But my friends won't love me like you ✩ maxwell

T'as pris un crayon HB, t'as viré ton mur de poste Harry Potter et tu t'es mise à dessiner. Comme ça, au beau milieu du couloir. Va savoir si c'est interdis ou pas, t'as virer tes fringues pour te mettre en sous-vêtement parce que c'est LA tenu que l'artiste doit avoir, et tu t'es mise à gribouiller. D'abord tu voulais faire un arbre alors t'as commencer par faire un gros tronc qui longue le mur, après tu t'es dit qu'une femme à poil du XIIème siècle ce serai mieux, alors t'as transformer le tronc en espèce de jambe plus épaisse et tu t'es mise à chiffonner. Et après tu t'es stopper, parce que t'avais loi nd'avoir finit, mais que tu t'es dit que quelqu'un devait voir ça, en plus du Doyen quand tu te feras renvoyer of course. Tu as donc envoyer un sms à Maxwell « Apporte ton appareil photo et ta tête, j'ai un truc de fou à te montrer à la Lowell House ! » Puis, après t'as pris des couleurs, parce qu'une œuvre n'est complète qu'une fois en couleur, et t'as peint. Parce que c'est tout ce que t'étais capable de faire, ton cerveau était entrain de disjoncté. Tu pensais à trop de chose, à trop de gens et ton cerveau te disait de rester positif, mais positif à quoi ? Ça ne mène à rien. Et surtout, t'avais pris une petit dose d'amphétamine. En gélule histoire que te monte pas directement au cerveau. Et ton corps était recouvert de penture pêche, pendant que tes yeux travailler encore et encore ce stupide tétons que tu voulais faire jolie et discret à la fois. « VA CHIER PUTAIN. Sale tétons de merde. » tu vire la palette à l'autre bout du couloir, en hurlant de toutes tes forces. Heureusement que cette endroit est vide de monde, et que personne ne risque de voir dans cette état là.

Je ne savais pas trop quoi faire à ce moment-là. Hm, même pas du tout à vrai dire, j'avoue que j'avais un peu la flemme de bouger mon cul du canapé. La seule chose qui me venait à l'esprit, c'était de ne rien faire et de rester comme un con en attendant le temps passé. Bon, j'avoue quand même que ce n'était pas mon genre, j'avais plus envie de bouger dehors, je n'aimais pas rester inactif comme un porc devant son écran à regarder des séries sur Netflix. C'était un peu lassant à force, j'avais plus envie de sortir quelque part. Mais, où exactement ? Je reçois un sms sur mon portable, je regarde directement étant curieux de savoir qui était la personne. « Apporte ton appareil photo et ta tête, j'ai un truc de fou à te montrer à la Lowell House ! » OMG, cette fille me sauve la vie. Enfin, enfin je vais avoir une putain d'occupation parce que là, c'était la fin du monde pour moi. Et je prends la décision de me grouiller le plus vite possible en lui envoyant un message pour bien lui confirmer que j'allais arriver dans pas longtemps. Tout en m'habillant normalement et bien sûr en n'oubliant pas mon appareil photo vu qu'elle devait en avoir besoin. Franchement, je ne savais pas pourquoi elle voulait absolument mon appareil photo et pourquoi me voir immédiatement moi ? A voir dans le prochain épisode les amis. C'est en arrivant dans les couloirs de la Lowell House, que je remarque Alaska en sous-vêtement... My god, my god, elle était trop belle cette fille un truc de malade. J'essayais de rester le plus naturel possible, le genre de gars sérieux qui n'était pas du tout pervers alors que moi en vérité, si. Qu'est-ce qui se passe GRANGER ? Dis-je en esquissant un petit sourire en m'approchant d'elle petit à petit avec l'appareil photo en main.

La voix de Maxwell résonnait dans les couloirs, stoppant la dispute qui commencer à grandir entre toi et ton toi intérieur. Encore un conflit sur les couleurs ou encore cette stupide idée qu'elle a de vouloir faire un trou dans le mur pour faire un toboggan à la place des escaliers. Parfois elle rugit de nul part, pour te rendre totalement folle, cette voix inconnue qui te murmure des idées débiles. Et tu lèves les yeux vers Max, qui semble tout aussi étonner que toi, de te voir dans cette état là. Tu avais littéralement oublier que tu lui avais demander de venir. « Je.. Je refais la déco comme tu peut le voir. » tu taper sur le mur pour lui montrer ta fresque, bien qu'elle soit assez visible pour que tu n'est pas à lui montrer ou regarder. « T'en penses quoi ? » Tu le rejoint dans les escalier pour embrasser sa joue, en fait non, c'est ce que tu voulais faire, mais les produit illicite qui coule dans ton sang te fond totalement disjoncter. Alors tu hurles presque de joie en te rendant enfin compte qu'il là, en chair et en os, sautillant dans tout les sens comme un petit chiot qui vient de retrouver son maître. Et tu sautes dans ses bras, à pied joint, et seulement après, tu recours sa joue de mille baiser. « Si j'ai un prix pour cette œuvre, je mettrais ton nom dans les remerciement, t'en pense quoi ? » tu sourit à pleine dent, avant de rire et déposer un second baiser sur le bout de son nez.

