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La vengeance est un plat qui se mange froid (Zoïa)

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Depuis le mois dernier, j’avais eu le temps de ressasser et de faire croitre mon désir de vengeance à l’encontre de Zoïa. Je ne savais pas ce qui était passé par la tête de la rouquine incendiaire quand elle m’avait attaché à cet arbre le soir d’Halloween, l’alcool était surement à blâmer en partie, mon comportement peu reconnaissant lorsqu’elle nous était venue en aide sur toit avec Maxym avait du motivée son accés de folie aussi… En tout cas, son état d’ébriété ne l’excusait pas complètement à mes yeux. Je n’avais pas digéré cette histoire, d’autant plus que si Chase n’était pas passé par là à ce moment, j’aurais probablement manqué mon rencard avec Brynn… Je serais peut être même toujours accroché à mon tronc à l’heure qu’il était… Bref, habité par la rancœur, j’avais réfléchi et peaufiné un plan pour à mon tour m’en prendre à elle. On vivait sous le même toit désormais, puisque j’étais hébergé à la DH également depuis que mon proprio m’avait mis à la porte à cause de mes impayés. Je n’avais donc pas trop loin pour me rendre chez la jeune femme. Me voilà donc devant sa porte, je toquai patientant en ajustant le col de ma chemise, un petit sourire aux lèvres.
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Une soirée d'excès la veille. Cela devenait une habitude et ce n'était pas très bon. Heureusement, les cadavres peuvent attendre et Zoïa reste de toute manière toujours aussi obsessionnelle pour ce qui concerne son travail. Sans doute que le départ de son frère pour les Verts n'aide pas à adopter la vie studieuse et rangée d'une étudiante en septième année de médecine, mais bref. L'Incendiaire s'est péniblement extirpée de son lit, pour filer sous une douche chaude. Un regard par la fenêtre lui donne envie de se terrer. L'approche des fêtes et autres festivités amène une simple et furieuse envie d'hiberner jusqu'à l'an prochain. La Demoiselle fait pourtant l'effort de s'habiller, revêtant un jean et un haut simple, ses mèches toujours humides lorsqu'on frappe à sa porte. La Dunster n'est pas synonyme de tranquillité mais peu importe, elle ne va tout de même pas avouer qu'elle apprécie ce point. La porte s'ouvre sur une silhouette familière. « Zacharias ? » interroge la Rousse en haussant les sourcils. Des semaines qu'ils ne se sont pas parlés, à vraie dire depuis l'histoire du toit. Du moins qu'elle croit l'Amnésique alcoolique. « Tu veux ? » t'excuser? Ma peau ? Me tuer ? Parler ? Allez accouche, tu dois bien savoir faire.

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La porte s’ouvrit sur une Zoïa visiblement surprise vu son regard et son –Zacharias- interrogatif qui m’accueillit. Elle ne s’attendait donc pas à ma venue ? A ma vengeance ? Ca allait rendre ce petit échange encore plus intéressant. « Tu ne me reconnais pas sans mon déguisement de bûcheron c’est ça ? » rétorquai-je avec un sourire forcé, la scène de la forêt toujours bien ancrée dans mon esprit, loin de me douter que ce souvenir là lui échappait complètement. Elle m’interrogea aussitôt sur ce que je voulais. « Rentrer. » Et sans lui laisser le temps de se dégager du passage, je me faufilais dans la pièce sans qu’elle m’y ait invité. Parfois, il fallait savoir s’imposer. Plongeant les mains dans mes poches, sachant très bien que mon intrusion serait mal vu par la rouquine, je m’excusais d’abord : « J’suis désolé de t’interrompre et de m’imposer comme ça Zoïa, mais il faut qu’on parle… » Je fis alors un pas vers elle, réduisant un peu la distance qui nous séparait, plongeant mon regard dans le sien pour capter son attention, pour tâcher aussi d’y lire un peu de culpabilité peut être… Parce qu’elle semblait me prendre bien de haut, après le coup bas d’Halloween, je m’étais attendu à ce que la demoiselle soit un peu plus repentante malgré tout…
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Il n'avait pas son air aimable de Priape Zacharias, parfait Dunster du nom. Il n'avait pas l'air spécialement en rogne non plus. Les billes délavées scrutent et ne savent quoi penser. L'allusion au bûcheron la laisse songeuse... « Je savais pas que tu nourrissais une affection particulière pour la coupe du bois. » Ses épaules se haussent, indifférentes. Mais la remarque du Grec laisse une étrange résonnance en elle. Comme si tout n'était pas connecté en fait. Et elle déteste ça. Perdre la maîtrise sur elle. Il semble qu'avec le spécimen en face d'elle, ce soit comme la redondance d'un refrain. « Qu'on parle ? Qu'on parle de quoi ? » s'étonne ses lèvres alors qu'elle s'asseoit sur le lit non loin de là. Invitant silencieusement le Grec à entrer dans sa chambre. Celui-ci a retrouvé la Dunster quelques semaines plus tôt, mais elle ne s'y est pas intéressée. C'est devenu vraiment trop bizarre entre eux ces derniers temps et elle lui en veut encore sans pouvoir se raisonner sur la stupidité de son ressentiment. Alors la fuite reste la meilleure solution. Mais le piège semble se refermer sur l'Indomptable contrainte.

