Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityadrian ◇ in my dark times.


adrian ◇ in my dark times.

Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
in my dark times. adrian ◇ in my dark times. 1f46b
— with adrian wandëils.

Est-ce qu’envoyer plus de cinq sms à une personne et l’appeler plus d’une cinquante fois est de l’harcèlement ? Parce que j’ai vachement l’impression que c’est le cas. Chaque fois, j’ai espoir de voir son prénom s’afficher sur l’écran sauf que je désenchante rapidement en voyant que ce n’est pas le cas. Il est chiant, Adrian, de ne pas répondre ni à mes appels ni à mes sms. Ça me frustre parce que ça me donne l’impression que je me suis trompée à son sujet; qu’il n’est pas le gentil gentleman que je m’imaginai depuis le début. Lors de notre conversation, il m’avait bien dit à tout à l’heure et qu’il viendrait me chercher à 9 pm. Putain, il m’a même embrassé sur le front. Des jours s’étaient passés depuis cette soirée-là et il faisait carrément le mort. Silence radio de sa part. Alors, sur le coup de frustration, je décidai de lui envoyer un millième sms et celui-ci était menaçant. Pour une fois, je n’ai pas fait dans la dentelle. J’attendais une confirmation de sa part, mais rien donc je suis là, dans mon salon, à tourner en rond. Seule comme Septembre est de sortie et Royce aussi. Seule dans ma frustration et ma déception.

(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Concentré à terminer un essai de psychologie, je n'entendis que vaguement mon portable vibrer. Lorsque j'eus tapé le point final d'une longue phrase, pénible au plus haut point d'ailleurs, je pris mon portable, histoire de voir qui essayait de me contacter. Palmyr. Je n'étais pas surpris. Cela faisait des jours et des jours qu'elle essayait de me joindre. Je reposai mon portable en soupirant. C'était peut-être l'une des dernières personnes que à laquelle  je voulais penser à ce moment-là. Je repris mon travail mais, quelques secondes plus tard, je m'arrêtai et repris mon téléphone en main. C'était un SMS et je ne pus m'empêcher d'être curieux de savoir ce qu'elle me disait. Je n'arrive toujours pas à croire que, quelques minutes plus tard, je me retrouvai dehors, mon ordinateur sous le bras, à me diriger vers je ne sais trop où. Ce SMS? C'était Palmyr qui me posait un ultimatum et étrangement, je n'étais pas fâché, bien que je déteste qu'on m'en fasse. Bien décidé à m'expliquer avec elle, je me rendis vers son appartement avec la description plus que floue que Palmyr m'avait donnée quelques jours auparavant: bâtiment rougeâtre, numéro 1500. Mais ce n'est qu'une fois devant le dit bâtiment que je sentis mon sang bouillir. La scène à la quelle j'avais assisté quelques jours avant défilait dans ma tête. Je me revoyais prêt à sonner à son interphone et à lui balancer un « C'est ici pour les danseuses nues? ». Je revoyais Royce sortir de l’appartement de Palmyr, le sourire jusqu'aux oreilles. Je me retins d'insulter Palmyr dans ma tête. Arrivé à l'entrée, quelqu'un qui rentrait justement dans l'immeuble me laissa aimablement entrer. A l'intérieur, je revins à la porte et cherchai son interphone. Rutherford. Je réfléchis un instant sur ce que j'allais faire. Sonner ou monter directement à sa porte? Je préférai l'effet de surprise. Je commençai alors à me diriger vers sa porte quand je m'arrêtai net. Et si je croisais Royce chez elle? Si je les croisais ensemble? Je me pressai de faire demi-tour afin de sonner à l'interphone. Mais je m'arrêtai à nouveau. Après tout, qu'est-ce que ça pouvait bien faire si je les voyais ensemble? Ça faciliterait les choses et puis, il faut dire, je m'en bats complètement les couilles de lui, au final. Une fois devant sa porte, j'hésitai à sonner ou à frapper, mais je restai dans les normes cette fois-ci et appuyai légèrement sur la sonnette. J'entendis des pas de l'autre côté de la porte. « C'est Adrian. » Dis-je sur un ton à la fois posé, sérieux et froid. 
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
in my dark times. adrian ◇ in my dark times. 1f46b
— with adrian wandëils.

