Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibility(dean) j'ai besoin de toi comme d'une infirmière. - Page 2
Le Deal du moment : -19%
PC portable MSI Gaming Pulse 16” -Ultra7 155H ...
Voir le deal
1299 €


(dean) j'ai besoin de toi comme d'une infirmière.

Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Je ne voulais pas que Dean imagine que j'étais mal à cause de lui. Je n'étais pas mal à cause de lui, c'était uniquement à cause de moi. J'étais tombée amoureuse de lui et il n'y était pour rien. Je ne pouvais plus rien faire pour éviter cela. Même si je tentais tant bien que mal d'éviter de reparler de cela. C'était encore bien trop douloureux. Et je ne voulais pas qu'il pense que j'étais mal à cause de lui, il y avait d'autres choses qui faisait que j'étais triste et ce n'était pas à cause de lui. Je me demandais si ce fameux Zed serait capable de me faire du mal, et je me demandais quelle serait sa réaction, mais rien que de voir les frissons sur ses bras me donnait les réponses à mes questions. Et sa phrase était terriblement mignonne et je m'en voulais d'être mal à ce moment précis, mais ce n'était pas à cause de lui, alors cela ne comptait pas « Ne t'inquiète pas, je ne serais plus mal, je te le promet. Tant que tu fais attention à toi, je suis persuadée que cela ira » Je ne voulais pas qu'il soit mal à cause de moi non plus, c'était trop dur à imaginer, et j'aimais le fait que nous soyons sincères l'un envers l'autre, j'aimais beaucoup cela. La sincérité était la base du couple que nous n'étions pas. Puis les moments que nous passions étaient les meilleurs, les moments simples étaient ceux que je préférais. Dans ses bras, dans le canapé, sous un plaid. Nos moments en dehors de la vue des autres. Les moments ou personne ne pouvait nous voir, nous entendre. Et c'était le mieux, la discrétion. Pas les esclandres en public. J'aimais bien être contre lui et je ne me retenais pas de le dire. Et sa réponse, ses paroles me font légèrement accélèrer le coeur. Mais son autre phrase me laisse un goût amer dans la bouche, je ne sais pas quoi penser, peut-être que c'est vrai, peut-être que non. Je n'en savais rien mais il me faisait un compliment, et j'aimais cela. Je souriais en rajoutant « Heureusement que tu préfères me voir moi qu'eux, je ne t'empêche pas de les voir ... » Mais après réfléxion, sa phrase était vraiment mignonne. Vraiment romantique et tout le toutim mais je ne voulais pas m'imaginer des choses, je l'avais déjà bien trop fait. Lorsqu'il me demande s'il peut m'embrasser, je m'amuse à le chercher, embrassant sa joue, puis le coin de ses lèvres avant de retourner à ma place, sur son torse. Peluche venant squatter entre nous deux. Je le laisse contrôler mes faits et gestes quand il se redresse me faisant me redresser aussi. Et je me met à rire en voyant Peluche, à l'aise. Mon chat me fatigue. Lorsque je sens sa main qui tourne ma joue, je me laisse faire et je l'embrasse. Dans une tendresse infinie. Je me redresse alors, ne quittant pas ses lèvres, je monte doucement à califourchon sur lui, continuant à l'embrasser, mordillant sa lèvre par la même occasion avant de séparer nos lèvres, caressant doucement son torse au dessus de son tee-shirt. Puis j'embrassais doucement le bleu qui poussait sur sa joue, descendant sur sa mâchoire. Le coeur battant à la chamade. Il fallait vraiment que je me calme, que je calme mon coeur.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Allo Docteur!  
