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You and I are two oceans apart. We're on earth to break each others hearts, in two.
 

The mother a été l'un de tes plus gros problème d'adolescent. Pendant le quart de ta petite existence, tu as passer ton temps à la chercher, la chercher et encore la chercher. Et quand tu as finit par la retrouver, c'était : une horreur. J'ne sais pas vraiment ce qui est insupportable chez elle, le fait qu'elle pense tout savoir tout le monde ? Ou le fait que sa bouche empeste le chedard pourris au soleil ? Ou cette espèce de bandana fashian faux pas qu'elle porte au dessus de sa tête ? Tu l'avais vu une seule fois, une dizaine de minute, et tu as compris que c'était la femme que tu haïssait le plus au monde, et tu souhaiter ne plus jamais la revoir. Mais ce ne fût pas le cas. C'est comme shooter dans un nid d'abeille, elles finissent toujours par venir te piquer, et dans le cas de the mother c'était pour te piquer du fric. Elle avait jouée la carte de la pauvre femme en difficulté et comme un pauvre crétin, tu l'as aider. Et encore aider, et encore une aider et encore une dernière fois, en pensant que ça aller être la dernière fois. Et un jour : plus rien. Plus d'appel, plus de requête de tel ou tel montant, plus d'invitation à jouer à city ville sur facebook : le néant. Et puis un beau jour, une invitation par la poste pour son enterrement. C'était bizarre, tu aurais voulu lâcher une larme ou encore être triste, mais c'était tacos végétarien au self et la saison 5 de teen wolf venait de s'achever, comment être triste ? En plus il faisait beau, c'était vraiment pas un bon jour pour mourir. Tu en a rapidement parler à tes parents, à Palmyr et ils t'ont conseiller d'aller y faire un tour. Bien sûr, loin de toi l'idée de faire un discourt émouvant pour dire ô combien cette femme était importante. Faire acte de présence était déjà quelques choses. Durant le trajet, tu t'es demander si tu devait prévenir cette petite garce de Zeke. Certes, elle ne connais pas ton existence, elle ne sait pas qui tu es, et d'où tu sors, mais elle a tout de même user de l'utérus de cette femme pendant neuf long mois et elle mérite de le savoir. Peut être serait-elle aussi bouleverser que toi ? Quoi qu'il en soit, tu lui envoie un poke sur facebook. Ça veut dire plein de chose, peut être que l'une d'elle pourrais dire : ta mère porteuse est morte dans sa salle de bain ? Arriver sur place, tu essaie de paraître triste, avant d'entrée dans l'église.

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@Zeke Cooper the other half ◇ zeke  1001568715
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C'était quoi encore cette putain de connerie ? C'était une blague c'était ça ? L'univers qui se moquait encore de toi ? Parce que ce n'était juste pas possible. Ce n'était pas croyable. Et pour être tout à fait honnête, tu n'en pouvais plus d'apprendre des nouvelles choses tous les jours. Des choses que tu devrais savoir depuis que tu es née, mais que le monde semblait vouloir te cacher avec insistance. Il y a quelques semaines c'était Warren qui t'annonçait qu'il avait découvert qu'il était ton frère, au vu de vos noms de famille, de ton prénom qui ressemblait à une lettre près à celui de votre sœur morte, des noms de vos parents, d'où t'as résidé toute ton enfance. Et ce con il était parti pour la seconde fois en moins de quelques mois, te laissant seule et totalement confuse, énervée. Et il y a quelques jours, c'était une lettre qui t'étais apparu – enfin, deux. D'abord ce faire part de décès, au nom totalement inconnu, et tu fronçais tes sourcils, pensant au départ que le facteur s'était trompé de personne. Puis tes yeux s'étaient posés sur cette enveloppe, avec ton premier nom en cursive sur le devant, et t'as dû le sentir, que les ennuis ne faisaient que commencer, que cette lettre ne présageait rien de bon. Alors t'as attendu un jour, avant d'enfin l'ouvrir, sans grande envie. Et une nouvelle fois, tu crus défaillir. C'était signé de la femme au nom bizarre qui était morte, et elle te racontait tout ce que tu ne savais pas encore : une histoire de mère porteuse, et merde, il allait vraiment falloir que tu parles à tes parents, car plus les minutes passaient, plus tu te sentais comme la grosse conne dont tout le monde connaissait l'histoire – sauf elle. Et c'était horrible, de sentir que des étranger puisse mieux savoir d'où vous veniez que vous-même.

