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SOMEBODY SAVE ME - CALEO

Anonymous

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Franchement, je ne savais pas quoi faire, je ne me sentais pas bien… je me sentais si vulnérable et j'avais peur de lui avouer la vérité. J'avais peur qu'il me juge, qu'il me rejette mais j'avais surtout peur… qu'il ne m'aime plus. Parce qu'au fond, je pouvais me dire ce que je voulais il était clair que j'avais toujours des sentiments pour lui même si je faisais n'importe quoi. Je ne me voyais avec personne si ce n'était lui, il était le seul dans mon petit coeur et être dans ses bras me brisait le coeur car la situation n'était pas celle dont je rêvais. Je devais lui dire la vérité, c'était clair maintenant, il ne méritait pas que j'invente quelque chose et il ne méritait encore moins mon silence. Bien évidemment, si je lui demandais il accepterait de ne rien savoir mais je savais que dans son cerveau resterait l'image de la Calypso faible et détruite. Mais le pire c'est que son cerveau continuerait d'imaginer des scénarios, les uns plus pire que les autres et il notre relation ne serait plus jamais la même. Si je lui disais, notre relation allait également changer et pourtant je regrettais, ce n'était pas moi, je ne voulais pas ça et encore moins me vendre mais j'avais eu le malheur de prendre une mauvaise décision. Qu'importe ce qui était en jeu je ne voulais pas que cela reste une interrogation, je l'aimais trop pour lui imposer une telle torture dans sa tête. Non, ce n'est pas ça, rien de tout ça… en fait j'ai rencontré une fille et elle m'a proposé… et bien de sortir avec ce mec contre de l'argent, ouais je sais, c'est stupide et franchement pas responsable. Mais tu vois comme j'suis débile, immature et malade j'ai accepté, je pensais que j'pouvais le faire tu vois, me salir à ce point, que ça ne représentait rien, mais j'pouvais pas. J'comprends pas pourquoi je fais ça Leo… je comprends si tu veux partir, si tu ne veux plus me voir. Une larme dévalait ma joue, je me sentais toujours faible mais je devais être forte pour tout lui expliquer, lui dire ce que je ressentais. Je suis désolée, tu sais que c'est pas moi, je t'en prie Leo ne sois pas en colère… Je voulais qu'il reste avec moi, j'étais bien avec lui, c'était égoïste mais j'étais honnête.
 
(Invité)
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Les bras lui en tombaient, parmi toutes les histoires qu'il avait pu s'inventer pour justifier l'attitude de la jeune femme, jamais Leo n'avait songé à ça. Ça lui laissait un goût amer, elle l'avait dit, ce n'était pas elle, pas la Caly qu'il connaissait. Il se souvenait comment elle s'était moquée de lui au début de leur relation lorsqu'il lui avait confié le métier de son ancienne petite amie. Il ne bougea pas, perplexe, il ne savait pas trop quoi dire tant ça lui semblait impossible qu'elle ait pu se rabaisser à ça. Il n'osait pas lui en vouloir, ni l'engueuler. Thomspers regrettait, elle se punissait suffisamment elle-même et … que pouvait-il lui reprocher ? Il recommença finalement à caresser avec douceur son dos pour la réconforter. « Je m'attendais pas vraiment à … ça, je comprends pas vraiment pourquoi tu as fait ça. Ça te ressemble pas et je veux pas que tu le prennes mal Caly, vraiment pas mais c'est dégradant et tu mérites tellement mieux que te réduire à ça. » Certes elle était malade et il ne pouvait pas ignorer qu'elle avait maigri considérablement mais elle restait Thomspers, elle était belle, riche, elle n'avait aucune raison de s'adonner à ce genre de pratiques et il ne comprenait pas qu'elle ait pu se vendre comme ça. « J'aurais compris que tu aies voulu tester autre chose, mais pas comme ça, regarde dans quel état ça te met. » Cette situation faisait peur à Leo, il avait peur de la perdre, pas physiquement mais qu'elle se perde elle-même dans ce qu'elle était. Halberstam voulait bien subir le fait qu'elle soit loin de lui mais pas qu'elle devienne quelqu'un d'autre. « Tu vas plus recommencer d'accord ? » demanda-t-il faiblement. Sans attendre, il la poussa à se coucher sur le lit, rabattant la couverture sur elle avant qu'il ne quitte sa veste et son jean et il se glissa à ses côtés. « Je vais pas bouger d'accord ? Ça va aller. »
(Invité)