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Amnésie et panique à bord ! - Bonaventure

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Il était maintenant 4 heures du matin. Toi et Bonaventure vous étiez plus que soûl. Vous aviez dût prendre un taxi pour se rendre chez toi parce que vous n’étiez plus en état de conduire et vous étiez des gens responsable. Tu l’avais invité à rentrer chez toi parce qu’il fallait que tu te l’avoue, tu étais un peu sur les nerfs depuis que la lumière s’était fermée au party chez les Lowell. Oui, tu avais réussis à te détendre un peu avec la fin du jeu je n’ai jamais et avec toute l’alcool que tu avais ingurgité. Sauf que tu savais que tu risquais de te coucher en boule dans la chambre de Skylar si tu entrais dans ton appartement toute seule. Bonaventure savait un peu que tu avais perdu ton bébé, qu’elle était décédée dans ton accident de voiture. Toutefois, tu ne l’avais jamais laissé entrer chez toi. Il ne savait pas que tu avais gardé la chambre de ton bébé intacte. Il ne savait pas non plus que tu avais un petit lit de fait sur le sol de sa chambre pour que tu puisses y dormir quand tu le voulais, c’est-à-dire à quasiment tous les soirs. Sauf que tu étais trop soûle pour t’en rendre compte. Il ne le verrait peut-être pas et si jamais il te posait des questions, tu répondras comme tu le pouvais. Lorsque tu entras dans ton appartement, tu te pris les pieds dans le tapis d’entré, mais tu réussis à rester debout. Tu regardas Bonaventure avec un petit sourire. « Je ne sais pas toi, mais j’ai trop faim. » Tu ouvris la porte du réfrigérateur et tu ne trouvas rien. Tu ouvris celle du congélateur et trouva une pizza congelée. Tu te retournas et la montra à ton ami avec un grand sourire au visage. « J’ai trouvé un trésor ! » Tu pris une plaque pour la mettre sur la pizza, alluma le four et mit votre repas à l’intérieur de celui-ci. Tu te retournas vers Bonaventure. « Ça va être prêt dans trente minutes. » Tu n’avais pas attendu que le four soit préchauffé avant de mettre ta pizza dans le four, mais tu t’en foutais, tu n’étais plus en état de te rendre compte de ce que tu faisais. Tu mis alors de la musique. Tu avais beaucoup trop faim pour aller manger.
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Adaline & Bonaventure
La soirée chez les Lowell avait été à la fois une réussite et une horreur. Bonaventure s'était amusé comme jamais mais les agissements de Nemesis avait gâché une bonne partie de la soirée. Il était certain que c'était cette espèce de groupuscule anti-confrérie, il donnerait sa main à couper. Toutefois, à cet instant précis, il était loin d'avoir les idées claires. Au contraire, il était même plus que saoul, rigolant bêtement pour un rien. Le pire, c'est que son côté gros nounours câlin et affectueux revenait sur le devant de la scène si bien qu'il ne lâchait pas d'une semelle, son amie Quincy. Il voulait bien jouer les bouillottes pour elle afin de la rassurer ! Son chevalier servant serait tout trouvé songea-t-il non sans s'imaginer dans une armure grotesque. Cela lui fit penser à ce héros dans la quête d'Ewilan. Bonaventure avait toujours aimé cette histoire française parce qu'il se reconnaissait beaucoup en Salim -en même temps, son véritable prénom était Salim. "Attention, va pas te rompre le cou" pouffa-t-il en l'aidant à se redresser alors qu'elle s'était prise les pieds dans le tapis. Oui, il était vraiment ivre. Aussi la suivit-elle, sans trop accorder d'attention à ce qui l'entourait pour la simple et unique raison que sa vision était particulièrement floue. "Tiens, maintenant que tu me le dis... j'ai faim" répondit-il, en frottant son ventre. Il aurait pu manger une vache entière mais il se contenterait d'une pizza surgelée. "Tu vas rire mais... je te vois un peu en double" rigola-t-il en s'asseyant sur un tabouret...enfin en tentant de s'asseoir car il visa mal et se retrouva le cul par terre. "Méchant tabouret ! Adaline...ton truc est méchant avec moi" grogna Bonaventure en se relevant tant bien que mal. Entre temps, son amie avait mis de la musique et il se mit à fredonner la chanson, ballotant sa tête de droite à gauche. "J'ai le titre sur le bout de la langue mais m'en rappelle plus... c'est quoi la musique que tu as mise?"

