J'étais très bien toute seule occupée à me détruire

✖James & Solweig✖
«J'étais très bien toute seule occupée à me détruire...»

"Tu veux que je te ramène ou tu viens jusque dans ma chambre ?"me demanda James.

"Dans ta chambre... enfin si tu n'y vois pas d’inconvénient..."

Je ne voulais pas qu'il pense que je me mettais direct à le draguer alors qu'il venait de me sermonner sur mon attitude. Mais je n'avais pas envie de passer ma soirée seule, et j'avais besoin de sa présence. Je me sentais déjà mieux après qu'il m'ait prise dans ses bras. Nous nous dirigeâmes vers sa voiture, et je profita du démarrage pour attacher ma ceinture sans un mot. Nous primes donc la route jusqu'au chalet. Une fois garés, James me conduisit à l'intérieur de sa chambre, personne à l'horizon. Tant mieux, je n'avais pas besoin d'une ribambelle de mecs autour de moi en plus de James. Il me proposa de descendre dans la cuisine me chercher quelque chose à boire ou à manger, je déclina son offre poliment. Je m'étais vraiment calmée depuis tout à l'heure.

Je regarda James s'allonger sur un lit avec aisance. Les deux mains derrière la tête. Je devina que c'était le sien. Je m'approcha donc et m'allongea auprès de lui.

"N’empêche que t'étais dur tout à l'heure... Tu peux être vachement blessant quand tu t'y mets" Je l'avais toujours en travers de la gorge cette phrase qui m'avait rabaissé à un tel niveau...

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J'étais très bien toute seule occupée à me détruire

« Je ne suis pas la pour t'étouffer juste pour te protéger »

Lorsqu’elle accepta ma proposition d’aller dans ma chambre, nous nous dirigeons alors dans ma voiture. Le trajet était assez cours pas plus de trois minutes. Lorsque nous arrivons alors devant la porte de ma chambre nous entrions puis je lui proposa quelque chose a mangé poliment puisque malgré tout je pouvais être gentil avec les filles. Mais elle déclina ma proposition alors j’enleva mes chaussures puis me mis dans mon lit. Je n’avais pas était très galant pour avoir pris tout de suite le lit. Mais sans complexes, Solweig me rejoins en posant sa tête sur l’oreiller juste à coté. "N’empêche que t'étais dur tout à l'heure... Tu peux être vachement blessant quand tu t'y mets" Me fit remarquer Solweig.
C’était vrai lorsque je l’avais traité de Salope et de peau de peinture j’y avais était très fort mais je comptai bien m’excuser malgré si j’avais osé l’insulté de cette manière c’était surtout pour la faire réagir.

-Je m’excuse à vrai dire, tu ne ressemble pas du tout à un pot de peinture et tu es vraiment mignonne, juste je ne voulais pas que tu partes avec ce vieux alcoolique

C’était rare que je m’excusé mais lorsque je dépassai les bords il était nécessaire.

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«J'étais très bien toute seule occupée à me détruire...»

"Je m’excuse à vrai dire, tu ne ressemble pas du tout à un pot de peinture et tu es vraiment mignonne, juste je ne voulais pas que tu partes avec ce vieux alcoolique"

Je le regardais étonnée qu'il pense ça de moi "Merci...toi aussi tu es vraiment...canon"lançais-je.

James me proposa un t-shirt pour dormir. Sans gène, je me déshabilla devant lui, lui laissant l'occasion d'apercevoir mes sous vêtements le temps que j'enfile mon nouveau pyjama. Avant de regagner le lit, je découvrit deux bouteilles de tequilas au chevet du lit et les brandit

"Ça te dit ?"proposais-je à James avec un regard malicieux. Il accepta et nous buvames à même la bouteille, si bien que pas une demi heure plus tard, nous rigolions ensemble comme jamais. Je me sentais beaucoup plus a l'aise désormais. Il me faisait rire avec ses blagues à deux sous, mais au moins je n'étais pas seule, et j'oubliais Ethan quelques temps. J'étais vraiment proche de James, et ses jambes effleuraient les miennes, de quoi me donner quelques petits frissons de désir. Je n'avais pas fait l'amour depuis longtemps, mais je pensais de toute manière que James ne voudrait pas le faire avec moi, vu la façon dont il s'était énervé plus tôt.