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Elle faisait exprès de ne pas comprendre là ? Je la regardais septique, un peu déstabilisé par sa remarque, comme si elle n’avait pas saisi la référence à mon déguisement d’Halloween. Je tentais alors une autre piqure de rappel : « Bah oui, tu sais, moi et les arbres c’est une grande histoire d’amour… » Elle saisit là ou pas ? Est-ce qu’elle allait enfin finir par avoir un peu peur ? Parce que oui, je n’étais pas ici pour une visite de courtoisie. Elle semblait aussi bourrue que moi, s’asseyant en ne comprenant pas de quoi je pouvais vouloir parler. Je la regardais installée sur son lit, ne pouvant m’empêcher de me dire que c’était l’occasion idéale. Mes doigts se resserrèrent sur l’objet caché dans ma poche, et un imperceptible sourire se dessina un instant sur mes lèvres. Je repris vite une expression des plus sérieuses. Je m’approchai du lit, me positionnant face à elle avec un air déterminé. Ma main délaissa un instant l’outil de ma vengeance, venant alors s’enfouir dans ses cheveux, lui faisant basculer légèrement la tête en arrière, plantant mon regard dans le sien. Je réduis un peu plus la distance entre nos deux visages, mes lèvres vinrent lui murmurer « Tu sais très bien de quoi je veux parler… » Et optant pour la même technique que la sienne lors de cette nuit d’Halloween, ma bouche s’empara de la sienne sans prévenir, ma main délaissant sa chevelure pour venir s’emparer de l’un de ses poignets, mon corps se plaquant contre le sien pour la faire basculer en position allongée sur le matelas. Et d’un geste rapide, ma bouche embrassant toujours sans ménagement la sienne, ma main libre saisit habilement le piège dans ma poche. L’un des bracelets métalliques se referma sur la tête de lit, l’autre sur l'un des poignets de la demoiselle que je maintenais fermement. Et lorsque le cercle de métal se referma sur ma cible, ce fut le moment où je m’écartai, me relevant aussi rapidement que je lui avais arraché ce baiser, un sourire diabolique et satisfait aux lèvres.