T'as pas voulu aller à l'enterrement. Après tout, qu'elle dise la vérité ou non, tu ne la connaissais pas, et elle était morte. Aucune raison d'y aller non ? T'allais pas être triste, t'allais pas être émue, t'allais pas faire de beaux discours sur la personne merveilleuse qu'elle était, alors à quoi ça servait d'y aller ? T'as fini par te décider, par prendre le train jusqu'à l'adresse écrite sur le faire part. Tu tentais de te rassurer, de te dire qu'en y allant, tu te rapprocherais peut-être un peu d'une partie de ton histoire qui, même écrite noir sur blanc, te semblait si fausse et éloignée de la vérité. Comme si en voyant le cercueil, t'aurais des flashs, des morceaux de vie lorsque tu avais quelques minutes, qui te reviendraient en tête, qui donneraient un sens à tout ça. Débile. Après avoir dormi à l'hôtel tu te retrouvais à marcher sur les pavés, robe noire, maquillage sobre, et une mine des moins motivée. T'arrivais devant l'église, et regardant autour, tu ne voyais qu'un jeune homme brun qui attendait, et tu tiquais un peu, désagréablement. Est-ce que c'était normal qu'il n'y ai personne pour cet enterrement ? Étais-tu si en avance que cela ? Ne t'étais-tu pas trompé d'endroit ? Tu regardais une nouvelle fois le carré de papier, comme pour vérifier tes informations, et tu finissais par soupirer, car tout semblait portant en ordre. « S'lut. » Tu disais en relevant les yeux sur le seul mec, qui devait avoir ton âge, mais que tu ne connaissais pas. « C'est normal qu'il n'y ai personne ? » Tu lui demandais, comme s'il détenait toutes tes réponses. T'étais déjà assez inconfortable d'être à l'enterrement d'une inconnue, alors autant bavarder pour te sentir mieux.

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C'était loin d'être un bon jour pour aller à un enterrement, vu le ciel bleu qui s présenter et toutes les bonnes choses que l'ont peut faire un jour de semaine à New York, c'était prèsque une torture de venir à l'enterrement de cette stupide femme. Mais c'était le geste qui compté, après tout, les affaires qui aller être partager suite à son décès devait être à 50% à toi, vu tout le fric que tu lui a refiler pour qu'elle te laisse tranquille. C'était donc censer être une journée basique, mais tu connais assez bien the mother pour savoir que cette connasse a toujours des idées derrières la tête. Tu arrives donc à l'enterrement en premier, une salle vide. Avec des chaises éparpiller un peu partout, comme si les gens ici c'était amuser à tout mettre en déborde, des tableaux décrocher, et une odeur de mort au rat et de clochard. Tout pour faire une fête mathers parfaite dite moi ! Et le néant. Des pas s'approche de toi, et tu reconnais sans difficulté Zeke et ses immenses jambes de top model. Pourquoi les bon gênes vont toujours chez les gosses les plus aimer ? Tu roules des yeux et fronce les sourcils. Qu'est-ce qu'elle foutait là ? Ne me dit pas que le poke que tu lui a envoyer sur facebook avait suffit pour qu'elle comprenne toujours la situation et qu'elle sache ou venir pour l'enterrement ? « Je.. Qu'est-ce que tu fou ici ? » tu secoues la tête, perdu, c'est pas possible.  « C'est censer être un enterrement. Mais dans les enterrement, il y a généralement un corps mort, un cercueil, un prêtre pour les croyants et deux trois personnes venu pleurer le cadavre. » tu n'as pas le guide du meilleur enterrement mais généralement c'est ce qu'il faut, hors, il n'y avait rien de tout ça. Tu t'élances un peu plus en profondeur dans la salle, pour voir si elle n'avait pas laisser quelques choses, un mot de merde ou encore un post it disant : je suis bien morte, rentrez chez vous. Mais rien du tout. « Elle nous a eu cette sombre pute, cette espèce de- » tes paroles se stop lorsque the mother fait son entrée. Elle était plus fébrile et plus minces qu'au par avant. Tu avait garder une photo d'elle, du temps ou tes parents t'avait adopté. Elle était jeune, mince, un sourire brillant, et des cheveux lisse et couper en carré. A présent elle avait les cheveux grisonnant attacher en haut de son crâne en crotte et elle paraissez vingt ans de plus, super maigre et des poches sous les yeux. « Je savait que t'étais pas morte, c'était trop beau pour être vrai. » alors que tu t'apprête à partir, elle te fait un signe pour te stopper. Elle a toujours ce même air sévère et dur, comme si elle avait inventé l'eau chaude, et qu'elle savait tout sur tout. « Bonjour, Lydie. Tu es magnifique, comme je l'imginer. Zéphyr, t'es pris du poids gros balourd, va rejoindre ta sœur, j'ai a vous parlez. » sa voix est autoritaire, et tu ne peut pas l'ignorais.

