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(dean) j'ai besoin de toi comme d'une infirmière.

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J'ouvre les yeux d'un coup, me redressant dans mon lit, et regardant à droite à gauche un peu paniquée, mon ordinateur sur les jambes, mon téléphone dans la main. Je me suis endormie comme ça, sans le sentir, en bossant. Déverrouillant mon MacBook, j'enregistre le travail que j'ai effectué, et je le ferme. J'étire mes bras endoloris et met mon téléphone à charger, aucun message. Dean doit certainement être en cours, je ne veux pas le déranger. Je sors de mon lit, et le retape avant de me diriger jusque ma kitchenette. Je me fais couler un café en frottant mes yeux et quand je vois l'eure, je me dis que j'ai vraiment trop dormi et que je devais certainement être vraiment en manque de sommeil pour dormir autant. 12H30, je petit-déjeune tout va bien. Je vais déjeuner à pas d'heure. Heureusement que je n'ai pas cours, je pense que je me serais claqué la tête contre le mur. Je m'installe alors dans le canapé de ma chambre, un plaid sur les jambes et Peluche a mes côtés, qui réclame des caresses. J'allume mon téléviseur et je me perds sur Netflix, zappant parmi toutes les séries possibles et imaginables, regardant mes mails sur mon ordinateur, notant les rendez-vous à la galerie pour vendre des tableaux. J'étais vraiment heureuse qu'elle marche cette galerie, j'y avais mis tout mon coeur, et même si j'avais entendu que Chuck voulait la faire couler, par jalousie visiblement, il n'y arriverait pas. Je ne le laisserais pas faire. J'étais décidé à ne plus me laisser marcher sur les pieds. Passant sous une douche chaude, je me demandais si Dean allait bien, et je pensais aussi à lui envoyer un message après ma douche. J'enfile une tee-shirt bien trop grand pour moi et une paire de chaussettes assez haute, je monte le son de ma chaîne hifi et je me met à danser comme une folle en rangeant les affaires qui traînaient, regroupant mes affaires sales dans le but de faire une lessive, je nettoyais aussi la litière de Peluche, dansant toujours en rythme de la musique, je repensais au moment de Dean qui dansait et je me mettais à rire en continuant de suivre le son de la musique, heureusement que personne ne pouvait me voir, on m'aurait pris pour une grande folle. Je me stoppe quand j'entend quelqu'un qui semble violemment toquer à la porte. Je me rapproche à pas feutrés de la chaine-hifi et je l'éteins totalement avant de me diriger vers la porte, un peu soucieuse. J'entrouvrais la porte et lorsque Dean m'apparaissait, je fronçais les sourcils et ouvrais la porte en grand « Dean ? Mais qu'est-ce .. ? » Je tremblais légèrement en lui laissant un passage pour qu'il entre. Mais qu'est ce qu'il avait fait ? Pourquoi était-il dans un état pareil ? Pourquoi ?
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Allo Docteur!  
Putain mais je vivais dans un monde de tarés. J'étais tranquillement en cours, le dernier de la matinée et de la journée d'ailleurs. Quand soudain, Zed avait débarqué, menaçant pour finalement me décoller un coup de poing en pleine figure. Bien sur, j'ai répondu en lui mettant un coup identique. C'était vraiment parti loin. Sally avait suivit en évacuant mes élèves et en tentant de s'interposer, mais entre temps j'avais prit un coup de boule en plein nez. Forcément, je pissais le sang. J'avais changé mon tee shirt en m'essuyant a moitié, sauf que, bah ça coulait encore un peu. J'avais donc du rouge sur le visage et la main vu que j'ai donné un coup énorme dans le pif de l'abruti, et un hématome à la pommette gauche.
