Oh, I love you. ♣ JUNEL

LOVE ♥ .
J'étais certain de vouloir épouser June, d'en faire ma femme. Mais déjà, j'avais rêvé a une demande romantique, de ma part. Et pas balancé comme ça, bien que le moment avait été bien choisi. " Mais June arrête... Je sais bien qu'un mariage ça prend du temps a organiser et tout ça. Je dis simplement que nous pouvons penser a d'autre chose avant ça? " Je n'arrivais pas a me justifier, je ne savais pas comment arranger ou calmer la dispute qui était entrain d'éclater. La soirée de rêve se termine en une nuit d'enfer. Ayant mit une serviette autour de ma taille pour ne pas être nu dans ce moment tendu. Et la, ma petite amie s'emportait totalement en disant qu'il ne fallait plus parler d'avenir, que c'était fini de l'appeler ma femme et tout. Je soupire en posant ma main sur mon front, et je relève mon regard sur le sien d'un air indigné. Non mais franchement il lui arrive quoi? " Parce que tu penses que pour lier notre amour faut forcément se marier? Je trouve qu'avoir des enfants c'est une façon de lier nos sentiments,... Les fruits de notre amour tu vois. " Et je secoue la tête en levant les yeux au ciel. Saoulé, ne trouvant pas d'issue de secours. Quand la jolie brune s'emballe, c'est difficile de la faire redescendre " De quoi c'est fini? Et t'appelles ça des conneries? Mais... " Va te faire foutre. Oui, la phrase a traversé mon esprit, mais je ne l'a dis pas. C'est le genre de mots qui ne sont pas sincères alors autant ne pas les sortir. Sauf que la, elle plante un poignard en plein milieu de mon coeur. J'engloutis difficilement, sentant ma gorge se serrer. " T'as décidé de devenir la championne dans la cruauté? " Je tapes dans mes mains, pour l'applaudir hypocritement. Et je poursuis " T'as gagné. C'est génial de faire ça juste avant, ce qui était censé être le plus beau jour de nos vies. J'ai pas dit un non du genre, 'je ne t'épouserais jamais'. Mais... " Je soupire " Mais laisse. Je ne suis qu'un menteur, et tu t'es trompé depuis le début. TRES BIEN! " Je commence a partir vers le vestiaire afin de récupérer mes vêtements. Mon poing percute la porte en passant. J'en avais rien a faire que ce soit mon lieu de travail. J'ai envie de tout casser pour le coup, étant totalement blessé.

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soirée spa

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June Moires & Gaël Vesper

Il parlait de penser à autre chose avant le mariage et je me demandais quoi, on avait emménagé, c’était fait, oui nous allions avoir des enfants mais ça, que nous soyons mariés ou pas ça allait arrivé et je ne vois pas trop ce qu’une cérémonie pouvait changer là dedans : « D’accord, alors quoi ? ». Oui j’étais un peu énervé, je lui en voulais beaucoup et j’attendais des justifications puisque pour lui tout semblait clair, cela m’énervait encore plus de voir qu’il faisait comme si de rien n’était…Comme si il avait raison et que j’avais tord, après tout c’est lui qui avait parlé de mariage en premier, pas moi. Nos enfants, ils le savaient très bien avait été conçu quand nous n’étions pas encore amoureux et j’avais l’impression qu’il confondait tout ce qui m’énervait au plus haut point : « Mais nos enfants nous les avons conçus lorsque nous n’étions pas en couple, arrête de tout mélanger, nous n’avions pas prévu de les avoir un mariage c’est différent, on est actif dans le mariage… ». Là il me dit que je ne devrais pas dire que c’était terminé, mais que devrais-je dire alors ? Je ne vais pas faire comme si de rien n’était, je ne vais pas accepter qu’il m’appelle ma femme alors qu’il refuse que je le sois, je vais pas le laisser me faire du mal, j’ai déjà eu trop de mal à cause des garçons et cela fait plusieurs fois que Gaël m’en fait sans se rendre compte mais je sais qu’un jour, je lui en voudrais davantage, je le sais oui. « Mais quoi ? Mais quoi ? Tu crois que je vais te laisser me faire du mal, te laisser m’appeler mon ange, mon amour, la femme de ma vie alors que quand je prends mon courage à deux mains tu m’envoies chier comme une merde…Tu m’as dit non donc je ne vais pas me laisser faire Gaël, je ne veux plus que tu m’appelles ainsi, c’est tout… ». Il m’appelle championne de la cruauté mais je m’en fou, de toute façon il peut bien penser ce qu’il veut : « Je préfère la cruauté au mensonge… ». Avouais-je d’un ton énervé et clair. Purée mais à l’entendre j’avais l’impression que j’étais juste un monstre alors que c’est lui qui venait de me briser le cœur en me disant non, c’était à lui de s’excuser, pourquoi moi je devrais le faire : « Oui j’ai du me tromper quelque part car je pensais que tu dirais oui, que je serais la plus heureuse des femmes…Je devrais comprendre pourtant que ce n’est pas pour moi ces choses là… ». Cela me fait toujours de la peine de penser que je vais rester malheureuse mais je m’y résolue à force, pourtant la naissance des bébés annonçait des évènements heureux. Il décide de s’en aller et bien qu’il s’en aille de toute façon, ce n’est pas moi qui vais le retenir avec des paroles, j’ai déjà tellement mal et tellement envie de pleurer…