Je ne supportais pas de voir Solveig mal. Oui je sais, j'ai été le responsable de sa dernière grosse douleur. Et je continues de m'en vouloir. Je ne dis pas que je repense a ce soir la, où c'était complétement parti en vrille, tous les jours. Mais ça m'arrive. Et c'est de la que je me dis que jamais, oh dieu jamais, je ne voulais que ça recommence. J'avais été éclairé sur les sentiments qu'elle ressentait a mon égard. C'était dingue, parce que je me rendais compte petit a petit que Solveig était réellement amoureuse de moi, alors que celle que j'avais choisi n'avait jamais su le montrer autant que la rouquine. Des fois, je me demandes si mon cerveau fonctionne correctement. Ou si mon coeur me fait des blagues en me laissant penser que je ne ressentais rien... Car soyons franc, je ressens quelque chose pour elle.    " Je te le promets aussi ma Belle. Mais... Je suis sur que je ne risques rien. "   Petite pause pour prendre un air malicieux   " Tu es la pour veiller sur moi. "    Et je souris amusé. Certes, je disais ceci en plaisantant, mais au fond je sais que c'est une sorte d'ange gardien. Je sais pertinemment que si elle pouvait m'éviter de souffrir elle le ferait. C'est le lien qui nous unie, qui fait que rien ne peut nous séparer. Il suffisait de nous voir maintenant, l'un contre l'autre sur son lit. Je me sentais tellement bien, un peu comme ci rien ne pouvait m'atteindre. Sauf sa réponse qui me fait lancer un rire nerveux avant de dire   " Eeuh nan merci... "    Je fais un non de la tête en profitant de ses caresses sur mon bras    " Je ne veux plus les voir. Alors, soit tu acceptes de me supporter, soit je me crèves les yeux... "    Barjo! Mais c'était une façon de lui faire comprendre que je tenais a la voir souvent. Je ne veux pas monopoliser son quotidien, mais voilà. Je n'avais pas envie d'être en manque d'elle. Je voulais vraiment garder nos moments que j'adore. Qu'ils soient enfantins, tendres, ou sérieux. Ceux où il n'y a que la présidente et moi. Et actuellement le chat qui tente de s'installer entre nous deux. C'était certainement confortable, mais aussi très drôle. Solveig se met a rire, et c'est dans cet élan que je viens poser ma main sur sa joue avant de tourner rapidement son visage vers le mien pour faire entrer nos bouches en contact. Elle prolongeait le baiser, et la pauvre petite mimine se faisait un peu dégager dans l'action. Mes mains viennent aider la jolie rouquine a s'installer a califourchon, et mon buste était semi allongé a présent. Je lâchais sa taille pour ne pas faire travailler mes abdominaux, et mes coudes se posent sur le matelas. Bon, j'en viens a poser mes membres sur les cotés de ses cuisses. La demoiselle me mordille la lèvre, et je sens mon rythme cardiaque qui décolle petit a petit. Sa main sur mon torse me fait frissonner, et je tentes de capter son regard jusqu'au moment ou elle avance pour déposer des baisers sur mon bleu en descendant doucement ma mâchoire. Pas le cou, ou je vais devenir fou. Je fermais les yeux, et je respirais un peu plus fort. Dans un murmure, un peu suave, je lâche   " Embrasse moi... Embrasse moi comme jamais tu n'as embrassé personne. "      Oui, j'avais envie d'étouffer sous ses lèvres.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Je m'en voulais au fond de lui faire croire que c'était à cause de lui que j'étais aussi mal en point, mais ce n'était pas du tout de sa faute. On cherche toujours un coupable pour nos malheurs et c'était tombé sur lui. Malheureusement. Je le plaignais, je m'en voulais, mais je me ferais pardonner bien vite. J'en étais sûre et certaine. Mais ce que je vivais en ce moment était mon gros problème, je ne savais pas comment réagir sans vraiment faire souffrir les personnes autour de moi. J'étais un peu comme une enfant, submergée par ses sentiments et qui ne savait pas choisir entre le bon et le mauvais côté d'une chose. De toutes façons, je ne pouvais plus vraiment lui cacher grand chose. J'étais amoureuse de lui, je lui avais dit même s'il ne le souhaitait pas, et je ne pouvais plus faire autrement. Cependant une partie de moi aimerait savoir ce qu'il ressent lui, au plus profond de son coeur, de son âme mais je n'arriverais jamais à le lui demander, j'aurais trop peur de souffrir. Il me fait rire une