Énervé, j'étais parti de l'université dans ma voiture et je dois bien avouer que je roulais comme un malade. Conduite agressif qui se termine devant la maison des Cabot avec un coup de frein très bruyant. Je descends et je claque la portière en sortant de multiples insultes le temps d'atteindre la porte d'entrée. Je me disais qu'a cette heure, il ne devait pas y avoir de monde a l'intérieur. Je ne suis même pas sur de trouver Solveig mais bon. Je rentres, et je ne regardes même pas autour de moi. Tête baissée, des pas déterminés, j'atteins rapidement la chambre de la rouquine. A travers, je pouvais entendre de la musique, alors pour être certain de faire comprendre que je suis derrière la porte, je donnes quelques coups plutôt forts. Je soufflais en attendant. Je me dis qu'elle va surement paniquer en ouvrant la porte, et aussi, qu'il fallait que je fasses redescendre mes nerfs afin de ne pas les passer sur elle, car elle n'a rien fait. Oh, la musique se stoppe et il ne faut pas beaucoup de temps pour que je vois son visage. Bingo! Elle me laisse entrer en tentant de me demander ce qu'il s'est passé. Je rentre, et une fois au milieu de la pièce, je me retournes en passant une main dans mes cheveux les mettant un peu en arrière avant de dire    " Je te jures que je vais tuer quelqu'un. Zed, ou Sally même. "    Je serrais les dents, j'étais encore énervé. Normal non? Je venais de sortir d'une bagarre. Et évidemment, je viens me réfugier chez la présidente des cabot. Je la fixais, et je respirais assez fort sous mes émotions. Et je reprends    " Je viens de me battre avec Zed... C'est un délire! Putain, je n'en reviens pas. "     Je me poses sur le lit, et le chat passe en frôlant ma jambe. Ma main se pose sur lui un instant avant de relever mes yeux sur la jolie rousse   " Et l'autre la, qui débarque et prend la défense de ce taré... "    Je n'étais pas très clair, je pense que Solveig ne va pas tout comprendre.
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Souvent, je pensais à Dean et à notre journée farniente. Et il n'était pas rare que je repense à cette journée parfaite que nous avions passés tout les deux, ses lèvres sur les miennes, sa peau contre la mienne, ses doigts sur ma joue, de lui qui pique une crise de jalousie contre le pizzaiolo parce qu'il pense que je le drague pour avoir des réductions et de moi qui tente de le rassurer en lui disant que je préfère les professeurs de sport. Et je me souviens encore de son sourire quand je lui avais dit cela. Mais je ne voulais pas me mettre de fausses idées dans la tête, me dire que nous sommes quelque chose de précis, alors que nous n'avons même pas parler de ça et depuis la journée farniente nous ne nous étions pas revus pour parler de tout ce qui avait pu se passer durant cette journée. Mais passer une journée sans téléphone m'avait réellement fait du bien et surtout la passer avec lui était la meilleure des choses qui avait pu exister. Mais maintenant, c'est terminé et je ne savais pas vraiment de quoi le futur sera fait mais j'avais hâte de le revoir c'est tout ce que je pensais. Je m'occupais la tête en rangeant, en dansant, en m'occupant de Peluche du mieux que je le pouvais -la pauvre qui avait eu une maîtresse assez dépressive, je la plaignais-. Il faut dire que la danse était la meilleure des choses du monde et que j'avais pour habitude de faire cela quand j'étais plus jeune, adolescente et que j'avais passé une sale journée. La, je n'avais pas passé une sale journée mais j'avais surtout besoin de ne penser à rien. De ne pas penser à Dean, à mes cours, aux choses qui me prenaient bien trop la tête. Je comptais lui envoyer un texto mais visiblement, ma conscience et mon téléphone n'était pas d'accord parce que je manquais une fois de plus, de batterie. En même temps quand on s'endort avec son téléphone allumé, on ne peut qu'user la batterie, mais un jour, je m'endormirais normalement, c'est promis. Je dansais pendant une bonne dizaine de minutes et je fûs interrompue par des toquements contre la porte. Assez brusque, assez effrayant. Je ne savais pas si je devais ouvrir, de peur de me retrouver face à une psychopathe, mais j'ouvrais tout de même la porte, et je voyais Dean, le nez en sang qui entrait dans ma chambre. Je faisais passer mon regard entre la porte et Dean, puis Dean et la porte. Et je tentais d'écouter ses phrases assassines. Il me faisait un peu peur à être énervé de la sorte. Je me dirigeais vers ma petite kitchenette et je mouillais un linge avant de le rejoindre tandis qu'il venait de s'asseoir sur le lit, Peluche à ses côtés. Je m'agenouillais alors, passant ma main libre sur son avant-bras, posant doucement le linge mouillé sur son nez pour qu'il nettoyait le sang qui avait certainement coulé, réprimant mon envie de vomir. Je ne supportais déjà pas la vue du sang, mais sur lui c'était encore pire. “Alors calme toi... Je n'ai strictement rien compris...” Puis je caressais son bleu du bout du doigt, la gorge serrée. “Pour... Pourquoi tu t'es battu ?” Je me mordillait la lèvre en soupirant et je passais le linge mouillé sur son bleu, embrassant tendrement sa joue en espérant ne pas lui faire de mal. Je voulais savoir ce qu'il s'était passé. “Raconte moi... Calmement...” Même si je doutais qu'il pouvait rester calme.