Je ne savais pas ce qu'Alaska avait en tête de faire, chez pas mais sur le moment je la trouvais un peu bizarre. Comme si que quelqu'un la possédait ou un truc du genre. Fin' je n'étais pas quand même parano à ce point-là, ça se voyait de toute façon sur son visage. C'est vrai que je m'inquiétais beaucoup trop pour elle, vu que j'y tiens beaucoup à elle. J'étais sûr et certains qu'elle prenait des produits illicites et ça je ne pouvais pas supporter de la voir dans cette état. Puis, franchement à Harvard, plus de la moitié des élèves prennent des trucs pas très catholiques. Heureusement que je n'en faisais pas parti, je ne suis pas un putain de junkie moi. C'est vraiment joli tout ça, bravo. Dis-je en faisant un signe avec ma tête en approuvant son art. Franchement, je ne savais pas comment Alaska trouvait ses petites inspirations, c'était une fille assez créative et elle savait ce qu'elle faisait. Tu peux être une excellente Léonard de Vinci. Répondais-je en esquissant un petit sourire sincère tout en tournant mes yeux vers son regard perçant. Elle me rejoint dans les escaliers pour embrasser ma joue, sur le moment j'étais complètement timide et assez gêné vu qu'elle m'intimidait dans ses actes. Ensuite, Alaska hurlait de joie en sautillant dans tous les sens comme un petit chiot qui venait tout juste de revoir son maître. Et elle saute dans mes bras, à pied joint, et seulement après elle me fait encore et encore des millions de bisous. Je pense, que je serais très honoré d'être dans les remerciements de ton œuvre. Dis-je avec sincérité en gardant toujours le même petit sourire, hypnotisé par son regard en ne la lâchant pas du tout des yeux. Perso, je n'étais pas contre qu'elle s'attache à moi, ni qu'elle me fasse des millions de bisous. Au contraire, c'est ce que je voulais de plus au monde, surtout venant d'Alaska Granger. Mais, je voyais très bien que ce n'était pas elle, et je ne voulais pas abuser du moment présent qui m'était grand ouverte. Laska, je sais que tu n'es pas dans ton état normal. Tu prends des choses illicites ? Tu dois me répondre avec sincérité s'il te plait, comme tu sais le faire d'habitude avec moi. Mon sourire s'enlevait petit à petit de mon visage, je voulais lui montrer que je n'étais pas assez con et qu'il fallait revenir dans le sérieux.

Une énergie soudaine te prend dans les tripes lorsque tu voit Maxwell, c'est donc naturellement que tu lui saute dessus, attrapant sa nuque entre tes bras pour t'accrocher tel un petit bébé koala. Aucune idée de comment les bébé koala s'appelle d'ailleurs, faudrait que j'fasse une recherche la dessus, btw. « Merci, j'essaie d'utiliser des techniques que j'ai vu sur le net pour la colorie de la peau, mais c'est pas évident. » tu sourit, encore et toujours. Comme si tes lèvres n'était pas fatigué de former un arc de cercle, mais Maxwell le sent, il sent que c'est pas normale. Tu aimerais pouvoir lui expliquer, mais tu te contente de lui bisouter la joue, et serrez sa nuque, et coller ton petit corps frêle contre le sien. « J'ai hâte de devenir riche et célèbre ! Tu penses que je devrait ouvrir une galerie ? Ou genre directement une université ? » dis-tu dans un rire. Ce serai le rêve de tout artiste d'avoir une galerie à son nom. Tu en avait même oublier que tu étais en sous vêtement, et qu'il faisait froid, et qu'y avait un bordel pas possible dans le couloir. Tu le lâche doucement, et remet les pieds sur terre. C'était aussi sa voix dure et son sourire qui s’efface qui te redescend un peu, bien que son visage soit encore entourer d'arc en ciel et de paillette. Tu ne sais même pas si c'est les pilule ou juste la maladie qui fait ça. Tu es incapable de faire la différence entre le réel et l'imaginaire. « Rien de grave, juste un petit stimulant, t'en veux ? » tu ramasse la palette que tu as envoyer à l'autre bout de la salle et te dandine pour ramasser les autres stylos et pinceaux au sol, remettant ton tee-shirt. « J'ai vu ma mère en rentrant de Londres, elle était dans l'aéroport, assise sur les bagages des autres passager et elle disait qu'elle ne voulait pas redescendre du navire. J'avais aucune idée de ce qui lui arriver, et j'ai compris : elle a des hallucinations à cause de la bipolarité. C'est tellement réelle que t'as pas l'impression que c'est la maladie qui parle, c'est juste : là. » c'était le moment de claireté avant la folie, tu ne sera peut être pas capable d'être aussi honnête plus tard, plus jamais en fait. Tu passes une main dans tes cheveux et remet ton short. « J'ai envie de baiser maintenant. » dis-tu en riant.