electric bird.
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Tes angoisses avaient disparues avec l’alcool. Le fantôme de Skylar avait disparu l’instant de quelques heures. Pour la première fois depuis longtemps, tu avais été cette étudiante insouciante que tu ne te permettais pas d’être. Tu avais laissé tomber cette femme qui avait toujours peur de faire quelque chose de mal, qui gardait des séquelles psychologiques de la guerre et de son accident. Tu avais été différente et cela t’avait fait du bien. Pourtant, le lendemain matin, tu allais t’en vouloir. Tu allais te sentir comme une mère indigne d’avoir laissé tomber le souvenir de ton bébé l’espace de quelques heures. Lorsque tu allais en parler avec ta thérapeute, tu savais qu’elle allait te dire que tu avais bien fait, qu’il fallait que ce genre de chose arrive plus souvent, mais tu ne pourrais pas le reproduire plus que deux ou trois fois par année. Non, Skylar te manquait trop. Puis, tu vis Bonaventure tomber en bas du tabouret. Enfin, tomber était un grand mot puisqu’il n’était même pas assis dessus. Il s’était contenté de se laisser tomber par terre. Tu te mis à rire à grand éclat. « Non, c’est toi qui n’est pas habile. » Tu les aimais ces tabourets. Tu ne pouvais tout de même pas croire que c’était eux qui faisaient du mal à tes invités. C’était certainement de la faute à Bona s’il était tombé. « Pose tes fesses sur mon canapé. Tu ne pourras pas le raté celui-là. » Tu avais la bouche un peu pâteuse et tu mâchais un peu tes mots. « J’vais mettre mon pyjama, je reviens. » Lorsque tu te mis en marche, tu l’entendis te demander c’était quoi la chanson. Tu te mis à te dandiner quelques secondes. « C’est uptown funk ! Un chef d’œuvre cette chanson. » Puis, tu te dirigeas vers ta chambre. Tu n’eus pas le temps de t’y rendre. Tu posas ton regard dans la chambre de Skylar et ce fût comme si on t’avait administré un coup de poignard en plein poitrine. Pourquoi avais-tu laissé la porte grande ouverte avant de partir pour la fête ? Si tu l’avais refermé, tu n’aurais pas réagi comme cela. Tu te serais contentée de détourner le regard et de passer ton chemin. Mais non, il avait fallu que tu regardes le berceau, que ais un flash. Tu avais vu ton bébé couché, en train de dormir. Mais elle n’était pas là. Tu étais figée devant la chambre de Skylar, les larmes roulants sur tes joues. Tu en avais oublié la présence de Bonaventure dans ton appartement.
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Adaline & Bonaventure
« Je te jure que c’est ton tabouret! Il a bougé au dernier moment le fourbe » râla Bonaventure en se levant tant bien que mal mais pas évident de relever sa carcasse alors qu’il était complètement ivre. Heureusement qu’il était chez Adaline et non en public. Il n’imaginait pas la réaction de son père s’il apprenait dans les journaux que son fils avait été arrêté pour ivresse sur la voix publique. Suivant le conseil de son amie, il se dirigea vers le canapé où il se laissa choir en fermant les yeux. Il attendit donc qu’Adaline aille mettre son pyjama mais rapidement, il comprit qu’il y avait un souci. Il avait beau être beurré comme un petit Lu, il sentait qu’elle mettait bien trop longtemps à enfiler son vêtement de nuit. « Dada ? »l’appela-t-il de ce petit surnom familier qui n’appartenait qu’à eux. Bonaventure se releva péniblement, prenant quelques secondes avant de faire un premier pas tant sa tête lui tournait. « Adaline, ça va ? » l’appela-t-il à nouveau.

Machinalement, il se dirigea vers sa chambre quand il l’aperçu dans une autre pièce. Elle semblait en proie à une vive douleur qu’il comprit aussitôt le pied dans les lieux. Une chambre d’enfant. La chambre de sa fille. « Oh Adaline… » murmura-t-il en s’approchant pour mieux la prendre dans ses bras, couvrant son front de baisers. « Je suis là, ça va aller » lui dit-il en continuant de la bercer contre son torse, l’entourant de toute la tendresse dont il était capable. Pour le coup, il en aurait presque dessaoulé tant voir son amie ainsi lui déchirait le cœur. « Ne reste pas devant cette chambre, tu ne fais que te faire du mal »
electric bird.
