But my friends won't love me like you ✩ maxwell

« Je dépasses les bornes ? » tes mains glisses le long de son torse. D'abord toute ta main, puis tes doigts, un par un, il caresse un bout de chair, aussi sensuelle que ça peut le paraître. Il te repousse, contre un mur, pour essayer de réveiller la vrai toi, mais elle n'est pas là. Elle doit être là quelques part, mais tu ne répond plus de toi même, c'est une autre version qui parle, celle qui brûle d'envie, sans ce soucier du mal qu'elle peut faire autour d'elle. Tu laches un faux gémissement quand tu sent le mur dans ton dos, avant de rire. « Tu commences à comprendre. » tu lèves la jambes droite pour caresser la sienne, en te mordant la lèvre. Faut faire passer le messages, faut le tester. Est-ce qu'il t'aimes vraiment comme tout le monde le dit ? Est-ce que toute cette relation n'est qu'un mensonge. Tu le pousse à ton tour, pas bien loin, puisque tes bras sont des ficelos et puis tu n'as plus vraiment de force, et entre dans ta chambre à quelques pas de là, virant ton haut sur le côté en le regardant dans les yeux. Pour voir si il louche sur ton derrière, ou encore ta poitrine. « Ferme la porte quand tu te sera décide. » dis-tu en posant ton cul sur le matelas, te laissant tomber espérant qu'il succombe. Ou que ta tête redeviennent normale, que tout soit de nouveau normale, que cette folle nymphomane qui danse le gangam style dans ta tête se taise enfin.  

Oui, tu dépasses les bornes. Lui répondais-je en la regardant dans les yeux alors qu'elle, elle était plus concentrée à glisser ses mains sur mon torse que de m'écouter. J'avoue que ça ne me déplaisait pas ses gestes, c'est juste que je ne voulais pas perdre ma crédibilité de gay sur le moment. Depuis tout à l'heure je retenais mes petites pulsions, mes envies, mes hormones pour Alaska. C'est juste que je ne voulais pas abuser d'elle, ce n'était pas du tout mon genre et ma façon de faire avec les filles. Puis, elle était tellement sexy quand elle me chauffait avec ses petits airs, je ne comprenais pas comment je pouvais me retenir de ses gestes si sexy. Raaahhh, elle me faisait craquer cette fille. Franchement, je ne sais pas si c'est vraiment une bonne idée. Dis-je en faisant un petit soupire, tout en caressant sa magnifique cuisse. Elle était si belle, si craquante avec ce magnifique visage si angélique, si parfait. Je comprenais maintenant pourquoi Lucas était si amoureux d'elle, et tout cela était carrément logique. C'était vraiment officiel, JE L'AIME. Personne ne pourra me faire changer d'avis, impossible. Alaska décide de rentrer dans sa chambre en virant son haut sur le côté tout en me regardant dans les yeux, pour voir si je ne louchais pas sur ses jolies formes. Je la suivais petit à petit vers sa chambre en fermant la porte à clé qui était derrière moi pour ensuite me mettre sur elle de manière sexy en califourchon. Je ne veux pas te faire de mal à toi Alaska, je tiens beaucoup trop à toi comme tu ne peux pas te l'imaginer. Et je suis sûr et certains que l'autre Alaska, comprendra mes paroles. Souriais-je en caressant sa joue au bout des doigts de manière assez sensuelle et délicate.

Les médoc commencer à se dissiper, la drogue aussi et cette petite crise également. C'était peut être le fait que tu voyait Lucas dans ta tête qui te hurler que Maxwell joué un jeu, et aussi que Moana dit que les noir gay c'est rare à part dans glee, et une dizaine d'autre raison que tout ça n'était qu'un jeu pour rester près de toi. Dans un sens, tu trouves ça noble de faire autant de chose pour t'avoir dans sa vie, dans un autre tu trouve ça abérant qu'il t'es mentit depuis tout ce temps. Alors, même si les effets se dissiper, et que l'envie de faire l'amour commencer à te passer, tu voulais tout de même vérifier tes sources. Et se regard ne ment pas. Et ses mains non plus, qui se pose sur tes joues, dans une caresse délicates. Et tu te dit qu'effectivement tu as dépasser les bornes, et tu aimerais t'excuser, mais une rage intense commence à tes prendre. Tu le repousses de tes petits bras, mais arrive tout de même à le pousser jusqu'au pied du lit, enfile n'importe qu'il tee-shirt qui traîne sur le sol, et hurle si fort et intensément, que tu jure ne pas avoir envie de pleurer. Tout ça est un mensonge, et lui ce n'est qu'un : « MENTEUR ! » tu lui jette un coussin dans la gueule, assez fort pour que tu souhaites lui avoir fait du mal. « TU M'AS MENTIT DEPUIS LE DEBUT ! Tu pensais que ça aller se passer comme ça ? Quand jouant les copains homosexuelle, j'aurais envie de te sauter et qu'on aurait finit par se mettre ensemble alors que tu m'as mentit sur ton idenditer sexuelle ? » tu fait de gros gestes, balancer des tas de trucs comme des chaussettes et des peluches et même un cahier de musique tu balances de l'autre côté de la pièce. Sur le coup ça t'importe peu, cette rage étouffer mélanger à la tristesse et au déni te rendait maboule. Des larmes coule le long de ton visage alors que tu renifles ta morve pour lui éviter le spectacle. « Sur quoi d'autre est-ce que tu as mentit ? » est-ce qu'il s'appelle vraiment Maxwell ? Est-ce qu'il est vraiment ton ami ? Est-ce que tout ça était un plan juste pour te baiser et d'abandonner le lendemain ? Est-ce qu'il est comme les autres ?

