y a pas que la crémaillère qui est à pendre (camilo)

Pourquoi je l'ai emmené là ? Pourquoi j'ai accepté qu'il me foute au lit alors que je savais que je devais juste attendre que mes médicaments fassent effet, que cette drogue légale en petite dose me fasse du bien ? J'en sais rien. Je crois que j'aime juste bien être dans les bras d'un homme. " T'es le premier à voir ma chambre, tu devrais être honoré au lieu de ronchonner ! " Lançais-je en fronçant les sourcils, comme pour lui dire que j'étais en colère qu'il dise qu'il était venu pour trois fois rien, je l'ai pas supplié non plus ! À moins que je ne m'en souvienne plus et ça, ça risque d'être dérangeant... " T'es partant pour courir, sous la neige ? " J'éclate de rire. Non mais sérieusement ! Je sais bien qu'il aime son corps, qu'il faut prendre soin de soi et tout ce qui va avec mais on ne va pas abuser non plus. " T'as vu, elle est belle ma chambre hein " Soufflais-je alors que je le sentais bouger sur le lit et donc regarder partout autour de lui. Ma nouvelle chambre, celle où je vais passer du temps, où je vais écrire une nouvelle histoire, un nouveau futur. Je repars de zéro avec cet appartement. Aucun souvenir, aucune tristesse, rien que du bonheur. Je le regarde et ris légèrement. " Je pourrais très bien dormir à côté de toi hein. Ou sur le sol " Ouai, j'ai déjà dormi dans des lieux plus inconfortable qu'un parquet un peu froid... " Ou sur toi " Soufflais-je en me glissant au dessus de lui, plaçant mes mains sur le lit, au niveau de ses épaules pour prendre appui et ne pas l'écraser de mon poids - plume mais bon. " On dormirait bien comme ça regarde " Soufflais-je avec un léger sourire avant de baisser le visage et de déposer un baiser sur sa joue. Mais très proche de sa bouche quand même. Je suis pas du genre à sauter sur quelqu'un alors j'attends de voir sa réaction, de voir s'il est enclin à quelques bisous. On sait jamais quoi... Je crois que j'ai réellement besoin de m'abandonner dans les bras de quelqu'un...

Vu ses réactions et son attitude on voyait bien qu'elle était ou bien fatiguée, ou bien saoûle, mais son haleine disait clairement qu'elle était juste fatiguée et rien de plus. Elle tourna le regard, me laissant rire tout seul. Ah mais c'est un honneur je vais pas mentir hein... Je souris et continuais de regarder autour, ouais t'as raison elle est bien belle ta chambre. Et puis ouais, je serais partant pour courir sous la neige, j'ai ramené un manteau et j'ai pas froid pour rien t'en fais pas Cermolacce. Puis elle dit qu'elle pouvait dormir par terre. Il était bien beau et bien comfortable le tapis mais non, tu peux pas dormir là-dessus, t'en fais pas. Je te laisserais pas dormir par... Je fus coupé dans ma phrase par un mouvement brusque d'Andrea, qui monta sur moi et se permis de prendre du repos sur moi, mais assise cette fois-ci. C'est ca qu'elle avait derrière la tête hein? J'avais peur de la suite, car si c'était juste un jeu, j'étais en mauvaise position, moi qui peinait déjà à masquer mon évidente érection sur le coup. Elle se pencha doucement, laissa un doux baiser sur ma joue comme pour me chauffer un peu, tandis que je soupirais de comfort. Allez, pourquoi pas, faut prendre sa chance, puis c'est elle qui a commencée... On a plus six ans tu sais Cermolacce, la joue c'est pour les enfants. Je souris avec provoc, puis me mordis la lèvre un moment, comme pour lui lancer une invitation.

Bon ça va alors s'il prend ça pour un honneur. Je ne dis pas, bien sur, que personne n'est venue dans ma chambre parce que je ne fais strictement rien de mon corps depuis de longues semaines maintenant. Et puis, on va dire que j'ai emménagé il y a trois semaines et que je me suis fais opérer il y a quinze jours. Alors forcément, ça limite le passage dans cette chambre. Sans compter que je ne suis pas ce genre de filles. Oui, je suis littéralement entrain de me justifier moralement du fait que Camilo soit le premier à entrer dans ma chambre. Du grand n'importe quoi dans toute sa splendeur. Je réfléchis trop et c'est franchement pas cool. Se laisser aller. Je me le répète une énième fois et passe par dessus Camilo. À vrai dire, je m'arrête carrément sur lui. Ça ne sert à rien de se prendre la tête mille ans et c'est un ami, je peux bien lui faire un câlin non ? Je le regarde et un léger sourire se dessine sur mes lèvres quand il dit qu'on est plus des enfants alors que le bisou sur la joue... " Ah bon ? " C'est un bébé lui, du haut de ses dix-neuf ans hein ! Et moi je suis une mamie cougar. Génial. Mais je m'enfous. J'ai trop envie de l'embrasser et je ne me gêne pas pour le faire. J'embrasse doucement ses lèvres et ferme les yeux pour apprécier ce doux moment. Mes cheveux lui tombent en cascade sur le visage. Je souris légèrement, ouvrant les yeux. Je me décolle très légèrement de lui. On est sous notre cachette de cheveux ! Je rapproche mon corps un peu plus de sien et l'embrasse à nouveau. Avec un peu plus de passion et de fougue cette fois-ci. J'espère qu'il va pas me planter là ! Mais faudrait que je fasse quelque chose avec mes cheveux parce que ça me chatouille le visage et je vais finir par en bouffer à l'embrasser comme ça.