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LOVE ♥ .
La suite de cette conversation ne m'annonce vraiment, mais alors, vraiment rien de bon. Je tente d'expliquer comme je peux le fond de ma pensée, et notamment le fait que nous avons le temps avant d'envisager un mariage. Je compte passer ma vie avec elle, alors que ce soit maintenant ou dans cinq ans ça change quoi? Sauf que quand ma jolie brune me demande a quoi nous devons penser, je baisse un peu les yeux et je dis en haussant les épaules " Commençons déjà avec les enfants. Ils vont bientôt êtres la, et il va falloir s'en occuper. Je vois mal une organisation de mariage se rajouter a ce quotidien. " Car faut pas se mentir, c'est certain que les débuts seront difficiles. Ma petite amie, de son coté, défend son idée et explique qu'il est possible de tout allier. Je soupire doucement, et je reprend un peu plus agacé " Mais je sais tout ça... Justement, j'ai envie de prévoir pour le coup. Et puis... J'ai envie que ce soit moi qui te demande. " Bah oui, j'aimerais m'agenouiller devant elle, voir ses yeux s'étinceler et mon sourire jusqu'aux oreilles. Peut être que c'est trop conventionnel, mais c'est l'image que j'ai de la demande. Pour le moment, mes yeux sont ronds, et j'ai l'impression d'halluciner. Je m'énerve petit a petit " Je te fais du mal? Mais en faisant quoi au juste? " En donnant des jolis surnoms? Bah merde... " Je ne t'ai pas envoyé chier. C'est toi qui commence a t'exciter alors que je t'ai juste dit que... Que le mariage peut attendre. Ca ne veut pas dire que je ne veux pas. " La cruauté aux mensonges. Ouais. Je fais un non de la tête, serrant la mâchoire tentant de ne pas devenir trop vexant. Etant un peu poussé a bout, je pose mes yeux noirs dans les siens, et je dis essayant d'articuler malgré que mes dents aient du mal a se détacher " C'est du grand n'importe quoi. Sérieusement... V'la l'image que tu as de moi June. C'est vraiment gentil de ta part. " Je souffle, et je commence a faire pour partir, en disant " Merci pour cette soirée. " Ouais; ça m'apprendra a faire des surprises. Et, si mon amoureuse avait su tenir jusqu'à la chambre, elle en aurait eu une a la hauteur de ses attentes... Mais bon. Mon poing va taper la porte, et je commence a m'habiller dans la pièce prévue pour. Torse nu, je boutonnais mon t shirt et mes mains viennent tenir ma tête. J'avais envie de tout casser, mais j'avais aussi envie de la rejoindre. Sauf que la, j'ai pas l'impression que ce soit de ma faute alors pourquoi j'abaisserais ma fierté?