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Allo Docteur!  
Je sais que c'est inquiétant de débouler de la sorte, mais en même temps, il était impossible pour moi de me calmer. Je repensais a ce qu'il venait de se passer, j'avais dans la tête l'image de Zed qui entre dans le gymnase en citant mon  nom de famille avant de s'avancer pour me frapper et justifier son acte en expliquant qu'il défendait Sally a qui j'avais fait du mal. Non mais mec, tu caches tes collants et ta cape sous tes fringues? Franchement... J'étais donc venu frapper a la porte de chambre de mon ancienne amante, comme un fou furieux. Et une fois ouverte, je rentres dans la pièce pour pouvoir m'exprimer tant bien que mal dans l'intimité. Je n'avais pas envie que tout le monde soit au courant, bien que les élèves que j'avais en cours a ce moment risqueraient d'aller le dire partout. Bien sur, j'étais trop en colère pour expliquer clairement, et le visage inquiet de la rouquine ne s'enlevait pas. Une fois sur le lit, je la vois arriver avec un linge mouillé, mais je n'arrivais pas a sourire. Ma mâchoire ne voulait pas se dé-serrer, ce qui me compliquait la tâche pour parler. Lentement, elle applique le tissus sur mon nez pour retirer le sang, et je laissais faire. Sans un geste, sans une parole pour le moment. Je tentais de reprendre un rythme cardiaque normal, afin de réussir a respirer et discuter.     " Je n'arrives pas a me calmer. J'ai envie de retourner au campus pour aller lui exploser la tronche! "    Calme Dean! Je soupirais encore une fois. Et quand ses doigts viennent sur mon bleu, je fais un peu la grimace car la douleur se pointait. C'était sensible, mais je ne voulais pas que la rouquine s'en veuille alors je me contentais d'afficher sur mon visage le mal. A la réception de son baiser, je fermes les yeux et bizarrement, je sens comme une sensation étrange qui vient calmer ma respiration. C'est mon médicament.    " C'est Zed. Il a déboulé en plein cours, et il m'a frappé. Alors je ne me suis pas laissé faire. "     Bon, au moins, elle connait le départ, mais pas la cause. Je me laisse tomber pour m'allonger a moitié. Mes pieds sur le sol, genoux pliés, je regardais le plafond.     " J'ai dit a Sally ce qu'il s'est passé a l'ouverture de ta galerie. Et elle l'a répétée a Zed. Donc, cet abruti a jugé bon de venir défendre son honneur en me cassant la gueule. "    Je passe ma main sur mon front    " Et elle, elle a débarqué. Elle a défendu son toutou. Tu vois, ça me rend dingue. Je ne dis pas que j'aurais aimé me faire défendre, parce que a vrai dire, je m'en tape le cul par terre... Mais... "   Je la fixe    " Mais c'est le fait que le mec vienne dans mon cours pour ça. Aucune jugeote! "    Et enfin, je termines en disant un truc qui, a mon avis, va ravir la présidente    " Du coup, bah j'ai envoyé chier Sally et c'est terminé. Plus jamais je veux me retrouver en face d'elle... Qu'elle reste avec l'autre, ils font la paire. "    Et je me disais que moi, celle qui me complète se tenait juste a coté de moi, a prendre soin de moi. J'étais touché qu'elle me soigne, et, je réalisé un peu mon attitude, alors je dis dans un petit murmure    " Désolé de venir ici comme ça... "
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Il en fallait peu pour m'inquièter et le fait que Dean débarque comme ça, sans me prévenir, le nez en sang, ça me faisait réellement peur. Je ne savais pas comment réagir, ni même comment le soigner, parce qu'il avait l'air vraiment en colère et je n'aimais pas cela du tout. J'avais l'impression que je ne parviendrais pas à le calmer cette fois ci et je m'en voulais un peu. J'étais persuadée que j'étais pour quelque chose dans cette histoire alors j'allais tenté de me faire pardonner. Je ne voulais pas être un espèce de