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Est-ce que c'était triste, que la première fois de ta vie que tu te retrouves à New York, ce soit pour un enterrement ? T'étais toujours restée dans Londres depuis ton enfance, sans compter les occasionnelles vacances lorsque tu suppliais tes parents assez fort jusqu'à harcèlement pour qu'ils acceptent, et te voilà enfin à la Grosse Pomme, ville que des milliers de gens rêvent chaque jour de visiter, et toi t'allais même pas t'amuser mais voir le cercueil d'une femme morte et qui t'étais inconnue entrer sous terre. T'espérais que la prochaine fois que tu viennes, ce soit différent, ce soit pour te donner de nouveaux souvenirs, mais pas pour un truc aussi morbide. En plus t'étais tout ce qu'il y avait d'inconfortable, debout sur tes talons, sans avoir personne avec qui patienter que tu connaissais, perdue dans une ville aux allées méconnaissables. Tu fronçais tes sourcils alors que le mec te répondais, et tu croisais tes bras contre ta poitrine, relevant un peu ton menton comme un signe de protection, de supériorité. « Qu'est-ce que j'fous ici ? Tu répétais, interloquée de la manière dont il te parlait alors qu'il ne te connaissait même pas. Et qu'est-ce que tu fous ici toi ? J'ai reçu un faire-part, j'ai tous les droits d'être là. » T'avais pourtant été gentille quand tu l'avais salué, mais apparemment le mec il avait dû croire que vous étiez des vieux potes de récréations ou tu-ne-savais-quoi pour te parler d'une telle manière. Heureusement, il reprenait la parole, parlait effectivement de l'enterrement, et tu balayais une nouvelle fois la pièce en ruine du regard – ça ne t'étonnerait même pas que cette église n'en soit même plus une vraie, laissée à l'abandon depuis des années. « Ouais, tu pleures pas. T'as aucune idée de ce que tu fous ici toi aussi ? » Tu commentais, curieuse, parce que peut-être que t'étais pas la seule paumée dans cette histoire, et ça, ça rassurait toujours, comme à l'école lorsque son voisin n'avait lui aussi pas fait l'exercice prévu. Tu ne savais pas qu'il te connaissais, tu ne savais pas qu'il avait des a priori sur toi, tu savais juste que, peut-être, il était venu pour l'enterrement sans vraiment savoir de qui il s'agissait, et comme toi il avait été curieux, mais pas au point de pleurer une inconnue. « Elle nous a eu cette sombre pute, cette espèce de- » Tu l'entendais marmonner, mais tu n'eues pas le temps de lui poser une question qu'une femme arrivait à son tour dans la pièce, ses chaussures résonnant sur le carrelage de la vieille église. Tu la regardais, pas vraiment impressionnée, parce qu'elle n'avait pour le coup rien pour elle. Elle passait facilement pour une sdf, à la recherche d'un lieu pour dormir ce soir. T'as même failli t'excuser, lui demander pardon d'avoir avec le-brun-qui-n'avait-toujours-pas-de-prénom envahit l'endroit qu'elle avait sûrement trouvée pour dormir à l'abri des fraîches nuits de New York, mais le mec parlait à nouveau, et tu ne comprenait pas tout, si ce n'était le fait que lui, il l'a connaissait. Tu avais l'air d'une spectatrice, regardant la brève entrevue des deux, et elle semblait avoir un pouvoir malsain sur le brun. Puis elle posait ses yeux sur toi. « Moi c'est Zeke. » Tu corrigais la voix un peu plus forte, parce que pour qui elle se prenait elle aussi ? Sorry not sorry mais tu ne pouvais pas lui retourner le compliment. T'écoutais pas trop ce qu'elle disait. Disons que ça entrait dans l'une de tes oreilles mais que tu n'analysais pas les éléments de sa phrase qui comportait pourtant des réponses à tes questions informulées. T'avais juste envie de rire en voyant le jeune homme de ton âge se décomposer de sa précédente détermination en deux paroles sévères. T'en pouvais plus des conneries. « Mh, j'suis désolé mais j'suis pas venue pour me faire diriger comme à l'école moi. J'sais même pas qui vous êtes. J'suis là pour un enterrement, s'il n'y en a pas je vais y aller. » Tu annonçais clairement, un faux sourire sur le visage, avant de marcher vers la sortie.

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Parce que the mother et Zeke sont soudainement devenue meilleure copine ? À un point ou elle l'as mise sur la liste des gens a prévenir quand elle aller mourir ? Tu arques un sourcil, et grimace. Non pas que tu es jaloux qu'elle soit en contacte avec the mother, mais tout de même, tu été beaucoup plus '''proche''' d'elle, que Zeke aurait pu l'être. Cette fille a toujours été dans l'ignorance total. « Moi aussi, malheureusement. J'aurais préféré qu'elle crève en silence, sans prévenir personne. Faire semblant c'est pas vraiment mon fort. » la preuve en est, tu n'est ni bouleverser, ni contrarier, ni même blesser, tu vas très bien. À part être légèrement chier d'avoir mis soixante bal dans un billet de train. Tu regardes tout de même ta sœur, tout en étudiant les lieux, elle avait l'air aussi paumer et désorienter que toi, ne sachant pas vraiment comment réagir. Tu aurais aimer savoir à quoi elle penser, et ce qu'elle savait de tout ça. « C'était une menteuse, une tricheuse et quelqu'un d'affreusement égoïste, il n'y a rien à pleurer dans ce genre de personne. Et moche. Enfin, vers la fin de sa vie, jeune, elle avait un visage d'ange et des jambes à ne plus en finir.. un peu comme toi. » dis-tu en gardant tes yeux sur ses jambes. Elle avait même hérité des longues jambes, t'as l'air de quoi toi sur ton mètre soixante, quand elle fait une taille de mannequin. Tout ça été stupide, et tu t'apprêter à quitter les lieux lorsque cette vielle morue fit son apparition. Tu n'en croyait pas tes yeux, elle était bien là : vivante. Tu le savait, tu savais qu'elle ne pouvais pas disparaître comme ça, c'est