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soirée spa

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June Moires & Gaël Vesper

Je lui en voulais, je n’arrivais pas à ne pas être en colère contre Gaël, pour moi toutes les raisons qu’il expliquait n’était pas des raisons valables, juste des bonnes excuses mais pour moi l’arrivée des enfants n’avaient juste rien à voir et pourtant il remettait ça sur le tapis. J’avais envie d’hurler et je crois que les hormones ne m’aidaient pas du tout, je n’en pouvais plus de l’entendre parler de notre vie dans ses termes là : « MAIS ON DIRAIT QUE CA VA ETRE UN ENFER…Dis le si tu ne veux pas des enfants en plus du reste… ». Je m’énervais, c’est vrai mais je ne pouvais pas faire comme si ça ne m’atteignait pas alors qu’il venait simplement de me détruire, j’en pouvais plus…J’avais envie de tout foutre en l’air, limite faire mes bagages et partir de la maison, c’est vrai que je partais vite en cacahuète, il faut bien l’avouer. Sauf que peut être que je prendrais ma vengeance le jour où il me le demandera car j’avais beaucoup de mémoire. « Tu peux pas tout décider Gaël… ». Je lui en veux vraiment. Je hochais la tête quand il me demandait si je lui faisais du mal, bien sûr qu’il m’en faisait, c’était douloureux de comprendre qu’il ne voulait pas lier sa vie avec la mienne et qu’il donnait des surnoms pour me faire plaisir mais qu’au fond il ne le pensait pas vraiment : « Ben tu me rejettes, comment je devrais le prendre ? Dire que tout va bien, que je suis contente…Non ça fait mal, imagine que tu m’es demandé ce soir de devenir ta femme et que je te dise non…Tu serais content ? Imagine juste deux secondes que tu me fasses une demande très importante et que je dise non, tu ne serais pas vexé sincèrement ? ». Oui, je voulais qu’il dise la vérité, sinon ça ne sert à rien franchement. Mais j’étais certainement qu’il allait encore trouver des excuses…Me dire que non, lui il aurait bien pris cela…Pff, je finissais par douter de lui. Il m’accusait d’être la cause de notre dispute, c’est vrai que lorsque je me disputais avec lui, j’y allais franco et rien ne m’arrêtait. « Et bien écoute merci à toi pour cette belle soirée mon amour, le père de mes enfants… ». Oui, j’insiste bien là-dessus car on va être lié pour la vie en plus du mariage et c’est peut être ça qui le terrorise. Je le regarde sortir du hamman, oui, je pourrais aller le rejoindre, courir. Mais j’ai déjà fait ça le soir du bal et ça ne m’a pas porté bonheur. Je n’ai pas envie encore de me trainer à ses pieds, n’ai-je pas assez dévoilé mon cœur en demandant d’être mon mari. Mes larmes coulaient sur mes joues et je sortais doucement du hammam pour me mettre dans le bain à bulle et essayer de réfléchir à tout ça et de me calmer. Je ne savais même pas si j’avais le droit d’être ici seul, sans lui.