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Tu te mise à rire lorsque ton ami t’annonça que c’était vraiment ton tabouret qui avait tout mis en œuvre pour le faire tomber par terre. Tu n’étais pas soûle au point de le croire, mais tu trouvais tout ça très drôle. Puis, le fait d’être soûle te fit vivre tes émotions de manière exponentielle. Habituellement, tu réussissais à te contrôler lorsque tu avais des invités, tu réussissais à t’amuser et à oublier pendant quelques instants Skylar. Sauf que lorsque tu étais soûle, tu avais toujours ton moment où tu devenais très émotive. Il n’aurait pas fallu que tu laisses la porte de sa chambre ouverte. Si elle avait été fermée, tu ne te serais même pas arrêté devant elle et la soirée aurait continué à bien se dérouler. Puis, tu entendis la voix de ton ami. Bonaventure venait de te trouver dans la chambre de ton bébé. Tu te retournas vers lui. Tu t’attendais à retrouver de la pitié dans son regard, de la peur. Tu ne voulais pas qu’il te trouve folle parce que tu avais tout conservé comme lorsqu’elle était vivante. Tu n’étais pas capable de changer la décoration. Tu voulais la conserver avec toi. Tu avais trop peur de l’oublier… Lorsqu’il t’annonça qu’il était avec toi et que tout allait bien aller, tu te mis à hocher la tête de gauche à droite. « Rien ne va aller. Je ne suis pas capable de continuer comme ça. » Puis, tu fermas les yeux, essaya d’arrêter les larmes qui roulaient sur tes joues. Tu en essuyas une partie. « Je suis pathétique. » Tu voulais te livrer à lui. Tu n’en parlais quasiment jamais. Vous étiez proche l’un de l’autre, mais tu étais souvent discrète lorsqu’il venait le temps de parler de toi. « Je ne suis même pas capable de changer la décoration ici… Tu vois comment c’est pathétique ? » Tu aurais voulu pouvoir écouter ta thérapeute. Tu aurais voulu pouvoir changer le fait que tu ais besoin de voir que sa chambre était encore intacte pour savoir qu’elle n’avait pas été le fruit de ton imagination. Soudainement, un gros mal de tête apparut. Effet secondaire de ton traumatisme crânien. Tu passas ta main dans ton front. Tu espérais vraiment qu’il disparaisse aussi vite qu’il avait apparu.
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Oublié toute cette histoire de tabouret, d’éclat de rire. Bonaventure venait de dessaouler à vitesse grand V en voyant les larmes de son amie s’écouler sur ses joues. Il ne pouvait pas comprendre la douleur que c’était de perdre un enfant mais il savait ce que c’était de perdre quelqu’un, ce sentiment de culpabilité. Bonaventure ne passait pas un seul jour sans penser à Jarod, l’un de ses meilleurs amis. Mort par sa faute lors des attentats. Son ami n’aurait jamais dû se trouver à cet endroit. Il y avait été poussé par la mauvaise humeur de Bonaventure car il avait voulu savoir ce qu’il se passait ; il avait eu envie de l’aider et le métisse n’avait fait que le rejeter dans sa colère. Depuis, il ne se passait pas un seul jour sans qu’il se sente coupable, sans qu’il se dise que s’il avait pris le temps de rassurer son meilleur ami, s’il avait pris ne serait-ce qu’un peu sur sa colère pour se tourner vers lui et lui dire que tout allait bien… Jamais Jarod ne l’aurait suivi et il serait toujours en vie. « Arrête, tu n’es pas pathétique ! Tu es une mère qui a perdu son enfant, tu es loin d’être pathétique, ne sois pas si dure envers toi-même » lui dit-il tout en continuant de la bercer dans ses bras pour tenter de la réconforter.

« Peut-être que tu n’es pas encore prête à lui dire au revoir tout simplement… Ce n’est pas être pathétique mais être en souffrance. Rien n’est plus dur de faire le deuil d’une personne qui n’aurait jamais dû nous survivre, laisse toi aller, tu as le droit de pleurer, il n’y a aucune honte à cela » continua-t-il toujours avec la même douceur. « Allez viens, tu as besoin de t’allonger » lui dit-il en la poussant à sortir de cette chambre d’enfant.