Je laisse mes yeux rivés sur elle et son mouvement, elle n'a pas hésité quand même elle est tout de suite venue sur moi, sans attendre un peu. Elle attendit un moment après ma remarque, puis laissa doucement ses lèvres se coller aux miennes, tandis que ma langue se noua avec la sienne avec douceur. Elle se décolla un moment, passa ses cheveux derrière sa tête et revins à la charge avec un baiser avec plus de fougue cette fois-ci, plus d'envie, me laissant béat mais surtout assez content des évènements. Mes mains glissaient sur son dos, tandis que je passais doucement mes doigts en direction de son arrière-train (les jolis mots), avant que j'empoigne sa robe avec délicatesse pour rapprocher son corps du mien. Mon autre main redressa ses cheveux pour les mettre derrière l'oreille de ma belle afghane, puis nous donna la chance de faire durer ce baiser un peu plus longtemps. Elle se décolla et se redressa avec un léger rire traître, me laissant sourire avec provoc. Tu sais que t'es super mignonne quand tu souris comme ca? Je souris, leva ma tête sous la pression pour lui donner un léger baiser. La soirée venait de commencer pour nous...

Qu'est-ce qu'il est entrain de se passer ? Je suis vraiment entrain d'embrasser Camilo comme si ma vie en dépendait ? Ça ne me ressemble pas mais qu'est-ce que ça fait du bien. pour une fois, je me sens libre, légère et c'est tellement agréable que je pourrais rester coller à lui à jamais s'il me procure cette sensation de bien être... Ses mains sur mon corps me fait frissoner. À vrai dire, mon corps se tend sous ses mains et encore plus quand il empoigne ma robe, la faisant légèrement remonter sur mes cuisses. " Arrête tu vas me faire rougir " Soufflais-je en souriant légèrement. J'ai vraiment pas l'habitude des compliments... Je l'embrasse à nouveau avant d'entendre du bruit de l'autre côté de la porte. Je me détache rapidement de lui et saute sur le verrou pour fermer ma chambre. J'ai franchement pas envie de me faire prendre sur le fait. Je suis en couple avec personne, j'ai de compte à rendre à personne mais bon. J'attrape mon téléphone et envoie un message à Priape pour lui dire que je ne me sens pas bien et que je suis montée dormir. Je passe mon iPhone sur silencieux, le poste sur la table de chevet et souris à Camilo. " On va pouvoir être tranquille maintenant " Soufflais-je avant d'attirer le jeune homme à moi, debout pour glisser mes mains sur son torse et soulever son haut...

Ca devait faire des semaines, voire même des mois que je n'avais pas passé mes mains sur un corps dénudé, oubliez en plus le fait qu'être aux côtés d'une fille délicate comme elle ajoutait encore plus au plaisir. Ses joues commencait doucement à s'empourprer, me faisant sourire un moment. T'es encore plus mignonne quand tu rougis, hésite pas... Je ris légèrement et laissait ma tête tomber sur la sienne, en mordillant doucement sa lèvre pour la tirer vers moi, son parfum m'envahissant et m'attirant vers elle. Un bruit surgit de l'autre côté de la porte, et elle sauta du lit pour aller fermer à clé, un sourire sur les lèvres, puis messagea quelqu'un histoire de se relaxer, probablement Priape. Elle déposa son phone, soupira puis s'accota sur le mur, laissant une main sur mon col, et me tira vers elle. Je souris, et la laissais jouer avec ses mains sous mon haut, tandis que ma tête était retombée sur son épaule, me laissant mordiller la peau intacte et douce d'Andrea, ma langue jouant avec la bretelle de son soutien-gorge légèrement apparent. Je la pris entre mes dents pour la faire retomber le long de son bras, toujours avec un sourire, tandis qu'elle enlevait mon haut d'une main et jouait avec mes abdos de l'autre, me laissant avec un léger sourire, tandis que ma tête s'inclinait vers l'arrière.

