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Voyage au Népal - Maëlys

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Voyage au Népal ?



✧ 15/12/15, 11h30 ✧Maëlys & Noah


Noah était ravie d’apprendre que Maëlys aimait voyager. Et lorsqu’elle le remercia de sa proposition il sourit en la regardant avant d’ajouter : « si tu aime voyager, alors je suis le pote parfait », dit-il sur le ton de la plaisanterie sans chercher à paraitre trop insistant. Noah voyageait beaucoup, mais sans doute pas comme tout le monde. Il avait l’habitude des chauffeurs, grands hôtels, et autre. C’était la première fois là qu’il partait sans savoir où il allait dormir en arrivant. Peut-être qu’il avait besoin d’une telle aventure justement pour se prouver à lui-même qu’il pouvait se passer de tout son luxe, qu’il pouvait vivre des choses folles avec peu de moyens. Sa rupture amoureuse le faisait se questionner sur un tas de chose, et Noah en venait même à interroger son propre mode de vie. Il avait vraiment besoin d’aventure, d’une coupure, quelque chose qui change de l’ordinaire et le fasse, pour une fois enfin, respirer à fond. La conversation se poursuivit alors sur leurs origines : « Ah oui tu es anglaise ? Ce n’est pas loin d’Amsterdam en effet. Tu viens de Londres même ? J’adore cette ville et ses groupes de musiques surtout ! ». Noah était un grand fan de Radiohead, un grand fan de Pete Doherty, et de rock anglais, alors évidemment, Londres était pour lui la destination rêvée. Noah continuait de parler, de plus en plus à l’aise face à la jeune fille, tandis qu’elle savourait son petit-déjeuner : « C’est la première fois qu’on te dit ça, et moi c’est la première fois que je ressens ça pour une fille. Encore une coïncidence », dit-il en souriant, pour détendre l’atmosphère, voulant éviter de mettre Maëlys mal à l’aise. Il finit par tendre son croque monsieur à Maëlys qui en mangea un morceau avant de le lui rendre. Noah souriait plus fort encore en la regardant, riant presque – elle avait un peu de crème au dessus de la lèvre. Hésitant d’abord, il finit par se pencher vers elle et essuyer d’un coup de pouce le haut de sa bouche : « T’en avais un peu … », dit-il en souriant avant de plonger son regard dans celui de Maëlys. Elle était vraiment mignonne. L’avion se mit à bouger et Noah recula pour se réinstallait confortablement dans son siège. Il finit son croque monsieur. L’avion décollait pour de bon, et pour ne pas perturber Maëlys, il la regardait sans rien dire, juste le temps que le pilote finisse sa manœuvre et qu’ils se retrouvent enfin dans les airs.





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« Ah oui tu es anglaise ? Ce n’est pas loin d’Amsterdam en effet. Tu viens de Londres même ? J’adore cette ville et ses groupes de musiques surtout ! » oh! Je pris une mine très intéressée, parce que je l'étais. "Ah oui? J'adore Coldplay, Oasis, RadioHead.. et plein d'autres." finalement, on avait pas mal de points en commun et plus je te regardais, plus je me demandais si le destin n'y étais pas pour quelque chose.. franchement. Je croyais pas en notre destinée et tout ce genre de choses, mais je sais pas, fallait qu'on se rencontre, tu me faisais sourire, bien que tu me déstabilisais de temps à autre.. « C’est la première fois qu’on te dit ça, et moi c’est la première fois que je ressens ça pour une fille. Encore une coïncidence » ressentir ça? Fallait pas trop parler de sentiments parce que c'était chose sensible en ce moment. Je pensais trop à Wyatt et au fait qu'il était si loin, et qu'en allant au Népal, je m'éloignais encore de lui.. Mais je souriais légèrement à tes mots avant de prendre dans mes mains ton croque monsieur, sauf que je m'en mettais apparemment partout et avec ton pouce, tu me le retirais. Je te fixais, c'était trop mignon, on aurait dit un film « T’en avais un peu … » "Merci.." gênée, je m'asseyais au fond de mon siège, l'avion était en train de décoller et je ne cessais de me perdre dans ton regard, comme si tu allais me sauver ou m'apaiser.. Voilà, on était dans les airs et je souriais, apaisée. "Parles-moi de ton enfance.." on allait commencer par le commencement.
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✧ 15/12/15, 11h30 ✧Maëlys & Noah


