I love you • Robin [+18]

I LOVE YOU

Nouvel an... Nate était à la soirée histoire de voir du monde parce qu'il n'avait reçu aucune autre invitation. Et puis... pendant ce genre de soirée on finissait toujours par rencontrer des gens à qui parler. Alors, après deux trois discussions avec quelques jaunes et potes croisés par ci par là... et deux trois verres descendus... il était finalement tombé sur Robin. Elle avait été seule dans un coin, il s'était juste assis à côté d'elle, et avait commencé à échanger quelques mots avec elle. On ne pouvait pas dire qu'elle était au mieux, son frère lui manquait, terriblement. Et... une fois la soirée achevée, Nate s'était mal vu la laisser rentrer seule dans son état.

Alors... il l'avait invitée à le suivre chez lui histoire qu'elle ne finisse pas vraiment solitaire avec le poids qu'elle avait sur la conscience. Ils approchaient lentement mais sûrement de la résidence de Nate. Ils ne parlaient plus vraiment, la fatigue devait sûrement un peu les embrumer... ou alors un peu de gêne de se retrouver ainsi tous les deux ? Ils entrèrent, et marchèrent jusqu'au studio du jeune homme. Il referma la porte derrière eux, et retira ses chaussures. Il ne savait pas trop quoi dire ni quoi faire... parce qu'à vrai dire maintenant il se rendait compte de la situation dans laquelle ils étaient, là, tous les deux chez lui comme à l'époque. Il toussota alors un petit peu et lui adressa un sourire timide.

"Je... euh... bon ben tu connais la maison du coup... fais comme chez toi..."

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Et finalement, j'étais sortie... Je ne sais pas trop pourquoi, peut-être parce que je pensais que ça me ferait du bien de voir du monde, de pas rester seule comme je l'avais fait pour noël en fuyant le repas familiale ? Je ne sais pas trop... Mais le résultat était là... J'étais sortie pour aller à la soirée de la soeur d'Andrew, cette fille qui me déteste parce que j'avais une mauvaise influence sur lui... Je ne l'aime pas non plus... Au moins ces réciproques... Mais toute la soirée, je me suis demandée ce que je faisais là, pourquoi j'étais venue... Je culpabilisais un peu d'essayer de faire la fête maintenant, alors que jusqu'à présent c'était un moyen de fuir... Là, c'était la fête pour la fête... Une fête pour le nouvel an, pour arrivée en 2016 et ainsi laisser mon frère dans le passée pour de bon... Je ne voulais pas... je ne voulais pas pouvoir me dire que mon frère est mort l'année passée... C'est atroce de ce dire ça... Se dire que ça fait que quelque mois, c'est plus simple, plus supportable dans un sens... Alors, j'avais chercher à boire un peu, repoussant un peu les gens et la bonne ambiance... Ouais, pour ce nouvel an, je tirais une gueule d'enterrement... J'étais pas réellement des meilleurs compagnies... Mais étrangement, Nate était venu me parlé... Trop mal pour le repousser ou bien, parce que je savais qu'il ne se passerait plus rien entre nous parce qu'il me l'avait que trop fait comprendre, je n'avais pas chercher à le repousser et on avait discuter un peu avant qu'il ne reparte comme il était venue, me laissant seule ensuite...

Puis vint minuit... Les cris, les feux d'artifices... Je ne me sentais pas du tout à ma place à cette fête, j'aurais aimé être chez moi, planquer ma tête dans mon oreiller et pleurer, mais ici, je devais faire bonne figure, alors je souris un peu, tenant fermement mon verre de champagne entre les mains avant de finalement le vider d'une traite comme je l'avais fait pour les verres d'alcool précédemment... Pourtant, je savais que je ne devais pas boire plus, pour ne pas finir par pleurer dès 2016 arrivé.

