baby you light up my world like nobody else (chasea)

Les cachets. C'est ça ma passion ! Voilà ce que j'aurais du répondre à Bonaventure. Ma passion, c'est prendre des cachets et planer à moitié toute la journée. Mais c'est une passion super récente. Je veux dire, si je m'étais pas fais opérer en début d'année, j'aurais jamais repris des cachets... Mais ça me soulage. Ca me fait du bien moralement et physiquement alors bon, pourquoi s'en priver ?! En jeans, boots et veste bien chaude, je me dirige vers chez Chase. J'ai acheté des tartelettes sur le chemin pour qu'on se retrouve autour d'un café - ou d'un thé - et de bonnes pâtisseries. Allez savoir pourquoi, ça me donne faim de prendre tous ces cachetons ! J'arrive rapidement devant chez lui et frappe à la porte. Le visage collé à la porte, je me mets à chantonner la célèbre chanson "je voudrais un bonhomme de neige" du dessin animé La reine des Neiges ! " Je voudrais un bonhomme de neige, alors viens avec moiiiiiiiiiiiii " Je ris légèrement avant de voir la porte s'ouvrir. Et j'ai toujours une drôle de tête. Mais ça devrait le faire rire, parce qu'il en a besoin ! " Ca va ? " Demandais-je en lui tendant le paquet avec les pâtisseries.

@chase h. walton

Bon que faire ? Honnêtement je ne savais tellement pas, j’étais assigné à résidence jusqu’à la date d’ouverture de mon procès pour homicide. Je ne comprendrais jamais la justice fédérale, comment pouvaient-ils penser que j’étais le commanditaire du crash qui avait supprimé la vie de mes parents en avril dernier ? Ils étaient cons ou bien ils étaient tous corrompus sauf que dans les deux cas, je n’arriverais certainement pas à échapper à la sentence maximale. A savoir que je serais certainement condamné à la perpétuité sans possibilité de libération conditionnelle. Mais non il ne fallait pas que je déprime ! J’étais plus fort que ça ! J’inspirais alors longuement avant de me poser devant mon ordinateur et je m’étais mis à travailler parce que je ne pouvais pas me permettre non plus de me relâcher pendant ces vacances forcées si on peut dire. Mais en soit ce qui me manquait le plus c’était d’exercer ce que j’aimais le plus : la médecine pédiatrique. J’allais gagner encore plus de retard à cause de tout ça maintenant et cela me mettait dans un état que je n’apprécie guère. Mais soudain on frappa à ma porte et je me demandais qui cela pouvait bien être. Je me levais lentement avant de me diriger vers l’entrée et j’eus une agréable surprise en voyant Andrea. Je ne l’avais plus revue depuis cette soirée catastrophe à la Dunster House. « Coucou chaton. Bof et toi ? Entres je t’en prie. ». Sans lui demander son avis, je pris ce qu’elle avait dans la main et j’attendis qu’elle se soit mise à l’aise avant de lui demander. « Tu veux quelque chose à boire ? »

Je n'aime pas rester seule. Allez savoir pourquoi mais depuis mon opération, je sors comme je ne suis jamais sortie. Plus je vois des gens, plus je profite de ma vie et plus je me sens bien. C'est comme ça, c'est bizarre mais c'est la vie. Je crois surtout que je suis complètement paranoïaque et ait juste envie de ne pas rester enfermer pour ne pas prendre encore plus de cachets. Accro aux pilules, oui, mais de façon modérée ! J'ai un minimum de contrôle sur tout ça. Vraiment minimum, on ne va pas se mentir. " Ca vaaaaa. Je suis un peu fatiguée mais bon " Une chirurgie ça fatigue et je ne prenais pas le temps de me reposer. J'avais directement repris le travail en mi-temps pour ne pas m'ennuyer et ruminer à la maison. " Je veux bien de l'eau oui " Lançais-je au jeune homme en enlevant ma veste. " Bon, j'ai absolument pas suivi tout ce qui s'est passé ces derniers temps... C'était quoi ce cirque à la DH l'autre soir ? " Je crois que personne n'a rien compris et n'y a fait plus attention que ça avec tout le bordel qu'il y avait. Faut dire que la DH en ce moment c'est plus la Dépravation House qu'autre chose...