Spoiler:

electric bird.
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Tu étais dans les bras de Bonaventure et ça te faisais du bien. Cela faisait longtemps que tu n’avais pas sentie de la chaleur masculine, que des bras t’avaient enlacé. Vous n’étiez que des amis toi et Bonaventure, mais sa présence te faisait du bien. Il avait réussi à t’apaiser assez rapidement. C’était rare que tu ne passes pas des heures et des heures à pleurer ton bébé lorsque tu t’y mettais, mais ce soir-là, tu n’avais pas fait de grosses crises. Il avait réussi à te faire comprendre que ta réaction était normale et cela t’avait fait du bien. Dans ses bras, tu avais réussis à apaiser tes larmes. Il t’annonça alors que tu n’étais juste pas prête à faire les changements et que c’était normal parce que la perte était encore fraîche. Tu te sentais prête à éclater à tout moment encore. Il ne fallait pas que tu restes dans la chambre de ton bébé, il fallait que tu sortes pour mettre ça derrière toi. La plupart du temps, c’était toi qui prenait soin de Bonaventure, qui lui faisait des massages pour atténuer la douleur de sa jambe, mais ce soir-là, les rôles étaient inversés et cela te faisait du bien de voir qu’il y avait des gens sur qui tu pouvais compter. Tu prenais trop soin des autres et pas assez de toi. Quelques fois, cela faisait du bien de te laisser dorloter. Tu étais toujours dans ses bras et tu te laissais bercer tranquillement. « Merci Nana. Merci d’être là pour moi… » Ce petit surnom, il t’appartenait. Il n’y avait que toi qui l’appelais comme cela et tu savais que tu n’avais pas intérêt à le dire en public. Il t’annonça alors qu’il fallait que tu aille t’allonger, que tu en avais besoin. Tu le laissas te sortir de la chambre, t’amener dans la tienne. Soudainement, une odeur envahi tes narines. « La pizza ! » Tu sortis de ta chambre en courant, te cognant contre le mur à quelques reprises. L’alcool rendait tes pas un peu erratique. Tu ouvris la porte du four et vit qu’elle était cuite à point. Tu la sortis alors et la posa sur le comptoir, par-dessus un petit linge pour le protéger de la chaleur. « C’est le temps de manger ! On est chanceux qu’elle n’ait pas brûlée ! » La pizza et la peur de passer au feu t’avait enlevé ta tristesse de la tête. C’était aussi un effet secondaire de ton traumatisme crânien : tu changeais d’émotion aussi vite qu’un bipolaire et tu avais des pertes de mémoire assez importante. Par chance que l’odeur de la nourriture t’avait rappelé que tu avais quelque chose dans le four !
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« Je serais toujours là pour toi ma puce »lui répondit Bonaventure qui ne pouvait s’empêcher de s’inquiéter pour son amie. Il ne savait pas ce que cela faisait de perdre un enfant mais il connaissait la culpabilité de perdre un être cher qui n’aurait jamais dû nous survivre. Jarod lui manquait à chaque instant mais que devait ressentir Adaline vis-à-vis de son enfant ?! Il n’osait pas l’imaginer. Il espérait juste qu’elle soit bien entourée et que le père de l’enfant la soutienne dans toute cette histoire. D’ailleurs, il ne lui avait jamais demandé qui était le père ni encore moins la relation qu’elle entretenait avec lui. Il allait la faire sortir de la chambre quand elle s’exclama au sujet de la pizza. Un peu interloqué par ce changement de comportement, Bonaventure la suivit à nouveau dans la cuisine où elle l’invita à manger. « Tout va bien Dada ? » lui demanda-t-il toujours étonné. C’était tout de même étrange non ?! Bonaventure l’aida à mettre la table, tout de même heureux de ce revirement. « N’empêche, je crois que je suis pas prêt de retoucher à l’alcool, ça donne trop mal à la tête » se plaignit-il.

