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Septembre&Alek - Juste un misanthrope misant trop peu

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• Toutes les légendes sont tombés. Nous n’avons plus personne en qui croire, plus personne à suivre. Plus aucun modèle qui pourrait nous guider pour l'avenir. Nous sommes seuls, totalement seuls à l'abandon avec aucun but précis. Nous ne savons pas vraiment ce que nous allons faire de nos vies, si nous allions vivre, si nous allions mourir. Dans un certain abandon de nous-même, on se laissait tous aller à notre manière, certains choisissaient l'alcool, d'autres le sexe, quelques-uns la drogue, et puis, de nombreux faisaient comme moi, ont essayaient de vivre à notre façon, à coup de poing dans la gueule pour se frayer un chemin, pour s'en sortir et montrer au monde qu'on a réussi. L'argent n'était pas le problème, mon compte était aussi gros qu'une paire de couille qui ne se serait pas vider depuis des centaines d'années. Le problème, c'est que l'argent n'était pas la solution à tout, la réponse à tout. Est-ce que tu vas pouvoir ramener à la vie un être cher avec ta thune ? Est-ce que tu vas pouvoir te laver de tous tes putains de pêché avec ta thune ? Est-ce que tu vas pouvoir être apprécier seulement pour la personne que tu es à tes soixante ans, par ta femme de vingt-trois ans ? Non, putain c'est un non pour toutes ces questions. Alors je fais en sorte de rester moi-même, de ne pas être un enfoiré et de voir le plus possible les personnes avec qui je m'entends, ne pas disparaitre de la circulation car j'ai un enfant et une femme. Sauf que malheureusement, certaines personnes disparaissent, et, j’pense avoir fait partie de ce genre de personne, le pire dans tout ça, c’est que je l’ai fait avec une personne de ma famille, avec ma cousine… J’étais au courant des problèmes qu’elle avait, mais, j’ai jamais vraiment fait en sorte de l’aider, un peu con le mec quand même. J’vous dit ça, parceque là, en ce moment précis, elle est à quelques mètres de moi, assise à cette table, ces fesses posées sur l’une des chaises de ce café, seule, tout comme moi. Elle a quelque peu changé, surement la vie, les épreuves qui te changent. Mais, j’me vois mal débarquer vers elle comme si de rien était, alors, j’me dis que j’pourrais faire comme quand j’étais gosse, comme quand j’avais envie d’emmerder les gens, même si pour le coup, j’ai pas envie de l’embêter. Je déchire un bout de l’addition, j’en fais une petite boule, et je lui envoie dessus, baissant rapidement le regard, faisant comme si de rien était, comme si j’étais plongé dans mon portable et que je ne l’avais pas vu. Super bien la tactique d’approche du gamin de six ans, plus le temps passe, et plus je régresses. •

   


