Une fin de soirée mouvementée. PV.

Une fin de soirée mouvementée ✩

Eun & Paris

Paris était en retard et Eun devait forcément l’attendre avec impatience. Cette dernière avait accepté de le dépanner à la dernière minute en lui accordant une soirée de babysitting. Il s’était promis donc de tout faire pour rentrer à l’heure mais manque de bol, il y avait eu un rappel au dernier moment. Bon sang, elle allait l’envoyer paitre la prochaine fois qu’il lui demanderait un tel service. Peut-être était-il temps qu’il se trouve une véritable nourrice à temps plein mais vu le prix que ça lui couterait, cette ambition resterait un fantasme des plus doux. « Désolé, je suis en retard » fit-il dès qu’il arriva dans le petit studio où il habitait avec ses frères. La place manquait si bien qu’il avait dû mettre des lits de camps un peu partout. « Cela a été ce soir ? Tu n’as pas eu de problèmes à les coucher ? » lui demanda-t-il en enlevant sa veste après avoir posé son sac de sport non loin de la porte d’entrée. « J’ai apporté italien ce soir, ça te dit de partager un repas ? Pour me faire pardonner du retard » lui proposa-t-il avec une expression de cocker battu et abandonné dans un refuge. D’ordinaire, Paris ne serait jamais tombé aussi bas mais Eun lui sauvait régulièrement la mise en acceptant des petites soirées babysitting.

electric bird.

Faire du babysitting à la dernière minutes pour mon petit garagiste, ce n'était pas un réel problème, j'adorais sa fratrie, ils étaient adorable. J'aurais bien aimé avoir des frères aussi gentils, le mien ne faisait que me pourrir la vie. Puis, je pouvais pratiqué ma guitare, cela ne les dérangeaient pas, au contraire, il avait tendance à venir s'assoir en rond autour de moi pour écouter, ce qui me faisait littéralement fondre et il en profitait un peu pour avoir des gourmandises. Mais chut, c'est un secret. Par contre, je commençais sérieusement à me demander si Paris allait finir par rentrer, au pire, je squatterais le canapé, mais je n'aime pas, ne pas avoir de nouvelles surtout quand je garde des enfants, j'aime bien qu'on me prévienne s'il va y avoir du retard ou pas. C'est la que la porte s'ouvrit, je pose ma guitare sur le canapé et je me lève pour aller à sa rencontre. Moulin à parole celui-ci parfois, il est dur d'en placer une quand il commence. Une fois qu'il est demandé si cela c'était bien passé, qu'il avait ramené de l'italien. Je pose directement ma main sur sa bouche pour lui faire signe de se taire. Je finis par l'enlever et lui répondre en parlant pas trop fort, histoire de pas réveiller les petits. « Ils viennent de s'endormir alors parle pas trop fort. Avec la guitare et je t'assure que tu ne veux pas que je repasse une heure à jouer pour les rendormir. » Je retourne m'asseoir sur le canapé et j'en profite pour ramasser mon instrument de musique dans son étui. « Je ne suis pas contre l'idée de manger italien avec toi. Mais par pitié, arrête cet air, sinon je ne réponds plus de moi. » dis-je en souriant, puis je n'avais pas mangé, pensant pouvoir manger en rentrant chez moi. Je n'avais juste pas fait attention à l'heure. C'est surtout son air de cocker que je voulais qu'il stoppe, il est au courant ou pas qu'il est encore plus charmant quand il fait cette tête ? Bon après, je sais me tenir, je ne lui sauterais pas dessus non plus.