Franchement, j'avoue que je me sentais tellement si bien dans ses bras, j'étais vraiment rassuré d'être à ses côtés. Oui, je ne savais pas pourquoi j'avais ce sentiment-là envers elle. Chez pas, ça devait être naturel chez moi, puis il y avait une grande énergie chez elle qui me rassurait beaucoup. Alaska me saute dessus comme un petit bébé koala en attrapant ma nuque, je tenais bien ses cuisses avec mes deux mains pour ne pas quelle tombe par terre, et bien sûr qu'elle ne se fasse pas mal bêtement à cause de moi. Rien n'est facile dans la vie, continue à apprendre ses techniques pour les utiliser à la perfection, comme tu sais le faire d'habitude. Dis-je avec sincérité et fermeté, tout en lui rendant un petit sourire en étant toujours scotché à son regard. J'avais vraiment confiance en Alaska, cette fille était capable de tout et de bien faire les choses. Elle devait seulement s'améliorer pour réussir dans ses objectifs, question de logique. Ce n'est pas en devenant riche et célèbre, que ça te rendra heureuse dans la vie. Lui répondais-je en toute honnêté sans vouloir lui détruire son rêve. Au contraire, je voulais qu'elle accomplisse son rêve pour qu'elle trouve son bonheur, mais sans qu'elle pense à l'argent et surtout à la célébrité. Il faut plutôt prendre du plaisir à exercer son métier. Non ? Si elle veut vraiment faire cela et perdre son anonymat, qu'elle le fasse sans hésiter, personne ne l'empêchera de toute façon, ni moi. C'est ses choix, c'est ses décisions et c'est son destin. Alaska prend la décision de me lâcher doucement, en mettant ses pieds sur terre. Arrête de prendre des stimulants, ce n'est pas du tout bon pour ta santé. S'il te plait, arrête pour toi et pour moi... Dis-je en la regardant bien dans les yeux, un peu triste de son état en espérant qu'elle fasse le meilleur choix pour elle, pour sa santé. Elle commence après à ramasser la palette qui était à l'autre bout de la planète, pour ensuite ramasser les autres stylos et pinceaux au sol, tout en remettant son tee-shirt. Je l'observais discrètement comme un lynx pour analysé ses faits et gestes. Tu es donc bipolaire ? Comme ta mère ? Ah ouais, quand même la bipolarité ne faisait pas du tout de cadeaux aux personnes atteintes de cette sale maladie. Maintenant, tout était clair dans ma tête. Alors, je m'approche d'Alaska pour savoir un peu la suite de ce qui va se passer en m'imposant devant elle. Tu ne baisseras avec personne, il faut que tu te reposes Alaska. Dis-je en prenant ses pinceaux et ses stylos qu'elle avait dans la main pour l'aider. Un peu de galanterie dans ce monde de violence et de cruauté, bon sang.