le genre de vielle peau qui ne meurt jamais. Ta réaction fût un peu violente, et la sienne aussi, elle te stoppe tout en parlant à Zeke et te rabaissant au passage. C'est là que tu te rend compte que Zeke est bien ta moitié. Le ton qu'elle utilise est ferme et forme, elle s'en vas d'un pas décider sans chercher à comprendre, the mother l'arrête d'un geste de le main. « Zeke, quel surnom stupide, je suis persuadée que ce morceau de papier ne t'as pas suffit. La vérité est beaucoup plus grosse, alors tu as le choix, partir et rester dans l'ignorance ou alors rester et savoir ce qui se cache derrière toute cette histoire. » tu restes un peu à l'écart de la scène, ne sachant pas comment réagir. Elle était si terrifiante, on aurait dû la reine dans blanche neige quand elle a échanger sa beauté pour devenir une vielle peau. Et qu'elle essaie de pomper la jeunesse de Zeke, sans réfléchir tu tire ta sœur pour la retirer de son emprise, instinctivement comme pour la protéger du mal. « Elle n'a pas besoin de toi. » dis-tu en la poussant limite. Et vous vous dirigiez vers la sortit, d'un pas ferme. Jusqu'à ce que sa voix raisonne de nouveau. « Mais moi j'ai besoin de vous ! Écoute Zéphyr, je sais que tu me déteste,mais je vais bientôt mourir et j'ai besoin d'un tout petit bout de foie. Un minuscule petit bout de foie et plus jamais, je dit bien PLUS JAMAIS, je ne vous demanderez quelques choses. Passez juste les testes et.. et on verra, hein ? Mes enfants. » cette femme est f o l l e.
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Tu hochais doucement la tête, écoutant avec attention ce qu'il te disait sur cette femme. Non, il ne semblait l'apprécier du tout, et tu en venais à te demander ce qu'il pouvait bien foutre ici, à l'enterrement de quelqu'un qu'il haïssait. Si t'étais à sa place, tu ne te serais sûrement pas déplacée pour quelqu'un que tu ne pouvais pas voir en peinture, et pourtant le voilà, comme s'il avait voulu s'assurer de ses propres yeux de la véracité de l'information grâce à un cadavre. « T'as l'air de bien la connaître. C'était qui, pour toi ? » Tu osais demander, pas vraiment certaine de qui se trouvait en face de toi, et il reprenait, comptant les nombreuses qualités qu'il avait pu observer chez cette femme. Tu finissais par jeter toi aussi un coup d'oeil à tes longues jambes à sa remarque, et tu humidifiais tes lèvres, haussant tes épaules. « Ma mère aussi est très grande. » Tu te justifiais, comme mal à l'aise qu'on puisse te comparer à quelqu'un de mort, comme mal à l'aise que tu puisses réellement ressembler à cette personne qui ne t'avait pas élevée. Seulement, elle était belle et bien vivante, et elle daignait enfin sortir de sa cachette quelques secondes plus tard. Pas d'enterrement donc, tu n'avais plus rien à faire ici. Erreur apparemment. « J'vous emmerde. C'est quoi vot'e nom à vous ? J'arrive même pas à le lire. » Tu dégainais lorsqu'elle comparait ton surnom à quelque chose de stupide – toujours moins stupide que d'avoir un prénom presque copier-coller d'une grande sœur cancéreuse. Tu croisais ensuite tes bras à nouveau contre ta poitrine, la dévisageant de haut en bas – ta curiosité te tuerait un jour. « Dans ce cas-là, vous feriez mieux de commencez de suite à parler, j'compte pas rester des heures ici. V'zêtes qui ? C'est vous qui êtes censée être... Ma porteuse ? » Tu finissais, une hésitation dans le trémolo de ta voix, alors que tu ne savais pas bien comment tu étais censée appeler cette femme. Si tu comprenais bien la situation – du moins la partie émergée de l'iceberg – elle était celle qui t'avait écrite cette lettre, où elle te racontait ta naissance dans un petit hôpital de New York, avant d'être donné à tes parents. Elle avait été par ses dires ta mère porteuse, mais au final, elle n'en restait pas moins une inconnue, et quand tu l'a regardais, tu ne ressentais rien, pas d'émotions particulières, pas de sentiments indescriptibles ni cet instinct de reconnaissance d'un enfant à sa mère. Tu avais passé un peu moins de neuf mois dans son ventre et pourtant, au final, ça ne comptait pas tout ça. Le seul homme de la pièce te tirait, te ramenait un peu en arrière, t'obligeant à reculer de quelques pas pour te retrouver moins proche d'elle. Tu le laissais répondre, et tu le suivais alors qu'il prenait à nouveau l'initiative de sortir, avant que la voix de la vieille résonne à nouveau dans la cathédrale. Et là, tu éclatais de rire. Parce que tout ça n'était qu'une caméra cachée, vrai ? Une femme, que tu n'as jamais vu, met en scène son faux enterrement, et fait venir deux gamins pour leur demander un bout de foie ? Même les plus grands scénaristes n'avaient pas eu cette idée-là. Tu écrasais délicatement les perles qui coulaient légèrement du coin de tes yeux, ton rire diminuant alors que tu tournais ton visage vers celui du brun, Zéphyr tu retenais enfin. « Vous êtes très drôles vous deux, très très drôles. » Tu leur disais – incluant le garçon dans la farce puisqu'il avait vraiment l'air de la connaître, un peu trop pour ton confort. Elle avait l'air bien plus familière avec lui, et tu te demandais s'ils n'avaient pas mit tout ça en scène pour se payer ta tête. « La prochaine fois que vous voulez passer dans juste pour rire faudrait modifier un peu votre scénario. La fausse mort, la demande de foie, c'est trop gros tout ça, trop improbable. Vous devriez rester sur des blagues bien plus ordinaires mais qui marchent bien mieux. Bonnes idées, mais malheureusement pas très bien ficelées. » Tu finissais par dire, le ton léger mais un peu plus sérieux,telle une vraie critique humoristique tout droit sortie d'on ne demande qu'à en rire, prête à rivaliser avec toutes les Catherine Barma du monde.