boulet pour lui, je voulais pouvoir l'aider. Il ne le savait pas mais au fond de moi, j'étais heureuse qu'il soit venu tout de suite me voir, ça me prouvait qu'il avait confiance en moi. Et je ne voulais pas entâcher sa confiance, bien que je l'ai déjà fait en laissant Caesar m'embrasser à l'ouverture de la galerie d'art. Je m'en voulais terriblement pour cela, mais le passé est passé, il ne faut plus en parler. Et je n'en parlerais plus, de peur que cela engendre une énième dispute, et je sais comment les disputes se terminent avec lui, je m'en veux terriblement à chaque fois. Je sentais qu'il était énervé puisque je pouvais voir sa mâchoire qui était contractée, alors que j'étais entrain de nettoyer le sang sous son nez “Non ! Tu restes ici !” Je me comportais comme une maman un peu, mais je n'avais pas envie qu'il se fasse détruire la figure. Enfin, il était prof de sport, donc je n'avais pas à m'inquièter mais tout de même, je ne voulais pas qu'il ait de problèmes. Lorsque je passais ma main sur son bleu, je pouvais voir qu'il avait mal à cause de son expression de visage, alors je retirais doucement ma main et je remplaçais mes doigts par mes lèvres pour lui offrir un baiser léger pour tenter de l'apaiser. Je restais accroupie, tandis qu'il s'allongeait sur mon lit, me racontant ce qu'il s'était passé. Et j'avalais difficilement ma salive quand il me parlait de Sally, mais j'avais pris l'habitude de ne plus me prendre la tête pour cette fille, je me contentais de ne pas la croiser si je le pouvais et c'était tout. Je le laissais parler avant de fermer les yeux pour me concentrer, pour éviter de dire des choses que je ne pensais pas, mais s'il savait à quel point, je pouvais être énervée, la maintenant. Ce n'est pas lui qui irait péter la gueule à ce mec, j'en serais tout aussi capable. Je ne supportais pas qu'on le touche. Et surtout à cause de cette fille. Quand il me dit qu'il en a terminé avec elle, un très léger sourire s'affiche sur mes lèvres et je soupire de soulagement. Je ris en voyant Peluche qui vient squatter sur les genoux de Dean, et je tente de dire des choses qui ne paraîtront ni méchante, ni trop enjouée “Tu sais, je te mentirais en disant que je n'ai pas envie d'aller lui briser les dents à ce mec, mais t'as bien fait de ne pas te laisser faire. Après je ne comprend pas comment on peut ne pas défendre celui qu'on est censé aimer. Je ne sais pas, c'est logique, t'aimes quelqu'un tu le défends... Mais bon, on a peut-être pas la même conception de la vie... Et je … Je suis désolée de t'avoir causé des problèmes.” Je lui souriais doucement, restant en face de lui tandis qu'il s'excusait à son tour. Je me relevais alors pour aller chercher des glaçons et un gant de toilette pour les mettre dedans avant de revenir et de lui poser délicatement sur la joue “Ne t'excuse pas, ça me fait plaisir que tu sois la, que tu es assez confiance en moi pour venir me voir la première...” Je tentais de masquer mon bonheur, mais je n'y arrivais pas, j'étais bien trop heureuse, bien trop apaisée qu'il soit là à mes côtés et qu'il m'ait dit que Sally et lui c'était terminé. Mais je n'imaginais rien pour autant. Je ne voulais pas me faire de fausses illusions.
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C'est un peu comme quand tu es fortement malade. Ton envie première (selon l'age, même si je pense que tout le monde réagit comme ça), c'est d'aller te foutre dans le lit de ta maman pour qu'elle te soigne bien gentiment. Bah moi, c'était chez Solveig que j'avais envie d'aller. Oui, je pense qu'il aurait été préférable que je me détente avant, mais impossible. C'était soit je venais ici tout de suite, soit je retrouvais Zed pour lui faire comprendre qui je suis en lui claquant mon poing a plusieurs reprises dans sa tronche.