nouvelle fois en me disant que je serais la pour veiller pour lui parce que ce sera la vérité. « Oui je suis la, pour veiller pour toi. Et non, tu ne risques rien. » Je voulais qu'il sache que je serais la pour lui tout le temps. Mais au fond de moi, j'étais certaine qu'il le savait. Je n'aurais pas été la pour lui, je ne serais pas la pour lui, je ne l'aurais pas laissé entrer dans ma chambre pour le soigner. Je ne l'aurais pas fait, je n'aurais pas profité de ce moment de calme, de sincérité et de tendresse entre nous, la tout les deux, sur mon lit. On pourrait presque croire que nous refaisons le monde alors que pas du tout. J'étais juste entrain de lui dire que s'il voulait les voir il était libre de partir et sa réponse me fit sourire une fois de plus. Décide ment, j'avais pris abonnement sourire. « Mais si je te crève les yeux comment tu feras pour me voir ? » Je lui tirais la langue en riant avant que je ne me remette à exploser de rire en voyant Peluche qui s'installait mais qui se faisait éjecter aussi sec quand il me tentait, en m'embrassant et que je passais doucement à califourchon au dessus de lui. Ses mains sur mes cuisses, Je frisonne légèrement, continuant à jouer, mes lèvres contre sa peau. J'embrassais son bleu pour suivre par sa mâchoire, Je pouvais sentir son coeur qui s’accélérait et je souriais contre sa peau, descendant lentement sur son cou et lorsqu'il me demande de l'embrasser comme je n'ai jamais fait. Je me redresse lentement, un sourire dressé sur les lèvres et mes lèvres tentatrices viennent lentement mordiller son oreiller, suivant la ligne de sa mâchoire tout en la mordillant et lentement, je déposais mes lèvres sur les siennes. Pour lui donner dans un premier temps, un baiser tendre, léger mais accompagnant ce baiser par des caresses, je l'amplifiais lentement, montant crescendo la cadence tandis que l'une de mes mains glissait le long de son torse allant et remontant et que l'autre main, déboutonnait doucement un bouton de ma chemise. Il ne fallait tellement pas me demander de jouer. Mais cela, il le comprendra bien vite.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Allo Docteur!  
Si je devais résumé la décision que j'avais prise la dernière fois entre les deux demoiselles, je dirais simplement que j'ai agis sur un coup de tête... Avant de m'en prendre un. Enfin, je pensais faire le bon choix en quelque sorte. Sauf que je me suis rendue compte rapidement que non, ce n'était pas la fille qu'il me fallait. Non, je ne suis pas allé creuser au fond de mon coeur pour savoir ce que j'éprouvais pour Solveig, mais d'un coté, je ne pouvais pas non plus me cacher l'évidence d'une existence de sentiments. Sauf que je ne sais pas si je serais capable d'en parler. J'aurais trop peur de lui rappeler la fois où elle a laissé parler son coeur, et que je l'ai brisé. Mais c'était passé. Il n'était pas utile de revenir dessus, car je me souviens avoir dit a la rouquine de mettre son amour de coté, de tenter de ne plus penser a moi de la sorte... Alors, je ne pouvais pas revenir sur ces paroles. Pfff, je suis un peu paumé. Heureusement, je suis sur d'une chose, c'est que la présidente était la pour veiller sur moi, et qu'elle ne me laisserait pas tomber. J'avais vraiment peur qu'un jour quelqu'un réussisse a nous éloigner.    " Je risques juste de me prendre de l'eau si je me mets a danser quoi... "    Et je fais un petit rire en la gardant bien contre moi dans le lit. C'était vraiment agréable de se poser dans un lieu intime, notre petite bulle. Oui oui, nous n'arrêtons pas de se créer une petite bulle en laissant le monde extérieur dans leur merde. Bon, la demoiselle m'indique je suis libre de partir pour aller les voir, mais c'est non. Je refuses, et puis façon, j'étais la où il fallait que je sois. Je sors une réponse assez tirée par les cheveux, et a sa question je fais mine de réfléchir avant de lancer dans un soupire    " Ah ouais pas con. "    Je hausses un peu les épaules, et je dis   " J'oublie cette idée alors! Donc il ne reste plus que la première option qui est, que tu vas devoir me supporter. "    Je souris, amusé a l'idée de me dire qu'elle me supportait, et que nos moments comme ça n'étaient pas du plaisir pour elle. Si c'était le cas, ça allait devenir un réel bonheur.
