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wanna save your heart tonight. ✰ willow

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I can't be no superman, but for you I'll be super human

Ce soir, tu ne penses qu'à une chose : oublier. Mais c'est dur d'oublier quand on se donne pour but d'oublier. Alors tu boit, un verre, puis deux, puis toute la bouteille de champagne, puis un mojito et c'est pas finit : un coup de shot de tequila avec des totale inconnue. Un groupe de mec un peu trop émécher qui eux aussi voulait profiter de la vie. Tu glousses avec eux, bois avec eux, trinque avec eux. Jusqu'au petit matin lorsque le soleil commence à se pointé et que la boîte se vide, il ne reste plus grand monde et dans le groupe de garçon, trois sont rester avec toi. Ils proposent de te raccompagner, mais tu secoues négativement la tête, vous étiez déjà d’ailleurs, il faisait déjà jours et traîner jusqu'à la lowell house ne pouvait pas te faire du mal, mais ils insistent vachement et l'un d'eux commence à te prendre le bras, tu en pars tes moyens et lâche ton sac, beaucoup trop faible pour riposter tu te contente de lui parler assez méchamment pour bien te faire comprendre. « J'peut marcher les gars, j'habite pas loin, c'est bon. » un ton assez sévère et des sourcils froncer devrait faire passer le message mais pas du tout, l'un d'eux t'arrête dans ta marche et te pousse de quelques pas. « J'ai dit non. » dis-tu clairement en appuyant sur le non. Mais ils n'ont pas l'air de comprendre, ils t'encercle et l'un commence à te prendre le bras. Ton souffle devient cours et tu essaie de les repousser violemment, mais tu es trop molle, trop d'alcool dans le sang. « ARRÊTER BORDEL, C'EST PAS MARRANT. LACHER MOI. » hurle-tu presque. Cette fois-ci tu ne leurs parles pas, tu parles aux gens qui t'entoure pour les faire réagir.
WISKA   
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Quand on parle d’une nouvelle vie, on parle également d’un nouveau souffle. Je m’étais mis en tête d’aller faire un petit jogging le matin en attendant qu’Alon se réveille. Cela me donnait un peu de temps pour moi, je courrais depuis plus d’une demi-heure maintenant, mais j’entendis des voix venir de non loin de moi. Je m’arrête de courir et m’approche voyant que personne ne réagissait à l’agression de la jeune fille qui était entouré de mec. Je soupire et m’approche attrapant le bras du mec qui tenait la jeune brune pour le faire reculer d’un coup sec. Je pense qu’elle vous a dit plusieurs fois qu’elle ne voulait pas. dis-je en les regardant un par un. Cela se voyait qu’ils avaient beaucoup trop bu, ils tenaient à peine debout donc ça ne sera pas vraiment dure pour moi de les mettre au tapis s’ils venaient à essayer de me frapper. Mais le bruit de la police retentit ce qui les fit détalé comme des lapins. Je lève les yeux au ciel, les trouvant plus que pathétique pour le coup. Tu vas bien ? … Alaska ? dis-je en me retournant vers elle. J’arque un sourcil surpris de la voir ainsi surtout qu’elle semblait encore plus alcoolisée que les autres mecs d’avant.
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Tu les frappes mais en vint, ton corps est beaucoup trop mou et ton cerveau beaucoup trop lent pour arriver à te défendre correctement. La Alaska sobre et mature leurs aurait donner une bonne claque, d'une main de fer mais celle-ci est si faible et fragile, qu'elle arrive à peine à lever le bras pour les contrés, tout ce qu'elle arrive à faire, c'est gueuler un bon coup, et ne voyant personne arriver, et la situation empirer, elle se met à pleurer. Pleurer à chaude l'arme, comme si ça pouvait arrêter les choses. Tes yeux se lève vers la voix masculine et virile qui se dresse par dessus celle de ses pré-pubères avec lequel tu as passer la soirée, tes yeux sont encore tremper et tu arrives à peine à reconnaître will. À la seconde même ou il débarque, les gosses foutent le camp. « Will.. » Ton visage s’éclaircit, une voix familière, un prince charmant sur son cheval blanc. Tu remercie ta bonne étoile de lui avoir montrer le chemin pour te trouver. « Non.. je sais pas ce que je suis entrain de faire, je t'en supplie aide moi. » ses mots sortent de ta bouche sans pour autant que ton cerveau soit d'accord. Pour ta dignité, tu aurait mieux fait de te taire et de rentrée chez toi, mais tu avais les jambes trop molle, le cerveau en miette et les larmes sur ton visage ne cesser de couler comme un robinet ouvert à fond. Tu essaie tout de même te de lever, ordonner à ses crétines de jambes de se lever, mais elles ne semble pas être d'accord.