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The mother et Zeke, s'échange des regards, des paroles, tandis que tu es encore sous le chocs. Alors comme ça elle est au courant ? Pour la mère porteuse, l'adoption, le second bébé ? Est-ce qu'elle est au courant du second bébé ? Tu poses tes yeux sur elle, comme à l'attente d'une réponse, alors que tu n'as rien dit, et tu ne dit rien d'ailleurs, c'est comme si on t'avais voler ta voix. « Appel moi maman ? Tu as grandit en moi ma fille, tu es un bout de moi, et je suis un bout de toi. » une folle, voilà comment elle était. Ses cheveux grisonnant, sa voix fade et fatigué, et ses petits gestes qu'elle essaie de faire pour attendrir Zeke. « Surveille ton langage, « Zeke ». - ses doigts faisait des guillemet et elle lever les yeux aux ciels, comme épuisée de devoir dire son prénom -  Tu manques vraiment d'éducation, jeune fille. J'aurais dû te garder, et t'apprendre au moins les bonnes manières. » ceci est une grosse blagues, cette femme n'est pas sérieuse, cette femme se fou de tout ce qui l'entour, et ne pense exclusivement qu'à sa poire, elle, elle, elle et encore elle. Est-ce que si le ciel s'écroule elle va demander aux victimes de lui passer de la monnaie pour sa baguette ? Tu restes outré et sans voix par tant d’hypocrisie, et dire que tu avais tout de même un peu de remord par rapport à elle. Mais c'est bien elle, égoïste, égocentrique et pensant tout avoir de tout le monde : the mother à l'état pur. Les sentiments s'efface rapidement, lorsque tu entend sa requête, que le rire de Zeke explose dans la salle vide, et que sa remarque te ramène à la réalité. « Est-ce que ça a l'air d'une blague ? Je suis en train de m o u r i r. et j'ai besoin de vous.. ma chair. » peut être qu'il fallait lui donner une chance ou peut être qu'il fallait juste la laisser parler dans le vide. Elle supprimer l'espace entre vous trois en marchant doucement vers vous, et dans un geste vif, tu l'as repousse  violemment en arrière. Ta main continuer a maintenir le dos de ta sœur que tu pousses à son tour pour quitter les lieux pour regagner la rue. Tu te retourne une dernière fois pour la voir au sol, inerte. Peut être que tu l'as tué ? Dans ce cas là, tout ça n'auras pas été un mensonge.  tu l'as tire, autant que tu peut, dans le rue. Tu courais presque à vrai dire, comme pour la fuir. Comme quand t'es gosses et que tu cours dans tout les sens pour pas te faire choper au loup. Alors tu cours, pour ne pas te faire attraper par le plus grand méchant loup que tu connaisses, et t'arrête dans une ruelle qui t'étais inconnue. Le souffle cours et la chemise tremper. Ta voix, n'est toujours pas venu, alors tu poses tes yeux sur Zeke, et tu te met... à faire une crise de panique. C'est vraiment vraiment vraiment pas le moment, Zéph.