Ensuite, il est revenu... Un peu comme un preux chevalier sur son noble destrier pour m'emmener loin d'ici, pour me reconduire chez lui, pour me sauver de moi-même, de mes larmes aussi je crois... J'ai marché à côté de lui sans savoir réellement pourquoi j'avais accepté de le suivre... Peut-être parce qu'il me donnait une raison de quitter la soirée ? De partir tout simplement ? Je marche un peu derrière lui, regardant son dos sans dire un mot. Nous n'avons plus rien à nous dire... Je baisse la tête quand on entre dans son appartement. Je ne veux pas constater les changements qu'il y a eu ici, je ne veux pas voir qu'il a poursuivi sa vie sans moi... Pourtant, une fois la porte fermée, sa phrase prononcer, je tombe à genoux pour pleurer, cessant enfin de porter ce masque pour craquer encore devant lui... L'alcool ne m'a pas réussi ce soir... Un peu comme les autres soirs au final.

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@Robin Z. Chemtov

Nate avait commencé un peu à faire comme chez lui... puisqu'il y était au final. Il avait posé ses clé et avait même commencer à rouvrir les boutons de sa chemise. Oui, parce que exceptionnellement, il avait mit un costume et un noeud papillon. Il avait perdu le noeud pendant la soirée... quelqu'un de bourré l'avait pris pour se le mettre autour de la tête et il ne l'avait jamais revu. Triste destin... mais bon, peut-être que son nouveau propriétaire serait extrêmement ravi de l'avoir et prendrait bien soin de lui ? Au pire c'était pas bien grave, il l'avait eu pas cher sur internet ce truc.

Bref, il était plongé dans ses pensées, et soudain... un bruit sourd. Nate avait sursauté un peu. Il cligna plusieurs fois des yeux, et les écarquilla quand il trouva Robin en larmes sur le sol. Il la fixa en restant quelques temps interdit. Merde... merde... non ! Non... pas les larmes... pas ça... il détestait ça. Les siennes étaient les plus insupportables de toutes... Il lâcha sa chemise pour se mettre à genou en face d'elle et la regarder tristement. Il savait que les mots n'y feraient rien. Il se doutait aussi de ce qui la mettait dans cet état. Son frère... sa mort. Le temps qui passe et la douleur qui ne disparait pas.

Alors, dans un geste lent et doux, il entoura la jeune femme de ses bras et la serra contre lui, glissant ses doigts dans ses mèches blondes. Le silence autour d'eux n'était brisé que par les sanglots de Robin, mais Nate ne voulait pas qu'elle continue d'être dans cet état. Alors il la protégeait de ses idées noires à sa façon, en la gardant fort contre lui, en lui offrant un refuge aussi maigre soit-il. La sauver d'elle-même, être son soutien... c'était tout ce qu'il avait toujorus souhaité au final.

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Les larmes coulent sur mes joues alors que je suis à genoux. Et pour la première fois, il prend cette initiative, celle que j'ai attendue souvent et que j'aurais voulu faire, mais que je ne pouvais pas... Alors qu'il le fasse enfin... Je ferme les yeux pour tenter de retenir mes larmes alors qu'il me serre contre lui sans un mot. mes doigts glissent dans son dos, sous sa chemise ouverte, tirant un peu sur son t shirt pour m agripper à lui. Mon visage enfui dans son cou. Je fini par prendre la parole, d'une voix brisée. "Je tiens plus Nate... Il me manque... T'imagine même pas..." Un murmure, une confession que je lui disais enfin de vive voix. "Aide moi... J'ai besoin de toi..." Un autre aveu, alors que je me colle encore plus contre lui, laissant mes lèvres glisser sur sa gorge. "Tu me manque aussi..." Fini je par dire en plus... Je ne devrais pas, pas après tout ce que j'ai fait pour le tenir loin de moi, mais la je n'en peux juste plus... Je suis vraiment pas bien... La drogue m aidait à prendre la fuite sauf que là je ne peux plus, alors je craque pour de bon.

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@Robin Z. Chemtov

C'était donc bien son frère la cause de ses maux. C'était donc... Bien ce manque horrible qui la faisait souffrir. C'était évident. Mais... L'entendre de sa bouche avait quelque chose d'horrible. Peut-être... Peut-être parce que Nate savait à quel point le poids de la solitude était dur à porter. Et son empathie était telle envers Robin qu'il partageait sa souffrance. Il la serrait un peu plus fort pour répondre à la façon qu'elle avait de tirer sur son haut.

