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Quoi de neuf ?
⋆ Isaac & Athéna.
Je savais déjà où on allait aller manger, c’était un petit endroit pas très loin de sa boutique et là-bas, les prix n’étaient pas très élevés, il n’aurait pas à se ruiner pour me payer à manger. J’aimais pas qu’on m’achète des trucs, c’était plutôt à mes parents de faire ça… mais bon, on pouvait pas trop vu ce que mon connard de père m’avait fait endurer.
Assise sur le comptoir de la caisse, les clients étaient tous partis, il allait pouvoir fermer. « C’est bon ? », j’ai supposé que la réponse était ‘’oui’’ quand il alla ramener la caisse dans l’arrière boutique. C’était sûrement une technique pour pas qu’on les cambriole, je sais pas. Il est ressorti de l’arrière boutique même pas une minute plus tard, revêtu de son manteau, les clés à la main.
J’ai sauté du comptoir puis je suis sortie sans oublier la rose qu’il m’avait offerte, la mettant dans ma poche avec le bout qui dépassait pour ne pas qu’elle se fane ou s’abime. « Tu m’appelles encore princesse et tu vois, cette rose… j’te la fais manger. » annonçais-je en roulant des yeux, je détestait ce genre de surnoms. J’étais pas une princesse, j’étais une grosse crasseuse qui n’avait jamais eu de chances dans la vie. Les contes de fées, j’y croyais pas.
On marchait à une certaine distance, une trentaine de centimètres peut-être l’un de l’autre, il savait que j’étais pas du genre à me balader en lui tenant la main comme une gamine de six ans… Mon regard parcourait les quelques vitrines lumineuses devant lesquelles on passait. À l'intérieur ? Des tas d'objets que je ne pourrais jamais avoir en ma possession.
Assise sur le comptoir de la caisse, les clients étaient tous partis, il allait pouvoir fermer. « C’est bon ? », j’ai supposé que la réponse était ‘’oui’’ quand il alla ramener la caisse dans l’arrière boutique. C’était sûrement une technique pour pas qu’on les cambriole, je sais pas. Il est ressorti de l’arrière boutique même pas une minute plus tard, revêtu de son manteau, les clés à la main.
J’ai sauté du comptoir puis je suis sortie sans oublier la rose qu’il m’avait offerte, la mettant dans ma poche avec le bout qui dépassait pour ne pas qu’elle se fane ou s’abime. « Tu m’appelles encore princesse et tu vois, cette rose… j’te la fais manger. » annonçais-je en roulant des yeux, je détestait ce genre de surnoms. J’étais pas une princesse, j’étais une grosse crasseuse qui n’avait jamais eu de chances dans la vie. Les contes de fées, j’y croyais pas.
On marchait à une certaine distance, une trentaine de centimètres peut-être l’un de l’autre, il savait que j’étais pas du genre à me balader en lui tenant la main comme une gamine de six ans… Mon regard parcourait les quelques vitrines lumineuses devant lesquelles on passait. À l'intérieur ? Des tas d'objets que je ne pourrais jamais avoir en ma possession.
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- Désolée du retard, je reprends le personnage en main et serais maintenant plus active. Mes réponses seront plus régulières, encore désolée !
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