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LOVE ♥ .
Non mais qu'est ce qui lui arrive d'un coup? Oui nous avions déjà parlés de mariage, enfin, j'avais déjà dit que je l'épouserais un jour. Mais je ne m'attendais vraiment pas a une demande maintenant, comme ça. J'ai été maladroit, mais la façon dont elle s'énerve est exagérée... Dire toutes ces choses. " PUTAIN! Mais j'ai jamais dit ça. Arrête de tenter de tourner ça a ta sauce. J'ai jamais été aussi heureux qu'avec toi... Et je veux de nos enfants plus que tout au monde. " Je soupire, je serre les dents et je tente de me contenir. Je la fixe, et je reprend " Je sais. Et tu vois, je me sens un peu con de dire que je suis l'homme le plus heureux avec toi. Parce que toi, t'as pas l'air de l'être autant que tu as pu le dire. " Oui, je pique un peu mais bon... Faut me comprendre, je me retrouvais face a la furie de June, et je ne savais vraiment pas comment calmer les choses. Dès que j'ouvrais la bouche, ça repartait de plus belle. Comme la, quand elle me demandait d'imaginer les rôles inversés. Je réfléchis un peu. Oui, j'aurais pu me vexer, mais j'aurais entendu ses raisons. De façon un peu plus posée que maintenant. " Si je serais vexé. Mais je ne m'emporterais pas autant que toi tu vois. " Je sens que ce n'est pas comme ça que je vais la détendre. " Qu'est ce qui te dit que ce soir je ne te l'aurais pas demandé justement? " Je hausse les sourcils et je commence a partir d'ici pour aller rejoindre les vestiaires. Un peu de violence sur la porte, et j'entend sa dernière phrase sans pour autant la relever.
Une fois dans la pièce, je me rhabille doucement, laissant mes nerfs redescendre. Torse nu, je finissais de boutonner mon jean. Une fois fait, ma tête vient entre mes mains, et je ferme les yeux en me demandant ce que je pouvais bien faire maintenant. Les bébés seront bientôt la, et nous sommes entrain de s'engueuler comme des cons. Le mariage ne me fait pas peur, enfin, le fait de ma marier avec elle ne me fait pas peur. Je suis sur de moi, je sais que je l'aime et que c'est un amour qui ne sera pas prêt de disparaître. Mon corps de redresse, et je fais me positionner en face du miroir pour me fixer dedans. " Fait chier... " Je passe ma main dans mes cheveux, et je pars retrouver le hamman. Mes pieds nus, le torse nu également, je marche. J'ouvre, et je ne vois plus ma petite amie dedans. Je fronce les sourcils, pensant au fait qu'elle ne pouvait pas partir sans passer par les vestiaires, mais que je ne l'ai pas vu la bas. " June? " Dis-je en haussant la voix. Et, machinalement mes pas avancent vers l'endroit où il y a le bain a bulles. " Juuuuune? " Rien a foutre si je réveille des clients.

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soirée spa

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June Moires & Gaël Vesper

Je tournais tout à ma sauce, bon, peut être que c’est vrai que je voyais les choses comme cela m’arrangeait mais j’en pouvais plus qu’il dise des choses négatifs à propos des enfants et aussi du mariage. Je pensais qu’on pouvait passer notre vie ensemble mais c’était plus le cas et ça me saoulait. « Tu sais quoi tu me soules, ça me soule, j’en ai marre de parler de ça…on est aussi têtue l’un que l’autre alors rien ne vas avancer…. ». C’est sûr qu’on est un peu braqué chacun de notre côté, lui qui me dit qu’il voulait se marier plus tard et moi qui avait compris qu’il ne voulait jamais se marier avec moi. « Mais bien sûr, je suis tellement malheureuse avec toi que j’ai demandé de t’épouser… ». Purée il commence à m’énerver. J’essaie de lui faire comprendre que je souffrais, que cette histoire me faisait mal, que je voulais qu’il comprenne ce que je ressentais mais encore une fois il me disait que je m’emportais. « Si tu avais ça en tête tu ne m’avais pas demandé du temps… ». Il partait et mes larmes ne faisaient que couler, c’était vraiment difficile de voir qu’il s’en fichait, qu’il préférait fuir plutôt que de rester avec moi, ça me faisait tellement mal. J’avais peur qu’il ne revienne pas, je savais pourtant qu’il ne me laisserait pas avec les enfants mais ça me faisait peur, une angoisse me prenait et j’avais besoin de parler à quelqu’un. Je n’avais même pas mon portable sur moi, je me décidais alors à parler avec des mots pour mes enfants : « Vous inquiétez pas les enfants, papa va revenir, il est juste un peu en colère mais vous n’inquiétez pas, papa et maman ils vous aiment beaucoup… ». J’avais peur et j’essuyais mes larmes, je ne voulais pas que mes enfants se sentent mal mais je sais bien que les enfants sentent tout surtout à leur âge, ils vont bientôt sortir de mon ventre. J’entends quelqu’un qui m’appelle, j’ai un sourire aux lèvres, c’est Gaël, je reconnaitrais sa voix parmi toutes les autres : « C’est toi mon cœur ? ». Oui je voulais qu’il me rejoigne et qu’on se fasse des câlins, c’est le meilleur moment quand on se fait des petits câlins après une dispute, j’ai encore des larmes dans les yeux mais l’envie de me réconcilier avec lui et pourtant bien présente. Oui, je l’aime. J’ai envie de l’embrasser et de le prendre contre moi. « Je suis là ». Murmurais je comme un enfant qui a peur de se faire battre, je sais que j’ai pas été très gentille avec lui mais quand je suis en colère c’est dur d’avoir le contrôle sur moi-même.