Je me tenais donc dans sa chambre, plus précisément sur son lit pendant que la jolie rouquine prenait la délicatesse de m'essuyer un peu le visage. Je tentais de me faire comprendre, mais vu la colère, c'est difficile. En plus, a trop serrer la mâchoire je vais finir par avoir mal. Et puis vous voyez, la présidente agit comme ma maman en m'ordonnant de rester ici. Je la fixe en faisant une petite tête de chien battu, et intérieurement je souriais. En tout cas, l'autre tâche pourra la remercier de me forcer a ne pas le retrouver, il aurait passé un sale quart d'heure sans elle. Mais je vais rester sage et éviter les ennuis. Façon, je suis bien ici. Je me laisse même tomber pour m'allonger après le baiser reçu sur mon hématome qui me fait douloureusement souffrir.
Je tentes alors de lui afficher la situation, et l'histoire. Oui, la connaissant, je me doutes bien que maintenant, c'est sa colère qui monte pendant que la mienne descend doucement. Et d'un coté, j'apprécie. Je me dis qu'au moins, elle prend ma défense, pas comme certaine. J'entends son soupire, et je sens Peluche qui vient s'installer sur mon genoux. Ma main caresse doucement l'animal, en esquissant un petit sourire parce que ça me fait plaisir de recevoir des câlins... Même si je préfères ceux de sa maitresse. A ses paroles, je gardes un peu ma tête tournée pour pouvoir la regarder.    " Oui mais non. Il est tellement abruti qu'il pourrait te frapper... Et la, il sera impossible de m'arrêter. "    Je faisais référence a son ordre de toute a l'heure, et je poursuis    " Tu sais, avec du recul je me dis que sa défense je n'en veux pas. Je ne veux plus rien d'elle la. Si elle trouve son bonheur avec Zed ou un autre, c'est tout le mal que je lui souhaite. "    Je fais un petit sourire du coin des lèvres, et je poses ma main libre derrière ma tête    " Arrête, tu n'as rien causé du tout. C'est eux qui déraillent. "    Et je la fixe en la regardant s'éloigner. Oh non, mais elle va où? Ah c'est bon elle revient. Solveig pose un gant avec des glaçons dedans sur ma joue blessée. Ou bout de quelques secondes, je viens la papouiller sur son avant bras du bout de mes doigts, et je dis en visage son visage qui indique du bonheur    " Bien sur que j'ai assez confiance... Je peux même dire qu'a ce stade, je te fais pleinement confiance. "     Et, lancé     " Y'a aucun autre endroit où j'avais envie d'être. Je sais que tu vas réussir a me calmer, et a me faire aller mieux. "     Je parles intérieurement, car la jolie rousse n'est pas médecin. Quoi que, le froid me soulage vraiment bien pour le coup. Alors, pour montrer que je commences a ne plus être en colère, je dis avec une mine un peu rieuse    " Après, j'ai le droit a un câlin pour me guérir? "
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J'étais vraiment heureuse que Dean soit ici même si j'étais autant heureuse qu'apeurée pour lui. Je ne voulais pas qu'on lui fasse de mal et la, on venait limite de lui péter le nez et appremment j'y étais pour quelque chose, enfin de ce que j'avais compris et il fallait dire que je ne comprenais pas vraiment les choses dans le contexte dont elle devait être comprise. Mais tout ce que je savais, c'était que Dean venait de se prendre un coup de boule de la part de Zed, qui lui venait pour défendre Sally. Mais Dean n'avait rien fait à Sally de base, donc c'était de ma faute. Bon, je pense que j'avais bien saisi l'histoire et je m'en voulais beaucoup plus que ce je ne le devrais. J'en avais assez d'être mêlée dans des histoires qui ne me concernaient pas vraiment. Sa tête de chien battu est tellement mignonne que je ne peux m'empêcher de faire un petit bruit assez mignon, comme si j'avais pitié de lui alors que pas du tout. Je n'avais pas pitié de lui, il me faisait juste... craquer ? Oui ça semblait être le mot. Je lui avoué que si jamais il n'était pas a, qu'il m'avait prévenu par texto ou autre, j'aurais été capable d'aller briser les dents à ce pauvre mec. Même si à mon avis, il m'aurait plus défoncer qu'autre chose mais qu'importe. « Je sais me défendre tu sais ! » M'enfin, me défendre se limiter à mes cours de self-défense que j'avais pris quelques années auparavant et je n'étais pas persuadée que je me rappelais de toutes les bases. Mais