En quelques secondes, je l'embrasse, et elle se retrouve a califourchon sur moi. Mes mains sur ses cuisses, utilisant les coudes pour me tenir un peu surélevé. Je venais de lui demander une chose assez particulière. Je mourrais d'envie d'échanger un baiser passionné et torride. Mais faut croire que la présidente n'avait pas envie d'aller au plus simple. Sa bouche parcourait mon oreille, puis le long de ma mâchoire. Ce qui ne me laissait pas, mais vraiment pas sans réaction. Ma respiration augmentait, pendant que les frissons me parcouraient tout le corps. Une fois nos bouchent l'une contre l'autre, je donnais a ce baiser de la tendresse et une pointe de fougue a la suite de ses gestes. Sa main sur mon torse, je prolongeais les yeux fermés. Sauf qu'instinctivement, ils s'ouvrent pour regarder ce que Solveig était entrain de faire. A la vue du déboutonnage, je fais un sourire, et je laisse mon dos allait se remettre sur le matelas. Mes mains remontaient le long de ses cuisses, doucement, très doucement....
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Dean était le genre de personne que j'appréciais beaucoup, la simplicité de ses mots, de ses gestes, de sa façon d'être. Je savais qu'il était assez simple comme personne et c'était peut-être ce qu'il me fallait après ma relation un peu superficielle qui était basée sur l'argent, les mondanités et le luxe. Même si il fallait avouer que cela me manquait un peu, je n'étais pas contre la normalité. Et j'étais persuadée que Dean allait pouvoir m'offrir ce que j'attendais. Mais peut-être que lui, il n'attendait pas cela et j'avais peur, de la suite, de l'avenir qui était tellement incertain que j'étais à deux doigts de consulter une voyante pour savoir de quoi mon avenir serait fait. Si j'allais vraiment finir avec lui, ou alors avec Robert le routier. Je le voulais lui, mais je me mettais à la patience alors que ce n'était pas du tout mon habitude. Il fallait croire qu'il me changeait du tout au tout et j'étais assez heureuse de cela. Mais il fallait que je calme mes ardeurs, mes envies d'avenir alors que tout ce qui était sûre c'est que j'allais finir diplômée d'Harvard à la fin de l'année scolaire, que j'allais enfin pouvoir bosser en tant que journaliste et que je serais tranquille, les histoires de cours de récréation seraient derrière moi. Peut-être que je quitterais Cambridge et Boston, peut-être que je partirais ailleurs, je n'en savais trop rien. Seul cette partie sûre de mon avenir était encore floue. Je ne lui en voulais pas de m'avoir brisé le coeur, peut-être que si l'occasion c'était présenter je lui aurais brisé le coeur aussi. Je n'en savais rien et je ne pouvais pas le blâmer pour une chose que j'aurais été capable de faire. J'ai bien brisé le coeur de Chuck en fréquentant Blake, je n'étais pas blanche comme neige « J'aime bien quand tu danses, c'est rigolo » Et c'était vrai que la spectacle était beau à voir sans aucune moqueries. J'avais un peu de jugeotte et je lui demandais comment il ferait pour voir si je lui crevais les yeux, et sa réponse me fit assez rire, puis sourire. Le supporter ? J'acceptais de le faire, e n'était même pas la peine de me poser la question, de me demander, j'acceptais sans rechigner. Je me retrouve assise sur lui, mes lèvres le cherchant, cherchant les siennes, tandis que mes mains jouent sur son torse. Mes lèvres contre sa mâchoire, sa joue, son cou, ses réactions étaient formidables je pouvais sentir les frissons qui lui parcouraient le corps. Je déboutonnais doucement ma chemise, continuant de l'embrasser avec cette fougue qui caractérisait notre échange. Mon rythme cardiaque s'accélérait et je me redressais doucement, en mordillant sa lèvre. Et le fixant avec un regard qui voulait tout dire, je souriais en mordant ma lèvre, déboutonnant encore un bouton et arrachant les derniers boutons qui restait de ma chemise, je la retirais alors doucement et la laisser tomber sur le sol. Puis, je passais doucement mes mains froides sous son tee-shirt, me rapprochant de son oreille pour lui murmurer « Tu ne penses pas que ce tee-shirt est de trop ? » Et un sourire plus tard, je redéposais mes lèvres sur ses lèvres pour lui offrir un baiser passionné.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Allo Docteur!  