J’en ai marre de tourner en rond, à attendre que la sonnerie de mon portable résonne afin de me notifier d’un sms alors je me laisse tomber sur le canapé et j’allumai la télévision. Le temps allait peut-être passer plus rapidement de cette manière. Même que j’allais tomber sur un bon film et que j’oublierai le comportement immature d’Adrian. Maintenant, j’y pensai, mais c’est plus fort que moi. Ça m’enrageait, sérieux. C’était la première fois que je me faisais poser un lapin, c’était chiant. Après on se demande pourquoi je ne sors pas de chez moi; et bah voilà vous avez la réponse. Le pire était que j’avais enfilé des vêtements plus chics que mon jean et t-shirt blanc. Je m’étais préparée pour lui, j’avais fait l’effort d’être présentable et lui il fait quoi ? Il joue au mort. Bref. Un film ridicule jouait à la télévision et je faisais des efforts pour m’y concentrer afin de comprendre les événements du film. Même si c’est un foutu film d’amour; j’ai envie de vomir. À toutes les dix secondes, je vérifiai mon portable et lâchai un soupir profond. Jusqu’à ce que la sonnette retentisse partout dans l’appartement et je me dirigeai vers celle-ci. Impossible que ce soit Septembre, elle avait une clé et Royce également. De plus, la porte n’était pas verrouillée. C’était Adrian. Franchement, je ne pensais pas qu’Adrian viendrait. Pas avec son silence radio qui m’a agacé. Figée devant la porte, je ne savais pas trop quoi faire… Oui, je devais lui ouvrir, mais son ton semblait froid. Pas grave, je suis capable d’avoir un ton froid moi aussi. J’ouvre la porte, regarde Adrian et je cherche des mots à lui dire. Une phrase. Il faut que je dise quelque chose, pas le choix. À la place, je me pousse et je le laisse rentrer chez moi, refermant la porte derrière lui. « Je prends note que tu fonctionnes avec des ultimatums. » Dire une connerie, détendre l’atmosphère, je suis douée pour ça.

(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
J'hésitais sur le seuil de la porte, surpris qu'elle m'invite à entrer chez elle. Une fois à l'intérieur, je me retournai pour l'écouter. Je ne prêtai pas attention à sa remarque et tournai la tête pour voir ce qui se présentait devant moi. Mes yeux se promenèrent dans la pièce où je me trouvais, mais ils s'arrêtèrent quand me vint l'idée que Royce pouvait être là, ou qu'un objet lui appartenant se trouvait dans la pièce. Je ne voulais rien voir venant de lui. Je soupirai légèrement. « Apparemment, tu voulais me parler. » Je fuyais son regard car je savais qu'elle avait le don pour me faire craquer. Et je ne voulais pas craquer à ce moment-là; non, je ne voulais pas céder. C'est là que je réalisai qu'au fond, j'attendais des explications. Je voulais savoir le pourquoi du comment; je voulais comprendre ce qui se tramait. Je lançai sur le ton de la plaisanterie « Je ne savais pas que je pouvais te manquer autant en si peu de temps. » puis « Ou serait-ce parce que tu t'es déjà ennuyée de Royce? » Je ne pus m'empêcher d'envoyer ce pic. Elle l'avait mérité, après tout. Je repris très vite mon sérieux, et lorsque je plongeai mes yeux dans les siens, je lui lançai un regard froid. « Eh bien vas-y, parle. Je t'écoute, Palmyr. » Dis-je sèchement.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
in my dark times. adrian ◇ in my dark times. 1f46b
— with adrian wandëils.

Même si je suis fâchée contre lui, je reste civilisée. D’où la raison pour laquelle je n’entretiens pas une conversation avec lui sur le seuil de la porte. Puis, les voisins n’ont pas besoin de savoir ce qui se passe dans ma vie. Oui, apparemment, je voulais lui parler ou plutôt obtenir une explication de sa part. Comprendre la situation parce que dans ma tête, ce n’est pas normal d’éviter la fille que tu invites à sortir. Je dis ça, je ne dis rien. Du coup, je cherchai les bons mots, ceux qui font brouillon en mordillant l’intérieur de ma joue avant de m’arrêter et de le regarder. L’entendre dire le prénom de Royce est bizarre et je me doute qu’il sait que Royce squatte ici temporairement. « Pourquoi tu me parles de Royce ? Il vient faire quoi dans cette conversation ? » Promis, cette fois, je ne joue pas la carte de l’innocence, je ne comprends tout simplement pourquoi il l’inclut dans la conversation. Puis, c’est quoi son problème avec son attitude froide ? Moi, les gens qui adoptent une attitude froide, ça me donne juste envie de les secouer ou d’agir de la même manière qu’eux. « Très bien… Je peux savoir ce qui te prend d’ignorer mes appels, mes sms et de m’inviter à sortir si t’es pour me posé un lapin. » Je croise les bras et je patiente avec la même attitude que lui sauf moins froide. Je ne sais pas être totalement froide.