« Impressionnant ! Je pensais que tu étais plutôt du genre à écouter The Ting Tings ou Yeah Yeah Yeahs, tous ces groupes avec des leaders féminins. Mais c’est un très bon point pour toi d’avoir cité Radiohead. Un mauvais de ne l’avoir cité qu’en troisième, mais très bon point quand même », dit-il en esquissant un énorme sourire. Donc, en prenant le temps de parler calmement avec elle il prenait conscience qu’ils avaient des points communs. Minimes pour le moment certes, mais tout de même. S’entendre sur la musique c’est déjà un bon départ. Le jeune homme ne pouvait s’empêcher de regarder avec insistance Maëlys de temps à autre. Peut-être juste pour la regarder, peut-être pour la sonder, l’analyser, ou tout simplement lui faire comprendre qu’il la trouvait très jolie sans avoir à le lui dire directement. Il y avait quelque chose qui passait entre eux. Quelque chose de très naturel, de très instinctif et spontané et ça faisait du bien. Juste, de se laisser porter par le flux et voir doucement où les choses vont. Noah essuya d’un geste du pouce la crème que Maëlys s’était mise au dessus de la lèvre et il répondit à son merci par un sourire. Il ne voulait pas se montrer trop entreprenant ou ambigüe. D’autant qu’il s’était déjà essayé à la draguer et ça n’avait pas donné grand-chose. Non là il préférait miser sur l’amitié, un truc simple pourvu que ça fasse du bien, comme ce voyage. Maëlys était mignonne à voir pendant le décollage. L’air perdu d’un chat effrayé, ou de l’enfant qui attend avec impatience que son supplice termine. Il ne put s’empêcher de rire légèrement la taquinant du regard. Enfin, ils étaient dans les airs, Noah demanda un verre d’eau au serveur avant de reporter son attention sur Maëlys qui posait une question sur son enfance. Difficile d’en parler, difficile de faire court : « Mon enfance ? …. », Reprit-il avant de s’installer plus confortablement dans son siège. Il marqua un court temps de pause avant de regarder Maëlys dans les yeux sérieux. Pour voir s’il pouvait lui faire confiance. Il était convaincu qu’il pouvait alors il dit : « Je ne pense pas que ce soit le sujet le plus passionnant de la terre mais … j’ai eu une enfance plutôt privilégiée. Je n’ai jamais manqué de rien, j’ai toujours eu tout ce que je voulais. Mon père était … disons assez dur dans son éducation. Mais, dieu merci j’avais des frères et sœurs avec qui passer le temps. Et …. Je ne sais pas en fait. Je ne sais pas quoi dire, c’est compliqué de parler de soi-même je trouve », il attrapa le verre d’eau que le serveur lui tendait et en bu quelques gorgées avant de le poser sur la table : « Tu qualifierais ton enfance d’heureuse toi ? Je veux dire … est-ce que le fait d’avoir eu tout ce que je voulais signifie forcément que mon enfance était heureuse ? »





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« Impressionnant ! Je pensais que tu étais plutôt du genre à écouter The Ting Tings ou Yeah Yeah Yeahs, tous ces groupes avec des leaders féminins. Mais c’est un très bon point pour toi d’avoir cité Radiohead. Un mauvais de ne l’avoir cité qu’en troisième, mais très bon point quand même » c'était pas forcément mis dans l'ordre de mes préférences mais c'était sympa de voir qu'on avait des points en commun. C'était certainement pas pour rien que tu me perturbais autant et que tu m'intriguais surtout, t'avais une carapace, c'était certain.. Je t'offrais quand même un sourire à tes mots. Puis l'avion décolla et pendant un instant, j'étais un peu crispée mais ça allait, tout va bieeeeen! Pour changer de conversation et se pencher un peu plus sur toi, j'te demandais de me parler de ton enfance, le commencement de tout quoi, au final. « Mon enfance ? …. » j'hochais positivement la tête en buvant une gorgée de mon café, te regardant. « Je ne pense pas que ce soit le sujet le plus passionnant de la terre mais … j’ai eu une enfance plutôt privilégiée. Je n’ai jamais manqué de rien, j’ai toujours eu tout ce que je voulais. Mon père était … disons assez dur dans son éducation. Mais, dieu merci j’avais des frères et sœurs avec qui passer le temps. Et …. Je ne sais pas en fait. Je ne sais pas quoi dire, c’est compliqué de parler de soi-même je trouve » tu avais l'air si perdu quand tu parlais de ton enfance ou même de toi, s'en était déconcertant. « Tu qualifierais ton enfance d’heureuse toi ? Je veux dire … est-ce que le fait d’avoir eu tout ce que je voulais signifie forcément que mon enfance était heureuse ? » tu ramenais le sujet sur moi pour fuir certainement quelques point de ta vie, enfin.. j'pense. J'haussais alors les épaules, on allait parler philosophie là, ça changeait un peu. "J'ai eu une enfance très heureuse oui. Et heureuse pas parce que j'avais ce que je voulais parce que c'était pas forcément le cas.. Enfin.. Mes parents sont vétérinaires, ils ne sont pas à plaindre mais pas riches non plus. Ils m'ont appris la valeur des choses. Mais j'ai été comblée.. d'amour, vraiment." je continuais de te regarder en disant ça, pour répondre à ta question "Donc non, j'pense pas qu'en ayant tout ce qu'on veut, on peut dire que l'on est heureux. Ce sont les choses immatérielles les plus chères et les plus importantes dans la vie d'un homme.." wouah, je parlais vraiment comme ça avec toi là?
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✧ 15/12/15, 11h30 ✧Maëlys & Noah