qu'importe. Lorsqu'il me parlait de cette fille, j'avais toujours cette boule monstrueuse au ventre qui ne faisait que s'accroître et j'avais qu'une hâte 'était qu'elle disparaisse. Il arrivait à me faire sourire en me rassurant sur le fait que je n'avais rien fait, que ce n'était qu'eux. « J'espère, en tout cas, je suis désolée quand même. » Oui, je m'excusais pour rien, pour tout. Pour plein de choses et rien à la fois, je me faisais un peu pitié mais c'était comme cela, il fallait qu'il comprenne que je m'excusais souvent pour rien. Je me dirigeais pour aller chercher un gant avec des glaçons pour venir lui déposer sur sa joue et je faisais bouger Peluche qui était assez chiante sur le moment. Lui parlant d'histoire de confiance, je me mordillais l'intérieur de la joue pour m'éviter de pleurer, de crier, de sauter de joie ou je ne savais trop quoi. « Alors je suis heureuse, d'être celle qui peut te calmer, te canaliser et te soigner, même si bon, je ne fais pas grand chose à part te mettre du froid sur la joue et essuyer le sang que t'as sous le nez, parce qu'un imbécile à trouver ça utile de te mettre un pain. » Je riais doucement avant de l'entendre me réclamer un calin. Je faisais mine de réfléchir et je grimpais alors sur mon lit, et je posais doucement ma tête sur son torse en allongeant sur mon lit, les jambes repliés et j'attrapais doucement son bras pour le passer au dessus de ma taille et caresser doucement du bout du doigt la peau de son bras, laissant vagabonder mes doigts sur son bras. « J'aime bien quand t'es la, près de moi... ça me rassure, tu me rassures. » Et je sentais mes joues qui se coloraient de rouge en fixant le plafond, redevenant silencieuse.
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Bon, oui. Il est vrai que si Sally avait pété un plomb et que Zed avait jugé bon de jouer les superhéros, c'était en partie pour le baiser échangé a l'ouverture de la galerie. Mais je pense qu'il n'était pas utile d'employer la violence, surtout pas dans le contexte. Venir en cours, et tout. Je ne vais pas aller me plaindre a la direction, je ne veux pas m'abaisser au niveau de ces deux la. Mais je pense que cette histoire ne passera pas inaperçue malheureusement pour moi. Je voulais me sortir un peu ça de l'esprit, mais avant, il faudrait que j'explique tout a Solveig. Débarqué chez elle en sang, a moitié défiguré (oui j'exagère, j'aime bien), c'est bien, mais faut aussi la rassurer. Je remarquais bien qu'elle s'énervait un peu, en gardant une pointe de peine. Ou juste une pointe de la fille qui s'en veut un peu en pensant que c'est totalement de sa faute. Fallait pas, et puis, même si ça l'était, je m'en fichais de prendre des coups pour elle. Par contre, en prendre pour mon ex petite amie, c'est une autre histoire.    " Oui... Mais il frappe bien l'enfoiré. "    Je suis la preuve vivante. Bon, moi je n'avais pas mit en pratique tout ce que je connaissais des sports de combats, sinon il aurait facilement un bras cassé. J'avais juste agis comme un homme sans me prendre la tête. Mon poing était parti en tout puissance, mais je ne suis pas sur d'avoir réussi a lui casser le nez, ce qui est dommage. Parler de Sally, je savais très bien, enfin j'imaginais très bien ce que ça pouvait provoquer chez la présidente. C'est pour ça qu'au fond de moi, je prenais la décision que ce serait la dernière fois que je la cite. Je vais passer a autre chose rapidement, car j'ai bien saisi ce qui avait ou non, de l'importance dans ma vie.    " Ne soit pas désolée. Je vais bien. "    Bah oui, un peu blessé, mais ce n'était rien de grave. En plus, le gant rempli de glaçons me faisait réellement du bien sur mon bleu qui quelques minutes avant me tordait limite de douleur. Mais que demander de mieux? J'ai une infirmière, et un chat sur les jambes qui me câline. Et en plus, je vois bien que ce que je venais de dire sur la confiance touche la rouquine en plein coeur. Je lui souris doucement, et a la fin de ses paroles je lance un petit rire avant de répondre    " Oui mais d'un coté, le fait qu'il me frappe m'amène ici pour me faire chouchouter. Je devrais peut être le remercier! "     Je fais une tête d'ange, avant de reprendre un peu plus sérieusement    " Et... Moi je suis heureux de t'avoir. "    Sortez