entendant. « Il faut être sérieuses agent Strudwick, mais si néanmoins vous vous retrouvez encerclée par de menaçants jolis petits culs, je vous autorise à agir pour le bien de l’humanité. » Ouais, t’étais hyper fière de ta connerie. Sans la moindre hésitation tu pénétras à ton tour dans le bâtiment lorsqu’elle joua le jeu au point de te dire que la voie était libre, t’en attendais pas moins d’elle. Tu fis mine de baisser ton flingue tout en le gardant à proximité, repérant les battes qui n’attendait que vous, et entendant au loin quelques sifflements sous les douches. Tu retins un gloussement, tendant la main vers la batte et en attrapant une à toute vitesse, comme si le danger était à son summum. Tu la tendis à Az. « Voilà votre arme agent 007, pour l’autre, il va falloir entrer dans ce vestiaire empestant la sueur de mec. » En voilà une belle mission.

AGENT 007, BITCH.
L'dauphin et la sauterelle.
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Non mais fallait quand même avouer que j'avais la puissance de m'enfermer dans mes rôles. C'était pas donné à tout le monde et moi, au moins, je jouais le jeu. Donc peut être bien que j'avais l'air stupide à improviser des petites roulades et à tenter de ne faire qu'un avec le mur mais.. Elle avait pas le droit d'se foutre de moi. Pas quand elle avait débarquée dans mon amphi comme un super ninja pour me sauver. « Il faut être sérieuses agent Strudwick, mais si néanmoins vous vous retrouvez encerclée par de menaçants jolis petits culs, je vous autorise à agir pour le bien de l’humanité. » Mais.. Mais.. J'en pouvais plus de cette fille. Un jour, j'allais mourir. J'allais mourir et ça serait de sa faute parce que j'aurais littéralement explosée de rire devant ses conneries. Donc, j'ai le droit de toucher ? Bref, on venait de s'infiltrer dans le gymnase et Orphée, fidèle à elle même, attrapait la batte à disposition, rapide comme l'éclair. « Voilà votre arme agent 007, pour l’autre, il va falloir entrer dans ce vestiaire empestant la sueur de mec. » Dear god.  Je la regardais comme si elle venait de m'annoncer qu'il y avait une bombe à neutraliser. Entrer dans cet endroit mélangeant testostérone et sueur ? Adieu. On allait vraiment mourir. Les odeurs masculines auraient probablement raison de nous. J'posais ma batte contre le mur m'assurant d'avoir les mains libre pour la deuxième étape de cette expédition. Bon, j'fonce chercher la deuxième batte, tu couvres mes arrières. Si un intrus s'infiltre dans le vestiaire, tu as pour mission de le charmer. Merci coéquipière, maintenant, à l'attaque.

AGENT 007, BITCH.
L'dauphin et la sauterelle.
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Tu savais bien que tu ne pouvais pas être cruelle envers ta meilleure amie au point de l’interdire de toucher de beaux garçons sortant tout juste de la salle de sport, non mais. C’était une mission sérieuse mais pas de la torture quand même ! T’étais sûre qu’Obama lui même jugerait sûr-humain de vous empêcher de vous amuser un peu. Même les totally spies avaient le temps de rire un peu. Alors sur le ton très solennel de la fille qui n’exagère qu’un peu tu finis par céder, posant une main exagérément sur ton coeur. « Oui agent Strudwick, oui, je vous y autorise, mais seulement si le level de cannonisme du garçon est très élevé. » Tu fis tandis qu’elle riait et que toi, ben, tu riais aussi, incapable de te retenir lorsque tu la voyais rire de la sorte. Comment voulez vous ? En plus Az avait un de ses rires communicatifs auquel tu savais pas échapper. Puis l’air de rien tes conneries t’amusaient beaucoup toi même, t’étais ta première fan. Tu la laissais attraper sa batte en la regardant s’avancer, écoutant ses dernières recommandations alors que tu hochais vivement la tête. « Bien camarade, sois prudente et ne reviens pas défleurée ! » Tu fis en imitant une larme à l’oeil, comme si elle allait vraiment partir à la guerre, et tu te retins encore de rire d’avantage. Tu la laissas alors récupérer la batte, fidèle à ses instructions et tu guettas la porte avec un regard de braise. Lorsqu’elle revint avec les deux armes, tu ris en attrapant la tienne, sautillant sur place. « Bravo agent 007, je suis fière de vous. Serait-ce un suçon dans votre cou ? » Tu gloussas en roulant les yeux, plaisantant, attrapant sa main pour sortir du vestiaire. T’avais qu’une envie, aller défoncer cette voiture.