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Eun & Paris

Paris aurait bien aimé avoir le temps de textoter Eun pour la prévenir de son retard mais son portable se trouvait dans sa loge et le temps d’y retourner, il avait rapidement compris que cela ne servirait à rien. Aussi était-il passé par le traiteur italien pour ramener de quoi les nourrir tous les deux. C’était pour la remercier mais également pour ne pas manger seul ce soir. Il avait toujours besoin de décompresser après une soirée de boulot et si d’ordinaire, il s’arrêtait dans un bar, là, il avait simplement envie de passer un moment calme avec son petit bolide. Il aimait bien l’appeler ainsi étant donné qu’elle faisait des courses de voiture dans la plus grande illégalité. Au moins, avaient-ils cela en commun. « Tu sais que tu es la meilleure ? Je n’arrive jamais à les endormir sans élever la voix » murmura-t-il sans la détromper au sujet de sa guitare. Personnellement, il se verrait bien l’écouter durant des heures tant il était un amoureux de la musique. Paris aurait bien aimé apprendre d’un instrument mais le coût onéreux des leçons avait achevé de le convaincre qu’écouter de la musique, c’était beaucoup plus abordable pour ses finances. « Tu ne réponds plus de toi, ah ouais ? Dois-je m’attendre à ce que tu me violes contre le frigo ? »la taquina-t-il toujours en murmurant afin de ne réveiller personne. Il avait encore moins envie d’expliquer ce que voulait dire violer quelqu’un à l’une de ses petites sœurs. Paris disposa les diverses boites et couverts sur la petite table de la cuisine. « Tu veux boire quelque chose ? »

electric bird.

Je fus surprise face à sa déclaration. Était-il sérieux lorsqu'il disait ne pouvoir coucher ses frères et sœurs qu'en élevant la voix ? Avec moi, il se couchait sans faire de scène. « Tu es sérieux ? Tu n'as jamais essayé en lisant une histoire ? Où alors c'est simplement le fait qu'il préfère lorsque c'est moi qui m'en occupe. » soufflais-je en ajoutant la dernière phrase pour le taquiner. Pour moi, il était évidant que les enfants le faisaient exprès pour passer plus de temps avec leur grand-frère. Il faut dire qu'entre le boulot et les cours, ils n'avaient pas l'occasion de se voir beaucoup. Mon sourire s'élargit face à ce qu'il disait sur un possible viole contre un frigo. « Oh quand même pas contre un frigo, puis je préfère largement avoir ton consentement, je ne fais pas encore dans le viole. » Même si je suis de nature dominatrice, je préfère largement que la personne en face soit pour, puis c'est vrai que je ne serais pas contre une nuit avec Paris, c'est qu'il a son charme et que je n'y suis pas forcément insensible. M'installant un peu mieux dans le canapé en croisant les jambes, alors qu'il me demande ce que je veux, je m'attèle à faire le tri dans mes partitions pour les ranger le plus rapidement possible, pour que Paris ne les voit pas, puisque ce sont des partitions que j'inventais moi-même et que je n'avais pas particulièrement envie qu'il voit. « La même chose que toi, ne t'en fait pas. » Curieuse, je regarde un peu plus les plats à disposition. « Tu ne prends jamais de plats asiat ? » demandais-je malgré-moi. Non pas que je n'aime pas l'italien, j'adore, mais la bonne nourriture de Corée du sud me manque tellement que je me contente des plats asiatiques disponibles aux USA.

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Eun & Paris

« Oh mais j’essaie tout ! Une histoire, une chanson, un bout d’épisode de dessin-animé mais rien n’y fait donc au final, je gueule et tout le monde va se coucher » grogna-t-il même si on pouvait sentir au timbre de sa voix qu’il adorait sa fratrie. Paris n’était pas dupe, ses frères et sœurs faisaient le cirque pour obtenir de lui, tout ce que leur mère n’avait jamais réussi à leur donner : de l’amour, de l’attention et l’impression de compter réellement. Alors, il faisait mine de râler mais il adorait se prêter à leur jeu, jouant au rôle du père et de la mère. « C’est bon à savoir… Remarque, même si tu m’avais plaqué contre le frigo, il n’y aurait pas eu viol » lui répondit-il avec un petit clin d’œil complice. Après tout, Eun était une femme belle et séduisante. Bon ok, elle était également la babysitter de sa tribu et qu’il serait peut-être dommageable qu’ils couchent ensemble. Malheureusement, essayez de le faire comprendre à sa libido. Ce serait une autre paire de manche.