les violons, faites entrer les confettis! Quoi que, non! Je demandais un câlin alors évitez de venir nous déranger. Quand Solveig faisait mine de réfléchir, je haussais les sourcils comme pour demander si elle était sérieuse. Mais, soulagé de la voir s'allonger a mes cotés, je la laisse s'installer. Le bras autour de sa taille, je reçois des caresses et je me mets a regarder le plafond en souriant. Je constates que ma colère est partie. Et avec sa tête sur mon torse, je crois qu'elle va pouvoir entendre mon coeur qui accélère doucement a ses dires. Sourire en coin    " Je... Euh, je suis bien. Tu as un effet relaxation, et ça m'empêche de faire des bêtises... "     Comme aller défoncer Zed. Mais bon, comme on dit, il n'y a que les montagnes qui ne se croisent pas. Sauf que la, ce n'était pas le moment pour penser a tout ça. Ma tête se tordait un peu pour que je puisse déposer un baiser sur le sommet de son crâne. Et je me mets a avoir un sourire rieur quand je repense a une scène de notre soirée en boite de nuit. Le moment où elle voulait m'embrasser... Alors, d'une voix amusée je dis    " J'ai envie de t'embrasser, ... Je peux? "    Moqueur. Mais l'envie était la quand même .
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J'aimerais que tout reste tout le temps comme cela, que notre confiance reste intacte et que je ne le perde plus jamais. Que nous ne nous éloignons plus jamais et que nos petits délires enfantins restent eux aussi. Parce que même si j'avais vingt-cinq ans, je n'avais pas moins une âme d'enfant et grâce à Dean, je pouvais la conserver un tant soi peu. J'avais peur qu'il ait des soucis et je m'en voudrais, même si techniquement, je n'y suis pour rien, c'était dans mon comportement, je ne pouvais pas m'empêcher de me dire que si jamais, il avait des soucis avec la présidence, le doyen ou même le conseil des professeurs, je m'en voudrais. Parce que je n'aurais jamais entamé cette relation, je ne serais jamais tombé amoureuse de lui et je ne lui aurais pas fait une scène digne des plus grand soaps. Je voulais qu'il sache que si jamais il s'attaquait à moi, je serais capable de me défendre, mais il trouvait encore une fois le moyen de sur-enchérir ce qui me fit lever les yeux au ciel. Encore une fois. Il me faisait tellement lever les yeux au ciel que je comptais rester comme ça toute ma vie. Il était tellement chou à vouloir que je ne m'excuse pas. Mais je ne pouvais pas m'en empêcher, c'était dans ma nature. Et je ne pouvais malheureusement pas me changer. « Heureusement que tu vas bien, je ne supporterais pas de savoir que tu es à l'hôpital ou je ne sais trop où. Je ne le supporterais clairement pas. » Je tentais tant bien que mal de me rappeler ce que ma mère faisait quand je faisais la casse-cou lorsque j'étais dans ma période skate board et roller. Et je me souvenais qu'elle avait utilisé des gants de toilettes et des glaçons. Alors j'avais fait cela pour Dean en espérant que cela l'apaise et visiblement oui. Il n'avait cette grimace de douleur sur les traits et j'étais rassurée. Et confiante pour la suite des évenements. Je lui disais un peu tout ce que j'avais sur le coeur, le fait que je me sentais bien avec qu'il me rassure et ses mots me touchaient encore et encore. J'aime bien la position dans laquelle nous sommes c'est assez adorable, assez tendre et j'aime beaucoup cela, je continue de lui caresser son bras, tendrement, doucement. « J'aime bien t'empêcher de faire des bêtises, et puis, je suis bien la tout contre toi.. » Faudrait vraiment que j'arrête d'être niaise comme ça, je me donne envie de vomir. J'ai envie de me claquer la tête contre le mur. Mais je me retiens, je reste simplement à ma place. Lorsque ses lèvres se déposent sur mon crâne, je me mordille doucement la lèvre en souriant, il faut vraiment qu'il arrête de faire cela, je sentais mon cœur qui s'accélérait et la question qu'il me posait me faisait rire. Je ne savais pas trop quoi lui répondre, je me tournais alors pour embrasser tendrement sa joue, le coin de ses lèvres avant de lui murmurer « Oui, je pense que tu peux m'embrasser. J'en ai beaucoup envie en tout cas... » Et je me recalais sur son torse, Peluche venant s'étaler de tout son long entre nous deux et cela me faisait terriblement rire.
