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Il parait que la vie est comme un air de Jazz, d’abord calme et langoureux suivis du rythme cardiaque d’une batterie. Boom boom! Puis arrive la trompette grimpant swinguant, faisant vibrer les poumons de la vie. À la fois joyeuse et vivante mais, qui peux devenir fade et morte. Oh oui la vie était vraiment un air de Jazz. À la fois sucré et salé mais, tellement délicieuse.
C’est sur l’air de Starbust de John Coltrane de 1958 qu’arrivait Oliver, dans ce qui allait être le lieu de ses vacances. La Ford Mustang était sali par la poussière et la boue mais qu’importe tout ce lavait. Sauf la vie peut être ? Ont à toujours tendance à gardez des traces , des souvenirs doux ou ardents.
Ardent c’était bien le mot, comme la cendre de cigarette qui lui tomba sur la main, lui laissant échapper un juron. Secouant la main vigoureusement comme ci cela allait atténuer la douleur, il porta la brûlure à sa bouche. À croire qu’il croyait encore au bisous magique que donne les mamans au petits garçons.
Un supermarché dessinait ses formes anguleuse propice à l’achat compulsif ou non d’objet divers et variés. Le moteur étouffé de la Mustang eu un léger grognement à l’accélération minime que son propriétaire lui demandait. Une simple lancer vers le parking de l’endroit histoire de trouver un désinfectant, voir quelques spiritueux utilisable pour tenter une approche douce et appréciable.
Laissant glisser le volant entre ses mains dans des gestes contrôlé et précis. La Mustang dans une manœuvre banal pris sa place. Le moteur se tut laissant un court silence laissant à l’oreille le temps de percevoir les bruits alentours. La vielle portière s’ouvrit puis un pied attaché à une jambe couvert d’un Jean pris possession du bitume sous sa semelle. Il s’extirpa de son véhicule pour venir s’étirer un instant. Il avait mal au jambe et à la nuque rien d’étonnant après les milliers de kilomètres parcouru depuis L.A. D’ailleurs il était bien heureux d’avoir presque terminé son périple, bien que la route fut intéressante. Par contre il était déçu la 66 c’était pas vraiment l’idée qu’il en avait tant pis.
Lunette de soleil sur le nez, il enfila une blouson de cuir sur ses épaules, puis se dirigea vers le supermarché. Bon bien sur il avait préalablement verrouiller sa voiture mais est il vraiment intéressent de décrire la moindre pensées ou action ? Bien que pour ce qui est des pensées à l’heure actuel cela ce traduirait par : il me faut une bière. Comme quoi il n’avait plus mal à la main.
Il fit quelques pas dans le bâtiment regarda à droite et à gauche, plus par manie que par réelle recherche, puisque ses pas le menèrent directement vers ? La section alcool ou il commença à regarder avec insistance les spiritueux présent. En faite ça ne l’intéressait pas plus que cela mais aller savoir pourquoi il était persuadé de devoir en prendre un pack.
Alors qu’il était en pleine réflexion son regard vogua dans l’endroit avec un peu de chance il espérait tomber sur une personne qui lui donnerai la bonne idée.
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