L’avion avait finalement décollé et les deux jeunes gens se retrouvaient à papoter dans les airs. C’était étrange la tournure que prenaient les choses. Pas désagréable, loin de là, mais étrange. Il ne pensait pas se retrouvait avec Maëlys dans un tel degré de complicité. Lorsqu’elle commença à l’interroger sur son enfance, Noah hésita quelques secondes, voulant d’abord sonder les yeux de la jeune fille pour voir s’il pouvait lui faire confiance. Parler de son enfance était quelque chose de difficile. Il y avait plein de choses qu’il n’avait jamais dit à personne, en général il restait très superficiel sur le sujet : oui j’ai eu tout ce que je voulais et je portais des costumes à treize ans, qu’est ce que je peux en dire de plus ? Et s’il avait ce réflexe d’autruche, c’était pour masquer des choses plus sombres. Il était en réalité très mal à l’aise avec sa vie, très mal à l’aise avec tout ce qu’il était, et avait une peur phobique d’être jugé sur son passé. Après quelques secondes, il entama la discussion. De manière très superficielle, une fois de plus, peu enclin à lâcher sa carapace. C’était difficile après tout de se montrer tel qu’on était vraiment, tel qu’on a été vraiment construit ! Et avec l’adresse d’un joueur de tennis, il renvoya la balle à Maëlys qu’il lui parlait de son enfance à son tour. Vétérinaires, c’était une bonne situation. Ce qui le fit réfléchir un peu plus, c’est le fait qu’elle insiste sur le fait qu’elle était entourée d’amour. Cela expliquait sans doute sa douceur et son assurance. Du moins c’est ce qu’il pensa. Jusqu’à finalement se dire que leurs deux vies étaient très différentes. L’amour était un sujet tabou chez lui, surtout du côté de son père. Pour ce dernier, c’était un truc « de faibles et de femmes » selon ses propos. Les hommes, les vrais, devaient fonctionner qu’à l’intérêt. Noah avait grandit dans cette absence d’humanité : son père n’avait jamais été tendre, pas même avec sa femme. Noah vouvoyer même ses parents ! « T’as de la chance … je veux dire, peu de personnes peuvent se vanter d’avoir été … « comblées », surtout d’amour ». Il haussa légèrement les épaules avant de reprendre : « Alors non. On ne peut pas dire que j’ai eu une enfance heureuse. Tu sais … chez moi, avant d’être Noah, je suis un d’Aremberg. Mon père me voit plutôt comme un investissement sur l’avenir ou un blason familial. J’ai toujours eu tout ce que je voulais de matériel mais … si je veux être franc avec toi, je sais que ça ne fait pas tout. Mon père a toujours eu dans l’idée de faire de moi « un homme, un vrai », comme il disait. Du coup il était plutôt dur et … ». Noah leva les yeux vers Maëlys, avant de soupirer un coup et de lui dire, lui livrant un de ses secrets les mieux gardés : « plutôt violent même ». Il marqua un temps de pause réalisant qu’il venait de se confier totalement à elle et repris : « Les gens se demandent souvent pourquoi je suis couvert de tatouages ». Il releva la manche de sa chemise laissant apparaitre son avant-bras et vint s’asseoir à côté de Maëlys pour le lui montrer de plus prés : « Ce ne sont pas que des tatouages … », il dessinait du bout des doigts les courbes de ses tatouages avant de montrer des cicatrices qui apparaissaient sous l’encre bleue. Des cicatrices de brulures de cigarette qu’on pouvait deviner, de marques de coups de ceintures, etc. Il baissa la manche de sa chemise avant de lever les yeux vers Maëlys : « Je suppose que dans la vie on ne peut pas tout avoir », dit-il en haussant les épaules.