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Tu étais la reine des revirements de situation. Tu ne t’en rendais pas toujours compte. Sacré traumatisme crânien… Ton médecin t’avait averti au sujet des sauts d’humeur et des trous de mémoire. Lorsque tu oubliais quelque chose, tu détestais, tu te fâchais. Sauf que tu ne te rendais pas toujours compte de tes fameux sauts d’humeur. Ça arrivait comme ça arrivait et tu ne pouvais rien faire pour les empêcher. N’empêche que cela arrivait de moins en moins souvent, mais tu savais que ça pouvait être un peu déroutant pour ceux qui en étaient témoin. Cette fois-ci, tu ne t’en avais pas vraiment rendu compte. Lorsque Bonaventure t’approcha et te demanda si tu allais bien, tu arrêtas ce que tu faisais complètement. Tu avais honte d’être passé autant du coq à l’âne. « J’ai encore eût un de ces sauts d’humeur assez incroyable hein ? Désolé… C’est à cause de l’accident… » Tu étais devenu un peu maussade, mais tu ne craquas pas. Tu avais épuisé toutes tes forces à faire ta crise dans la chambre de ton bébé. Tu étais soûle, épuisée et tu avais faim. Tu n’avais pas d’énergie à mettre sur autre sentiment. Tu sortis la pizza du four, prit la roulette pour la couper et donna une énorme part à ton ami. Il t’annonça alors que l’alcool donnait trop mal à la tête pour en reprendre. Tu t’assis alors à côté de lui. « Je suis d’accord avec toi. On devrait essayer la drogue. Peut-être qu’on aurait moins des gros effets de lendemain de veille. » Et tu ricanas. Tu n’étais pas sérieuse avec ce que tu avançais. Tu voulais juste détendre l’atmosphère. Tu savais que tu avais réussis à tout gâcher avec ta crise de larmes et ton petit saut d’humeur. Tu voulais que Bonaventure se sente bien avec toi et qu’il ne soit pas sur ses gardes, à toujours avoir peur que tu fasses une crise monumentale. Non, ce n’était pas ton genre. Tu essayais toujours de les atténuer le plus possible quand tu le pouvais. Tu te levas et fit couler deux verres d’eau, manqua te prendre les pieds dans le tapis en revenant et les posa sur la table. « Pour l’instant, je crois que ça nous fera du bien. » Tu pris une bouchée de la pizza. Le dessous était un peu dur, ayant passé trop de temps dans le four. « Ce n’est vraiment pas la meilleure pizza du monde… »
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Adaline & Bonaventure
« Tu n’as pas à t’excuser voyons… Disons que c’est assez surprenant d’assister à un tel revirement mais je comprends… Tu as encore des séquelles de ton accident ? »lui demanda-t-il avec douceur car il ne voulait pas lui faire revivre de tristes événements mais son inquiétude vis-à-vis de son état de santé le poussait à lui poser cette question. Bonaventure avait toujours été du genre à se montrer trop protecteur envers ses proches. Adaline lui était chère et il espérait réellement qu’elle s’en sorte même s’il savait que le chemin était long. La perte de son enfant était une épreuve terrible mais peut-être qu’un jour, arriverait-elle à en faire le deuil. C’était tout ce qui lui souhaitait, d’être heureuse. Toutefois, lorsqu’elle lui proposa en plaisantant d’essayer la drogue, il ne put s’empêcher de tousser comme pour évacuer une nouvelle tension. Beaucoup de personnes ignorait qu’il avait eu des problèmes avec la drogue -du moins avec les médicaments ; et c’était très bien comme ça. Bonaventure avait suffisamment honte comme cela pour s’épancher sur la question. « Je crois qu’on va commencer par plus gentil… pourquoi pas faire une overdose de bonbons ? ça c’est cool les bonbons surtout ceux qui piquent sur la langue »rigola-t-il pour changer de sujet mais sa petite phrase l’avait ébranlé, il devait bien le reconnaitre. La pizza servie et les verres d’eau sur la table, le jeune homme commença à déguster sa part quand il dissimula très mal sa grimace de dégout. « Disons que j’ai connu des pizzas meilleurs mais vu notre état, c’est encore un exploit qu’elle soit mangeable ! Quand je pense qu’on a joué à la bouteille. C’était vraiment une bonne soirée, tu ne trouves pas ? J’espère juste que Fatou ne me collera pas trop au corps » avoua-t-il avec dérision.
electric bird.
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