Paris s’occupa donc de déposer les boites de repas histoire de s’occuper à la fois la tête et les mains. Il revint avec une petite bouteille de vin, cadeau d’une cliente qu’il n’avait jusque-là, jamais ouvert. En même temps, boire du vin seul, c’était un peu déprimant pour lui. Il posa deux verres sur la table basse et déboucha la bouteille. « Si ça m’arrive mais le traiteur chinois est pas sur la route de mon boulot. Pourquoi tu préfères qu’on commande asiat’ ? »lui demanda-t-il. Il n’était pas encore trop tard pour changer ses plans et la boutique livrait dans son quartier.

electric bird.

Je souriais devant ses explications et j'essayais de me retenir d'éclater de rire également, histoire de ne pas réveiller les petits loups qui dorment. « Je peux toujours t'apprendre la guitare s'il n'y a que cela. Mais, tu sais, je pense qu'il le font un peu exprès, moi, j'ai le temps de jouer avec eux, toi, tu n'en a pas beaucoup, alors il en profite quand tu es là. C'est normal, je trouve. Je t'envie parfois, j'aurais aimé avec des frères et sœurs aussi adorable. » C'est vrai, j'aurais préféré naitre dans une famille normale et aimante et ne pas être la bâtarde d'un homme riche. Alors, oui, parfois, j'envie la vie de famille des autres, j'envie Willow qui a une famille aimante, bien qu'il m'adore, ce n'est pas pareil.

Toujours assise en tailleurs avec mes partitions, je relève la tête face à sa réponse. Un petit sourire fit irruption sur mon visage. « Intéressant dis-moi. Vraiment intéressant, le fait qu'il n'y aurait pas eu viol. » Enfin, évitons de parler uniquement de sexe, je n'ai pas envie non plus qu'il me prenne pour une allumeuse. Seulement, on ne sait jamais ce qu'il peut se passer surtout avec la petite bouteille de vin qu'il venait d'apporter, c'est que je ne tiens pas du tout l'alcool. « Non, non, italien c'est très bien, puis je préfère coréen ou japonais, je ne suis pas vraiment chinois. No tracas, italien c'est parfait. » Il avait fait l'effort de partager son repas avec moi, je n'allais pas imposer mes choix non plus. « Sinon ta journée ? » On ne me changera pas, toujours aussi curieuse de savoir si les personnes que j'estime se porte bien.

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Eun & Paris

"Sérieux, tu m'apprendrais?" demanda-t-il comme retombé en enfance. Paris avait toujours voulu apprendre mais que ce rêve puisse devenir réalité, c'était limite comme si le père noël venait le voir en personne pour lui offrir le cadeau de ses rêves. Ayant grandi dans une famille pauvre voire très pauvre, le jeune homme n'avait jamais eu des goûts très extravagants. Le must pour lui : manger quelque chose de bon. Il faut dire que c'était un piètre cuisinier ni même un grand passionné de gastronomie. Aussi essayait-il la grande partie du temps de prendre chez un traiteur pas trop cher pour combler sa petite famille. "J'aimerai bien être plus présent mais les factures s'accumulent et il faut bien que je ramène de l'argent surtout que c'est bientôt Noël... Ce sont de chouettes gamins ouais" acquiesça Paris. Une famille faite de bric et de broc mais une famille unie face à l'adversité.