Et elle prononça des paroles qui firent écarquiller les yeux au blond. Que... C'était possible ? Elle lui disait enfin ce qu'il avait rêvé d'entendre depuis aussi longtemps ? Vraiment ? Le cœur de Nate battait tellement fort qu'on aurait dit qu'il essayait de sortir de sa poitrine. Il avait le souffle court tant l'émotion de cet instant était intense. C'était un rêve, ça pouvait pas être la réalité. Ou... Ou alors c'était une mauvaise blague ?

Il se laissa le temps de rassembler ses idées et de les mettre au clair. Non... Il ne rêvait pas. Elle était bien là, à dire qu'elle avait besoin de lui, à le faire exister à nouveau. À redonner un sens à sa pitoyable existence. Elle glissait ses lèvres sur sa gorge, le laissant à un frisson. Un agréable frisson. Il recula un peu et la dévisagea, les yeux de Nate etaient humides d'émotion. Puis, il prit le visage de Robin entre ses mains et se mit à l'embrasser tendrement, doucement. Un baiser amoureux pour lui signifier à quel point elle lui avait manqué.

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Les larmes amères deviennent plus douce, plus supportable grace à lui, grace à sa présence, au fait qu'il affirme sa présence pour une fois, qu'il me montre bien qu'il est là pour moi... Alors est-ce pour cela que je viens de lui dire tout ça ? De lui balancer ce que j'avais sur le cœur depuis bien trop longtemps. Puis il me repousse un peu, j'ai l'impression qu'il ne veut plus que je le touche, alors je m'agrippe un peu plus à son t-shirt pour l'empêcher de me repousser encore, mais non, il ne me demande pas de partir, que du contraire. Je relève le regard vers lui, posant mon regard humide dans le sien alors que les larmes sillonnent toujours sur mes joues. Il m'embrasse alors. Je ferme les yeux sous la douceur, l'envie de prolonger se baiser, je cherche alors à me rapprocher de lui, encore, dans un acte fou et probablement désespéré tellement il m'avait manqué, tellement j'accepte pour une fois de me livrer à lui. Depuis le kidnapping, j'avais réfléchis, à tout ce qu'il m'avait dit et tout, mais là, je craquais pour de bon, Elia me manquai trop et lui aussi... Pourtant, il était encore là, je pouvais encore le toucher, alors il fallait que je le fasse, maintenant, avant qu'il ne soit trop tard. Il faut que je laisse les morts où ils sont et que je profite des vivants, c'étaient un peu cela qu'ils avaient cherchés à me faire comprendre non? Et à cet instant, j'essayais d'appliquer cela, cherchant la chaleur de Nate, à me coller contre lui encore plus, le poussant même en arrière pour qu'on se retrouver allonger l'un sur l'autre dans son entrée. Et je continue de l'embrasser, les larmes se tarissant un peu.

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@Robin Z. Chemtov

Elle avait manqué de lui arracher son t-shirt. Enfin... C'est un peu d'exagération, mais c'est comme ça que Nate l'avait ressenti. Et il en avait été heureux. Il voulait être sa drogue, sa coke, sa vodka ou même son prozac. Il voulait être tout ça pour qu'elle ne soit plus dependante que de lui. Et pour que lui en retour... Puisse abandonner la cigarette qui avait commencé à prendre un peu trop de place dans sa vie, tout comme... La drogue et l'alcool qu'il avait désespérément goûté pour se faire de nouveaux amis. Pour briser sa solitude en faisant comme tout le monde.

La clope avant quand même le mérite... De lui apaiser ses angoisses et de tuer dans l'œuf certaines de ses crises à coup de nicotine. Mais soit. C'était une autre histoire. Il poussa un son surpris quand elle vint le faire basculer en arrière. Et... Elle réveilla son désir pour elle. Robin qui lui avait tellement manques, son corps qui lui avait tellement manqué. Vouloir d'elle... Toute entière. La voir se courber de plaisir contre lui, l'entendre lui dire je t'aime et ensuite... Dormir dans ses bras.