WISKA   
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Je ne m’attendais pas à me trouver en face d’une Alaska complètement saoule, ce n’était pas son genre et j’avais l’impression de retourner dans le passé, lors de notre première rencontre quelques jours après l’enterrement de Lily. Là, c’était moi qui venait de la sauver d’une bande de pervers et j’étais rassuré mais également énervé… Pourquoi elle était comme ça ! C’est moi, calme toi ça va aller. dis-je en la prenant dans mes bras pour qu’elle se calme. Si je n’avais pas été là … Je n’allais pas la laisser comme cela ici, surtout après ce qu’elle vient de vivre. Je vais te raccompagner chez toi, accroche toi à moi. dis-je en lui attrapant la hanche pour qu’elle se colle à moi. Ainsi, elle ne pourra pas tomber et elle n’a pas besoin de beaucoup tenir sur ses jambes. Je ne devais pas sentir très bon à cause de mon jogging mais elle fera avec. J’ai clairement envie de t’engueuler là tout de suite ! Si je n’avais pas été là ! dis-je en secouant la tête quelque peu… Enervé avec un sentiment qui ressemblerait plus à un grand frère inquiet pour sa petite-sœur car oui, elle était ma petite-sœur à mes yeux.
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Une épave, voilà ce que tu es. Détruit par tes propres sentiments, et par le fait que tu ne sait pas géré l'alcool. Tu aurais aimer pouvoir te cacher dans un petit trou, parce que oui c'est la honte. De tituber jusqu'à Willow, et pire encore, de sentir la transpiration à force d'avoir danser et l'alcool. « Merci.. Je.. Enfin, toi, t'es mon sauveur. » tu essaie de lui adresser un sourire, mais pour le moment ta tête tournée beaucoup trop. Heureusement pour toi, il est assez fort pour pourtant deux personne, et tu n'avais qu'à faire quelques pas, chose que tu pouvait encore faire malgré ta tête endommager par la vodka. « Doucement.. Tu peut le faire mais en parlant ? Ou alors en mimant les gestes ? » tu essaie de le faire au moins il ne t'en colleras pas une parce que tu fou ta vie en l'air. La maison n'était pas si loin que ça, heureusement pour toi. Une fois arriver, tu lui montre où est ta chambre, mais avant même d'arriver tu t'écrouler dans le canapé. « J'sais ce que tu vas dire, et avant que tu me fasses la moral.. Est-ce que je peut avoir un café et de quoi manger ? Parce que j'ai un goût de vomit dans la bouche et c'est pas vraiment top ? » tu restes la tête dans les coussins du canapé, tes larmes avaient cesser, mais tu sent encore leurs mains baladeuse sur ton corps, tu fermes les yeux pour arrêter d'y penser.. Oui si il n'était pas là, tu aurais eu plus qu'une gueule de bois.