Paris eut un petit rire lorsqu'elle trouva l'information de son consentement intéressant. Si elle continuait sur ce terrain, il allait finir par y voir une invitation songea le jeune homme qui leur servit un verre de vin rouge. Les plats étaient encore chauds et donc lui souhaita-t-il le bon appétit. "Je n'ai jamais mangé coréen et le seul truc que j'ai gouté de la nourriture japonaise, ce sont les sushis !" avoua-t-il avec une petite grimace comique. Paris but une gorgée de vin et lui tendit un des plats. "Journée assez banale. J'ai eu une grosse journée de cours à croire que le prof voulait nous achever avant la fin de l'année puis, au boulot, c'était plein à craquer d'où mon retard. Et ta journée?"

electric bird.

J'étais heureuse de voir que l'idée de lui apprendre la guitare lui plaisait beaucoup. Comme un gamin qui ouvre son cadeau de noël et qui s’aperçoit que c'est celui qu'il a toujours voulu avoir alors qu'il n'avait rien demandé. Je ressors ma guitare de mon étui et lui la tant un peu, pour voir s'il va avoir l'audace de la saisir ou non. « Essaye va s'y et oui j'adorerais t'apprendre, je suis sûr qu'on passerait de bon moment. J'ai ma première guitare à la maison si tu veux, je peux te la prêter, mais alors tu y fais attention, j'y tiens comme à la prunelle de mes yeux. » Pour certain, le premier amour était le seul et l'unique pour moi, ma première guitare était le plus important. Le piano s'était différent, je n'avais qu'un seul piano et depuis que je m'étais mise à la guitare, j'avais délaissé un peu le piano. Je lui lance un sourire de compassion lorsqu'il parle de facture et tous. « Je comprends parfaitement, je sais ce que c'est de ne pas avoir la vie facile. » Je m'en rappelle tous les jours malheureusement, j'en perds même mon sourire en repensant à mon ignoble demi-frère qui faisait de ma vie un enfer sur terre tous les jours.

Je le regarde surprise lorsqu'il m'annonce que la seule chose qu'il est gouté d'asiatique fut les sushis. Cela me redonna le sourire sur mon visage et je m’excitais un peu sur ma place. « Tu es sérieux ? Jamais ? Tu sais quoi, tu réserves un soir, j'apporterais ce qu'il faut et je te ferais manger coréen. Avec tes frères et soeurs évidement, je ne vais pas leur enlever le loisir de passer une soirée sans leur grand-frère. » Oui des plats typiquement coréen. Ramen, Kimchi, Gimbap, Soju... bon le soju on évitera d'en donner aux enfants, c'est de la boisson alcoolisé. Je regardais mon verre de vin d'ailleurs en me demandant après combien de verres, j'allais commencer à être pompette. J'en bu quelques gorgées avant de lui raconter ma journée. « Écoute, les cours comme d'habitude. La prof de musique m'a toujours dans le collimateur mais je continue d'y aller parce que la musique me passionne. Je sais pas ce que je lui ai fais à cette professeure. Puis j'ai été bricoler un peu sur ma voiture avant de venir garder ta tribu. »

Une fin de soirée mouvementée ✩

Eun & Paris

Paris ne s'était pas fait prier pour attraper la guitare que venait de lui tendre son amie. Toutefois, ses gestes étaient emprunts de douceur et de légèreté afin de ne pas abimer l'instrument. Il a toujours eu de l'admiration pour les musiciens car il n'y avait rien de mieux que la musique pour adoucir les mœurs. Alors, le simple fait de lui donner quelques cours, c'était déjà pour lui, le plus beau des cadeaux. "J'en prendrai soin, tu peux me faire confiance là-dessus..." lui assure-t-il. Paris était un homme soigneux des choses sûrement parce qu'il n'avait jamais eu grand moyen et que le peu qu'il avait, il avait souhaité le conserver précieusement. Il suffisait de voir son ancêtre de téléphone portable qui ne faisait même pas les photos -autant dire qu'il datait. "La vie est une chienne mais on fait avec hein?!" rétorqua-t-il en caressant brièvement sa joue pour qu'elle oublie sa tristesse qui était soudainement apparue sur son visage. Le jeune homme n'osant pas trop manipuler la guitare pour le moment, préféra la lui rendre -non sans avoir hâte de prendre sa première leçon.

