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les mots peuvent faire mal, mais ton silence est bien pire (Talya)

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« Et parfois baisser les bras c’est ce qu’il y a de mieux à faire aussi… » Pas d’acharnement thérapeutique, ça avait toujours été ma devine en amour comme dans la santé, même si c’était un peu comme ça que j’avais perdu Caly. Fallait croire que je retenais pas les leçons, que je reproduisais les mêmes erreurs, que mon caractère de tétouin l’emportait toujours. Talya essayait de garder un ton calme, de mon côté après sa révélation sur Joa, c’était impossible de ne pas céder à l’énervement. Elle essaya de retourner ma colère contre moi, me disant d’effectivement aller m’en prendre à lui, que ça lui donnera raison d’ailleurs et je pointais un index accusateur vers elle, énervé. « Ne sur-interprête pas les choses : on ne couche pas avec l'ex d’un de ses potes c'est tout, tout le monde le sait. » C’était genre une règle d’or en amitié non ? Le fait que j’avais ou non encore des sentiments n’avaient rien à faire là dedans, ou peut être que ça avait tout à faire mais j’étais doué pour me voilà la face. Et brandir le brocode était plus simple que de reconnaître que j’étais jaloux. Et mon aveu suivant serait l’illustration parfaite de ce code de conduite qu’on se devait tous de suivre avec nos proches. Oui parce que je savais qu’en révélant mon dérapage d’une nuit avec sa meilleure amie à elle, ça allait la toucher. Oui voilà, on ne couchait pas avec l’ex d’une amie. Sauf qu’aussitôt mes mots prononcés, je les regrettais. Talya fondit en larme, c’était trop tard c’était dit… « Partir d’ici ou de Cambridge ? » Non parce que voilà, j’allais avoir obtenu tout l’effet contraire de ce que je voulais en l’entrainant ici. « Arrête Talya je t’ai pris personne, et je me rappelle de rien mais je suis quasi sûr que c’est Sienna qui a commencé. » Ouais parce que moi jamais de la vie j’aurais été lui faire du rentre dedans comme ça. Enfin, étant donné que je venais de trahir notre secret, si je ne voulais pas mourir étranglé par la VP, il fallait peut être que je me fasse aussi un peu son avocat de la défense plutôt que de la blâmer comme ça. « Et peut être qu’elle a fait ça parce que toi, de ton côté, tu as couché avec l’ex de deux de tes meilleures amies… » Allez savoir pourquoi on avait fait ça comme on en avait zéro souvenir… Et puis Sienna et moi, c’était un peu de la science fiction en quelque sorte. Quand mon ex me demanda où étaient les filles, je sus qu’il ne fallait pas que je lui réponde. Si elle avait cette info, elle allait direct aller les chercher et je me doutais que je les reverrais plus jamais, que sur le coup de la déception et de la colère suite à mon aveu, elle serait capable de partir et de mettre ses menaces à exécution. Je me contentai donc de répondre : « Elles sont en sécurité. »
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« Bienvenue dans le monde d'aujourd'hui où les gens ont tellement facilement ce qu'ils veulent que dès qu'un obstacle se présente à eux ils préfèrent changer de direction plutôt que le sauter. » Il était le stéréotype de ce genre de personne avec ce qu'il venait de me dire. De nos jours, les jeunes sont tels que dès qu'il y a un souci, ils font demi-tour, ils baissent les bras. Désolée mais ce n'est pas mon genre de politique et je ne peux pas me vanter qu'un jour je comprendrai cette position puisque ce n'est pas le cas. Jamais je ne comprendrais qu'on baisse les bras quand on dit aimer une personne - vie irl sort de mon corps - alors il aurait beau me sortir toutes les belles paroles qu'il voudrait, je ne changerai pas d'avis là dessus, je ne démordrai pas des valeurs avec lesquelles j'ai été éduqué, personne ne me fera bafouer encore une fois ce en quoi je crois être la meilleure éducation possible. « J'ai