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Te demander de parler de ton enfance c'était peut-être osé parce que c'était un sujet délicat, et quelques fois, tout partait de là-bas, de l'enfance. Les plus gros traumatismes dans la vie d'un homme remontait la plupart du temps à l'enfance.. Mais tu arrivais à te dévoiler et me raconter des choses, me demandant aussi mon avis sur le fait d'avoir tout eu, est ce que ça rendait heureux? Je ne pensais pas personnellement, et je mettais en avant le côté plus sentimental de la famille. « T’as de la chance … je veux dire, peu de personnes peuvent se vanter d’avoir été … « comblées », surtout d’amour » pour moi, c'était juste inconcevable de ne pas avoir des liens fusionnels avec sa famille et de ne pas avor reçu l'amour nécessaire en étant enfant. « Alors non. On ne peut pas dire que j’ai eu une enfance heureuse. Tu sais … chez moi, avant d’être Noah, je suis un d’Aremberg. Mon père me voit plutôt comme un investissement sur l’avenir ou un blason familial. J’ai toujours eu tout ce que je voulais de matériel mais … si je veux être franc avec toi, je sais que ça ne fait pas tout. Mon père a toujours eu dans l’idée de faire de moi « un homme, un vrai », comme il disait. Du coup il était plutôt dur et … » tes mots me firent mal, vraiment.. Tu ne montrais rien sur ton visage, tu restais de marbre mais tu devais en souffrir. « plutôt violent même » la suite me brisait le coeur et j'avalais ma salive en te regardant. Tu te confiais à moi comme dans un livre ouvert et j'trouvais ça super.. Même si j'aurais préféré que tu me racontes des trucs plus joyeux. "Je.. j'suis désolé.." que dire de plus? Tu continuais ensuite « Les gens se demandent souvent pourquoi je suis couvert de tatouages » j'adorais ton style, et tes tatouages faisait partie intégrante de ta personne, j'aimais beaucoup. « Ce ne sont pas que des tatouages … » tu vins t'asseoir à tes côtés pour me montrer tes bras, et c'est vrai qu'en regardant bien, derrière tous les tatouages se cachait des cicatrices.. J'avalais à nouveau ma salive en fixant tes bras, puis je relevais mon regard au tien "Et.. tu es venu à Harvard pour t'éloigner de tout ça?" je l'espérais, parce que ton père ne te méritait pas! Comment on pouvait appeler ça un parent, franchement? « Je suppose que dans la vie on ne peut pas tout avoir » tu retrouvais ta place et je secouais la tête pour dire non, révoltée "Dis pas ça, t'es jeune, et t'as une nouvelle vie qui va commencer. T'auras ce que tu veux vraiment, personne t'en empêchera. Il le regrettera.. tout se paie un jour ou l'autre."
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✧ 15/12/15, 11h30 ✧Maëlys & Noah