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J'étais très bien toute seule occupée à me détruire

« Je ne suis pas la pour t'étouffer juste pour te protéger »

On était tout les deux installé dans mon lit lorsque Solweig attrapa la bouteille de tequila qui était certainement à l’un de mec colocataire, et m’en proposa. A force de boire les verres à la suite, la chaleur commença à vite monter et je ne pu résister au fait de me rapprocher un peu plus à chaque fois d’elle. Je ne savais plus ce qui se passait, j’avais certainement trop but pour comprendre vraiment ce que j’étais entrain de faire et surtout je transgresser les règles que j’avais établie avec elle. Lorsque je fus totalement collé à elle je lui chuchota dans l’oreille

- Si tu ne veux pas je ne t’oblige pas.

J’étais encore à peu prés conscient que je ne pouvais pas agir comme avec toutes les autres filles, c’est pour cela que je préférai attendre son consentement pour continuer ce que nous étions sur le point de faire. Solweig était allonger dans mon lit sur le coté face à moi, nous étions presque collé quand je passa ma mains droite sous son jean afin de toucher ses fesses.

✖James & Solweig✖
«J'étais très bien toute seule occupée à me détruire...»

Au fur et à mesure que nous buvions, une espèce de tension sexuelle grandissait entre nous, nous obligeant à nous rapprocher de plus en plus l'un de l'autre. Je vis James s'approcher de moi et me murmurer

"Si tu ne veux pas je ne t’oblige pas."

Rien qu'en me disant ces mots, cette manière, il me donna subitement envie de faire l'amour avec lui. Je le regardais droit dans les yeux avec désir et envie. Nous étions face à face et James me rapprocha de lui encore plus en glissant sa main sous ma culotte afin d’attraper ma fesse. Je le poussa violemment sur le dos et grimpa à califourchon sur lui. J'enleva le pauvre bout de tissus qui m’empêchait de parcourir son torse de mes doigts, et commença à l'embrasser. Je touchais ses cheveux avec mes mains et commença à faire rentrer ma langue dans le jeu. Apres un long baiser langoureux, je le laissa enlever le t-shirt qu'il m'avait donné. Habituellement, je n'avais pas une très grosse poitrine, mais ce jour là, j'avais opté pour un soutiens gorge assez serré, ce qui rendait ma poitrine saillante. Cela ne lui suffisant pas, il dégrapha mon soutient gorge en moins de temps qu'il ne fallu pour le dire, et le jeta sur le coté. Ma poitrine vint tomber juste devant ses yeux et mes tétons pointaient légèrement à cause du petit courant d'air que dégageait la fenêtre à moitié ouverte. Avant meme qu'il ne fasse quoi que ce soit, j'embrassa son cou délicatement avant de lui murmurer à l'oreille.

"J'ai envie de toi, maintenant."

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J'étais très bien toute seule occupée à me détruire

« Je ne suis pas la pour t'étouffer juste pour te protéger »

Tout allait si vite, entre le moment où je lui avais chuchoté qu’elle n’était pas obligée de continuer, et la seconde plus tard où elle était à califourchon les seins à l’air et moi le haut déshabillé. Lorsqu’elle me dit qu’elle avait envie de moi j’eu une monté de libido, et alors je me rapprochai de son corps, puis de ses seins que j’embrassai. Ma main gauche était à l’intérieur de ses cheveux tandis que ma main droite elle était entre le haut de ses fesses et le bas de son dos.
L’envie d’elle était devenue réellement forte et je ne pu m’empêcher de replonger ma main dans sa culote afin de toucher ses fesses. C’était vraiment une situation unique à peine deux heures avant j’étais entrain de remonter les bretelles de Solweig et à présent nous étions presque nu dans mon lit à quelques minutes prés nous serons entrain de coucher ensemble, à moins que l’un des deux décide de renoncer à cette partie de jambes en l’air qui allait être assez spéciale vu dans l’état qu’ils étaient.

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«J'étais très bien toute seule occupée à me détruire...»

James m'embrassait les seins à présent, une main contre ma fesse. L'excitation montait de plus en plus rapidement en moi, et je sentais mon corps entier bouillir de désir pour James. Je l'embrassa fougueusement à nouveau, et laissa mes doigts parcourir son cou, jusqu'à son bas ventre. Alors que j'encerclais sa taille avec mes jambes, je glissa ma main dans son boxer afin toucher son sexe. Je le prenais dans ma mains et commença une longue série de va et viens afin de faire augmenter son plaisir. Je continuais de l'embrasser tout en passant l'autre mains dans ses cheveux. Si quelqu'un rentrait dans cette chambre, je pouvais être sure que tout Harvard allait me voir d'un autre oeil. Mes lèvres allèrent ensuite déposer de nombreux baisers sensuels dans le cou du jeune homme, et je me rapprochais de plus en plus de lui afin de sentir son torse chaud contre ma poitrine nue et qu'il n'y ai plus aucun espace disponible entre nous.

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