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LOVE .
C'est certain que ça ne va pas avancer en campant sur nos positions. Mais je ne peux pas lui donner raison, je dois défendre mes idées dans cette dispute. " Et tu crois que je ne suis pas saoulé peut être? " Bah quoi? Elle croit n'importe quoi, et a mon tour je m'y met. Pensant qu'elle n'était pas heureuse. Et j'avoue qu'elle marquait un point avec sa réponse, mais je ne me résignais pas a engager la paix tout de suite. " Ouais... Pourtant tu me décris comme un mec qui te fait souffrir alors je ne sais plus la... " C'est blessant de dire que je ne sais plus. Car tout comme moi, June a cette étincelle dans les yeux quand nous sommes l'un avec l'autre. Et il était préférable que je m'en aille. Je pars, et j'en profite pour m'énerver contre la porte, qui en l'occurrence, ne m'avait rien fait. Je pense que ma petite amie n'aime pas me voir m'emporter de cette façon, mais des fois mes nerfs me font faire n'importe quoi. Je me retrouvais, alors, entrain de m'habiller a moitié et de cogiter dans mon coin. C'est pénible, parce que je suis dingue de cette fille et que j'ai l'impression que nous passons le plus clair de notre temps a se prendre la tête ces derniers temps. Et bien que je n'ai qu'un boxer et un jean sur la peau, je me redresse et je sors du vestiaires. Je ne peux pas laisser une situation comme celle ci a quelques jours de l'accouchement. J'ai une fierté, mais a vrai dire, je m'en contre fous de perdre un peu de celle ci quand il s'agit de la femme que j'aime. Et bien qu'elle ne veuille plus que je l'appelle ainsi, je m'entêterais a le faire. J'avance alors, toujours dans la zone de SPA dans l'espoir de la retrouver, mais je me vois surpris d'aller dans le hammam vide. Inquiet, je commence a dire son nom d'une voix un peu haute pour qu'elle puisse l'entendre. Je reçois une réponse lointaine, et je m'approche de celle ci en l'appelant une seconde fois. Et son petit je suis la, m'indiquait que c'était dans le bain a bulles qu'il fallait aller voir. J'avance alors, et je la vois dedans. Je m'approche, et une fois au bord, je m'agenouilles pour m'appuyer sur le rebord et m'approcher de son visage. Je remarque ses yeux mouillés, et je m'en veux de la faire pleurer encore. Les yeux dans les yeux, une main passe sur sa joue tendrement, et je dis " Ecoute, et ne me coupe pas. " Je fais un petit sourire " Tu ne peux pas m'interdire de te donner des surnoms comme ma femme, ou autre. Parce qu'il est certain que je t'épouserais. Et malgré ce que tu peux penser, si je demande du temps ce n'est pas parce que je ne suis pas sur. C'est seulement parce que je sais que j'ai le temps. Nous avons le temps pour nous marier parce que je ne te quitterais pas. Jamais. " Je garde son regard dans le mien, retombant amoureux comme a chaque fois que ses yeux se posent sur moi " Je te promets que tu finiras par signer Vesper a la place de Moires sur tes papiers. C'est ma plus grande envie June... Je suis tombé amoureux de ma meilleure amie, parce que je me suis aperçu qu'elle était simplement la meilleure partie de moi. Et tu veux que je te dise un truc que tu ne soupçonne peut être pas? " J'ai un petit rictus en pensant a la suite, car je vais me livrer et prendre sa place quelques secondes " J'ai peur moi aussi. J'ai peur de ne pas être répondre a tes attentes. Je flippe a l'idée que quelqu'un puisse mieux le faire que moi, parce qu'il est certain que je crèverais si tu en venais a me laisser... " Et, mes yeux accompagnent mes dires. Même si le sujet du mariage restera un peu tendu, j'étais fier d'avoir dit tout ça a ma petite amie.

J
Spoiler:

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