Pourquoi je ne lui avais pas dit dès le début que j'étais hétérosexuel ? Au lieu de lui dire des mensonges sur ma sexualité ? Par amour bien sûr. Je l'aimais au plus profond de mes tripes, cette fille m'en avait fait bien baver tellement que j'étais en admiration pour elle. Bizarrement, je n'avais jamais été comme ça, et surtout mentir sur des choses que je n'aurais peut-être jamais fait auparavant pour une fille. Par exemple, faire croire que j'étais homosexuel. Pour elle, j'étais capable de tout, surtout pour n'importe quelle situations et même les plus désagréables. Une rage intense commençait à se faire voir sur le visage. Elle me repoussait de ses petits bras, et elle arrivait tout de même à me pousser jusqu'au pied du lit, en enfilant n'importe qu'il tee-shirt qui traînait sur le sol en hurlant si fort et si intensément. Comme si qu'elle voulait me tuer sur le moment. NON, JE NE T'AI PAS MENTI DEPUIS LE DEBUT ! J'ai toujours été sincère avec toi, oui je t'ai fait croire que j'étais gay, et j'avoue que je n'aurais pas dû le faire. Je ne suis pas ce genre de gars Alaska, même pas du tout ! TU SAIS POURQUOI J'AI FAIS TOUT CA ? HEIN ? PAR AMOUR PUTAIN DE MERDE. Tu ne sais pas que je t'aime depuis le début ? Je suis fou amoureux de toi et tu ne peux pas comprendre mes sentiments envers ton égard. Tout ce que j'ai fais là, depuis le début, c'était tout simplement pour toi ! Elle me faisait des gros gestes pour me balancer des tas de trucs, ne voulant pas m'écouter tellement qu'elle était en colère contre moi. Je me relevais difficilement pour me rapprocher d'Alaska petit à petit en me protégeant contre les projectiles pour ensuite la plaquer contre le mur en la regardant bien dans les yeux. Tout en tenant bien ses mains pour ne pas recevoir de gifle dans la tronche. Je ne t'ai jamais menti sur rien d'autres, seulement pour ça. Je sais que tu es follement amoureuse de Lucas, que tu ne m'aimes pas et que tu me considères juste comme un ami. Oui, je ne suis peut-être pas ton style d'homme et que je ne suis pas forcément beau pour toi. MAIS JE T'AIME, JE T'AIME DE TOUT MON COEUR MERDE. Des larmes de tristesse se faisaient voir sur mon visage, je commençais petit à petit à chialer en criant de toutes les larmes de mon corps comme un gosse qui était triste. Je t'aime... Dis-je en lâchant ses mains pour me retourner vers l'arrière n'osant pas la regarder dans les yeux tellement que j'avais honte de ma situation. Sur le moment, j'avais envie d'exploser comme une bombe atomique et de disparaître de ce monde comme un fantôme. Malheureusement, je ne pouvais pas revenir en arrière et je devais vivre l'instant présent pour assumer mes actes.