couché avec Maxime qui est l'ex de Cora et Andréa, Joachim a couché avec moi alors que je suis ton ex, Sienna a couché avec toi alors que tu es mon ex, tout le monde couche avec les exs de ses potes et pour le coup, tout le monde s'est tapé un ou une ex important(e) pour le pote. » Cet argument ne tient donc pas la route lui non plus, encore une preuve qu'il s'embourbe dans des conneries, préférant se voiler la face et sortir des phrases toute faite plutôt que de voir la réalité des choses en face. « Sortir de cette pièce oppressante à cause de ta présence. » Mais aussi sortir de cet appartement, de Cambridge, des Etats Unis, de l'Amérique, retrouver le fraicheur et la simplicité de l'Ukraine. Voilà qu'à mon tour je baisse un peu les armes après m'être battue pendant tant de temps, pendant dix mois, dix mois que je ne baisse pas les bras, que je fais tout, mais non, ce n'est pas assez. Au moins, on ne pourra pas dire que je n'ai pas essayé moi au contraire de certains. « C'est le réveillon du jour de l'an, Elia est trop enceinte pour s'occuper de Mila et n'a pas d'obligation envers Charlie, les autres font la fête, tu n'as pas de famille ici, elles sont chez ma mère. Merci Priape. » Main sur la poignée de la porte pour sortir, je prends tout de même le temps d'essuyer mes larmes pour ne pas que les autres à l'extérieur voient ce qu'il s'est passé et dans un dernier élan de sympathie pour lui, sachant très bien que je vais rentrer chez moi pour faire mes valises je lui dis : « Pas d'autre venin à me cracher au visage comme ça sort bien plus que les mots d'amour ? »
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Son petit –bienvenue- suivi d’un blabla chargé de déception sur ma non volonté d’insister et de me battre, mon non pardon revenant toujours sur le tapis, je refusais néanmoins qu’elle me mette dans le sac des lâches, ou alors elle devrait s’y mettre aussi : « Dit celle qui vient de passer dix jours à fuir à l’autre bout de la Terre. Je devrais te dire bienvenue dans ce monde là aussi peut être, parce qu’on doit évoluer dans le même en fait. » Qu’elle ne se batte plus pour moi, ok. Qu’elle ne cherche plus à se battre pour Mila, c’était une autre histoire. Bien plus inquiétante. Bref, ma tentative de justifier ma jalousie tombait à plat, à cause de ma révélation concernant Sienna. Bref, elle voulait sortir de là, ma présence l’oppressait, je me poussai de l’encadrure de la porte pour la laisser passer. Je savais très bien baisser les bras, s’en était une nouvelle démonstration encore une fois. J’allais pas me battre avec elle pour la faire rester, je n’avais jamais été doué pour retenir les gens. La preuve en était avec mon carnet d’adresse actuellement plus rempli de prénom de déserteurs que de personnes bien présentes près de moi. Y’avait de gens qui avaient les mots pour vous faire rester, moi apparemment je n’en faisais pas parti. J’étais plus doué pour –cracher du venin- comme elle le disait si bien. Et quand elle eut compris où se trouvait les petites, elle me demanda si je n’avais rien à ajouter. « Je sais pas quoi te dire, bonne année ? » Mon ton était mauvais, c’était pas celui qu’il fallait que j’emploie. Je le savais au fond de moi. Elle avait une main sur la poignée, et mes doigts allèrent emprisonner ceux de son autre main, encore libre, pour la retenir avant qu’elle ne s’en aille, qu’elle ne s’échappe. « Talya… » Mon regard se plongea dans le sien, avec une lueur d’appréhension, tentant malgré tout, malgré mon absence de talent en la matière, de l’empêcher de fuir… « Ne pars pas… » Et je ne parlais pas de cette pièce, de cet appart, je me référais à bien plus, à ce que je devinais… Parce qu’elle avait beau me dire qu’elle voulait juste quitter cette salle de bain oppressante, je savais qu’elle risquait surtout de prendre un vol aller simple pour je ne sais où et ne jamais revenir.