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Allo Docteur!  
Je n'aimais pas quand Solveig ressentais des émotions négatives en partie a cause de moi. C'est pour cette raison que je tentais de tout faire pour la rassurer et lui faire relativiser un peu. J'allais bien, sur le coup j'ai mal c'est évident, mais je vais rapidement m'en remettre. Je vais garder les hématomes pendant quelques jours, et d'ailleurs, je pense que mon nez va un peu ressembler a une patate mais bon. C'est mieux que de l'avoir cassé non? Bah oui. Je ne doutais pas de sa capacité a se défendre, mais je me disais que Zed serait du genre a lever la main sur elle, toujours pour l'honneur de Sally. Et rien que d'imaginer la scène, j'en avais les frissons qui se dressaient sur mes bras et mon coeur qui s'emballait. Je deviendrais totalement fou.     " Je ferais attention à moi alors. Je n'ai pas envie que tu sois mal... J'ai plus envie que tu le sois. "    Et bah! C'est la journée niaiserie? C'était sincère, je me rendais compte du mal que je lui avais infligé et je m'en voulais. Car au final, je m'aperçois clairement que la rouquine n'avait pas mérité ça. Je sais que l'on ne contrôle pas forcément tout, mais il aurait fallut. Je ne me serais pas retrouvé dans une situation compliquée, et mon visage n'en aurait pas fait les frais.
Après, je ne pouvais pas me plaindre. Je me fais soigner, et nous voilà maintenant, allongés l'un contre l'autre sur le lit. J'adorais les caresses du bout des doigts sur mon bras. Je regardais le plafond en souriant simplement, et j'avais la preuve que la présidente réussissait réellement a changer mon humeur pour que je sois bien. Je sais ce que je dois faire quand le contrôle m'échappe. A ses paroles, je gardes un sourire tendre    " Alors reste contre moi. "    Si elle aime tant ça. Puisque de mon coté, c'est partagé.    " J'aime bien aussi. Et puis entre nous, je préfères te voir toi, plutôt qu'eux. "    Stop, stop, stop ! Manquerait plus qu'il devienne tout romantique. On risquerait de perdre Solveig. Mais d'un coté, j'aimais bien voir ses joues rougirent. C'est pour ça que dans le souvenir de notre soirée en boite de nuit, je fais une petite allusion a un certain moment. Elle se redresse un peu et elle pose sa bouche sur ma joue, sur le coin de mes lèvres. Et je fermes les yeux un instant avant de les ouvrir a nouveau pour les poser dans les siens. Sa réponse fait que j'affiche mes quenottes. Et mon coeur bat toujours un peu plus fort. D'ailleurs il lui arrive quoi à lui? J'allais l'embrasser, mais elle replace sa tête sur mon torse. Je pouffe furtivement de rire, et je redresse mon buste pour qu'elle en fasse de même. Au passage, je vois la petite mimine entre nous, totalement a l'aise. La maitresse se met a rire a la vue de son chat, et je tournes le visage pour ne pas perdre une miette de cette douce mélodie. Et, dans mon élan de craquement sur sa bouille, je pose ma main sur sa joue et je tournes son visage assez rapidement pour venir l'embrasser. Oui, un petit peu sauvage, mais le baiser n'en était pas moins tendre.
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