Des fois, j'en venais a me dire que nous deux, ça sonnait comme une évidence. Et il y a des jours où je me disais que jamais il n'y aurait plus que ce que nous avons déjà faits. C'est triste, mais je ne peux pas toujours me situer dans l'optimisme. Après, ça n'enlève rien au fait que la présidente correspond parfaitement aux critères de ce que je recherche chez une femme. Elle est gentille et compréhensive, protectrice, une pointe jalouse, belle, intelligente, et c'est une superbe amante. Certains me traiteraient d'idiot de ne pas tenter, de ne pas l'avoir choisit elle a la place de la jeune blonde. Et j'accepterais les insultes sans renier que oui, je l'étais. Mais que voulez vous. Je ne prenais pas spécialement le temps de me poser, de réfléchir a l'avenir et encore moins a ce que je ressentais pour Solveig. Un jour viendra où je le ferais certainement. Il sera peut être trop tard, ou alors non, ce sera le parfait timing pour vivre une chose différente avec elle,... Je n'en sais rien.
Je voulais laisser faire le temps, que les choses viennent naturellement sans forcer. Comme la, quand nous nous taquinons en se tenant l'un contre l'autre. Et, la rouquine ne se gêne pas pour dire que quand je danses, c'est rigolo. Ne sachant pas trop comment le prendre, je hausses les sourcils avant de dire    " T'es encore jalouse de mes talents. "    Oui oui, j'aimais bien ramener des souvenirs de notre moment de la douche. Mais je ne peux pas m'éterniser, car je me retrouves avec la jeune demoiselle sur les jambes, à califourchon. Nous étions entrain d'échanger un baiser passionné et fougueux que j'avais déclaré. Elle s'amusait a dériver, pour venir jouer avec mon oreille puis tout le long de ma mâchoire. Accompagnant ceci en faisant aller ses mains sur mon torse avant de commencer un petit déshabillage. Ma respiration se faisait entendre, et l'excitation montait doucement en moi. C'était dingue de voir la vitesse à laquelle Solveig pouvait me rendre fou. Je laisse mon corps s'allonger correctement pendant que mes mains remontent ses cuisses doucement. Nos bouchés séparées, je viens foutre mon regard dans le sien. Fixement, je me laissais envoutée quelque temps, avant de descendre sur ses mains. Elles déboutonnaient lentement la chemise qu'elle portait. Mon dieu... J'entre ouvrait ma bouche en affichant un sourire charmeur. Ou charmé, je ne sais pas trop dans quelle posture je me trouvais. Quand, d'un coup sec le vêtement se retrouve ouvert, et au sol ; Je sentais mon coeur accélérer. Elle était belle, son corps est splendide... Et je suis totalement hypnotisé. Même ses mains froides sous mon tee shirt ne me font pas bondir. Je frissonnais encore et toujours, et je laissais son corps se pencher sur le mien en glissant une de mes mains sur sa hanche, lentement. J'entends son opinion, et je souris en retrouvant sa bouche. C'était tendre, mais disons que le petit spectacle m'avait stimulé. Je redressais nos bustes pour l'embrasser fougueusement, lancé. Ma main sur sa cuisse remonte dans son dos avant de se poser dans sa nuque pour appuyer l'échange. Et soudain... Prit d'une conscience qui ne venait de je ne sais pas où. Je pensais au fait qu'il ne fallait pas aller plus loin. J'en avais envie, mais non il ne fallait vraiment pas. Alors, tentant de me séparer de ses lèvres, je murmurais entre deux baisers    " On ne peut... Pas faire ça Solveig "    Assez contradictoire vu que je continuais de l'embrasser en caressant sa hanche dénudée.     " Dé... Désolé... "    Et je me décolle doucement en ouvrant les yeux pour voir les siens. Je soupires doucement en les baissant, comprenant que j'allais refroidir l'ambiance, mais avant, je devais me faire comprendre.    " Je... J'ai envie de toi, je ne veux pas que tu crois des bêtises. C'est juste que je m'en voudrais un peu. Je m'en voudrais parce que je ne veux pas que tu penses que je couches avec toi juste parce que ma relation ne s'est pas bien passée avec... Avec tu sais qui. J'ai pas envie qu'après coup tu te dises que je t'utilise sexuellement parlant... "    Je relève mon regard, l'air désolé    " Tu mérites mieux que ce que nous faisons avant... Alors, je préfères attendre avant de faire ça avec toi. "    Mes mains se joignent dans son dos, espérant ne pas trop la blesser. Ou la vexer. Ce qui, a mon avis, sera le cas. Je pinçais un peu mes lèvres, et j'attendais une réaction. Mon coeur loupé des battements, de peur.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