J’étais content de voir qu’Andrea avait daigné venir me voir. Je me sentirais moins seul en fin de compte parce que depuis que j’étais assigné à résidence, je me trimballais dans cet appartement comme si j’étais un fantôme. La vie extérieure me manquait beaucoup mais je n’avais pas tellement le choix : j’avais obligation de rester cloîtré si je ne voulais pas voir le SWAT de Boston débarquer à l’improviste chez moi et ainsi on me donnerait réellement une occasion de passer du temps en prison. Tant que j’étais soumis à la présomption d’innocence, j’avais encore les moyens de pouvoir rester chez moi avec ce bracelet électronique qui me faisait un mal de chien. D’ailleurs, il allait s’en dire que pour se laver, c’était un sport extrême parce qu’il fallait que j’évite à tout prix que la machine rencontre l’eau sinon ça déclenchait la fameuse alarme chez les flics. « Je suis content que tu ailles mieux alors » souris-je avant de la faire entrer dans l’appartement et une fois qu’elle se soit mise à l’aise, je lui demandais ce qu’elle souhaitait boire. Elle prit le truc le plus naturel au monde : l’eau ! Pendant que je lui servais sa boisson, elle me demanda aussitôt ce qu’il s’était passé ce soir-là à la Dunster House. Je déglutis légèrement avant de me servir un verre de martini puis après un petit cul sec, je répondais calmement : « Tu veux que je t’explique quoi exactement ? Pourquoi j’étais accompagné de deux flics ? Ou les raisons qui m’ont poussé à frapper Hercule ? ». Je n’avais pas tellement envie de revivre cette soirée mais je n’avais pas le choix, Andrea était comme une sœur pour moi et je ne pouvais pas la laisser dans l’ignorance la plus totale donc quand elle me poserait des questions, j’y répondrais sans fausse honte.

Depuis mon opération, mes journées sont faites de haut et de bas. Bon, pour tout dire, elles sont plus faites de bas que de hauts mais je fais avec. Et on va dire que ma boite d'oxycodone m'aide vraiment pas mal à faire avec. Mais du coup, je ne suis plus grand chose dans la vie de mes amis. Et la soirée Dunster, à laquelle j'aurais voulu voir tout le monde, s'est vite transformée en foutoir sans nom. Je n'ai d'ailleurs pas mis longtemps à quitter la salle commune pour aller me poser dans la chambre de Priape, loin de tout ce bordel qui me dégoute plus que tout au monde... " Tout. Avec mon hospitalisation, j'ai rien suivi... Qu'est-ce qu'il se passe Chase ? " Soufflais-je, le regard inquiet. Je pétais la forme il y a quelques minutes et là, c'était à nouveau la fin du monde. " Je ne sais même pas qui c'est ce Hercule " J'ai tellement été absente cette année à la Dunster que je ne connais pas grand monde pour ne pas dire personne. Ça se trouve il est là depuis des années et je n'ai jamais fais attention. Je n'ai jamais vraiment fait attention à tout ce qu'il se passait à la Dunster House. Il faut pas croire qu'on est tous des amis de la vie parce que c'est loin d'être le cas. Je le regarde et pose ma main sur la sienne. " Je ne sais même pas trop ce qu'il s'est passé avec Sienna avant que tu te mettes avec l'autre blonde, c'est pour dire " Complètement paumée la nana !

