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On est en Amérique non ? ♥ PRIALYA

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Action ou vérité. Bonne soirée entre dunsters en prévision si personne ne fait des siennes. Mais j'ai un doute, il y aura bien quelqu'un pour remplacer Jasper qui a joué les troubles fêtes l'année dernière. Enfin en attendant j'espérai que nous mais avec l'intervention d'Hercule ca avait été loupé. D'ailleurs c'était pendant son action ou vérité à lui que j'avais attrapé Priape par le bras pour l'attirer vers la cuisine afin qu'il m'aide à sortir les boissons du frigo pour les ramener dans la salle où tout le monde est regroupé. Bien sûr j'aurais pu le faire seul, mais c'était une manière de me retrouver un peu seul avec lui. J'avais pris un peu d'avance, j'étais déjà devant le frigo en train de sortir plusieurs bouteilles quand Priape arriva après avoir donné ses clés à Andrea et Leanne. Je ne savais pas franchement pourquoi il prenait tant de cœur à vivre chez Andrea, ce qu'il pouvait y avoir de si important. Ca ne me regardait pas, j'avais interdiction de me faire des films et je ne voulais pas m'en faire. On était sur le sol américain et mon seul et unique but était de conservé notre beau nouveau départ... Mais aussi de savoir quand je pourrais profiter de ma récompense... Il fallait bien que je m'avoue que je m'étais habituée à la tendresse du jeune homme à mon égard mais aussi à son aide avec les filles même s'il avait deux mains gauches. Quand il arriva donc et que nous fumes un peu seul tous les deux, je me tournai vers lui et lui demandai d'un air intriguée : « Mon dragueur de Pripri ? » Oui non je voulais bien ne pas me faire de film mais je n'étais pas sourde non plus et même si je n'avais pas relevé l'interpellation de Chrysta devant tout le monde, je voulais bien en savoir plus maintenant qu'on était tous les deux. Si je pouvais aussi avoir l'expression de quatre jours de manque ça me rassurerait. Talya Blackburn nana en manque de confiance totale bonjour.
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Talya avait prétexté avoir besoin d’aide avec les boissons avant de s’échapper vers la cuisine, elle était d’ailleurs déjà dans le frigo, en train de saisir quelques bouteilles quand j’entrai à mon tour dans la pièce. Elle se tourna vers moi, et reprit les mots que Chrysta avait laissé échapper juste avant que l’on ne s’échappe. Je levai les yeux au ciel un instant avec un petit soupir. Et merde, elle avait entendu. J’avais espéré que ça passe à l’as j’avoue, d’ailleurs je tentai un instant une feinte vouée à l’échec : « T’as du mal entendre, elle a pas dit -mon docteur de Pripri- ? » Ouais genre on avait parlé médecine toute la nuit avec Chrys, carrément… Sauf que mes talents d’acteur n’étaient toujours pas plus développés qu’avant, alors plutôt que de s’enfoncer davantage, je m’approchai de Talya, je m’emparai des bouteilles qu’elle tenait pour les poser rapidement sur la taille, avant de la saisir elle par la taille pour l’attirer contre moi. « Ca fait quatre jours Talya… Tu crois pas qu’on pourrait occuper notre temps autrement qu’en parlant de ça… » Parce que si il fallait mettre les sujets délicats sur le tapis, je pouvais m’y mettre aussi. J’avais toujours le sujet Silver sous mon chapeau. Parce que oui, je savais qu’ils s’étaient vus, que je tenais l’info par le mather lui même, et que c’était aussi surement en partie pour cela que j’avais joué les morts ces quatre derniers jours, attendant un signe de la part de la demoiselle.
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Je n'étais pas sourde, j'avais bien entendu et je voulais savoir ce qu'il y avait derrière cela, mais Priape avait le don pour me faire oublier les soucis, les petits tracas et ça aussi... Enfin non, je voulais bien passer pour ce soir, mais il me faudrait tout de même l'explication à un moment où à un autre, on se l'était bien dit : plus de Caly ou plus d'Elia alors au bout de quatre jours, il serait bien de ne pas, déjà, répéter les mêmes erreurs. Ses mains me débarrassèrent des boissons puis vinrent saisir ma taille pour me rapprocher de lui. Comme dans un automatisme, mes bras s'enroulèrent autour de son cou. « Cette conversation peut attendre plus tard... Si tu me la fais oublier et que tu me fais oublier que ça fait quatre jours que nous sommes revenus et que je vis dans le froid de mon appartement sans chauffage central... » Cette petite pirouette serait surement plus agréable pour lui à entendre et sonnait moins comme un reproche que si une nouvelle fois on remettait sur le tapis le fait que ni l'un, ni l'autre n'ait été capable de s'écrire. Nous étions quand même sacrés boulets remplis de fierté. « Je dois quand même avoué que j'aime beaucoup me rendre compte que mon... » Je m'arrête là parce que je ne sais pas si je peux dire mon petit ami, j'attends qu'il complète ma phrase pour reprendre : « ... semble être l'homme le plus courtisé de toute la dunster house ! » Il allait vraiment falloir que je fasse vite effacer le tatouage de Leevy sur son bras et qu'il appose le mien dans une prochaine soirée alcoolisée afin que je montre à chacune qu'il était mien... Mais je n'avais pas besoin de cela et j'avais fait la promesse à moi- même et à lui, de réapprendre à lui faire confiance, alors même sans moi dans la peau, il devrait savoir s'en sortir.