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J’essayais de la calmer un peu, je pouvais comprendre qu’elle était sous le choc vu ce qu’elle vient de vivre mais j’étais là maintenant et j’étais son « sauveur » d’après elle. J’ai juste fait ce que tout le monde aurait fait normalement, mais on est dans un monde d’individualisme maintenant. Je décide de l’emmener chez elle, sachant très bien où elle vivait en espérant qu’elle n’avait pas bougé pour le coup. J’avais envie de l’engueuler mais elle n’était pas en état pour m’entendre gueuler et sa réponse me le fit très bien comprendre. Je t’engueulerai une prochaine fois, mais tu vas m’entendre jeune fille. dis-je en fronçant les sourcils. Parce que j’avais beau avoir l’air gentil mais froid, je pouvais par moment lever le ton même si je ne le faisais pratiquement jamais au final. Je monte les escaliers pour trouver sa chambre mais madame décide que le canapé était mieux que son lit… Grave erreur ma belle, mais je ne dis rien la laissant juste s’en remettre un peu. Je ne répondis rien à sa demande et me dirige vers sa cuisine pour trouver de quoi lui faire un petit sandwich car rien de mieux quand on a la gueule de bois, je l’ai assez vécu à l’époque. Je lui prépare également un café et j’arrive quelques minutes après une assiette dans la main avec deux sandwiches et la tasse fumante dans l’autre. J’en ai profité pour m’en faire un parce que la course m’avait réveillé mais j’avais besoin de caféine tout de même. Alors la raison de cet état ? Et te met pas comme cela, c’est le meilleur moyen pour vomir… dis-je en la redressant alors que je remet ces cheveux en place. Elle allait avoir une belle gueule de bois.
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Willow utilise sa voix de père autoritaire avec toi, ce petit ton qu'il a quand il essaie d’engueuler son fils, mais qu'il ne veut pas qu'il soit traumatiser pour autant. C'est à ce moment que tu te rend compte, que tu es un enfant, stupide et immature qui est loin de savoir ce géré. « Merci beaucoup, daddy. » dis-tu d'une petite voix, la tête toujours entre les coussins. Coussin que tu serrez très fort contre toi, en te roulant en boule. La gueule de bois était un effet second face à ce que tu venez de vivre, à trois minutes près l'un de ses gars aurait pu abuser de toi. Dans un sens tu as eu ce que tu voulais : oubliée Samaël. Mais est-ce vraiment à ce prix là, que tu le voulais ? Tu te redresses lorsque papa willow s'occupe de sa fille, alaska qui ne sait pas boire. Tu te met assise pour boire ton café histoire de ne pas en mettre partout, il t'as préparer un petit sandwich en enlevant la croûte, ce qui te fit sourire. « Merci.. Pour tout. Pour m'avoir ramener, mais aussi pour ça, et pour tout en sommes. » tu voit une petite gorger, lorsqu'il te demande ce qui ne vas pas. Tu ne sais pas vraiment quoi dire, alors tu secoue la tête. « Tous ? J'ai l'impression que rien ne vas. Que je suis entrain de sombrer.. Samaël est partis, mon époux. - tu fais des guillemets avec tes mains, parce que ce n'était pas QUE ton marie, c'était aussi ton meilleur ami et ton âme sœur. - et je.. je.. T'as jamais eu l'impression que le monde voulait que tu te noie ? Que tout ce que tu fais finit toujours par merder ? C'est ce que je récent depuis quelques temps.. » tu passes une main dans tes cheveux en soupirant, les larmes aux yeux, tu merdes, tu merdes, tu merdes, mais peut être qu'à force de te planté tu vas finir par pousser ? « Alon vas bien ? Il me manque. »
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Je n’étais pas un père chiant, je prenais soin de mon fils mais celui-ci était tellement sage qu’au final, je n’élevais pratiquement jamais la voix sur lui. Je regardais Alaska comme ma petite sœur alors forcément, j’étais obligé de l’engueuler pour le coup, si on peut dire cela engueuler. Je lui avais ramené de quoi manger et un café, alors que moi je m’occupais de boire le mien en essayant de rester calme, lui posant simplement une question. Tu n’as pas besoin de me remercier, c’est tout à fait normal… Je n’allais pas te laisser avec eux. dis-je en secouant la tête. Toute personne sensée aurait réagis comme je l’ai fais, même si maintenant les gens sont de plus en plus je m’en foutiste et pire que moi ! J’arque un sourcil quand elle parle de Samaël et de son départ et bien vu comme cela. Je vois… Je ne pensais pas qu’il était mort, mais c’était triste pour elle j’en avais conscience. Mais elle m’avait reprise à l’ordre quand je m’étais bourré la tronche quand Lily était morte… Moi, elle n’allait jamais revenir, je n’allais jamais la revoir alors qu’elle, elle avait la possibilité de le faire. Je pense en avoir eu l’impression et cela pendant trois ans. dis-je sans la regarder. Avait-elle oublié mon passé ? J’arrivais à en parler maintenant mais j’avais du mal à concevoir qu’on puisse tout de même me poser ce genre de question. Il va bien, il a eu 4 ans depuis pas longtemps… dis-je en haussant les épaules. C’était également le jour de l’anniversaire de la mort de Lily mais c’est autre chose. Noël arrivait à grand pas alors il était tout excité à l’idée de passer Noël en famille, ouais en famille si on peut dire cela.