Andrea était venue me voir à l’improviste mais au final, je me doutais bien qu’elle viendrait dans le but d’avoir des comptes par rapport à tout ce qu’il s’était passé dernièrement mais aussi et surtout à cause de ce que j’avais fait pendant la soirée des Dunsters. J’attendais avec une certaine appréhension ses questions mais dès lors qu’elle m’ait posé sa première question, je me mis à déglutir sauf qu’elle ne me laissait pas vraiment le temps de répondre puisqu’elle enchainait sur d’autres choses et elle terminait sur mon histoire avec les deux blondes qui traversaient ma vie. Je déglutis légèrement avant de la regarder dans les yeux puis après une bonne inspiration, je pris la parole pour préparer un petit monologue… « D’abord, je vais commencer par Hercule… Quoique je n’ai pas tellement envie de parler de lui vu comment il m’a déçu, mais si tu veux savoir, il s’agit de mon dernier bizut avant que tu ne reviennes… Autant, je me dis que la vie sexuelle de Sienna ne m’intéresse pas et qu’elle a le droit d’en avoir une puisqu’on est plus ensemble, ce que je n’ai pas toléré ce qu’on l’humilie de cette façon, devant tant de personnes... ». J’inspirais légèrement avant de reprendre la parole d’une voix plus calme mais néanmoins dégoûtée : « Sinon, il faut que tu saches que je suis le principal suspect dans l’enquête sur le crash de mes parents… Et je serais prochainement inculpé de meurtre alors que je n’ai rien fait, sauf que la justice fédérale ne semble pas le croire. Ça fait une bonne petite semaine que j’ai ce foutu bracelet à la cheville et j’avoue qu’il a le don de me faire péter des plombs… Et enfin, saches que je ne sors pas avec l’autre blonde comme tu l’appelles, dont le prénom est Phoenix. C’est une très bonne amie mais c’est tout. ». Je soutenais le regard de ma binôme de choc alors que j’étais en train de mentir sur ce qu’il se passait entre Phoenix et moi. « Moi-même, j’ai du mal à comprendre ce qu’il s’est passé entre Sienna et moi mais toujours est-il que je suis le principal fautif et j’assume complètement mes torts et tout. Je l’ai trompée, je lui ai cachée des choses qu’elle méritait de savoir mais je suis bien trop fier pour ça… Je ne récolte que ce que je sème. »

J'écoute Chase parler et j'ai beaucoup de mal à me concentrer. Tout autour de lui me semble plus fou et intéressant que ce qu'il me raconte. Je fais une piètre amie mais je ne suis plus vraiment moi même à ce moment. Je tente tout de même de rester concentrer sur son visage pour faire semblant d'écouter et de tout assimiler. Je pose mon menton sur ma main et l'écoute parler d'Hercule. " Elle peut se défendre toute seule " Lançais-je tout simplement. Il l'a trompé, il a fait des choses qu'il n'aurait jamais du faire et c'est la vie. Mais maintenant, il n'a pas d'autres choix que de faire avec. Il n'a aucun droit de rester là à faire le con et a frapper Hercule ou qui que ce soit d'autres. " Je sais que vous avez eu une belle et grande histoire d'amour mais c'est fini, elle a pas besoin de tes poings pour se défendre. Elle peut faire mal quand elle en a envie " Et je suis sûre que Paris pourrait faire du mal au premier con qui touche à Sienna, même s'il ne l'aime surement pas comme il faudrait. J'ai toujours été pour le couple Sienna-Chase mais si elle est heureuse avec un autre homme et lui avec une autre femme, moi ça me va. Je l'écoute sur ses parents et grimace. Ouai bon c'est vraiment pas cool mais la justice finira par s'en rendre compte, qu'il n'a rien fait. Je veux dire, comment est-ce qu'on peut organiser la mort de ses propres parents ? Ehoh les gars, on est pas dans un film hein, on est dans la vraie vie ! Quand il me dit que sa nouvelle copine s'appelle Phoenix, j'hausse les épaules. Je m'en fous pas mal. Tout ce que je sais c'est que cette garce a couché avec lui alors qu'elle le savait en couple. C'est une conne, point final. " Ouai, c'est rien de le dire ! Tu récoltes que ce que tu sèmes " Du moins avec Sienna. " Mais ça va avec ta Phoenix ? J'suis désolée, je pourrais pas l'apprécier avant de voir qu'elle te rend heureux et excuuuuuse moi mais t'es vraiment pas heureux là " Sienna aurait tout fait pour lui changer les idées, pour être là tout le temps, pour le soutenir. Elle, elle était aux abonnés absents. Ok, ce n'était que la première fois que je débarquais mais bon ! " Mais moi je comprends pas, à quel moment est-ce que les juges peuvent se dire que c'est ta faute ? En plus, c'est du pénal non ? Il y aura un jury. Tu t'entendais bien avec tes parents, personne te condamnera " Enfin, c'est ce que je me dis. Je veux pas que mon binôme de médecine disparaisse moi... Et le milieu carcéral, c'est pas trop mon truc.