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Plus tu passais des minutes devant cette femme, plus tu te demandais si quelqu'un comme ça existait vraiment. T'étais peut-être en train de cauchemarder, Zeke. Parce qu'il n'était pas possible qu'une meuf te demande réellement de l'appeller maman lors de votre première rencontre. « Hm... Merci mais j'ai déjà des parents. » Tu répondais, tes lèvres plissées en une ligne écœurée. Et voilà que deux secondes plus tard elle se prenait encore plus pour ta mère, et qu'elle te demandait de surveiller ton langage : la blague de l'année. « Mes parents m'ont très bien éduqués, vu que vous ne me connaissez pas, je ne crois pas que vous pussiez juger. » Et ça, malgré les mensonges qu'ils t'aient dit depuis toute ton enfance, malgré les trop grosses omissions sur ton histoire et ta naissance, tu le pensais vraiment. Les gens, d'un œil extérieur, pouvaient facilement penser le contraire. Pour eux tu pouvais avoir l'air d'une fille pourrie gâtée, qui n'avait aucun scrupule pour manipuler les gens lorsqu'elle en a l'occasion, qui avait une grande gueule et qui ne réfléchissait que rarement quand elle parlait, qui n'avait pas de filtre en société et qui ne faisait preuve d'aucune empathie même en face de la misère des gens. Mais toi, tu ne trouvais pas ça si mal. Dans tes yeux à toi, ils t'avaient éduqués de manière à ce que tu deviennes la femme libre que tu étais aujourd'hui, forte, combattante, poussant toujours pour obtenir ce qu'elle le voulait même quand cela paraissait impossible, n'ayant besoin de personne, et prête à accomplir petit à petit ses rêves, comme cette année avoir été choisie pour être le co-capitaine de l'équipe de football américain. Alors les meufs que tu ne connaissais ni d'adam ni d'eve qui osaient émettre leurs avis sur ton éducation dérivant légèrement du protocole, tu t'en foutais bien pas mal. Avoir des enfants, ce n'était pas les façonner à sa façon et en faire des esclaves prêt à obéir au moindre de vos commandes, et vu la manière dont elle te prenait de haut, tu te disais que t'avais finalement peut-être évité le pire. Elle semblait être le genre de personne que tu détestais, le genre de mère à engueuler son enfant qui voulait mettre des chaussures blanches au lieu des noirs qu'elle avait décidé pour lui.

Apparemment, la blague n'en était pas une. Cette folle vous avait sérieusement demandé de venir pour vous solliciter votre foie, comme si c'était complètement normal comme discussion dans une église. Et elle allait vous demander quoi ensuite, d'autres organes pour qu'elle puisse les revendre et en faire du trafic ? Hell no, on allait pas te voler tes reins ou tes poumons comme ça. T'entendais ses mots, comme vous et ma chair, mais tu ne prenais pas le temps d'analyser ce qu'elle insinuait, que Zéphyr ripostait de suite, lorsqu'elle tentait de s'approcher encore plus prêt de vous. Elle avait cette aura effrayante, comme si elle ne savait pas vraiment comment se placer, entre la jeune femme trop gentille qui pourrait t’appâter et te donner envie de tout faire pour elle par son visage d'ange, ou la dangereuse marâtre à l'expression sévère qui te fera filer droit et l'écouter par sa grosse voix et son expression déterminée. Vous caresser dans le sens du poil, ou vous ordonner sans prétendre, tel était son dilemme. Elle tombait, merci à musclor qui restait collé à toi, et il te tirait ensuite sans te demander ton avis hors de l'église. T'allais pas faire ta chiante et tu le suivais, courant dans les rues de New York avec confiance sur tes talons – heureusement que t'avais pas mis tes plus belles chaussures pour cet enterrement, parce qu'elles seraient vachement amochées après ce sprint inattendu. Vous continuiez sur quelques blocs, avant de vous arrêter dans un cul de sac, qui semblait bien plus invitant que n'importe quel endroit en compagnie de l'horrible porteuse. A l'arrêt tu le regardais reprendre son souffle – tu n'étais pas vraiment essoufflée à vrai dire, t'avais quand même l'habitude de rester à courir sur le terrain pendant tout un match de football américain, ce n'était pas ça qui allait t'épuiser – mais en quelques secondes, tout semblait changer. Vos regards se croisaient, et tu sentais un changement dans sa respiration laborieuse. « Hey, tu tiens mec ? » Tu demandais, approchant de quelques pas, mais pas assez pour envahir son espace personnel. Tu t'accroupissais, tes mains sur tes genoux, tes yeux fixant sa silhouette tremblante en proie à ce qui semblait être une crise de panique. Putain, il fallait vraiment que ça vous arrive maintenant. Tu mordais ta lèvre, essayant de trouver une solution, cherchant dans ton esprit si tu n'avais pas lu récemment un post sur tumblr sur comment vaincre une crise de panique. « Aller hm... Essaie de bien respirer ok ? Prend une grande bouffée... Puis expire lentement et profondément... Hm... » Le moins qu'on puisse dire, c'est que pour le coup, tu n'étais d'aucune aide, et tu ne savais pas comment l'aider pour le mieux. T'avais pas la solution miracle, et t'osais même pas le toucher, pensant avoir déjà lu que certaines personnes ne supportaient pas cela, contrairement à ce qu'on pouvait lire dans les fanfictions pleines de romances. Réfléchi Zeke, Réfléchi... C'est comme ça que t'as eu comme un flash d'un épisode de teen wolf, et rapidement tu attrapais le visage de Zéphyr entre tes mains et tu posais tes lèvres sur les siennes, espérant que, comme avec stiles et lydia, il coupe sa respiration sur le moment, et se calme. Quelques secondes plus tard, tu te reculais de nouveau, observant sa réaction. « Alors... T'es sorti d'son vagin toi aussi ? » Tu demandais, comme pour lui changer les esprits quant à sa crise, comme pour l'occuper à parler plutôt qu'à penser. C'était peut-être pas intelligent ça, ça voudrait dire que tu venais d'embrasser ton possible frère ? Eurk.