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Pourquoi est ce que je tente toujours de discuter avec Priape ? Pourquoi je me bats toujours pour ce mec qui ne cherche qu'une chose : me blesser, et se détacher de moi, enfin plutôt que moi je me détache de lui. Pourquoi est ce que je suis assez naïve et idiote pour rester là, pour tenter à chaque fois de lui faire comprendre les choses, de lui faire ouvrir les yeux ? Alors peut être que s'il veut on évolue dans le même sac, le sac des lâches, je m'en fous de ce qu'il dit. Ca fait dix mois que je me bats pour lui alors très clairement qu'il me juge parce qu'après dix mois à en chier alors qu'il n'a pas essayé un instant, pour moi son jugement n'a pas de valeur. Tout dans ses paroles blessantes me dégoute actuellement, encore plus son bonne année ridicule, et pourtant je ne peux me résoudre à retirer mes doigts de sa main quand il les prend se radoucissant et me suppliant presque du regard de ne pas partir. Je compris en croisant son regard qu'il connaissait mon intention, qu'il savait très bien que je ne comptais pas juste sortir de la salle de bain. Une vague de larmes me parcourut une nouvelle fois, je pensais d'un coup à tout ce que j'allais laisser derrière moi, toutes les relations aussi fortes que celle avait Priape que j'avais construit, dont Sienna... non en fait pas Sienna d'ailleurs en parlant d'elle il fallait vraiment que je sorte d'ici pour avoir la liberté de lui envoyer un message en lui disant que je ne voulais plus la voir, que je ne voulais plus d'elle du tout dans ma vie en fait. Grand ménage de printemps en hiver. Le tableau était beau, Priape qui se fait lâcher par tous ses proches mais reste dans cette ville et s'accroche, comme s'il était persistant, et moi qui ait de nombreux amis, un cercle de proches assez nombreux et composés de gens variés, je me barre, je fuis, tout le contraire de ce qu'on est, tout le contraire de la réalité. Il sait se battre pour des choses finalement peut être, il lui en faut juste l'envie. « Ne demande pas ça... Arrête de formuler des demandes que je tiens encore et toujours depuis des mois alors que toi tu ne le fais pas... » Même au jeu des bons amis il n'avait pas tenu, il n'avait pas réussi à faire comme si j'étais une pote proche à qui on raconte tout. « Brynn a surement vu que tu m'as entrainé dans la salle de bains comme l'appartement est petit, je ne veux pas te causer plus de souci que ce n'est déjà le cas. » Souci = problèmes ou inquiétudes, tout était dans le même panier. « J'y vais. » Mes doigts se faufilent entre les siens pour me libérer après avoir exercé une pression sur ceux ci comme pour lui montrer que je romps ce contact à contrecœur que j'aime la chaleur de sa peau, la douceur de son toucher.
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Bien sûr que j’avais aucun droit de le demander de rester. Enfin si peut être un peu. J’étais le père de Mila, je pouvais un peu me le faire le porte parole de notre fille. Mais en aucun cas mon statut d’ex copain ne me donnait l’autorisation de lui imposer de rester ici à Cambridge. Pourtant je m’étais octroyer ce droit, récoltant aussitôt une réponse négative. Elle affirma qu’elle avait tenu, respectant mes demandes, alors que je ne l’avais pas fait de mon côté. « J’suis pas parti Talya, je suis resté. Je suis là. » Oui j’étais toujours là, malgré tout. Malgré le départ de Val, celui d’Emrys, de ma cousine, d’Elia, malgré l’accident de Leonora… Ancré toujours à Harvard. Ancré c’était le mot. Mais un bateau sans son ancre, ça part à la dérive… Talya évoqua ensuite Brynn, qui nous avait surement vu nous isoler, ajoutant que de rester ici plus longtemps allait me cause des problèmes avec la jeune femme. Je secouai la tête : « On parle, on ne fait rien de mal… » Bon okay, nos doigts entremêlés pouvait porter à confusion, mais comme si elle lisait dans mes pensées, Talya détacha sa main de la mienne en annonçant qu’elle y allait. « Je… » Les mots me manquaient je crois. Mauvais jusqu’au bout de la ligne, c’était ce que j’avais dit. « Y’a rien qui pourrait te faire changer d’avis ? » Oui voilà, aux grands maux les grands moyens, je n’y allais pas par quatre chemins, choisissant de lui demander carrément ce qui pourrait la faire rester… J’avais presque fait la paix avec Matthéo Silver, et j’étais pas fichu de retenu Talya à Cambridge, c’était quand même malheureux. Alors cette question, ma question, c’était un peu celle de la dernière chance. Parce que je savais très bien que quand elle aurait passé la porte de cette salle de bain, ça ne serait pas pour réfléchir la tête froide à tout ça, mais bien pour s’envoler vers d’autres horizons.
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Il est là devant moi et c'est bien ça le problème puisque c'est comme s'il était entouré par une grande vitrine avec un panneau de sens interdit accompagné d'un petit écriteau : interdit de toucher. Il était toujours là, toujours près de moi même si ce n'était pas toujours un luxe, mais il ne l'était pas de la manière qu'il le fallait. J'écoutais tout ce qu'il avait à dire, tout vraiment tout attendant qu'il ait terminé pour reprendre la parole et m'exprimer à mon tour : « Tu sais très bien qu'elle va s'imaginer des choses. » Surtout que j'ai bien souligné à ma dernière entrevue avec la cabot que je suis la mère de sa fille, que j'aurais toujours une place dans sa vie et un lien unique avec lui puisqu'en quelque sorte il m'a choisi pour son premier enfant comme il aurait très bien pu me demander d'avorter au vu des circonstances, ce qu'il n'avait pas fait. Je relâche la poignée de la porte en laissant fermée celle ci et je m'approche de lui. « Tu sais pourquoi je pars, tu sais la seule chose qui me retiendrait ici et me ferais changer d'avis, alors ne demande pas quand tu sais que ton lien avec la blonde de l'autre côté de cette porte t'empêches de faire quoi que ce soit. » Même de se laisser aller en sachant que c'est surement la dernière fois qu'il me voit, parce qu'il n'est pas comme ça, parce qu'il a trop souffert de la connerie que j'ai faite, parce qu'il est respectueux comme je l'étais avant de me perdre et comme je le suis toujours malgré mes erreurs. Alors je pars, avec cette image triste et en colère de son visage et c'est surement mieux comme ça même si ma main vient caresser doucement sa joue, très doucement et brièvement hein, parce que ça frôle surement ses interdits et que j'en ai déjà assez fait pour continuer de ruiner sa vie.