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Je crus l’espace d’un instant avoir obtenu gain de cause, puisque  les bras de Talya s’enroulèrent autour de mon cou. Mais la demoiselle me signifia que l’on pouvait remettre les explications à plus tard, si je parvenais à lui faire oublier le froid polaire de ces quatre derniers jours. Mon visage se pencha alors vers le sien alors, mes lèvres venant capturer les siennes dans un doux baiser. « Comme ça c’est bien ? » demandai-je avec un petit sourire en m’écartant légèrement ensuite. Sa phrase suivante m’arracha un petit rire et me fis protester : « Et je ne suis pas courtisé. » Bon allez, go, j’allais pas y échapper. Autant s’expliquer maintenant, car ça allait me retomber dessus pendant le jeu à tous les coups, autant éviter un remake de la crise dans laquelle la question de Jasper m’avait mis l’an passé. « C’est moi qui l’ai cherchée, j’avais trop bu, t’étais partie, j’étais pas bien… Bref. » Voilà l’explication pour ma part. Vite fait. En espérant que ça passe ainsi, sans qu’on en fasse tout un plat. Parce que j’avais envie de rebondir sur autre chose. En effet, sa phrase avait été entrecoupée par un vide, un vide qui trahissait plutôt bien le flou artistique dans lequel on restait depuis notre retour ici. Parce qu’on avait clairement agi comme un couple, sans vraiment définir notre relation comme telle. Et puis il y avait toujours cette histoire de visite chez Matthéo. Si Talya de son côté se tracassait pour cette histoire avec Chrysta, moi je n’étais jamais très serein quand il s’agissait du mather. Alors je pris un air faussement interrogateur, faussement car je savais très bien le mot qu’elle avait voulu utiliser sans pour autant oser le faire : « Ton quoi au fait ? » Et puis avec un petit ton un peu plus piquant, je repris : « Pas –ton petit ami- ? Parce que je présume que si tu me considérais comme tel tu m’aurais tenu au courant de ton entrevue avec Matthéo non ? » Moi je voulais bien rendre des comptes, mais elle aussi elle y passerait. « On est quoi toi et moi Talya ? » lui demandai-je clairement, mon regard venant se planter dans le sien en attendant sa réponse.
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Le baiser fut trop court après quatre jours de manque mais c'était tout de même bien mieux que se lancer simplement de petits regards, ne pas pouvoir aller plus loin, ne pas franchement assumer devant tout le monde aussi. « C'est bien mieux ! » Lui répondis je en souriant alors que mes doigts chatouillaient ses cheveux à l'arrière de son crâne. Je ne m'étais pas attendue à ce que Priape me dise de suite ce qu'il y avait eu avec Chrysta et pourtant comme il l'avait promis, il allait faire des efforts. Le premier c'était ce soir. J'écoutai ce qui le liait à la soeur de ma meilleure amie puis pour le rassurer je m'approchai de lui, mon nez s'amusant avec le sien pour un bisou esquimau avan que mes lèvres ne se déposent une nouvelle fois sur les siennes. « Affaire Chrysta close. » C'était aussi simple que cela, c'était la confiance, et même si je gardais un petit nœud dans l'estomac, je l'aimais et j'avais confiance en elle et elle, elle était censée être mon amie. Je règlerai mes soucis avec la jolie blonde plus tard, pour le moment j'étais trop occupée dans les bras de mon... mon quoi oui ? Rien n'est sorti, je ne sais pas le qualifier, je ne sais pas comment il veut que je le qualifie. J'allais répondre, j'allais l'interroger sur ce qu'il voulait, pour lui, pour nous, aux yeux de tous mais entendre parler de Matthéo me freina. On parlerait du petit ami après, pour le moment il allait falloir fermer définitivement le chapitre Silver. « Comme j'attendais tes messages pour t'écrire... Je n'ai pas pu te le dire... » Je marquai un petit temps d'arrêt pour tenter de trouver