J'avais toujours voulu un mariage comme j'avais pu voir dans les films Disney que ma mère me passait quand j'étais petite et malade. Le mariage avec le prince charmant, les servants, la robe et la traîne de quinze kilomètres de long derrière moi, mon père a mon bras et un mari que j'aimerais jusque la fin de ma vie. Je pensais avoir trouvé mon conte de fée avec Chuck, sauf que non, alors peut-être que les princesses Disney finissent par divorcer ? Est-ce que les princesses Disney finissent comme des traînées, à faire le trottoir ? Visiblement non. Je devrais peut-être le remercier de m'avoir redonné confiance en moi, confiance en la fille que j'étais. J'aimerais vraiment qu'il comprenne qu'il avait de l'importance dans ma vie, mais au fond de moi, j'étais persuadée qu'il le savait, à cause de ma crise de panique, de jalousie, enfin ma crise de l'autre jour quand il m'avait annoncé qu'il choisissait Sally, alors que je ne savais pas qu'il jouait sur deux tableaux. Enfin si, je l'avais appris en écoutant les rumeurs stupides qui avaient circuler. Et j'aurais mis fait de ne pas les écouter, de me calfeutrer dans ma chambre et de ne plus en sortir pour ne plus avoir à souffrir. Mais si j'avais coupé les ponts avec Dean, est-ce que nous en serions ici désormais? Est-ce que je serais la, en train de refaire le monde avec lui ? Certainement pas. Ou je serais ? Je n'en savais que trop rien. Je me sentais vraiment mal pour le moment, de me dire que je ne serais peut-être plus rien pour lui. Mais au moins, il était resté à mes côtés. Et nous étions la tout les deux, à nous vanner une fois de plus. Avant que je ne prenne le contrôle de la situation comme il l'avait demandé quelques minutes auparavant. Je tentais de le faire craquer, de lui faire me demander plus de choses, qu'il me dise clairement ce qu'il veut. J'essayais de ne rien montrer, de ne pas montrer que oui, j'avais l'impression que tout mon corps était fait de braise. Ses mains sur mes cuisses accéléraient considérablement mon rythme cardiaque et je canalisais ma respiration en mordant ma lèvre. Je jouais maladroitement à déboutonner ma chemise, laissant tomber le morceau de tissu sur le sol avant de rapporter mon attention sur ses lèvres. Sa main sur ma nuque, j'approfondis un peu le baiser, laissant nos langues se cherchaient. Je peux sentir qu'il se détache légèrement et je sens mon coeur qui loupe un battement en entendant ses murmures. Quoi ? Je tentais de garder une respiration assez calme. Mais lorsque ses lèvres se reposent sur les miennes, je me dis que j'ai mal compris. Jusqu'à son désolé. Ah donc non, je n'ai pas mal compris. Je plonge mon regard dans le sien, un air triste dans le visage, et je me mordille la lèvre tremblante. Je suis triste mais je ne veux pas qu'il le voit. J'ai l'impression que mon coeur se déchire, même si c'est terriblement mignon ce qu'il dit. Et je ne lui en veux pas, au contraire. Je tentais de prendre un air satisfait, rassuré mais je savais pertinemment que je n'y arriverais pas. Lorsque son regard se plonge dans le mien, je souris. Pas un sourire faible, mais un véritable sourire avant de caresser doucement sa joue, du bout des doigts. Je pose doucement mes lèvres contre les siennes, pour lui offrir un tendre baiser avant de prendre la parole « Je ne t'en veux pas. Et ... je .. je te remercie » Je fronce doucement les sourcils avant de reprendre « Et je ne pense pas que tu pourrais m'utiliser de la sorte, j'en suis persuadée. Mais je te comprend. » Et je récupère ma chemise avant de me réinstaller à ses côtés, déposant ma tête sur son torse. « Reste ici s'il te plaît... »
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Allo Docteur!  