Est-ce que tout ça est réelle ? Est-ce que c'est un effet secondaire non expliquer du stimulant que tu as pris ? Est-ce que ton cerveau fait un : ce qui pourrait se passer, avec tes souvenirs ? Ou est-ce que tout ça est juste réellement entrain de se passer ? Ta colère profonde et ta réaction de petite fille, face au chose que tu ne peut pas comprendre, ta voix tremblante de rage et tes mains qui catapulte tout ce qui te passe sous le bras, de tes coussins à tes calepins, sans te soucier de ce qui va en suivre. Et de cette scène tout droit venu d'un film inspiré d'un livre de Nicholas Sparks, ou l'héroïne ouvre enfin les yeux sur ce qui a au bout de son nez. Il te tiens par les épaules, tes yeux dans les siens, une scène larmoyante et sincère. « Tu quoi ? » il t'aime. Est-ce que quelqu'un te la déjà dit ? Dans mes souvenirs, ta sœur et ta mère te l'ont dit, pour ne pas que tu l'oublie, mais en dehors ça, ce n'était que des : tu me plait, ta pas l'air con comme fille, rien de plus. Tu arrêtes de trembler, et concentre ton attention sur lui te déclarant sa flamme, les choses deviennent si claire que tu te sent extrêmement stupide d'être tomber dans le panneaux. Tu le pousse doucement pour t'échapper de ses bras, et récupère un jean au sol. Tu ne sais pas vraiment comment réagir, puisque cette situation ne t'es jamais arriver, et qu'au dernière nouvelle il n'y a pas de DYI : comment ne pas briser le cœur de son meilleur ami, sur youtube. Alors tu te tourne et soulève tes cheveux. « Je pense qu'on devrait arrêter de se parler. » tu ne sais pas quoi dire d'autre. Peut être que si tu l'avais su plus tôt les chose aurait été différente, peut être que si tu savait ce qu'aimer veux dire et comment y faire face, tu le saurais aussi, mais tu n'en a aucune idée, et tu ne sais pas quoi faire, ni quoi penser. « Par amour n'est pas une raison valable. ça n'a jamais été une raison, tu ne peut pas écraser une personne avec ta bagnole et écrire "par amour" sur le rapport d'incident. Tu m'as mentit, tu te fou de moi depuis le début et tu profite de tout ce que j'ai pu te donner autant qu'ami. J't'ai confier des trucs que j'ai jamais dit à personne, j'avais confiance en toi, aveuglement confiance en toi. J'veux plus de toi dans ma vie. » parce que c'est un menteur, et même les menteur amoureux n'ont pas le droit à la parole dans le monde d'alaska. Tu ouvres la porte pour lui faire comprendre qu'il devait partir.

Je t'aime, tu m'as très bien compris. Lui répondais-je encore une fois en affirmant ce qu'elle avait bien entendu par mes dires. C'était difficile à croire venant de ma part, je sais. Mais fallait que j'évacue une bonne fois pour toutes mes sentiments envers elle. Dire que ça faisait des mois et des mois que j'étais fou amoureux de cette fille. Oui, j'avoue avoir baiser d'autres meufs dans mon lit, alors que je ressentais des sentiments pour Alaska. Mais j'étais en manque d'amour, j'avais vraiment besoin d'avoir une présence féminine avec moi. Cela faisait tellement longtemps que je n'étais plus en couple avec une fille, et mes histoires amoureuses se sont tous finis un peu... mal. On dirait que j'avais une malédiction en moi qui ne voulait pas que je sois heureux dans la vie. Je me retournais vers elle en regardant sa réaction, elle levait ses cheveux en se retournant vers moi. Non, je t'en supplie tu ne peux pas me faire ça. Je tiens trop à toi comme tu ne peux pas te l'imaginer. Tout ce que je lui disais depuis le début c'était avec sincérité. Avant, je n'avais pas du tout l'audace de lui dire réellement en face de ce que je ressentais pour elle. Tout simplement à cause de ma timidité au niveau de l'amour, et bien sûr à cause de Lucas qui me bloquait énormément. Ce n'était pas facile de dire tout ce que j'avais dans le coeur, j'avais pleins de choses à lui dire ouvertement. Par exemple, les bons moments qu'on a passés ensemble rien que nous deux en tête-à-tête. Ou soit l'accompagné pour faire son petit shopping en l'aidant à faire ses choix, alors qu'en vrai j'avais tout simplement horreur de ça. Je prenais tout de même du plaisir et tout simplement grâce à elle. Je ne veux pas te perdre. Mes larmes commençait de plus en plus à s'empirer tellement que je n'arrivais pas à me retenir. Elle m'ouvre la porte pour bien me faire comprendre que je devais partir et la laisser tranquille dans sa chambre. Prend soin de toi. Dis-je en sortant de sa chambre tout en fermant la porte derrière moi pour ensuite sortir de la Lowell House. Je me dirigeais vers un petit bar de la ville pour essayer de me changer un peu les idées et réfléchir seul.