un mot pour nous qualifier mais c'était compliqué surtout quand on en a un parfait et qu'on n'ose pas l'utiliser. « Suite aux baisers échangés avec Matthéo en Ukraine il fallait que je le vois à mon retour pour mettre les choses au clair entre lui et moi et que ça ne se reproduise plus puisque tu me laissais une chance de reprendre à zéro avec toi. » Il n'y a pas de mensonge à inventer, c'est la stricte vérité, voilà pourquoi j'ai vu Matthéo. Rien de plus, rien de moins. « J'aimerai être un peu plus officiellement en couple avec le dunster le plus séduisant et courtisé... J'aimerai pouvoir l'appeler mon petit ami, mais ça ça fait des mois que je le veux, alors je n'ai pas envie de le brusquer... Tu penses qu'il nous qualifierait comment lui ? »
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Un baiser pour se saluer c’était surement mieux en effet que d’échanger des regards et se caresser les mains du bout des doigts en se cachant et en ne sachant pas vraiment comment se comporter… Seulement si le baiser ne se produisait qu’en aparté ici c’était bien qu’on avait clairement pas défini les choses et qu’on ne savait pas encore très bien où nous en étions. Petite mise au point sur Chrysta, et mes explications évasives semblèrent suffire à convaincre Talya dont le nez vint se frotter affectueusement au mien avant que l’on échange un nouveau baiser. Mes mains se resserrèrent sur ses hanches un instant mais lorsque nos bouches se séparèrent, le sujet de la définition de ce que nous étions fut mis sur le tapis. Je lançai sur un ton un peu piquant le fait que j’étais au courant pour Matthéo et que si j’avais réellement été son petit ami, elle me l’aurait surement dit. Ce à quoi elle répondit qu’elle attendait de mes nouvelles avant de m’écrire, d’où l’omission de cette info… « On s’en fout de qui doit écrire à qui Talya, ça c’est le genre de choses que je supporterais pas que tu me caches… » avouai-je avec franchise. « Si toi t’as pas aimé ne pas savoir que je cohabitais temporairement avec Andrea, imagine un peu ce que moi ça me fait d’apprendre par Matthéo que vous vous voyez… » Flippé. C’était le mot. Enfin l’entrevue, d’après ce que Talya m’expliqua, avait eu pour but de mettre les choses au clair avec le mather, suite aux baisers qu’ils avaient échangé en Ukraine. « Il t’a pas ré-embrassée au moins ? » demandai-je sur un ton un peu bougon. Il avait pas intérêt, vu la menace très explicite qui je lui avais envoyé par sms. Finalement, c’était sur un ton plus léger que Talya finit par me dire qu’elle aimerait être en couple plus officiellement avec –le dunster le plus séduisant et le plus courtisé-, je secouai la tête en entendant cette dénomination avec un petit sourire flatté malgré tout. « Je connais pas ce gars, mais je suis sûr qu’il n’a aucune envie que tu l’appelles encore –ex copain- ou –ami- ou un truc dans le genre… » Ne reparlons pas de cette tentative foireuse d’amitié. Me penchant à nouveau vers elle pour déposer mes lèvres sur les siennes un instant, ma bouche glissa ensuite vers son oreille pour lui souffler doucement : « Bon alors mademoiselle Blackburn, voulez-vous bien être ma petite amie officielle ? »

Hj : non mais le 15 janvier c'est bien comme date du coup ? On est en Amérique non ? ♥ PRIALYA 2474380249 :giggle:
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« Je sais Priape, je sais... Mais j'ai tellement du mal à réaliser que t'es revenu près de moi que... » Je suis sincère et mon émotion se sent dans ma voix. Clairement je ne lui reproche pas de ne pas m'avoir écrit, j'attendais juste qu'il le fasse pour me rendre compte que oui il voulait vraiment revenir. Il me l'avait dit, il m'avait avoué ses sentiments, son envie, son désir, mais j'avais toujours du mal à croire en tout ça. Je croyais en les mots de Priape mais je n'arrivais pas à croire que c'était en train d'arriver. J'avais peur de redescendre de mon petit nuage d'un coup et que ça fasse encore plus mal. J'écoute tout ce qu'il a à me dire, sa question à l'encontre de Matthéo me fait rire puis quand il parle de lui à la troisième personne encore plus. Notre discussion est ponctuée de baisers, ses bras sont autour de moi on dirait un vrai couple et quand la question fatidique arrive, je comprends que c'est ce qu'il veut qu'on soit autant que moi, un vrai couple. Mes lèvres se font plus pressentes sur les siennes et avant de dire quoi que se soit je lui glisse à l'oreille : « Je te promets qu'il va falloir que tu appliques la règle du sol américain ! Ca va devenir urgent ! » Quatre jours sans lui après deux jours merveilleux en Ukraine à tout partager, c'était trop dur, on aurait dit une punition. « Monsieur Zacharias... Je veux être votre petite amie officielle depuis que j'ai ouvert la porte de mon appartement en Ukraine... C'est oui, oui je le veux... Pas t'épouser hein ! » Ca faisait très mariage c'est pour ça que je me contentais de préciser en rigolant. Ca faisait tellement du bien de me retrouver ici avec lui, à rire plutôt qu'à enchainer les éclats de voix et les larmes. C'était un revirement total. « Vous comprendrez donc que si j'attendais ça depuis l'Ukraine, ma visite a Monsieur Silver était pour l'informer que ses lèvres ne pouvaient plus se poser sur les miennes lorsqu'il le désirait... » Je me reculai un peu pour le regarder droit dans les yeux. « Il n'y que toi que j'ai envie d'embrasser. »
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Quand la jeune femme me glissa à l’oreille la fameuse règle du sol américain, c’est avec un air amusé que je lui répondis en rigolant : « Ici ? Dans la cuisine ? » Oui parce que si on avait réussi à se tenir sages au spa, ce n’était peut être pas pour craquer maintenant, surtout avec une horde de dunsters juste à côté et une simple cloison pas franchement épaisse qui nous séparait d’eux. Sauf que à la question de ce que nous étions, je repris mon sérieux pour lui demander si elle voulait bien être ma petite amie officielle, demande très solennelle qui me valut un –oui je le veux- qui aurait presque pu porter à confusion si Talya n’avait pas préciser avec un rire qu’il ne s’agissait pas de m’épouser. « On ne retourne pas sous les dômes d’or tout de suite alors… » rigolai-je à mon tour en repensant au baiser qu’on avait furtivement échanger dans le monastère saint michel et qui m’avait valu comme réflexion de la jeune femme que c’était normalement, le genre de marque d’affection auxquelles on s’adonnait dans ces lieux seulement pour un mariage. Et ce fut donc dans la bonne humeur que la demoiselle revint sur la question du mather, ce sujet qui m’avait surement un peu freiné et qui expliquait en grande partie le peu de nouvelles que j’avais pu donner à ma désormais petite amie ces derniers jours. La jeune femme affirma donc que sa visite à Matthéo avait eu pour but de lui interdire de nouveaux baisers justement, elle ajouta, son regard plongé dans le mien qu’il n’y avait que moi qu’elle avait envie d’embrasser. Mes lèvres s’étirèrent en un large sourire, laissant quand même échapper un petit bougonnement de principe, juste pour être fidèle à ma réputation d’éternel chonchon : « Bah j’espère qu’il a bien compris hein… » Oui parce que mon texto au mather avait déjà été assez explicite. Et laissant mes ronchonnements de côté, mes mains ancrées sur sa taille l’attirèrent à nouveau vers moi alors que mon visage se penchait vers le sien pour m’emparer une nouvelle fois de ses lèvres. Un nouveau baiser qui avait le don de me faire oublier ce que l’on était venus faire ici dans un premier temps, c’est à dire : ramener des boissons pour les autres.