AGENT 007, BITCH.
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Oh, y avait de la pression mine de rien, ça rigolais pas. Puis c'était une mission de la plus haute importance mine de rien puisqu'il fallait par la suite casser la voiture du vilain plan cul de la blonde. « Oui agent Strudwick, oui, je vous y autorise, mais seulement si le level de cannonisme du garçon est très élevé. » Ouais bah généralement, les sportifs ils avaient un niveau de cannonisme trèèèès élévé. Peut être bien qu'ils n'avaient pas grand chose dans le cerveau mais ils étaient pas mal à regarder et moi, j'pouvais passer des heures à me baver sur moi même juste en les observant. « Bien camarade, sois prudente et ne reviens pas défleurée ! » Wtf ? Là, j'avais clairement envie d'exploser de rire mais ça aurait été le parfait moyen de nous faire remarquer alors forcément je me contenais du mieux possible et plutôt que la regarder, je fonçais à l'intérieur de la pièce me la jouant Lara Croft jusqu'au bout. Victoire, j'avais choppé la deuxième batte et maintenant, je courais en direction de la sortie tendant l'arme du crime à ma partenaire. « Bravo agent 007, je suis fière de vous. Serait-ce un suçon dans votre cou ? » Par bêtise, j'passais ma main dans mon cou avant de glousser. T'es conne mon dieu Quoi que j'aurais pas spécialement dit non à un petit moment privilégié mais là n'était pas la question. Bon, t'es prête à massacrer un tas de ferraille ? Parce que c'était la suite logique du plan mine de rien. J'veux qu'on s'planque pour filmer la réaction après.

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Ouais fallait le dire, ton but c’était sans doute de finir par la tuer de rire. C’était plutôt une jolie mort non, de mourir à force de rire ? T’osais même pas imaginer la chose. Est-ce que ça faisait seulement mal ? Quoique lorsqu’on riait à s’en tenir les côtes c’était quand même un peu douloureux, alors ce serait peut-être pas une si jolie mort finalement. Elle en profitait d’ailleurs pour te dire que t’étais conne et tu lui souris grandement en faisant tourner ta batte de baseball entre tes doigts. « Ouais mais j’me soigne je te jure. » Tu lui fis un petit clin d’oeil entendu avant de sauter sur tes pied en l’entendant, comme une enfant impatiente. « Mais grave, j’attend que ça. Qu’est-ce que tu crois ? » Tu sortis ton iphone pour toute réponse à sa seconde envie. Vous étiez sur la même longueur d’onde. Vous vous mirent en route, croisant au passage un sportif qui venait d’entrer, tu fis une petite pression sur la main de ta meilleure amie pour qu’elle le remarque et tu gloussas un peu, filant vers l’appartement de ton ex. Il n’était pas bien loin, en quelques minutes vous y seriez. Tu profitas de l’occasion pour prendre quelques nouvelles d’Az, la batte sur le dos. « Rien à me raconter sinon ? Les grandes histoires de ta vie me manquent. » Et tu ris, tandis que vous arrivez dans la rue en question et que tu désignes du menton la superbe voiture garée là.

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L'dauphin et la sauterelle.
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Oh oui, filmer toute la scène et pouvoir la regarder tard le soir en se tordant de rire sur le canapé du salon. Ca, c'était un beau projet et forcément que je voulais garder des preuves de notre petite attaque. Après tout, on venait de voler des battes de baseball alors autant garder un petit souvenir de notre escapade de la journée. Et dire que vingt minute plus dos, je griffonais sur des bouts de papiers espérant que le temps passe un peu plus vite. Fallait croire qu'elle avait entendu mon appel au secours silencieux. « Ouais mais j’me soigne je te jure. » La connerie ça s'soignait pas. Non, ça s'aggravait même. C'était ça qui était triste en fait. « Mais grave, j’attend que ça. Qu’est-ce que tu crois ? » Oh ouais. J'accélerais le pas histoire d'être remarquée par le moins de personne possible. Après tout, on avait les armes du crime sous le bras, n'importe qui pourrait nous dénoncer si jamais ça s'ébruitais. Oups, peut être qu'on avait oubliés de penser à ce détail là. Peu importe, de toute façon c'était fait et je joignais mon gloussement au sien quand le beau sportif passait à côté de nous. « Rien à me raconter sinon ? Les grandes histoires de ta vie me manquent. » Ma vie était un carnage, y avait toujours des tas de truc à raconter. Pour le moment, je m'habitue au fait d'être enceinte. Puis je prie pour pas devenir un tonneau aussi. Ouais, pitié. Pas un tonneau. Et toi alors ? A part détruire tes plans cul, y a quoi à raconter ? que je demandais en me positionnant devant le bolide.