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Tu sais, tu sais... Tout ce qu'elle savait précisément c'est qu'il l'agaçait comme peu en étaient capables. C'était sans doute à la même mesure que son attirance, et ce qui l'énervait davantage c'est de ne pas pouvoir départager les deux. Elle ne sait pas, mais pourtant à ses mots, des souvenirs fugaces reviennent. La soirée d'Halloween avait été noyée dans des flots bien trop puissants d'alcool et d'excès en tout genre. Elle s'était d'ailleurs réveillée au matin chez un mec dont elle ne connaissait pas le nom. Pour changer. De la vraie graine de Mather faut croire chez les Rosenbach. Mais peu importe. Un frisson parcourt son échine démoniaque quand le souvenir se rappelle à elle. Il lui semble bien qu'elle a attaché... Priape. Les billes délavées scrutent celles du Grec, de gauche à droite puis de droite à gauche, presque apeurée. Si rare est cette expression dans les orbes de la Fière. « J'étais... » bourrée, déçue, en colère, abandonnée, triste ? Va savoir, un peu de tout ça en fait. Mais comment le formuler. Elle ne parvient pas à terminer sa phrase que le Dunster se lance sur elle et ne vienne plaquer sa bouche contre la sienne. A croire que ça devenait une habitude et un singulier mode d'attaque. Ainsi, elle ne peut pas protester, et même si elle essaie, elle sent le poids solide contre son corps frêle. La main masculine quitte ses cheveux, pour attacher sa main au cadre du lit. Et voilà que l'autre se retrouve traitée de la même manière. Priape reprend sa stature, bien trop heureux de sa victoire. « Tu ne vas pas faire ça ? J'étais bourrée ! Je m'en rappellais même plus et puis il y avait plein de monde dans ce foutu bois ! Zacharias !! » appelle-t-elle en élevant la voix ! « Ne joue pas avec moi ! » Les billes bleutées se font acier. Qui ne tente rien n'a rien, et le spécimen en face d'elle n'a pas fini de l'énerver faut croire.

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Je ne savais pas si elle feintait l'amnésie, en tout cas elle était douée. Et je ne laissais pas le temps à la rouquine de déblatérer de quelconques excuses lorsqu'un éclair de compréhension éclaira son regard, je fondis sur elle pour lui rafraichir la mémoire d’une toute autre façon. Un baiser volé, reprenant ainsi la manière un peu sauvage avec laquelle elle m’avait piégé, et dans un même temps, j’emprisonnai l’un de ses poignets dans le cercle métallique d’une paire de menottes attachées à la tête de lit. Très bien, les souvenirs semblaient avoir refait surface pour le coup. Après m’être écarté de ma victime, la voilà qui se mit à protester de manière véhémente. Commençant par justifier son comportement par l’alcool, le fait que jusque là elle ne s’en rappelait plus, et que pour finir, il y avait beaucoup de passage dans cette forêt où elle m’avait abandonné. « On est nombreux à la dunster. Et les cloisons sont fines. Si tu cries très fort je pense que quelqu’un pourra peut être venir te secourir aussi tu sais… » Mon sourire ne fit que s’agrandir davantage, surtout quand elle me conseilla de ne pas jouer avec elle. « Sinon quoi ? » Je savais que de me voir jubiler ainsi allait la faire encore plus enrager. Je brandis la clé des bracelets métalliques avant de la ranger dans la poche de ma chemise, côté gauche, tapotant un instant l’endroit où se cachait le précieux sésame. « Je les garde près du cœur tu vois… J’suis un sentimental en fait. » commentai-je avec amusement, ne prenant aucunement en compte ses paroles. Suffisait que je me rappelle comment elle m’avait lâchement laissé accroché à mon tronc, l’énergie avec laquelle elle avait serré mes liens pour s’assurer que je ne m’échapperais pas seul, pour que mon envie de la libérer s’évapore. Elle avait voulu réveiller mon esprit vindicatif, et bien la voilà servie !
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Bien sûr qu'il jubilait. Elle pouvait comprendre ça. Elle se souvenait maintenant du sentiment grisant qu'elle avait éprouvé le soir d'halloween. Le maîtriser de la sorte, le rendre vulnérable, l'exposer et attacher ses sentiments au tronc d'un arbre comme pour les exorciser. Le rouge lui monta de façon fulgurante aux joues lorsqu'elle repensa à l'allusion qu'elle avait faite sur Brynn. Elle n'était même pas censée être au courant ou bien même s'en soucier. Priape la conduisait sur des chemins qu'elle s'efforçait pourtant soigneusement d'éviter. Et voilà où ça la menait franchement. Attachée à son propre lit. Avec une clé gisant près du cœur de son plus vieux rival. Quand elle dit que les sentiments la perdront... « Bien plus que moi c'est certain. »Mais à bien y penser c'est sans doute l'inverse. Elle ferme ses paupières quelques instants. Et maintenant, et bien il va la laisser. C'est ce qui est attendu et légitime. « C'est tout ? Tu t'es bien amusé ? » Les prunelles claires refont de nouveau surface pour se poser sur la silhouette du Grec qui s'apprête à prendre la porte. « J'aurais pensé que tu aurais davantage profiter de la situation. » lance-t-elle un rictus amer aux lèvres, ses jambes se croisant dans un mouvement gracile et presque langoureux. Autant vivre la situation avec dignité et faire comme si rien ne pouvait l'atteindre. Au jeu des masques, elle est reine, c'est au moins ça.