(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Je l'écoutais attentivement. Je ne répondis pas à sa question concernant Royce car si je pouvais épargner une minute à ne pas parler de lui, ça m'allait très bien. « C'est marrant comment tu me fais passer pour le fautif dans l'histoire. » puis « Mais soit. Admettons que je n'ai pas agis en gentleman en n'allant pas te chercher pour notre rendez-vous. Je te présente mes excuses. » Je lui montrai mon dos avant de poursuivre. « J'ai changé d'avis à la dernière minute. » J'allais continuer quand je croisai son canapé qui m'avait l'air vraiment confortable. Sans même lui demander l'autorisation, je m'assis dessus. Une fois installé, je mis ma tête entre mes mains et soupirai longuement. Après quelques secondes de silence, je levai la tête vers Palmyr et je réalisai mon geste assez déplacé (de m'être assis sans demander) et me levai aussitôt. J'allai à la fenêtre et me tournai vers elle. « Oui, Palmyr, tu me plais. Oui, j'étais prêt à faire des efforts. Oui, je voulais bien attendre pour toi et oui, je voulais qu'on se voit le soir. » J'avais prononcé ces mots sur un ton qui trahissait mon affection pour elle. Alors, j'adoptais un ton plus sec et froid: « Mais quand la fille qui te plaît te dit quelques heures avant qu'elle se moque complètement d'un certain mec avec qui elle a couché, qu'elle a tourné la page, que tout ça c'est fini, et que quelques heures plus tard tu trouves ce même mec sortir de son appartement, le sourire aux lèvres, ça t'enlève toute envie de faire quoi que ce soit avec elle. » Je tournai ma tête vers sa fenêtre, croisai les bras et regardai les gens et les voitures passer. Finalement, je dis d'une voix calme, avec une once de mélancolie et de déception dans la voix: « Tu m'as vraiment pris pour un con. »
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
in my dark times. adrian ◇ in my dark times. 1f46b
— with adrian wandëils.

Je suis perdue. Littéralement. En quoi est-ce que je suis fautive dans cette histoire ? C’est lui qui m’a invité à sortir, lui qui m’a posé un lapin. Est-ce que je l’ai demandé ? Pas du tout. Donc, qu’on m’explique pourquoi je devrais me sentir coupable alors que je n’ai rien fait de mal. Dans ma tête, en tout cas. Pendant un petit moment, j’ai réellement cru qu’il présentait des excuses sauf qu’il a changé d’avis à la dernière minute. « Pourquoi ? » Je ne comprends toujours pas. « Un coup de fil, c’était trop difficile » J’essaie de rester calme, croyez-moi, mais il agit comme un vrai con. En plus, Adrian bouge trop, j’ai de la difficulté à le suivre… Une minute, il est assis et l’autre d’après, il est près de ma fenêtre. Sa voix s’était adoucie, ça faisait changement de toute cette froideur et j’essayais de trouver les bons mots à lui répondre après ce qu’il venait de dire. Sauf que la suite eut l’effet d’une douche froide comme sa voix. Je savais qu’il parlait de Royce et j’en étais désolée, mais dans ma tête même si un mec sort de chez toi avec le sourire veut dire que vous avez couchés ensemble. « Royce vit ici jusqu’à ce qu’il se remette sur ses pieds, Adrian. Et quoi ? Tu t’imagines que parce qu’il quitte le sourire aux lèvres signifie que j’ai couchée avec lui, c’est ça ? » Ouais enfin, c’est arrivé sauf que je me vois mal lui avouer. Le faire passer pour un con davantage n’est pas mon but. « Je te fais passer pour un con et toi tu me donnes l’impression d’être une vraie salope qui ouvre les cuisses facilement. » D’abord avec Marshall et là avec Royce.