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Alors tu boit une gorger de café en te calant dans le canapé, les yeux rivé vers Willow, qui n'aurait pas hésité à t'en claquer une si tu n'était déjà pas dans un état second. Tu ne peut d'ailleurs pas t'empêcher de le remercier, parce qu'il aurait pu tournée le talons et te laisser dans ton merdier, au lieu de ça, il a jouer les super-héro, et c'est tout à son honneur. « Tu sais très bien que tout le monde n'aurait pas fait ça, Will. » tu poses une main sur la sienne, en lui adressant un sourire, parce que ça va, parce que tu es en vie, et c'est grâce à lui. Tu essaie d'expliquer la situation à Willow, mais plus tu essaie plus te rend compte que tu es totalement perdu. Que tu n'arrives même pas à savoir pourquoi tu été dans un tel état. Et sans faire gaffe, tu lui demandes si il avait déjà eu l'impression que tout lui échappe, tu avais oublier le temps d'un instant ce qu'il avait traverser, votre rencontrer, la perte de Lily. « J'suis bête.. Pardon, désolée je voulais juste.. En mai je suis partit, je ne voulait pas avoir à dire à mon meilleur ami que je l'aimais, je voulait pas le perdre, et là je l'ai perdu, parce que je lui ai dit que je l'aimais. Alors, j'sais pas du tout si c'est moi qui fait fuir les gens ou si j'ai un espèce de chakra mal faisait qui terrifier les gens autour de moi. » comme un démon qui pousserais les gens que tu aimes à te haïr ou avoir peur de toi. Tu lui demande des nouvelles d'Alon en mordant dans ton sandwich, parce qu'il te manquais pas mal, et que ça faisait longtemps que tu ne l'avais pas vu. « Si tu veux sortir un soir, j'peut être baby sitter, comme ça je pourrais passer un peu de temps avec lui.  Dis-tu en essayant de te lever. « On va dans ma chambre ? » ce serais cool que la coloc ne te voit pas dans cette état.
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C’est vrai que les personnes ne sont pas toutes assez intelligentes pour faire ce qu’il faut pour aider son prochain. Mais je ne saurais pas le seul à venir l’aider, surtout que je ne savais en aucun cas que c’était elle. Je soupire doucement essayant de me calmer car si je m’écoutais, je lui en aurais déjà mis une parce qu’elle est juste inconsciente d’avoir fait cela. Elle vient ensuite me demander quelque chose qu’elle n’aurait sans doute jamais eue si elle avait été consciente de ses paroles. Cela me remit en mémoire ma période de deuil plus que longue. Disons juste que les hommes sont de plus en plus peureux au sujet des sentiments et tout n’est pas clean chez les femmes non plus. Tu ne peux pas dire que c’est de ta faute, tu as juste décidé de ne plus te cacher à ce sujet. S’il a décidé de jouer au lâche, c’est tant pis pour lui. dis-je en fronçant les sourcils. Encore un lâche et après on dit que les hommes finissent de plus en plus célibataire, on comprend pourquoi maintenant. Elle me demande des nouvelles d’Alon et espère un jour le garder, je le ferais sans problème moi qui essaye de sortir un peu plus ces derniers temps. Je prend note alors. dis-je en approuvant de la tête. Je me lève et l’aide à se lever quand elle me dit vouloir aller dans sa chambre. Je prends l’assiette et les deux cafés avant de la suivre en direction de sa chambre. Pourquoi tu voulais aller ici ? Pour que je te borde ? lui dis-je en m’occupant d’elle pour qu’elle s’assoit sur son lit.
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