the other half ◇ zeke

You and I are two oceans apart. We're on earth to break each others hearts, in two.
 
JE REVE OU ELLE PREND UNE PHOTO PENDANT QUE T'ES ENTRAIN DE MOURIR ? Elle on l'invite pas à ton enterrement, si c'est pour quel snap l’événement. Tu prend un peu ton temps pour récupéré ton souffle. « AU LIEN DE POSTER TA TRONCHE SUR INSTA TU POUVAIS ALLER TAPER : QUE FAIRE QUAND MON FRERE JUMEAUX EST ENTRAIN DE CREVER SOUS MES YEUX ? » tu fais de grand geste – qui te permette d'ailleurs de reprendre plus facilement et plus rapidement ton souffle – tout en te redressant. C'était tout de même gentille de sa part de t'aider, elle aurait pu te laisser crever ici, récupéré le fric qu'il y a dans ta poche et se tiré avec. Mais au lieu de ça, elle t'as tout de même aider à récupéré ton souffle et ne pas mourir étouffer, parce que mine de rien c'est une mort horrible et tragique de mourir étouffer dans les rues dégueulasse de New York, tu n'aura même pas le droit à une page dans le journal. « Peut être pas, mais ça veut pas dire qu'on peut s’autorise à s'embrasser, ou encore à se branler l'un en face de l'autre, ou imaginer des plans à trois avec l'une de tes copines, c'est tout aussi écœurant. » chose qui n'est pas très très catholique, et improbable. Quoi qu'il en soit, il serais préférable de quitter cette endroit, que tu ne connais pas du tout. Vous reprenez donc le chemin vers la route la plus proche pour pouvoir prendre un taxis. Elle hurle après que tu lui ai dit qu'effectivement tu été son frère, et pas n'importe lequel: son frère jumeaux. Ça semble impossible et pourtant, les fais son là. Elle ronchonne et te suit de près, histoire de ne pas se perdre, alors que ton cerveaux replay tout ce qui s'est passer. The mother, l'annonce, la crise, le baiser, est-ce que tout ça est réel ? Et surtout : est-ce qu'elle est morte. Cette qu'est-ce t'échappe à haute voix d'ailleurs, et tandis que vous arriviez à une rue, celle-ci t'explique son point de vu sur la chose. Tu lèves le bras, tel un vrai Newyorkais pour arrêter un taxis, mais aucun ne semble vouloir vous prendre. Sa réaction t'étonne pas mal, et tu fronces les sourcils face à sa réponse assez.. brute ? « C'est vrai en s'en fou.. Le truc c'est qu'elle a toujours eu ce qu'elle voulait de moi. Et on était pas obliger de lui donner un organe, elle voulait juste qu'on passe les testes pour savoir si on été compatible. Après, on s'engage pas à lui donner quoi que ce soit tant qu'on est pas sûre qu'on est compatible... Et puis on puis aurait donné et après POUFFE, plus jamais de nouvelle, débarrasser une bonne fois pour toute. »  ou pas, elle doit te trouver ridicule, ou plutôt faible. Ce laisser faire par une vielle femme qui ne tiens même plus debout. Un taxis finit par arriver et vous vous installez sur la banquette arrière, elle d'abord bien sûr, galanterie oblige. Tu files l'adresses au chauffeur, direction la maison des Van Der Woodson, lorsque la remarque de Zeke, te fis rire. « Dis le si j'te plaît, on aura des enfants un peu chelou par contre, y a de forte chance qu'ils soient tous attarder. » dis-tu en gloussant, et t'installant confortablement sur le siège, c'était mérité après ce périple, et comparer à elle tu es loin d'être un athlète. « Je fais aucun sport comparer à toi, co-capitaine Cooper. J'suis plus maths, science, j'ai une passion particulière pour la chimie, au lycée on me surnommé léonard hofstadter. » enfin, le peu de gens qui te connaissait et avec qui tu discuté. Vous arriviez rapidement, une vitesse grand V dans cette ville ou les embouteillages sont constant. Cette fois-ci tu sors le premier pour lui indiquer le chemin, l'appartement de tes parents étaient au dernier étage d'un des plus gros immeubles de new york, parfois ça te faisait  peur, et d'autre fois tu adorer dominer new york du haut de ton balcon. « J'suis aussi doué en informatique, j'te connaissait déjà bien avant que tu ne saches que Warren existe. Mais je ne suis jamais venu te parler, les Cooper t'ont choisit et pas moi et je n'ai jamais pu le digéré. » ta voix est rempli d'amertume et d'accusation, comme si c'était elle qui avait choisit d'être l'enfant voulue pour te laisser la place de celui qui se fait kidnapper. Une fois devant la porte, tu la laisses encore une fois passer en premier, découvrant l'appartement dans un bordel pas possible. Les jouées de Luna été éparpiller un peu partout et une montagne de ligne propre non repasser trôner au milieu du salon, la honte.

DOUBLE Z