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La vie pouvait parfois nous réserver des surprises inattendues. Si j’aurai pensé être dans cette position un jour, j’aurai crié que c’était une mauvaise blague, quelque chose d’impossible. Pourtant, ma vie avait tant changé ces dernières années. J’aurai toujours voulu être une artiste, une grande peintre, mais on m’avait forcé à faire du droit. On m’avait donné une seconde chance pour mon rêve, étudier l’histoire de l’art. Pourtant, je ne pouvais rien faire avec ce genre de formation, outre que devenir guide au MET. J’y avais pensé au départ, de devenir guide pour ce musée. Je ne voulais, cependant, pas remiser sur ma vie. Aujourd’hui, j’allais bien. Aujourd’hui, je savais marcher sur mes deux pieds, seule, la tête haute, en assumant mes erreurs. On grandissait de nos expériences, de nos erreurs. Si la vie était parfaite, elle serait bien trop triste. J’ai grandi cette dernière année. Je me suis rendue compte de la personne que je voulais vraiment être. Je voulais aider. J’en avais les moyens, et surtout je voulais le faire. Toute fois, je me rends compte que mes choix ont aussi causé la perte de certaines personnes, surtout de ma famille. Je ne parlais plus à ma soeur jumelle, ou à ma mère, et mon cousin, la discussion était très limitée, si pas inexistante. Il s’agissait de mes choix, j’en payais peut-être le prix, mais peut-être que j’allais mieux ainsi. J’étais entrain de siroter mon café, mon ordinateur sous mes yeux entrain de travailler. J’avais trouvé un certain plaisir de travailler au La Luna Cafe. J’étais obnubilée par mon écran, que je ne faisais pas attention à mon écran. Soudain, je sentis quelque chose me tomber dessus, façon de parler. Je me retournais pour voir qui avait bien pu faire cela, et je reconnus une chevelure blonde. Une particularité de la famille peut-être? Je soupirais, fermant mon ordinateur, et attrapant mes affaires pour me rendre jusqu’à la table de mon cousin. « Tu sais, Alek. Si tu voulais me parler, tu aurais tout simplement plus venir me rejoindre. »
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• J’ai jamais vraiment eu la plus grande famille sur terre, avec des cousins-cousines partout, avec plein de tantes, plein d’oncles, toujours là les dimanches pour ces longs et ennuyeux repas de famille. J’ai jamais eu cette vie-là, ou tu passes ton temps avec ta famille, avec tes frères, avec tes sœurs, avec tes cousins, tes cousines, tes grands parents… J’connais pas vraiment ce genre de relation, ou plutôt, je l’ai jamais vraiment exploré, comme ces personnes qui considèrent leurs familles proches comme des frères et sœurs… Et, avec Septembre, j’ai jamais eu cette relation super proche, c’est ma cousine, certes, j’serais là pour elle si elle a besoin d’aide, mais, j’sais pas, ça a toujours été assez étrange. J’ai longtemps été fils unique, sauf qu’il y a quelques années, j’ai appris que non, j’avais une sœur, ou plutôt, une demi-sœur née à quelques mois d’intervalle avec moi, limite jumeau d’une mère différente les gamins. Cette demi-sœur, Milena, elle a eu l’idée de tomber enceinte quelques jours après, ou avant, j’suis jamais rentré dans les détails, en même temps que Nevada, du coup… Si je vous dis que cette sœur qui est né à quelques semaines d’intervalle avec moi, a eu une fille qui est née à quelques jours, trois pour être plus précis, d’intervalle avec mon fils, vous vous dites surement que le destin fait bien les choses non ? J’me le dis aussi, et, j’me dis aussi que par moment, j’ai merdé. Comme avec Septembre, j’sais que j’ai merdé, que j’ai pas toujours été là pour elle. Et du coup, quand je sais que mon fils va avoir deux ans dans quelques jours, j’me dis que j’ai aucune envie qu’il grandisse sans une famille proche, qu’ils voient ces copains en parler à l’école, mais qu’il ne connaisse rien à ça. Alors, si j’avais une chance de rattraper la chose avec Septembre, et bien, j’essayerais de le faire. D’un coup, j’baisse la tête, faisant mine de ne rien savoir, de ne rien voir, d’être occupé à quelque chose, pour ne pas me faire attraper, ne pas me faire griller. Et, je l’entends, cette voix, en face de moi, qui est venue s’asseoir à ma table. Je lève la tête, faisant mine d’être surpris de la revoir. « Oh ! Ça va ? Qu’est-ce que tu fais là ?! » Pour moi, elle n’était plus à Harvard, du coup, cette boulette de papier que je lui avais envoyé dessus était pour essayer de comprendre pourquoi elle était de retour, et surtout, depuis combien de temps. •

   