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Talya semblait persuadée que Brynn allait s’imaginer le pire en nous ayant vu nous isoler ici. « Tu la connais mal… » Elle ne la connaissait pas et la jugeait trop vite. Et si on avait eu quelques soucis pour s’accorder l’ex cabot et moi au début, l’histoire du baiser avec Briony ayant semé le trouble entre nous, il était désormais clair que je lui faisais confiance et réciproquement. Je n’aurais surement pas aimé la voir disparaître avec Alejandro dans une petite pièce exigüe, mais j’aurais tâché de ravaler ma jalousie maladive. Finalement, Talya s’avança, s’approchant de moi et délaissant la poignée de la porte. J’avais tenté encore une fois de la retenir, lui demandant dans un dernier élan de désespoir si rien ne pourrait la faire changer d’avis, mais sa réponse et la main qu’elle porta ensuite à ma joue, m’indiquèrent qu’elle mettait les clés de son départ entre mes mains. Je tressaillis un peu en sentant ses doigts effleurer la peau de mon visage, fermant un instant les yeux avec un nœud de culpabilité qui me noua le ventre. Je savais que je ne devrais pas apprécier ce contact, encore moins le laisser se prolonger ainsi. Mes paupières se rouvrirent pour planter mon regard peiné dans le sien, comme un prisonnier mis au supplice. Mes doigts se posèrent sur les siens qui caressaient toujours ma joue. « La blonde de l’autre côté, c’est ma petite amie et elle a un prénom. » fis-je sur un ton réprobateur et un peu dur, comme si le fait de prendre la défense de Brynn allait compenser le fait que je laisse mon ex me touchait comme elle le faisait. «Et ce n’est pas elle qui l’empêche de faire quoi que ce soit, c’est moi. » Et ma mes doigts se resserrèrent sur les siens pour repousser finalement sa main. Cinq minutes trop tard surement, parce que déjà l’envie de l’embrasser me tiraille le ventre. Sauf qu’il y avait Brynn, et je ne pouvais pas nier mes sentiments naissants pour cette dernière, ni même gâcher notre début d’histoire. « J’aurais jamais du m’enfermer ici avec toi… » Parce que si le seul moyen de la retenir c’était de lui exprimer ou de lui démontrer mon affection, c’était peine perdue, Talya le savait très bien, c’était quelque chose que je ne permettrait pas. M’écartant de la jeune femme, ce fut mon tour de m’avancer jusqu’à la porte de la pièce, d’attraper la poignée et de sortir sans hésiter, sans me retourner, sans un mot de plus… Tout était fini, Talya allait partir, Mila partirait aussi… J’avais juste besoin d’un verre. Ou d’une bouteille plutôt…
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Je n'étais pas surprise de la réaction de Priape. C'était tout lui que de se cacher derrière des reproches sarcastiques après s'être peut être un peu trop laissé aller à apprécier des choses qu'il ne devrait pas. Enfin, il n'était quand même pas en train de m'embrasser, juste d'apprécier une main sur une joue et ça n'avait même pas durer puisqu'il l'avait retiré. Alors voilà, bref. Il prit la porte et cela ne m'étonna pas. Je restais un moment là, pas sans nom, non, je n'étais pas surprise, je le connaissais que trop bien pour connaitre cette réaction. Mais par contre, je ne me trompais pas sur les idées qu'allaient se faire la belle blonde de l'autre côté de la porte, sa petite amie. Ses deux mots avaient eu l'effet d'une flèche en plein coeur mais ce n'était qu'une de plus. Je savais que Brynn n'aimait pas que je m'approche de Priape, qu'elle avait peur de ce truc qui nous liait tous les deux puisqu'elle avait rapidement compris que ce n'était pas que pour Mila... Après quelques minutes, à mon tour, je sortis de la salle de bain, je pris une grand bouffée d'air dans l'appartement, mais ce n'était pas assez. Je pris la direction de la porte afin de tout quitter, de rentrer chez moi pour faire je ne sais quoi. Si en fait je ne le sais que trop bien : mes valises.

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