« Je sais bien qu’elle sait se défendre toute seule mais c’était plutôt pour moi que je l’ai fait en fait… Parce que ça m’énervait. D’une parce que je n’ai pas tellement envie d’entendre les exploits sexuels de mon ex et de deux parce que ce n’est pas une chose à faire dans une soirée. C’était le seul moyen de l’arrêter ! » dis-je d’un ton bien trop calme malgré mon irritabilité légendaire depuis que j’étais assigné à domicile. De toute façon, je n’avais pas tellement besoin des sermons de ma binôme de médecine mais je l’écoutais calmement même si ça me faisait un peu chier personnellement. « Je ne te demande pas d’apprécier Phoenix. De  toute façon c’est impossible vu que tu es la meilleure amie de Sienna et je tiens à te préciser qu’il n’y a rien entre elle et moi ; comme je te l’ai dit, elle n’est qu’une amie. On a eu des bons moments ensemble mais on est pas en couple ». Je disais cela avec un calme olympien, avec une franchise qui m’était légendaire. Je ne mentais qu’en de très rares occasions. Sienna en avait payé les frais au final mais en fin de compte, j’avais envie de me dire que c’était de sa faute. Sauf que c’était de notre faute à tous les deux… On avait nous-mêmes brisé notre relation et ça allait être difficile de s’en remettre pleinement. Au final même si nous étions faits l’un pour l’autre, nos chemins avaient beaucoup trop dévié… « Je ne serais jamais heureux tant que cette histoire sur le crash ne sera pas résolue. C’est ce qui a détruit ma relation avec Sienna à la base. J’ai soi-disant été trop distant et je suis d’accord pour l’admettre. J’ai essayé de faire mon deuil tout seul que j’ai laissé tomber la femme qui m’aimait et que j’aimais… ». Ma voix était plus haineuse envers ma propre personne tandis que je parlais. « Ne cherche pas à comprendre chaton ; nul ne le peut mais je vais me battre. Le procès va être long et mon mois de février va être très long aussi… Cette situation semble inextricable mais je vais gagner, je le jure devant Dieu. Au nom de mes parents, au nom de l’enfant qu’on a perdu Sienna et moi… Au nom de tous ceux qui importent à moi… L’un des moyens que j’ai trouvé c’est de vendre mon entreprise. »