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Avant de rencontrer Jeno et Alexys, je ne connaissais pas beaucoup le sens du mot famille. J’avais perdu sa signification au fil du temps en voyant ma famille se décomposer petit à petit, à cause des choix de ma mère. Même Alek, quand j’étais jeune, je ne le voyais que pour certaines occasions. Nos parents n’étaient plus si proches qu’avant. À qui la faute? Je n’en savais rien, et je ne voulais rien savoir de ce que ma mère faisait avec sa vie. Peut-être que tout cela était la faute de William. Je ne pouvais pas le savoir. J’avais coupé tout contact avec eux, pour me reforger. J’avais ce besoin de me distancier d’eux. Si j’étais tombée aussi bas, c’était en partie de leur faute, de ce qu’ils m’ont fait endurer, de la douleur que j’ai subi en leur présence. Aujourd’hui, je gardais la tête haute. En sortant du centre, je m’étais décidée de ne plus jamais baisser la tête, même en temps difficile, même quand je me sentais au plus bas de mon être. Retourner dans cette noirceur qui m’avait entourée pour des années me semblaient impossible. J’avais délaissé et déçu énormément de mon entourage. Ils avaient dû s’inquiéter pour moi, mais je refusais constamment de l’aide de leur part, les repoussant. Je voulais les embrasser aujourd’hui, leur montrer que cette jeune fille fragile était à présent une jeune femme forte avec un avenir. J’avais enfin trouvé une cause pour laquelle je voulais me battre. Je m’assis en face d’Alek, mon cousin, qui continuait de faire l’innocent, rangeant mon ordi dans mon sac. « Ça va bien, et toi? Qu’est-ce que je fais où? » Dans ce café ou à Cambridge? Parce qu’en soit, dans ce café, je pouvais y faire ce que je voulais, j’aurais très bien pu juste venir prendre des nouvelles de ma soeur, mais non. Alek allait savoir que j’étais de retour à Cambridge.
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• C’est assez étrange ces relations qu’on peut entretenir avec des personnes de la même famille, avec ces personnes dont les litres sangs qui circulent dans vos veines sont presque identiques. Et le plus étrange, c’est cette façon qu’on a de considérer d’autres personnes, des êtres humains avec aucun lien de parenté, et bien, de les considéré de votre famille aussi. J’dis pas que je ne comprends pas, parceque putain, j’suis le premier à comprendre ça. Septembre est ma cousine, et malgré ça, malgré le fait qu’on soit de la même famille, on n’a jamais eu l’une des meilleures relations que le monde a pu connaitre. On se voyait au diner de famille, de temps en temps, et puis c’est tout. J’suis plus proche de ma cousine Anya, que d’elle par exemple, alors qu’Anya c’est une fille qui parait super froide et méchante. Tout ça est assez étrange, que ça soit la génétique qui engendre que des gosses blonds dans cette famille qui est la mienne, ou cette façon que l’humain a de ce crée un cercle familiale autour de lui. Du coup, je ne peux m’empêcher de lui envoyer un petit bout de papier, histoire d’attirer son attention, comme le gamin que je suis. Mais, étrangement, elle a pas l’air de comprendre ma question, ou plutôt, elle fait comme si elle ne la comprenait pas. Gêne familiale, faire comme si on ne comprenait pas une question pour espérer passer à une autre. « J’vais bien aussi… » Et puis au final, que j’aille bien ou pas, est-ce vraiment la question ? Non, on s’en moque, on se fiche bien de mon état de santé sur le moment précis, j’veux juste savoir depuis quand elle est de retour, ce qu’elle fait ici. « Bah, qu’est-ce que tu fais dans cette ville, genre t’es de retour ou t’es juste de passage ? » Un passage à vide, un passage rapide, une pause-café, une pause tout court. J’en ai aucune idée, mais à sa tête, à l’expression qu’elle a sur son visage, j’me dis qu’elle est de retour ici, et qu’elle voulait se la jouer incognito. •

   