(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Je me contenais. Je ne voulais pas m'énerver contre Palmyr ; ça n'a jamais été mon genre d'être violent avec les femmes. Je hais ça par dessus tout, et puis, je tenais quand même à elle, malgré tout. Mais ses paroles m'énervaient. C'était maintenant plus que jamais que j'essayai de cacher mon caractère très impulsif. Après ses dernières paroles, je tentais de la rassurer. « Ne dis pas n'importe quoi. Tu sais très bien que je ne pense pas ça de toi, sinon je n'aurais jamais pris la peine de venir jusqu'ici. Crois-moi. » C'était la vérité. Je ne lui aurais pas consacré de mon temps si je savais qu'elle n'en valait pas la peine. Si j'étais prêt à attendre pour elle, c'est parce qu'elle n'était pas n'importe quelle fille à mes yeux, mais encore fallait-il qu'elle le réalise. « Palmyr, dis-moi simplement ce que tu veux. Là, maintenant, aujourd'hui. » puis « Et qui tu veux. » La question était claire et j'attendais que la réponse le soit aussi. J'avais besoin qu'elle soit franche avec moi. Je me retournai vers elle. « Sois juste honnête. Si c'est lui que tu choisis, alors ça m'ira. C'est sûr que ça me blessera quelque part. Mais je préfère brusquer mes sentiments que d'être pris pour le con dans l'histoire. J'accepterai et je m'en irai. Je vous laisserai tranquille, toi et cet escroc de Royce. » Je sentais la colère redescendre peu à peu et mon ton se faisait de moins en moins sec. Je me rapprochai d'elle.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
in my dark times. adrian ◇ in my dark times. 1f46b
— with adrian wandëils.

Il a beau me dire que ce n’est pas le cas, ça ne change pas que c’est comme ça que je me sens. Et je crois que c’est l’un des pires sentiments que je n’ai jamais ressenti. Non, mais sérieux quelle fille qui se respecte aimerait se sentir comme la pire des salopes ? Au fond de moi, je sais que je devrais lui dire la vérité, lui avouer que ouais, c’est arrivé – encore une fois – avec Royce, mais je suis incapable. Ça va juste faire en sorte que je le prends pour un con. Je secouai la tête en le regardant parce que je ne sais pas ce que je veux. Je ne peux pas choisir alors que c’est un puzzle dans ma tête. Franchement, j’ai encore de la difficulté à savoir ce que Royce et moi sommes/font. Bref, au final, je passe pour la fille indécise prise entre deux garçons. « Je… » Je quoi ? Réfléchis Palmyr parce que Adrian, il attend une réponse claire et précise. Le genre où t’as besoin de mille ans pour être certaine sinon t’as l’impression d’avoir fait le mauvais choix et ça c’est un des pires sentiments. Parce que faut que tu vives avec cette décision. Non, non et non. « Je ne peux pas te donner une réponse claire, Adrian. » Autant être honnête sur ce point.

(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Je soupirai. J'étais déçu ; déçu d'entendre mot pour mot qu'elle ne pouvait pas choisir ; déçu de réaliser qu'elle tenait toujours à Royce, bien qu'elle m'ait dit le contraire. J’appréciai réellement Palmyr et ce léger pincement au cœur que j'eus à ce moment-là me le fit comprendre. « Palmyr, tu ne peux pas ou tu ne veux pas ? » puis, avant même d'attendre sa réponse: « Ecoute, j'ai essayé. Vraiment. ». Je lui tournai le dos et me dirigeai vers la porte d'entrée. « J'ai essayé de faire des efforts, d'être patient pour toi, d'attendre le bon moment. Mais je ne veux pas faire d'efforts pour une fille qui n'est pas prête à en faire en retour. Et Palmyr, tu n'es pas prête, alors autant s'arrêter là, pour ne pas que ça prenne de grosses proportions ou que ça devienne ingérable. » J'essayai de camoufler le tremblement dans ma voix. Je n'étais certes pas amoureux d'elle, mais je n'avais pas l'habitude de parler ainsi et de me retrouver dans ce genre de situation. Je ne voulais pas arrêter. Je voulais continuer à la côtoyer, mais à quoi bon, si elle ne le voulait plus? Je ne voulais pas être une roue de secours. « Un jour, peut-être, tu reviendras. Quand il t'aura brisé le cœur, je serais là pour recoller les morceaux. Oui, peut-être. » Je m'arrêtai un instant pour réfléchir. Je me retournai vers elle et la contemplai. « On pourrait rester amis, mais je ne sais pas si je pourrai supporter te voir avec lui. Et je n'ai pas envie d'avoir des embrouilles avec lui, on est des ex-frères Winthrop après tout. Ce serait plus sage de ne plus se fréquenter, toi et moi. » Mes derniers mots résonnèrent dans la pièce.

Spoiler:
(Invité)

Préférences de jeu
veritas
Contenu sponsorisé
est en ligne
(Contenu sponsorisé)