« Je veux devenir riche, et avoir une férrari et payer mes factures, sans que j'ai à me demander si je doit vendre mon cul à la fin du mois. Dieu sait que personne ne l’achèterais de toute façon. » tu te mis à rire, par pitié envers ta propre personne, mais aussi parce que l'effet de ce putain de médoc commencer à se dissiper. Pilule du bonheur éphémère, il n'a même pas duré un quart d'heure que tu te sent déjà revenir à ton état normale. Et manque de bol, cette fois-ci c'est la dépressive qui fait son entrée. Tu racontes brièvement à Max ce qui t'es arriver à l'aéroport, Helène qui se débattre avec la sécurité, pensant que si elle aller toucher le sol, sa tête aller exploser, c'était à la fois tordant et bouleversant. Tu t'es imaginer un quart de seconde à sa place, et dix minutes après tu pleurer à chaque larme dans le taxis sans pouvoir t'arrêter.Tu jette la palette dans le carton où était sa place, hausse les épaules sans savoir quoi répondre. Oui ? Non ? Bipolarité ? Folie ? Tout se mélange. « Si un jour ça m'arrive. Met moi une claque et amène moi dans le centre psychologie le plus près, parce que je refuse de me taper la honte à l'aéroport. » tu ris, un faux rire cette fois-ci, tout en te rhabillant. Max pose ses mains sur toi, et ta tête fait des feux d'artifice. Un quart de seconde, t'as crus voir Lucas, ou c'est juste ce putain de médoc qui mette tes hormones en vracs. Parce qu'après tout il se ressemblait en rien. Il était typé, l'autre blanc comme un cul, ses cheveux sont frisé et rebel, l'autre devant mettre une tonne de gel pour redonner un effet naturel, ses yeux était d'un marron/noisette percent, l'autre bleu océan, ta tête te joue tes tours et tes hormones en profite. « ça t'es déjà venu à l'idée de me prendre sauvagement sur le sol de la lowell house ? » qui parle ? Parce que c'était pas toi, c'était une autre toi, qui venez de prendre possession de ton corps. Retirant doucement ton haut, et déboutonnant ton jean. « Tu te mentirais à toi même si tu me dit que tu m'as jamais imaginer nue, Maxwell. » gay ou pas, ami ou pas, c'est sûre qu'il a déjà reluquer ton petit cul mouler dans un jean, même pas pure curiosité.

Bah moi je veux être président des Etats-Unis, je veux être le plus riche du monde et bien sûr j'aurais la maison blanche que pour moi. Non, mais franchement Alaska regarde toi, t'es vraiment pas dans ton état. Dis-je en roulant des yeux assez désespérer de son cas, ne savant pas quoi faire d'elle. Comment pouvais-je l'aider dans une telle situation comme celle-ci ? Qu'est-ce que je pourrais faire pour qu'elle aille mieux ? Trop de questions dans ma tête, et comme d'habitude pas de réponses à mes questions. Bref, fallait vraiment que je me débrouille tout seul pour que tout se passe bien sans faire une grosse connerie, qui peut non seulement me coûter très chère. Putain, je ne savais pas que la bipolarité pouvait faire tant d'effet à ce point-là, avec ses produits illicites qui peuvent détruire une personne en quelques mois si la personne en est addict comme un porc. Jamais je ne te mettrais une claque Alaska, ce n'est pas mon genre de frapper les femmes comme ça. Tout peut s'arranger sans les coups, il y aura toujours une solution à tes problèmes. L'âme d'un philosophe se faisait voir en moi avec mes paroles. Ouais, beaucoup de personnes me disaient que je trouvais toujours les bons mots à dire, et que je pourrais faire un très bon prof de Philo. Sauf que voilà, moi j'avais qu'un seul rêve en tête qui me trotte depuis mes 10 ans. C'était tout simplement d'être un grand acteur noir et percé dans le monde du cinéma à Hollywood. Même si pour l'instant, ce n'était pas du tout gagner pour moi. Euh, excuse moi Alaska je n'ai pas trop compris là. Dis-je en rigolant nerveusement ayant très bien compris ce qu'elle voulait me dire. Ce n'était pas du tout elle, et je le savais depuis le début. Un coup c'est Alaska, un coup c'est l'autre, pire qu'une schizophrène quoi. Elle retirait doucement son haut et déboutonnant ensuite son jean. Bon, j'avoue que je stressais un petit peu, mais je ne pouvais pas sauter sur le moment venu. Parce que tout simplement, ce n'était pas elle. Je préférais avouer mes sentiments à la vraie Alaska, au lieu de la baiser ouvertement avec son autre elle. Il faut que tu te reposes Alaska, c'est très important pour toi. Tu n'es pas du tout dans ton état normale, arrête tout de suite s'il te plait. Lui répondais-je en attrapant ses deux épaules tout en la regardant dans les yeux pour lui bien faire comprendre qu'il fallait revenir dans le monde réel. Même si j'avoue que... Je me suis plusieurs fois masturber en pensant à elle.  