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Est-ce qu'elle est morte ? Ce serais justice. Après tout qu'elle t'as fait enduré et toute cette méchanceté grauite, elle ne manqueras à personne. Mais tout de même, tu l'as pousser alors qu'elle était souffrante. En courant, tu arrives encore à te demander si l'aider n'était pas la meilleure solution. Après tout ce n'est qu'un teste et un bout de foie. REALLY ? Zéphyr, j'te rappel juste que cette femme a toujours été horrible avec toi, qu'elle veut te piquer ton fric, tes affaires et maintenant un bout de tes organes, la prochaine fois ce sera quoi ? Parce qu'il y aura toujours une prochaine fois, tant que cette odieuse créature continueras à respirer. Alors écoute moi bien : tout vas bien. Tu vas te calmer, poser les mains sur tes jambes et compter doucement jusqu'à dix. Reprendre ton souffle, l e n t e m e n t, et tout expliquer à Zeke. Parce qu'elle mérite de savoir ce qui se trame derrière tout ça, la vérité est quelques choses que tout le monde à le droit d'avoir, et elle lui a été cacher beaucoup trop longtemps, alors vas-y doucement. Reprend ton esprit doucement, ne temps pas dans les pommes, ne suffoque pas, ne laisse pas cette vague de peur et d’angoisse prendre possession de toi. Tu peut le faire, tu peut géré tout ça, tu l'as déjà fait plus qu'une fois. Mais rien ne se passe, tu continue à t'étouffer, ton coeur s’emballe et rapidement, tu perds le contrôle de tes jambes, elles deviennent mole et tu t'effondres au sol, les mains sur ta tête. « un.. deux.. » doucement, reprend toi, essaie de prendre de petite bouffer d'air sans t'étouffer pour autant. Mais ça semble impossible, comme si toute l'air présente avait été aspiré dans un trous noir, et qu'en plus de ça, on t'avais mis un sachet leader price sur la tête pour t'empêcher de capté le peu d'air qu'il y a sur terre. Zeke semble pourtant aller bien, tu te rappel qu'elle est tout de même capitaine du je ne sais plus quel équipe de sport, et que l'endurance et elle sont de bon amis. Elle te parle, sans que tu comprenne, ni entende ce qu'elle te dis. Juste sa voix qui résonne dans le cul de sac, tu lèves la main pour essaie de lui faire comprendre que ça, que tu vas t'en sortir. Faut juste que tu te calmes, pense à un truc tranquille.. ta chambre ? Palmyr qui écoute du lana del rey ? Charlie qui se marre sur un même des simpsons ? Le dernière album de the vamps ? N'importe quoi, quelques choses qui pourrais t’apaiser, le temps d'un instant. Zeke pose une main sur ton épaule, elle essaie de capter ton attention mais tu l'as voit à peine, tes yeux commence à flouter et tu n'arrives même plus à entendre sa vrai voix, c'est un espèce de trucs déformer, se rapprochant d'un canular téléphonique que tu arrives à entendre, et ne reste d'elle qu'une ombre noir et de long cheveux. « J'vais bien.. » t'essaie de convaincre qui ? Tu perd pied, ta tête devient trop lourde et.. et.. ELLE T'EMBRASSE. WHAT THE FUCK ELLE T'EMBRASSE TA SOEUR JUMELLE T' E M B R A S S E. ELLE POSE SES LEVRES DE PESTE PRINCESSE DU JE SUIS MEILLEURE QUE VOUS SUR LES TIENNES. Et tes yeux fond un rond, et tu l'as repousse aussi vite que tu peut, et tu reprend un souffle, comme si venait de te redonne un bol d'air ou une dose d'adrénaline et tu réspirer de nouveau. Doucement, mais sûrement. WOW. C'est dégueulasse. Elle doit être trop fan de Games of throne celle-là. Tu te laisse tomber le long du mur, et prend une courte respiration. « Palmyr, se contente généralement de me taper le dos assez fort pour que je puisse réspirer de nouveau, mais j'imagine que ça aussi ça doit marcher... QUAND TU N'ES PAS MA SOEUR. » dis-tu en faisant une grimace en hurlant à moitié la fin de la phrase, tu secoue la tête pour essayer de chasser tout ça de ton esprit. Elle a essayer d'aider, c'était pas la meilleure solution mais c'était déjà ça, non ? Merci ? Tu doit dire merci ou juste être outrée par ce geste malsain. Quoi qu'il en soit, tu te redresse doucement et étire les jambes que tu sent de nouveau. « Je.. ouai, en fait on est sortit en même temps. Toi d'abord et moi après. » tu hausses les épaules et tout vas de nouveau mieux. Une petite crise, rien de grave, tu passes une main sur ta nuque. Où êtes vous ? Que faite vous ? Tu n'en a aucune idée alors tu avances juste en lui faisant signe de te suivre. La meilleure solution ce serais de rentrée. « Tu penses qu'elle est morte ? » que tu l'as tuée surtout.