" Tu sais définitivement quoi dire pour faire fondre une nana toi " Je ris légèrement avant de fermer la porte, prévenir Priape de mon "état" et de foncer à nouveau sur Camillo. Les cachets font réellement effet et je me sens tellement bien. J'ai l'impression de planer, de prendre mon pied alors qu'il ne fait que m'embrasser, me caresser. C'est juste tellement agréable d'être entre ses bras, entre ses mains... Il faut croire que les Winthrops savent vraiment bien y faire. Je souris et gémis légèrement quand il mord ma peau. Rien de bestial, loin de là. C'est très.... sensuel et agréable. Pourtant, nous n'avons pas vraiment d'affinités. On se connaît, on est ami mais c'est tout. Il n'y a jamais eu un quelque sentiment l'un envers l'autre ou quoi que ce soit. Comme quoi, coucher avec ses amis n'est pas que négatif, malgré ce que je peux penser. Mes doigts glissent sur sa peau et même sur son pantalon, entre ses cuisses. Je pourrais me contenter de lui tâter le postérieur mais non, j'ai bien d'autres plans pour lui... Je souris et mordille légèrement sa lèvre. " T'as ce qu'il faut ? " Soufflais-je en glissant mes mains sous son pantalon mais par dessus son boxer. Je le dévore du regard et embrasse successivement la jointure de sa mâchoire et ses lèvres, exerçant quelques pressions de ma poitrine et de mon bassin sur lui quand j'embrasse sa mâchoire. Il va falloir que j'aille fouiller dans la table de nuit de Priape pour trouver de quoi nous protéger. Je n'ai rien, moi...  

Je frissonnais lentement, le contact de nos deux peaux qui se frottait ne faisait que monter la tension, l'excitation en moi. Elle voyait très bien que mon désir était ardent et que j'allais rester ici, à partager cette sensation de plaisir avec elle. Elle souris doucement, vins me caresser l'entrejambe sous le pantalon, en me demandant avec provoc si j'avais tout l'équipement. Je souris et arrêtais de l'embrasser un moment pour venir lui chuchoter à l'oreille. Il n'y a qu'une seule facon de le savoir non? Je souris en coin et vins lécher sa lobe d'oreille, à la mordiller avec affection et plaisir, puis de redescendre et de faire tomber cette autre bretelle de soutien-gorge le long de son bras. Ma langue glissa sur sa peau que je couvrais de baisers, un sourire aux lèvres, puis releva la tête et restait à la fixer un moment, à caresser sa joue la pointe de mon index. Dis, t'es sur que tu fais pas de conneries là? murmurais-je d'une voix qui faisait presque pitié, avant de lui donner un baiser rapide et furtif. J'avais toujours trouvé Andrea mignonne et avoir une aventure comme ca ne me déplasais pas, mais je voulais juste qu'elle soit consciente qu'elle embarquait dans un truc assez... complexe.

Oui, il n'a pas tord. Il n'y a qu'une seule façon de le savoir et je suis prête à essayer, à venir vérifier. Ça fait tellement longtemps que je ne me suis pas sentie si bien dans les bras d'un homme. Si longtemps qu'aucun de mes souvenirs ne vient tout foutre en l'air, vient dégrader ce moment qui s'annonce vraiment parfait. Je soupire de plaisir quand je sens sa langue sur ma peau. " J'suis libre comme l'air Camilo, j'fais pas de conneries " Soupirais-je entre deux caresses. C'était quoi cette question sérieusement ? Je suis une grande fille et j'ai vraiment très bien envie de ne faire plus qu'un avec lui. C'est un ami, on discute bien mais je suis majeure, consentante et je ne vais pas me mettre à l'éviter parce qu'on va coucher ensemble. Tant qu'il ne me sortait pas un plan foireux, je ne vois pas pourquoi je ferais une connerie... On ne peut donc plus prendre son pied avec un homme maintenant ? " C'est à toi de voir si tu n'arrives pas à supporter le fait de coucher avec moi et de me côtoyer après... Mais là, je pourrais t'en vouloir. Parce que j'ai très, très envie de toi " Soufflais-je. Et s'il voulait vérifier, pas de soucis !

Je souris un moment, frissonant d'excitation à l'idéee de passer à l'action. Elle avait raison, c'était une femme libre sans responsabilités qui n'était pas en couple avec qui que ce soit elle faisait ce qu'elle voulait, et puis on allait tous les deux bien s'amuser elle le savait bien. Si tu le dis... Je souris et alla mordre sa lèvre, la lécher un moment et donner des coups de langue dessus. Elle commenca à passer sa main sur mon membre, je me retenais un moment de ne pas succomber à la tentation car ca faisait un peu trop longtemps que je n'avais pas été sollicité comme ca. Je souris à sa réponse, elle voulait vraiment jouer et autant dire que ca me plaisait de la voir aussi joueuse et provocatrice la petite demoiselle Cermolacce. Oh détrompe-toi, moi aussi j'ai bien envie de toi tu sais... Je souris, me mis à genous et fis doucement remonter ma main le long de sa robe en remontant des genous jusqu'à son entrejambe, en effleurant du doigt la légere pièce de soie qui couvrait sa petite fente fragile et humide, en laissant mon doigt la caresser lentement. Mais tu sais, je doutes que t'aies tant envie de moi... chuchotai-je, un regard provocateur collé à la figure. Montre-moi, Andrea.