« JE SUIS DANS MON PUTAIN D'ETAT NORMALE. OKAY ?  » hurle-tu prèsque à travers le couloir. Pourquoi il dit ça? Tu vas bien. Tu pète la forme, tu dessine même de nouveau, ça t'es pas arriver depuis mai dernier. Tu dessine quand t'as le temps et entre les mahs appliquer et les sciences, t'as pas vraiment le temps. C'est bizarre quand même que tu soit lowell et que tes études soit Dunster, ça toujours été toi ça : double personnalité, double jeu, encore maintenant tu ne sais plus vraiment qui tu es, entre la fille qui voudrais se calmer et l'autre chaudasse de merde qui se la joue : personne ne peut me résister. T'as vraiment besoin de te calmer, mais c'est drôle. Va savoir en quoi c'est drôle, mais ça te fait sourire doucement de le voir paniqué. « Tu le fera. Pour moi. Et tu sais ce que tu peux faire d'autre pour moi ? » au final, c'était pas une bonne idée d'avoir remis ton tee-shirt, t'étais très bien comme ça, tes seins dans ton soutient gorge et ce petit air de gentille petite fille. C'est marrant ouai, le voir paniqué, essayer de te résonner alors que ton cerveau commence à s'exité tout seul. La paranoïa été inévitable dans la bipolarité, ils ont parlent tout le temps, qu'il faut faire gaffe, que le malade doit toujours être dans des endroit saint et loin de chaque danger, mais ils n'ont jamais parler de l’impulsivité maladive. De cette veine qui éclate en un feu d'artifice magique et a envie de tout voir, tout faire, tout toucher. Tu déboutonne ton jean lentement, et lâche ton haut de l'autre côté de la pièce. Max essaie de te résonnais, fait la sourdre oreille, il pose ses mains sur tes épaules et tu te mord ouvertement les lèvres pour lui faire passer le message. Tu prend d'ailleurs sa main dans la tienne que tu places sur ton sein droit. «Tu comprend mieux là ? Où tu veux que j'te fasse mieux comprendre ? » Tu glisses tes mains sous son haut, après avoir tirer un peu sur son tee-shirt. J'sais pas ce qui t'attirer le plus, le fait d'être dans le couloir et que quelqu'un puisse vous surprendre, ou alors le simple fait de le faire avec un ami. Tu caresses son torse du bout de tes doigts, et souriant au coin. « Avoue le. Tu t'es déjà branler en pensant à moi ? Regarder par le verrou pendant que je prenez ma douche ? Me laisser passer en première pour regarder sous ma jupe ? » tu ris de plus belle, il faudrait vraiment que tu te calmes, ou que tu prennes ses foutue régulateur d'humeur, au lieu de te transformer en princesse des putes chaudasse.  

TU NE L'ES PAS PUTAIN DE MERDE ! TU COMPRENDS OU PAS ? Hurlais-je encore plus qu'Alaska à travers les couloirs de la Lowell House. J'avais vraiment l'air d'un fou sur le moment, d'un psychopathe qui s'est enfuit d'une asile. Elle ne voulait pas m'écouter, cette fille était pire que têtue bon sang. Franchement, je ne savais pas quoi faire avec elle. Comment pouvais-je la raisonner dans son petit délire de petite fille ? Tout ça, à cause de sa maladie qui la rendait complètement pas normale dans sa tête. Puis, petit à petit je perdais ma crédibilité de gay en essayant de la raisonner comme si j'étais son petit ami. Fallait vraiment que je joue mon rôle à fond, parce que je savais déjà que Lucas savait que je ne l'étais pas vraiment. Et logiquement, il va lui dire vu que c'est un gros faux cul avec moi. Il ne vient jamais parler en face ce trouducul. Non, je ne le ferais pas. Qu'est-ce que tu veux que je fasse d'autre ? Dire que je m'étais foutu dans une situation pas possible. Elle était pire que moi niveau perversité, enfin quand elle n'était pas dans son état normale bien sûr. Franchement, j'avoue que sur le moment je voulais la baisé quand elle me chauffait comme ça. Mais, je n'étais pas du tout comme ça, je ne voulais pas abuser d'elle vu qu'elle n'était pas du tout dans son état normale. Petit à petit, elle commençait à m'énerver à vouloir faire la sourde oreille, en n'écoutant pas les conseils que je lui donnais pour son bien. D'ailleurs, elle prend ma main de nulle part dans la sienne, pour ensuite le placer sur son sein droit. Mais, qu'est-ce que tu fais Alaska ? T'es pas bien dans ta tête. Dis-je en la repoussant délicatement contre le mur, pour lui bien faire comprendre que je n'étais pas du tout d'accord avec ses gestes. Malgré ça, elle continuait toujours à faire la fille têtue en caressant mon torse au bout de ses doigts. Tu dépasses trop les bornes Granger, même un peu trop à mon goût. Soupirais-je en me retournant afin d'observer s'il y avait quelqu'un ou pas qui se cachait quelque part. Tellement qu'elle m'énervait, je transpirais comme si j'avais couru tout un stade pendant des heures.