Il se souvenait de ce baiser lors de la soirée déguisée, un petit sourire s'étira sur ses lèvres prisonnières des siennes. Et il alla commencer à jouer avec sa langue, de temps en temps, comme ça... Avant de finalement venir la chercher pour la caresser de la sienne avec passion. Ses mains se firent plus baladeuses. Il les passa d'abord dans le dos de Robin, sensuellemenr, avant de venir chercher ses fesses. Il les caressa avec fougue les empoignant pour les malmener, emporté par son envie de ce corps si parfait.

Et ses mains glissèrent sous sa robe, il fit descendre son collant pour pouvoir glisser ses mains sous ses sous-vêtements. Trouver sa peau, ses fesses... Son sexe. Il caressa le haut de ses cuisses en continuant son baiser, c'était son instinct qui le faisait se mouvoir de la sorte, son manque, son amour pour elle qu'il avait besoin de manifester physiquement au-delà des mots. Et sa main se perdit entre ses cuisses pour venir effleurer sa vulve dans un râle. Et sa main recula pour reprendre ses caresses sur sa cuisse, ses fesses... Son dos.

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L'envie qui nous prend, qui nous fait frémir, vibrer, qui nous pousse l'un vers l'autre. L'envie de sexe, de son corps, de lui tout simplement. Il atténue ma douloureux, ma solitude, comme un Doliprane calme le mal de crâne. Je laisse mes lèvres jouer avec les siennes, l'embrassant tantôt avec passion, tantôt avec tendresse, alternant les cadences, marquant plus mon envie. Je frisonne au contact chaud de son muscle de chair qui s'introduit entre mes lèvres, humide et tendre, je laisse ma langue rencontrer la sienne, un peu trop taquine avant que finalement, il me l'offre, qu'il aille jusqu'au bout. Je ne l'ai jamais connu si avide, si présent, si pressent même. Mais je le laisse faire, parce qu'il m'a manqué, bien que je devrais me dire qu'il y a autre chose derrière. Après tout, je me suis assez bien convaincue toute seule qu'il ne pouvait plus m'aimer ? mais après le kidnapping, ce qu'il s'était passé là bas... Avais-je réellement raison ? J'en savais rien... Mais il est certain qu'il avait changé, jamais il aurait agit comme ça, jamais il se serait aventuré si vite pour moi...

Les sens engourdis par l'alcool et ce besoin omniprésent que j'ai de lui à l'instant, cette envie de lui, je ne réfléchis pas, non, qui le ferait à ma place ? Quand enfin, après des mois, d'une pseudo solitude, vous retrouver votre moitié, cette personne que vous aimer, qui vous fait chavirer en un clin d'oeil ? Je me presse contre lui, mes doigts glissant sur son ventre, remontant son t-shirt pour le soulever et pouvoir glisser mes doigts en dessous, peut-être sont-il froid, peut-être ne va-t-il pas aimer ce contact, mais je m'en fou, je veux redécouvrir son corps, retrouver notre symbiose à cet instant, il n'y a plus rien d'autre qui compte... Alors oui, je le laisse me toucher aussi, frissonant sous ses doigts et gémissant contre ses lèvres alors qu'il me taquine de la sorte, qu'il joue de ses doigts sur ma cuisse et mes fesses, repoussant le moment où il me touchera vraiment. Il me frustre, sans même le vouloir, il ne comprend peut-être pas l'envie que j'ai de lui ? Si... Il doit le savoir, il doit le comprendre. Je remue alors un peu mon bassin contre le sien, pressant ainsi sa verge dans son pantalon. Je gémis alors son prénom entre deux baisers. Je ne pleures plus.

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@Robin Z. Chemtov

Oui, les doigts de Robin étaient glacés. Mais plutôt que de le déranger... Cela le fit se crisper et frissonner un peu plus. Cette différence entre la peau brûlante de son ventre et celle de la jeune femme... C'était bon. De toute façon, il était dans un tel état de manque d'elle... Qu'elle aurait pu faire à peu près n'importe quoi contre lui, il aurait été heureux. Sa main remontait toujours dans son dos, il poussa un grognement parce qu'il voulait qu'elle se débarrasse de ces vêtements inutiles. De cette barrière de tissu qui l'empêchait de savourer son corps.