DOUBLE Z  
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T'as pas cherché plus loin. T'as vu dans un épisode de série que tel remède devait marcher pour tel problème, et tu t'es exercée sans prendre le temps de rechercher si c'était réellement une solution plausible ou si ce n'était qu'une farce de plus inclus dans un tv show. Après tout, Teen Wolf c'était une série fantastique, il y avait des loup-garous, des créatures bizarres, et tout ce qu'il s'y disait ne devait pas être pris comme vérité générale. Comme tu n'allais pas parler à des fantômes qui n'étaient pas passé de l'autre côté de la lumière dans Ghost Whisperer ni que tu allais te mettre à coucher avec ta famille juste parce que Cercei et Jaime montraient ce côté fraternel vraiment charnel et cool à reproduire. Alors le baiser inattendu, ça aurait pu ne pas marcher, ça aurait même pu empirer les choses, mais par une chance incroyable, ça semblait le sortir de sa torpeur. Il te repoussait – et connard va, presque t'allais le prendre personnellement, c'était quoi ce regard d'horreur ? - mais au moins, il reprenait un souffle nouveau, ce qui t'apaisait d'un coup - t'allais pas être témoin de sa mort tout de suite. Il se laissait tomber et tu levais tes yeux au ciel, sortant ton portable et prenant une photo de votre endroit inconnu, que tu allais poster sur instagram – le temps que monsieur brun reprenne ses esprits. Il finissait par retrouver la force de te parler – ou plutôt même de t'engueuler. Ça allait, pas trop ingrat le mec ? Un merci t'aurait suffit. « Oui bah ton... Ton palmier là il était pas là, et j'ai paniqué ok ? C'est sûr que c'est plus facile de savoir quoi faire quand on est au courant que tu peux avoir des crises de paniques à tout moment, c'que j'savais pas. » Tu lui faisais comprendre, ton regard noir le transperçant. Son arbre là, que tu comprenais pas ce qu'il avait à faire dans la conversation, il n'avait aucun mérite puisqu'il savait déjà que le Zéphyr avait des tendances à ce genre de crises. Toi aussi, t'aurais pu te préparer, googler toutes les différentes manières d'aider un tiers à atténuer l'attaque, si tu l'avais su avant que ça arrive. T'avais fait comme ça t'était venu, tu faisais peut-être médecine mais c'était pas vraiment ce que vous appreniez en cours. « C'est bon, fait pas ta chochotte et montre-toi un peu plus reconnaissant. Tu me vois pas comme une sœur, j'te vois pas comme un frère. Y a pas d'problèmes. » Tu lui faisais savoir, haussant tes épaules. Après tout, c'était la vérité non ? Vous n'aviez pas grandit ensemble, vous n'aviez jamais rien vécu à deux et tu n'avais aucun souvenir fraternel passé avec lui : vous étiez deux inconnus, liés par le sang – mais encore fallait-il le savoir. T'avais ensuite cette magnifique question sur le vagin de votre porteuse, et tu finissais par soupirer alors qu'il répondait que tu étais plus vieille que lui de quelques minutes. « Putaaaain... J'en ai encore combien des frères dans la nature là ? Ça va plus ces histoires. » Tu lâchais, secouant ta tête qui semblait déjà tant remplie. Tu passais une main dans tes cheveux, et tu finissais par le suivre quand il te faisait signe. T'allais pas te retrouvée plus perdue que tu ne l'étais déjà. « Tu penses qu'elle est morte ? » Tu entendais sa voix te demander, et tu fronçais une nouvelle fois tes sourcils, réfléchissant quelques secondes. « On s'en fout non ? » Tu disais, ne comprenant pas où il voulait en venir avec ça. Maintenant que tu savais qui t'avait porté, ça ne te changeait pas en mieux : t'avais pas vraiment envie de faire quoi que ce soit avec elle. « La meuf, elle vient nous rassembler juste pour qu'on lui donne nos organes, elle est culottée. De toutes les manières, elle est tellement vieille elle va finir par mourir d'une semaine à l'autre, que ce soit un peu avant ou un peu plus tard ça y change rien. » Tu dégainais, haussant tes épaules d'indifférence. C'était sûrement pas toi qui allait lui donner ton foie après la manière dont-elle t'avait parlé, elle rêvait. Tu continuais de marcher avec lui, et tu finissais par tourner ton visage vers le sien, le détaillant un peu plus qu'auparavant. Alors c'était ça ton jumeau ? Aussi brun que l'était Warren, il semblait faire un peu plus âgé que toi, alors qu’apparemment c'était lui le bébé du duo. « T'es pas mal T'aurais pu faire l'effort de prendre un peu plus soin de ton corps, de faire un peu plus de sport, mais sinon, j'imagine que tu peux être mon jumeau. » Tu disais sérieusement, tes yeux sur lui. Ouais, vous vous ressembliez un peu, ça ne te sautait peut-être pas aux yeux car tu ne le connaissais pas vraiment, mais pour le coup tu pouvais plus facilement le croire, c'était pas comme s'il était blond au yeux bleu et toi brune aux yeux marrons.

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