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Donc c’était décidé je ne céderais pas. Fini le gentil petit toutou Zacharias, je sortais désormais les crocs. Mes précieuses clés en poche, un sourire victorieux aux lèvres, il ne me restait plus qu’à filer, qu’à la laisser s’égosiller, qu’un étudiant passe et lui vienne en aide à l’aide d’une pince ou d’une tenaille, ce n’était pas de la grande qualité ces menottes, achetées sur internet, elles ne feraient pas beaucoup de résistance. Voilà le scénario que j’imaginais mentalement, jubilant car je savais qu’appeler à l’aide allait lui coûter. Sauf que ma sortie fut stoppée par la voix de la rouquine qui reprit, me demandant si c’était déjà fini, s’étonnant que je n’en ai pas davantage profité. Ma main relâcha la poignée alors que je me retournai lentement vers elle. Elle sauvait probablement juste les apparences en jouant ainsi les indifférentes… Mais c’était trop tard, j’avais mordu à l’appât en ne sortant pas sur le champ… « C’est qu’on pourrait presque croire que tu as l’habitude de te retrouver attachée comme ça… » la taquinai-je en l'observant. Peut être que c’était vrai en plus, certaines femmes avaient ce genre de fantasmes après tout… Et entre son regard, sa posture et le ton de sa voix, je pourrais imaginer qu’elle essayait de m’allumer. Mais je n’allais pas me prendre dans ses filets. « J’suis pas du genre profiteur Zoïa tu me connais. » Et puis, même si je n’avais aucun engagement actuellement, toujours libre comme l’air, y’avait Brynn… Je pouvais pas faire comme si elle ne comptait pas. « Et puis tu sais, y’a ma –jolie blonde-. » Puisqu’elle en avait fait une allusion assez explicite l’autre fois, elle était forcément au courant. « Mais t’as raison je me suis pas encore assez amusé… » Je saisis mon téléphone portable et le brandis pour immortaliser ce moment avec l’appareil photo de l’appareil. « Voilà, maintenant c’est parfait. Et promis, ça restera dans mon dossier perso si t’es sage. » Souvenir des propres mots qu’elle nous avait servi à Maxym et moi lors du fameux sauvetage sur le toit.
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Sa dernière tentative était basse certes mais sans doute motivée par le désespoir. L'orgueil est néanmoins bien présent en façade, trônant de tout l'aplomb qu'elle possède. Les traits de la Dunster ne s'étonnent même pas de voir le smartphone du Grec immortaliser l'instant. A l'intérieur, c'est tout autre. Mais c'est déjà trop tard, elle a déjà perdu cette amorce de mieux entre eux. Pour revenir aux habitudes passées. Elle a joué avec le feu et s'est brûlée malgré tous les hurlements de sa raison. Qu'on ne l'y reprenne pas. « Je ne suis pas certaine que ça fera plaisir à tes nombreuses blondes de tomber sur ce genre de clichés. » A savoir cette Brynn ou même Talya. Les billes claires se portent au loin vers la fenêtre comme pour ignorer l'intrus malhonnête. Elle ne se départie pas de sa superbe, trouvera bien une âme charitable ou bien agonisera-t-elle là ? C'est tout aussi bien. Au moins une mort originale. A cette pensée, un rictus peint ses traits fiers et elle a presque oublié Celui qui semble toujours là. Ses sourcils se haussent un brin surpris. « Je ne te retiens pas plus longuement... d'ailleurs c'est drôle parce que je ne peux pas. » Sa mâchoire se contracte légèrement, ce serait bien plus facile de s'énerver, de se livrer, de se donner en spectacle, mais ce n'est pas pour elle, alors elle se protège de toute la glace dont elle est capable. « Tu peux disposer. Amuse-toi bien. » Et ses paupières se ferment comme pour ne plus le voir, comme pour tirer un trait. Sur cet affront, sur le sien. Sur eux.  

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