User des poings et justifier ça comme étant le seul moyen d'arrêter la personne de faire ce qu'elle est entrain de faire... J'en doute. Mais s'il a besoin de ça pour ne pas s'auto-flageler et se sentir mieux, qu'il le fasse. " T'es à la DH je te rappelle. Parler de la vie sexuelle de ses membres est monnaie courante hein " Et c'est un peu ce qui me dérange ces derniers temps. Mais genre vraiment beaucoup. Je ne supporte plus cette espace de zone sans respect ni loi où tout le monde parle de la vie sexuelle de tout le monde. Chase n'avait pas besoin d'entendre que son ex couchait avec quelqu'un d'autre... Mais ce con n'avait pas à déballer la vie privée de ma meilleure amie. Un peu de respect s'il vous plait ! Je le regarde et fronce les sourcils. Depuis quand je vais ne pas aimer quelqu'un pour ce type de raison ? J'ai bien fini par être cul et chemise avec Priape alors que c'était vraiment pas gagné d'avance. " Tu crois vraiment que je ne vais pas l'apprécier pour ça ? Je la méprise parce qu'elle a couché avec toi alors que t'étais en couple. Mais dans ce cas, je te méprise un peu aussi, toi. Parce qu'on ne fait pas ce genre de choses... " Soufflais-je d'un ton grave. " Mais si jamais tu finis par te mettre avec elle et que vous êtes heureux, moi je demande pas mieux " Soufflais-je à mon ami. J'étais une grande fervente de la Team Best Friend, à défendre ses amis plus que tout au monde... Mais avec ce que m'avait fait Talya, nope nope nope. J'avais arrêté de croire bêtement en mes copines. Le respect et l'amour, ça se gagne. Mais ça se perd aussi, qu'on le veuille ou non. " T'as vraiment cru que c'était en t'éloignant d'elle que tout allait s'arranger pour toi ? " Elle était sa petite amie, elle aurait tout fait pour l'aider, pour lui donner la main et le soutenir, même si elle traversait des tas de choses à ce moment là. Sa fausse couche et puis Nolan. On en avait rapidement parlé toutes les deux. " Et tu crois qu'en vendant ton entreprise ça va changer quelque chose ? " Moi je trouve que ça fait surtout très... "je me débarrasse de ça vite fait bien fait pour dire que je ne l'ai pas fais pour l'argent". Oui enfin, avec motif ou pas, s'ils décident qu'il est coupable... " Viens voir tatie Dydy pour un gros câlin " Lançais-je à mon ami en ouvrant grand les bras.

« Je trouve ça assez puéril, mais ce n’est que mon avis. De toute façon je ne me sens plus tellement à ma place dans cette confrérie… » avouai-je d’un ton étrange dévoilant quelque peu ce que je ressentais à l’heure actuelle. J’étais clairement au plus mal depuis quelques semaines voire même depuis quelques mois et ce qui se passait dans ma vie en ce moment empirait les choses d’où le fait que je ne cessais jamais de craquer littéralement. Elle avait raison sur le fait que je n’avais pas fait une bonne chose et je l’assumais pleinement bien sûr. J’avais trompé Sienna en guise représailles à tout ce qu’elle m’avait fait vivre mais au final je le regrettais beaucoup plus que je ne voulais l’admettre. « Je ne te contredirais pas. J’ai peut-être des explications sur pourquoi j’ai fait ça mais ça ne servirait à rien parce que je reconnais ma faute. Et je n’ai plus tellement envie d’en reparler chaton. ». En gros je lui faisais comprendre que je n’avais pas envie de parler de Sienna et encore moins de notre relation… Elle était vouée à l’échec depuis la mort de mes parents et je n’avais pas su voir au-delà de mon propre nombril… Je n’aime pas qu’une personne m’aide. Je suis Chase Walton merde, je ne suis pas n’importe qui. « J’ignore où je vais à l’heure actuelle… ». Je déglutis légèrement alors qu’elle me demandait si j’avais vraiment cru que tout s’arrangerait si je l’éloignais de moi. « Avant même que ça n’arrive, elle me cachait des choses… Je pense que je refusais de m’avouer que j’avais peur qu’elle me cache encore des choses… Je n’ai jamais été le premier au courant de ce qui lui arrivait. Mais je ne lui en ai jamais voulue, elle avait ses droits de le faire mais j’ai perdu la confiance en moi. Je ne me sentais plus bien pour elle donc voilà. Ne lui dis pas s’il te plait, gardes ça pour toi. »[/color]. J’étais tellement peu habitué à dévoiler ce que je ressentais vraiment. [color=#B39B00« En mettant en vente l’une des entreprises les plus rentables du monde, je saurais très vite qui complote contre ma famille. Je sais que c’est l’un des membres du conseil d’administration mais pour le moment, ils sont tous suspects à mes yeux parce qu’ils possèdent tous une part de l’entreprise… »[/color]. Je déteste vraiment le monde du business. Elle ouvrait ses bras pour que je vienne quémander un câlin et c’est ce que je fis d’un air penaud totalement perdu par la situation. « J’ai envie que tout ça se termine… Je n’en peux plus, je vais craquer. »