Noah, qui avait plutôt l’habitude de rester secret sur sa vie, son passé, sa famille, se surprenait lui-même à se dévoiler avec autant de sincérité. Pourquoi là, comme ça ? Il n’en savait rien. Le trop plein d’émotions qui l’avait tiraillé ces derniers temps le rendaient presque méconnaissable. C’est d’ailleurs ce qui l’avait poussé à partir au Népal pour prendre un peu l’air, accompagné de Maëlys. Il se sentait bien avec elle, du moins, c’est l’impression qu’il avait. Elle était douce malgré les quelques frasques qu’ils avaient traversé ensemble et … il n’en savait rien. C’était comme ça. Peut-être que tout partait effectivement de là, qu’il fallait qu’il commence à se dévoiler, à s’exprimer, pour enfin faire sortir de lui toute la colère et l’angoisse qui le tenait prisonnier. C’est avec une confiance fortuite déconcertante qu’il se mit à se livrer à Maëlys, lui expliquant ses tatouages, et révélant l’un de ses secrets les plus enfouis et les plus sordides. Que penseraient les gens en Europe du grand duc d’Aremberg s’ils apprenaient qu’il battait son fils ? Le plus terrible dans tout cela, c’est que ça ne s’était jamais arrêté. Quelques fois, des gifles s’égaraient, un coup de poing même avant son départ pour Harvard quand Noah refusa d’intégrer l’Eliot. Surprenant n’est-ce pas ? Noah était le pantin de son père, il en faisait littéralement tout ce qu’il voulait, régissant toute sa vie, de ses cours à ses fréquentations. S’il avait pu choisir, sans doute Noah aurait-il préféré grandir dans un milieu plus modeste et avoir ce que Maëlys semblait décrire : une vie de famille heureuse, et beaucoup d’amour. Assis à côté d’elle, il sentit qu’il la mettait mal à l’aise et s’en voulait presque : « Ne sois pas désolée, tu n’y es pour rien, personne n’y es pour rien ». Dit-il avant de poursuivre, en riant légèrement face à l’ironie de son sort : « Non pas vraiment. Je suis venu à Harvard parce que mon père l’a exigé, c’est la coutume familiale qui veut ça. Mais j’avoue que ça me fait du bien d’être loin de lui quelques mois dans l’année, même s’il trouve toujours le moyen de me torturer, même à distance. Mon père est assez … tyrannique dans son genre. Tout ce que je fais doit dépendre de son bon vouloir, il a choisit mes cours, la maison que je devais intégrer et … bref, ce n’est pas si important ». Il baissa la manche de sa chemise avant de reprendre : « Je crois que si je me la joue aussi arrogant et … con même, parfois. Souvent en fait. C’est pour tenir les gens à une distance de sécurité. Tu vois, toi t’as été entouré de tes parents, tu sais ce que c’est de pouvoir faire confiance à quelqu’un. Moi, j’essaye d’apprendre. Maladroitement, mais j’essaye … ». Il leva les yeux vers Maëlys : « Bref, tout ça pour dire que je ne cherche pas à justifier le comportement que j’ai eu avec toi mais … je suis désolé. Et je suis content, vraiment content d’être là avec toi …. ». Il la regardait encore une fraction de seconde dans les yeux avant de retourner s’asseoir à sa place. Ça faisait beaucoup de révélation en peu de temps, le moment était venu de passer à des choses un peu plus joyeuse : « C’est quoi que tu veux vraiment toi ? Je veux dire, en venant à Harvard, ou dans la vie. C’est quoi que tu recherche ? »




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« Ne sois pas désolée, tu n’y es pour rien, personne n’y es pour rien » oui mais quand même.. Enfin, personne ne mérite pas, je ne pense pas. Ca me touche cette situation. Je comprendrais si tu étais venu à Harvard pour t'éloigner de toute cette mauvaise ambiance « Non pas vraiment. Je suis venu à Harvard parce que mon père l’a exigé, c’est la coutume familiale qui veut ça. Mais j’avoue que ça me fait du bien d’être loin de lui quelques mois dans l’année, même s’il trouve toujours le moyen de me torturer, même à distance. Mon père est assez … tyrannique dans son genre. Tout ce que je fais doit dépendre de son bon vouloir, il a choisit mes cours, la maison que je devais intégrer et … bref, ce n’est pas si important » je déglutissais en te fixant, j'en perdais presque mes mots. « Je crois que si je me la joue aussi arrogant et … con même, parfois. Souvent en fait. C’est pour tenir les gens à une distance de sécurité. Tu vois, toi t’as été entouré de tes parents, tu sais ce que c’est de pouvoir faire confiance à quelqu’un. Moi, j’essaye d’apprendre. Maladroitement, mais j’essaye … » fronçant les sourcils "Faut.. que quelqu'un t'aide à sortir de tout ça. A vivre vraiment, pleinement.." fallait peut-être que tu tombes amoureux d'une fille qui te fasse profiter de la vie. Que tu sois heureux. « Bref, tout ça pour dire que je ne cherche pas à justifier le comportement que j’ai eu avec toi mais … je suis désolé. Et je suis content, vraiment content d’être là avec toi …. » moi aussi j'étais contente, j'allais m'échapper de mon quotidien. "J'suis ici aussi parce que j'en avais envie, merci encore.. ça va être cool, j'le sens." et là, tu me demandais, curieux « C’est quoi que tu veux vraiment toi ? Je veux dire, en venant à Harvard, ou dans la vie. C’est quoi que tu recherche ? » haussant les épaules, je te répondais simplement et calmement "Faire mes études. J'ai eu la chance d'être prise à Harvard donc j'vais tout donner.. J'veux réussir mes études et devenir pédiatre. J'sais pas si je resterais ici par contre, peut-être que je retournais vivre à Londres dans le futur." t'offrant un fin sourire, j'voyais que tu n'étais déjà plus la même personne que j'avais connu dans le parking sous-terrain.
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