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I LOVE YOU
Depuis quand est-ce qu'ils étaient comme ça l'un avec l'autre ? Sauvages, pressés. Elle le déshabillait et envoyait valser ses vêtements sans scrupules et avec une fougue qui venait parfaite l'excitation de Nate. Plus de gêne en eux, loin la première fois maladroite. Ils étaient deux adultes, plus ou moins expérimentés qui avaient pleinement envie l'un de l'autre. Des animaux, rien de plus. À cet instant... Ils n'étaient rien de plus. Des animaux qui s'aiment et ne sont même plus capables du moindre mot tant l'envie est grande.
Elle caressait ses cheveux comme toujours. Et lui aimait ça, comme toujours. Il lui rendit son grognement et la laissa le malmener un peu. Il la laissa lacérer un peu son dos. Il aimait ça aussi... Quand elle était comme ça avec lui, qu'elle était... Presque féline. Qu'elle lui faisait un peu mal de la sorte. Parce que dans un sens... Quand on arrivait plus à contrôler ses gestes de cette façon... C'était qu'on avait une envie telle de l'autre que ça bous rendait fou.
C'était très plaisant. Elle l'embrassait encore et toujours, venant tendre le sexe de Nate encore et encore. Il n'en pouvait plus. Il n'en pouvait plus d'attendre, il n'en pouvait plus de son pantalon qui le gênait de plus en plus. Qu'attendait-elle pour lui enlever ? Pour le libérer. Il ne voulait pas le faire lui-même car ça aurait été trop peu excitant. Il voulait dépendre d'elle et de ses gestes. Alors il grognant et rompit le baiser. Il laissa ses lèvres se perdre dans son cou, puis sur ses épaules, et de ses dents... Il attrapa les bretelles de son soutien-gorge pour lui retirer. Il le fit descendre ensuite d'une main, et la souleva pour lui ouvrir.
Et il goûta ses seins. Ses seins... Son parfum. Son galbe... Ses tétons.. Il embrassait cette poitrine qui lui avait tant manqué. Léchant de temps en temps ses tétons du bout de sa langue. Les mordillant aussi dans des grognements. Il se donnait encore plus envie d'elle alors qu'il était déjà au bord du gouffre. Mais... Il voulait goûter son corps encore et encore. Parce qu'elle était spéciale. Parce qu'elle était l'unique.
Elle caressait ses cheveux comme toujours. Et lui aimait ça, comme toujours. Il lui rendit son grognement et la laissa le malmener un peu. Il la laissa lacérer un peu son dos. Il aimait ça aussi... Quand elle était comme ça avec lui, qu'elle était... Presque féline. Qu'elle lui faisait un peu mal de la sorte. Parce que dans un sens... Quand on arrivait plus à contrôler ses gestes de cette façon... C'était qu'on avait une envie telle de l'autre que ça bous rendait fou.
C'était très plaisant. Elle l'embrassait encore et toujours, venant tendre le sexe de Nate encore et encore. Il n'en pouvait plus. Il n'en pouvait plus d'attendre, il n'en pouvait plus de son pantalon qui le gênait de plus en plus. Qu'attendait-elle pour lui enlever ? Pour le libérer. Il ne voulait pas le faire lui-même car ça aurait été trop peu excitant. Il voulait dépendre d'elle et de ses gestes. Alors il grognant et rompit le baiser. Il laissa ses lèvres se perdre dans son cou, puis sur ses épaules, et de ses dents... Il attrapa les bretelles de son soutien-gorge pour lui retirer. Il le fit descendre ensuite d'une main, et la souleva pour lui ouvrir.
Et il goûta ses seins. Ses seins... Son parfum. Son galbe... Ses tétons.. Il embrassait cette poitrine qui lui avait tant manqué. Léchant de temps en temps ses tétons du bout de sa langue. Les mordillant aussi dans des grognements. Il se donnait encore plus envie d'elle alors qu'il était déjà au bord du gouffre. Mais... Il voulait goûter son corps encore et encore. Parce qu'elle était spéciale. Parce qu'elle était l'unique.
© Babao
(Invité)