Rapidement la discussion s'orienta vers la cuisine et Paris admit ne rien y connaitre en nourriture coréenne. Eun sembla à cet instant précis, s'illuminer. "Adjugé vendu ! Qu'est-ce que tu penses de mardi prochain? Je ne travaille pas alors je serais libre comme l'air" s'enthousiama-t-il de concert. "Tu lui as pas demandé pourquoi elle t'avait dans le collimateur?" lui demanda-t-il au sujet de son problème tandis qu'il reprenait un peu de vin. Paris ôta alors ses chaussures et son polo, pour n'être plus qu'en t-shirt et jean. Il faisait une chaleur de dingue dans le studio à cause du chauffage centralisé -et c'était pas faute de l'avoir signalé au proprio. "La prochaine est course est prévue pour quand d'ailleurs? Cela fait un moment que tu n'as pas eu besoin de mes services ! Je ne te satisfais plus?" lui demanda-t-il avant tout pour la charrier.

electric bird.

J'avais souris lorsque je l'ai vu prendre ma guitare avec délicatesse. Puis il avait vraiment l'air heureux de pouvoir apprendre à en jouer, cela me fit chaud au coeur. J'étais contente de pouvoir lui faire plaisir et je suis certaine que les enfants seront encore plus heureux d'entendre leur frère jouer de la guitare. Bon par contre, on commencera par les bases et par accorder la guitare, se serait pas mal. « Je sais bien que tu en prendras soins, j'en doute pas. » soufflais-je en souriant, je n'avais vraiment aucun doute. Bon par contre, j'aurais préféré que la conversation ne me rappelle pas de mauvais souvenirs. Croche-pied, renversement de plateau, humiliation, tous me revenait en tête. Alors quand il passa son pouce sur ma joue en s'exclamant que la vie pouvait être nulle parfois, un petit sourire fit son apparition sur mon visage, avant que je hoche la tête pour affirmer mon point de vue. Il me redonnait la guitare, je fis non de la tête et la remettait dans les mains de Paris. « Tiens, regarde, appuie ici et gratte un peu, c'est juste un sol, mais c'est déjà bien. Puis je t'ai dis d'essayer. »

La cuisine, je n'arrivais pas à comprendre comment il faisait pour ne pas gouter de la vrai cuisine de temps en temps. Commander des plats de temps en temps oui, mais pas tous le temps non plus. « Ça marche pour mardi prochain, mais je devrais venir plus souvent pour faire de vrai plat. Prendre le temps de cuisiner ça peut-être amusant tu sais. Bon tout seul, c'est pas sûr, mais à plusieurs, on peut toujours s'amuser. Puis si tu es libre comme l'air, tu pourras m'aider à préparer. » Buvant un peu de vin, enfin terminant le verre plutôt, l'effet de l'alcool ne faisait pas encore effet, mais cela ne serait tarder. « Même si je lui demandais, je suis pas sûr qu'elle me le dise. Tu crois qu'elle pourrait s’intéresser à un garçon qui s'intéresse à moi et que... Oui non laisse tomber, c'est n'importe quoi ce que je dis. » Je le vois qui retire son pull, mais je ne dis rien, c'est vrai qu'il fait chaud dans ce studio, mais je n'allais pas enlever mon haut, c'était un débardeur que j'avais en dessous et me connaissant, je finirais pas avoir froid. Oh le pauvre chou, il est triste de ne plus m'aider. Posant mon verre vide, je m'approche de Paris pour lui pincer les joues. « Il est tristounet, petit paris. » Puis me rasseyant je rajoute. « Promis, la prochaine fois, je t'appelle, mais tu sais bien, que j'aime bien regarder moi-même le moteur de ma voiture. »