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Je ne connaissais pas vraiment la notion de famille. Je connaissais Alek depuis presque toujours, et pourtant, je n’étais pas pas proche de lui. J’avais du mal à m’ouvrir. Il avait ce truc qui le reliait à ma mère, bien que je ne sache si il avait encore contact avec celle-ci. Il faisait ce qu’il voulait. Toute fois, il y avait une distance. J’étais bien plus proche de ma demi-soeur et de mon demi-frère. Je ne les avais connu que bien plus tard, or avec eux, je me sentais bien. Je pouvais facilement m’ouvrir, parler de mes problèmes avec eux, qu’avec le reste de ma famille. Peut-être que c’était parce qu’ils pouvaient me comprendre, d’avoir une famille décomposée, qui tombe en morceaux. Je n’y ai jamais prêté attention, et je n’ai jamais demandé. Pourquoi essayer de détruire quelque chose qui marche? Nous étions bien. J’étais bien avec ma situation, et si cela voulait dire que je verrais Alek de temps à autre autour d’un café pour prendre des nouvelles, alors ça serait comme cela. Je ne voulais plus me compliquer la vie. J’avais enfin la question exacte d’Alek. Je passais une main nerveusement dans mes cheveux. « Je suis de retour. Je me suis inscrite à l’école de business. » Maintenant, il savait, et j’anticipais déjà un tas d’autres questions de sa part.
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• J’ai toujours pensé être fils unique, j’ai toujours pensé que jamais je n’aurais de neveux ou de nièces, que jamais je ne saurais ce que c’était de s’inquiéter pour une sœur qui rentre un peu trop tard, d’avoir envie d’éclater la gueule à un gars qui aurait largué ta sœur, de détester un mec que tu ne connais pas juste parcequ’il drague cette fameuse sœur. Alors, Jude était devenu mon frère, depuis notre plus jeune âge, nous nous connaissons, nous avons toujours trainé ensemble, et, c’est devenu logique que ça soit un frère en fait, que ça ne soit pas juste un très bon ami. Même si on n’a pas de lien de sang, même si on a pas de parents en commun, ça change rien. Bien qu’à un moment, j’ai bien cru qu’il allait devenir mon beau-frère, car ouais, j’ai appris que cet enfoiré a couché avec ma sœur, car ouais, j’ai appris il y a quelques années que j’avais une sœur, et, quand cette dernière nous a fait savoir qu’elle était enceinte, j’ai cru sur le coup que c’était un coup de Jude, genre avec son sperme un peu trop puissant, j’me suis dit que c’était finit. Mais non, coup de chance, enfin, j’sais pas si on peut appeler ça un coup de chance, j’aurais trouvé ça super cool d’être de la même famille que Jude, mais pour de vrai cette fois ci. Du coup, avec Septembre en face de moi, j’me dis qu’il serait peut-être temps d’apprendre à vraiment la connaitre, genre pour de vrai quoi, car par moment j’me dis que Neva connait mieux ma cousine que moi, super étrange d’ailleurs, car elle connaissait mieux ma sœur que moi aussi. « Ah t’es définitivement de retour alors ! Du coup toi, comment ça va ? Genre j’veux dire, en vrai… » J’savais qu’elle avait dû traverser des trucs pas toujours très cool ces derniers mois, et j’savais aussi que j’étais loin d’être la personne à qui elle aurait peut-être voulu parler, mais, je posais quand même la question sait-on jamais. •

   