Et il existe des fois, pendant des moments comme celui la, où je me dis que si je dois me remettre en couple un jour... Bah ce serait avec Solveig et personne d'autre. Sauf que pour construire une relation, il faut effectivement se poser les bonnes questions et être sur de soi afin de ne pas engendrer une crise ou une nouvelle fois, briser un coeur. Franchement, s'il vous plait, si un jour je suis a deux doigts de faire souffrir la jolie rouquine, assommez moi avec une pelle. C'était terrible de lui faire du mal, tellement que je pouvais sentir mon coeur se déchirer en même temps que le sien. Mais la, il n'était pas question de mal. Bien au contraire, nous étions ensemble, entrain de dériver sur pas mal de sujet. Je suis content de ne plus ressentir de haine, de me dire que je suis calmé et qu'au final, je m'en fous des deux idiots. Je suis en compagnie de la fille qui a le plus d'importance pour moi, alors rien ne m'atteint. Faudrait pas qu'un incendie se déclare dans la maison, car je serais capable de ne pas bouger d'ici. Et la suite ne me changeait pas cette idée... Quand Solveig vient se positionner a califourchon sur moi, je sens que je vais adorer. Et oui. Ses mains sur moi, les miennes qui s'invitent a la danse doucement, et nos bouches qui s'embrassent dans un mélange de passion et de fougue. Je me sentais ailleurs, loin d'ici, loin de la réalité. Je prolongeais, et j'en appréciais chaque secondes. Totalement a l'aise, je reviens m'allonger en l'entrainant pour ne pas séparer nos lèvres. Mais elle s'en chargera pour commencer a déboutonner la chemise qu'elle porte. Je fixais son regard avec un sourire rempli de malice, avant d'admirer le spectacle. Quand le tissus touche le sol, ma respiration s'emballer, et je sentais l'envie d'elle venir de plus en plus. Nos bouches se retrouvent, et je fermes un peu les yeux en laissant ma main se balader sur sa hanche. Redressant nos bustes, la chaleur arrivait et je m'emballais un peu. Sauf qu'une pensée traverse mon esprit et me stoppe net dans mon élan. Je prenais conscience qu'il ne fallait pas aller plus loin. Malgré que les caresses que je recevaient sur le torse me faisaient frissonner, il ne fallait pas continuer dans cette voie. Entre deux baisers, je tentes de me faire une raison, et bien que ce soit une torture, j'arrête. Bien sur, j'explique a mon ancienne amante les raisons... Je ne voulais pas qu'elle pense n'importe quoi, et j'espérais au plus profond de mon coeur que je ne la blesserais pas. Les expressions de son visage m'inquiétaient un peu sur le coup... Je la fixais en tentant de faire aller mes battements normalement. Je sais que c'est le genre de truc qui peut descendre la confiance que l'on a en soi. Et alors que j'allais m'excuser encore une fois, je vois son sourire, et je souris automatiquement avant de recevoir un tendre baiser. " Je ne pourrais pas t'utiliser de la sorte. Mais, je pense qu'il serait mieux d'attendre... " Je comprenais mes raisons, et Solveig m'avait remercié, alors je pense que c'est partagé. Elle se relève, et mes yeux regardant son corps quelques instants. Je reviens sur son visage qu'elle elle se réinstalle a mes cotés avant de reprendre la position initiale. Mon bras l'entoure, et ma main lui caresse doucement ses cheveux. A sa demande, je dis d'une voix calme " Je ne comptais pas partir. " A part si elle m'en avait voulu, ce qui est logique. Et, lentement je fermais mes yeux. Je me sentais soulagé. Soulagé d'avoir une personne aussi compréhensive dans mes bras, et dans ma vie.
(Invité)

Préférences de jeu
veritas
Contenu sponsorisé
est en ligne
(Contenu sponsorisé)