Et là, elle commença à bouger son bassin sur son membre qui avait déjà commencé à se tendre un peu. Il prit une inspiration profonde, véritable réflexe. Elle... Le masturbait... Comme ça ostensiblement, pressant son sexe contre le sien en le rendant fou. La sensation qui naissait dans son bas ventre était indescriptible quand elle venait d'elle. Il dut rompre le baiser pour pouvoir respirer tant son souffle était devenu saccadé. Elle savait parfaitement... Comment le rendre dingue. Il la dévora des yeux.

Il la fixa comme ça, en la laissant faire pour ressentir toujours plus de désir et de plaisir. Et soudain... Il se redressa pour la faire basculer, elle. Qu'elle se retrouve au sol à sa place. Qu'elle puisse être à sa merci. La déshabiller. La laisser nue et pouvoir lui faire l'amour... L'aimer... L'aimer à en crever. Il alla embrasser son cou pendant que ses mains cherchaient son collant pour achever de lui enlever. Il était concentré et poussa un petit grognement satisfait quand il parvint à lui enlever.

Et il s'attaqua à sa robe. Sa stupide robe qui ne servait qu'à retarder le moment où il pourrait admirer la jeune femme. Ses formes, ses seins... Oh oui ses seins... Et il s'empressa un peu plus de la soulever pour la mettre à nu. Il ne lui ôta cependant pas tout de suite son soutien-gorge et recommença à embrasser son cou. Il était en feu. Et les quelques expériences qu'il avait pu avoir l'avait fait gagner en assurance. Et là... Comme il s'agissait de Robin... Il était encore plus impatient. Surtout... Qu'elle l'avait bien réveillé.

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Un retournement de situation auquel je ne m'attendais pas. Me voilà maintenant en dessous de lui, sentant la dureté du sol en dessous de moi, je le regarde, me dominer de cette façon. J'ai l'impression que c'est la première fois qu'il fait preuve de tant d'assurance... Je le dévore du regard, me mordillant la lèvre inférieure alors qu'il se bat contre mes collants, ce qui me fait un petit peu rire avant que je ne finisse par l'aider un peu. Je viens alors chercher ses lèvres pour l'embrasser une fois les collant retiré, un fois que sur mes jambes ne trône plus que la chevillère qu'il m'avait offert bien des mois plutôt, quand tout allait encore bien entre nous.

Mes mains quittent alors l'antre chaud de son t-shirt, alors qu'il se bat avec la tirette de ma robe dans mon dos. Je laisse mes doigts glisser sur son torse, pour lui retirer sa chemise, avant de pouvoir le mettre torse nu tout aussi rapidement, lui retirant son t-shirt et comme pour la chemise, l'envoyer valser plus loin. Je lève ensuite les bras pour lui permettre de me retirer ma robe avant de me laisser retomber en arrière, mon dos heurtant le sol sans réelle délicatesse, m'arrachant un petit gémissement plaintif sur lequel je ne m'attarde pas. Non, je souris, en le regardant, mes jambes venant se mêler au sienne pour l'attirer contre lui, mais son pantalon, il m'énerve. Je grogne un peu, mes doigts qui se sont encore perdu, comme toujours dans ses mèches blondes, tire un peu dessus alors que je me redresse un peu pour venir chercher ses lèvres pour l'embrasser pour le coller contre moi également, je veux sentir sa chaleur encore, contre moi, en moi. Je gémis dans le baiser, mes doigts relâchant un peu sa chevelure pour ensuite la délaisser alors qu'ils s'aventure dans son dos, le marquant un peu de mes ongles tant l'envie de lui est grande, presque bestiale même. Il m'a tellement manqué, lui comme son corps, alors je cherche le moindre contact avec sa peau. Je devrais lui retirer son pantalon, mais là, non, j'ai je ne fais que l'embrasser encore et encore, avec passion, avec manque.

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