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J’ai jamais été très proche d’Alek. Ce n’était pas un choix, mais un fait, une réalité, et je le vivais bien. Il ne fallait pas être lié comme les doigts d’une main non plus. On s’aimait bien, on s’appréciait, et puis on parlait de temps en temps. C’était déjà ça. J’avais plus de contact avec Alek qu’avec ma propre soeur ou ma mère, ce qui veut en dire beaucoup pour moi. Alors oui, je n’étais pas non plus à l’aise avec lui. Sa femme était plus au courant de mes problèmes que lui. Je pouvais plus facilement m’ouvrir à Nevada pour des raisons que j’ignorais. Je me suis toujours débrouillée, j’ai jamais vraiment laissé quelqu’un entrer dans mon monde, dans ce que je ressentais avant que je ne perde mon bébé. Peut-être que toute cette histoire avec Julian, Sander, mon enfant avaient été un réveil, une gifle dans la figure pour que je me reprenne en main. Je commandais un autre café à la serveuse, en ayant un peu besoin. J’avais arrêté les conneries, la drogue, l’alcool, même la cigarette, à la place, le café était devenue mon addiction, un bon moyen de transition. « Ça va. Je vais bien, genre vraiment bien. Partir avait été la bonne décision. » Répondis-je à mon cousin avec un sourire sur mon visage, une vision qui devait être bien trop rare pour mes proches. Moi sourire et heureuse? Deux traits qu’on associe pas avec moi. « Et toi? Comment tu vas? »
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• J’sais pas vraiment pourquoi on n’a jamais été proche, c’est comme ça, c’est tout. Peut-être que nos passions, nos amis, nos envies, notre façon de faire est trop différente pour qu’on deviennent les meilleurs amis du monde, peut-être qu’on ne rigole pas sur les mêmes choses, à vrai dire, j’pourrais vraiment pas répondre à cette question, j’en ai aucune idée, et réfléchir de trop finirait pas me faire mal au crane. Tout ce que je me suis dit en la voyant, c’est qu’elle avait l’air d’être de retour, et que c’était une bonne chose, une bonne chose si elle allait bien, genre vraiment bien, pas en apparence, qu’elle n’avait plus de problème de dépression ou d’anorexie. Je n’ai jamais été trop fan des maladies, de toute façon, qui peut l’être hein ? Personne je pense. Commandant un deuxième café, elle me fait savoir qu’elle va bien pour de vrai, et que partir avait été pour elle la bonne solution. J’hausse les épaules, si ça lui a fait du bien, c’est pas ça le plus important ? « Bon niquel alors ! Mais, genre t’es partie où ? » Bah ouais, elle est partie, mais j’sais pas où. Elle aurait pu partir dans la famille, partir dans le désert, dans la jungle, dans un temple bouddhiste, j’sais pas moi où elle a mis les pieds pour être bien, dans quel cadre elle s’est reposé. « Bien aussi, vraiment bien même ! » De toute façon, même quand ça va pas, ça va, alors, j’pouvais pas lui dire que non, ça n’allait pas, parcequ’au final, j’avais aucune raison d’aller mal, tout était bien dans ma vie, tout roulait comme sur des roulettes, et, puis, il y a quelques semaines, j’avais annoncé à Neva qu’elle avait deux petits lions dans sa réserve. « J’sais pas si Neva t’en avais parlé, mais maintenant, sa réserve elle est construite, et… Y’a deux petits lions dedans, c’est pas violent ? » J’pense que ça pourrait faire une idée de voyage pour les Quincy, non ? •

   


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Je pouvais lui dire ce que je voulais à Alek, je savais qu’il serait acceptant de mes choix, de ce que j’ai fais de ma vie. Je n’avais tout simplement pas cette initiative que j’avais avec d’autres personnes de venir directement après mon retour, voir Alek. Je pouvais vivre sans lui dire, sans qu’il ne sache, si je le voyais, et qu’il posait des questions, là, je lui dirais. Je ne saurais décrire notre relation. Vide? Peut-être. Je ne pouvais vraiment rien dire. J’ai toujours été plus proche des personnes que je faisais entrer dans ma vie, que ceux qui l’étaient depuis ma naissance. Même avec mon père, je m’entendais mieux avec lui depuis que je savais qu’il n’était pas mon géniteur. La vie pouvait nous réserver beaucoup de surprise. Mon second café arriva rapidement, et je pris une gorgée avant de répondre à Alek. J’étais pas sûre, si je devais lui dire. Alors j’attrapais un bic de mon sac à main ainsi qu’un morceau de papier. « Un peu partout, surtout en Afrique pour prendre des photos. J’avais besoin d’un temps mort. » Dis-je alors qu’en même temps, j’écrivais sur le morceau de papier que j’avais été dans un centre psychiatrique à cause de ma dépression, et de mon addiction. Je le lui tendis. Je ne voulais pas en parler à autre voix, trop d’oreilles indiscrètes autour de vous. « Oui, c’est super cool. Non, elle m’en avait pas parlé. Je l’ai vu furtivement au marché l’autre jour, on a un peu parlé, mais pas de ça. » Des lions, c’était trop cool. J’avais envie de les voir, ils devaient être trop mignon.
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