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Sa remarque lui valut une petite frappe de ma part sur le torse, non mais quand même un peu de tenue, ici dans la cuisine alors que n'importe quoi pouvait rentrer... Même si l'envie était présente et presque pressante, je n'étais pas ce genre de fille friande des imprévus, des gens qui peuvent nous surprendre et tout. Priape le savait et il savait bien que je ne parlais pas de la cuisine là tout de suite maintenant en évoquant la règle du sol américain. C'était plus comme une invitation. Qu'il me rende visite, vraiment qu'il vienne à l'appartement et s'occupe des filles et de moi aussi bien qu'en Ukraine. Vraiment notre petite bulle où nous étions rien que tous les quatre me manquaient, même si nous étions maintenant officiellement en couple depuis trois secondes et demi, ce n'était pas le petit nuage de l'Ukraine avec personnes pour nous déranger. « La cuisine... Mauvais souvenir... C'est une blague ! Non mais tout le monde peut entrer ! » Ce n'était pas pour autant que je n'avais pas déposé mes lèvres pressantes et fiévreuses sur les siennes. « Pour le mariage non, ça va aller... Mais pour une autre confession aussi belle que tu m'as faite là bas quand tu veux ! » Je ferme un instant les yeux et je me revois comme une enfant dans ce confessionnal. J'en ai profité pour lui livrer ce que j'avais sur le coeur et lui il l'a fait en retour, me prenant par surprise, réveillant des émotions en moi que je n'ai pas réellement su contrôler. C'était un beau moment et l'émotion était encore au rendez vous en y pensant maintenant. Cette pensée me fit sourire doucement et mon visage se rapprocha de celui de Priape pour venir déposer mon front contre le sien. « Je ne ferais pas les mêmes erreurs Priape... Ses lèvres ne toucheront pas les miennes, même par accident où il saura de quel bois je me chauffe. » Je suis déterminée à tout mettre en oeuvre pour que ses craintes vis à vis de Matthéo s'effacent, s'envolent, qu'il me fasse pleinement confiance quand je suis avec lui, j'oublie tout quand je suis dans ses bras, je n'ai qu'envie de m'y retrouver encore et encore et m'y abandonner pleinement. Mais quand notre baiser se termine, si j'oublie de revenir avec les boissons, je n'oublie cependant pas qu'il était au courant de mon entrevue avec mon meilleur ami mather. « Mais comment tu sais que j'ai vu Matthéo ? Il s'est vanté de ça ? » Je soupire. Ca ne va pas le faire, vraiment pas le faire s'il s'amuse à éveiller les soupçons de Priape, à ébranler la confiance qu'il tente de retrouver en moi.
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Le petit coup sur mon torse de la part de la jeune femme ainsi que son expression mi choquée, mi amusée, m’arrachèrent un petit rire. Parce que bien sur j’avais fait exprès de prendre au pied de la lettre ces mots et elle s’empressa de rectifier que ce n’était pas à la cuisine qu’elle faisait référence, lieu emprunt d’ailleurs de mauvais souvenirs… « On pourrait s’en faire des nouveaux des souvenirs, des bien meilleurs… » rétorquai-je en jouant instant avec les bretelles de sa robe avant de me mettre à rire. « Je plaisante aussi… » Ou pas… Parce que quand ses lèvres vinrent se presser une nouvelle fois contre les miennes, j’avais presque tendance à oublier les autres malgré le brouhaha des conversations qui nous parvenait à travers la cloison.  La jeune femme reparla ensuite de notre séance de confession et un petit sourire se dessina sur mes lèvres en y repensant. J’allais essayer de faire des efforts pour être plus loquace et expressif pour cette seconde chance que l’on se donnait, et j’avais commencé à faire les choses comme il faut là bas, seulement les grandes déclarations n’avaient jamais été mon point fort donc j’espérais ne pas me refermer trop vite comme une huitre et pouvoir poursuivre sur ma lancée. Et ça semblait bien parti en terme de communication puisque j’arrivais à lui confier mes craintes concernant Silver. Son front se colla au mien alors qu’elle réaffirmait sa volonté de mettre des barrières moins floues entre son meilleur ami et elle. J’hochai la tête lentement, même si au fond de moi l’angoisse était toujours bel et bien là. On faisait des efforts, je faisais des efforts de ce côté là, mais je n’allais pas d’un coup faire abstraction de ma jalousie. Et maintenant que la jeune femme était de nouveau et officiellement ma petite amie, quelque chose me disait que ça risquait peut être d’empirer. Quand elle revint sur le sujet Matthéo avec un soupir, supposant que c’était le brun qui s’était vanté de leur entrevue, je me surpris à prendre la défense du jeune homme : « Non, non c’est pas ça… Il m’écrivait pour me dire que t’étais rentrée, comme on avait décidé de se tenir au courant, alors je lui ai répondu que je savais déjà et en lui demandant si il t’avait vue. Et c’est à ce moment là qu’il m’a dit que tu allais passer le voir et que… » Que je me suis imaginé mille choses étant donné que de mon côté j’avais zéro news… « Je devrais te faire confiance, je sais que c’est que comme ça que ça marchera mais… Il va me falloir du temps… » Mes peurs ne s’envoleraient pas en un claquement de doigts comme ça. Et c’est un peu moins sérieux et avec un petit sourire malicieux que j’ajoutai : « Et je vais avoir souvent besoin d’être rassuré tu vois… » Tactique pour obtenir un peu d’affection ? Oui surement, d’ailleurs j’attirai une nouvelle fois la demoiselle à moi pour reprendre ses lèvres en otage un instant… Et après ce nouveau baiser, je lui glissai à l’oreille : « T’es canon dans cette robe en tout cas… » Ca me donnait très envie de la lui retirer… « Si les filles n'étaient pas en train de se reposer dans ma chambre, je crois que je t’y aurais déjà entraînée… » Pour appliquer cette règle du sol américain.
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