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(walter) ω 'cause when we danced together, we were one pair of shoes.

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'cause when we danced together,
we were one pair of shoes.

feat. Walter J. Rutherford


Tu avais finalement osé poser la fameuse question, celle qui te brûlait les lèvres depuis tellement de temps déjà. Évidemment, tu aurais peut-être préféré la lui poser d'une autre façon, dans un autre contexte. Tu étais peut-être un peu trop sur la défensive et ça, il devait bien le sentir. Tu levas les yeux vers lui et même si vous étiez loin l'un de l'autre, tu arrivais clairement à plonger ton regard dans le sien. Ça faisait du bien d'être bien de lui, mais ça te faisait mal en même temps. « Parce que c'est la seule maison qui correspond à ce que je suis. » Tu soupiras doucement en te mordant la lèvre inférieure. Ce n'était pas le genre de réponse que tu attendais. C'était si vague, si... incompréhensible. Ça pouvait vouloir dire un paquet de choses et tu ne pourrais supporter de devoir les deviner. « C'est parce que je suis Mather que t'as décidée de plus donner de nouvelles ? » cette dernière phrase te fit l'effet d'un coup de poignard dans le coeur. Ton souffle se coupa l'instant de quelques secondes, tu sentais la rougeur te monter aux joues. « Oui. » dis-tu simplement en guise de réponse. « J'ai de la difficulté avec les Mathers, avec leur mode de vie, avec leur... façon d'être. Je les mets tous dans le même panier. Alors ça m'a pris par surprise de me rendre compte que tu en étais un alors qu'à première vue, tu n'en avais pas l'air. » avouas-tu. Parce que oui, au Summer Camp, tu étais loin de te douter de qui il pouvait bien être. ~
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feat. k. olyvia dereham


Je m'en étais douté, elle paraissait si anxieuse parce qu'elle avait toutes ces questions qui le brûlaient les lèvres et elle lâchait le boulet de canon, voulant savoir pourquoi j'avais choisis la Mather, et je restais vaste, très vaste lui disant simplement que ça correspondait à ce que j'étais. J'aimais pas déballer ma vie et il semblerait que ma réponse ne lui convienne pas mais je demande rien à personne moi, je suis comme je suis point barre. Je lui demande alors si c'est la raison pour laquelle elle n'a plus donnée signe de vie, et mes doutes se confirment, c'est bien parce que je suis un vert qu'elle s'est éloignée, parce qu'elle n'aime pas les verts, qu'elle ne s'accommode pas à leur style de vie, à entendre ça, je peux comprendre mais moi aussi je lâche un soupir Je suis comme je suis, si ça te plait pas j'y peux rien. je l'avais mauvaise oui, qu'elle ne m'accepte pas comme j'étais, je me décolais du mur pour poser ma main sur la poignée de la porte d'entrée et ouvrir la porte, je la fixais de nouveau Tu peux t'en aller si tu te fais pas à cette idée. Au final ma sœur à peut-être raison c'est pas bon pour toi si tu me fréquentes, c'est dommage tu me plais beaucoup..
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« Je suis comme je suis, si ça te plait pas j'y peux rien. » Tu baissas le regard et souffla un bon coup. Ça devenait trop tendu, trop intense... Après tout, il avait droit d'être qui il est et tu n'allais pas lui en vouloir pour ça. Tu vivais toi-même ta vie comme tu le souhaitais et tu ne laissais personne te dicter comment le faire - sauf peut-être ta mère... Tu l'entendis marcher dans l'appartement et releva les yeux vers lui. Il tenait la poignée de porte entre ses doigts. Tu sentais le pire arriver. « Tu peux t'en aller si tu te fais pas à cette idée. Au final ma sœur à peut-être raison c'est pas bon pour toi si tu me fréquentes, c'est dommage tu me plais beaucoup. » Palmyr... C'est vrai, elle t'avait déjà averti... Tu finis par approcher de lui jusqu'à être à seulement quelque centimètre de son visage, relevant les yeux vers lui. « J'en ai vue beaucoup de choses quand j'étais à New York, dans l'agence de mannequinat. Des junkies qui t'agresse dans la rue pour te voler le petit change qu'il te reste passant par les drogués qui se piquent dans les toilettes publiques... » dis-tu doucement, à mi-voix. Ce que tu avais vue là-bas ne pouvait pas s'enlever de ta mémoire... Les prochains mots allaient être difficiles à dire. « Dit que tu ne me feras jamais de mal et c'est bon, je ne m'enfuirai pas. » Parce qu'il est là, le problème. Les vrais accros, les vrais junkies sont prêts à tout pour leur dose. Même voler leurs amis, les droguers pour les violer et j'en passe... Tu ne voulais pas que votre histoire - peu importe ce qu'elle était - se rende à ce point. ~
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Je mettais les choses au clair avec Olyvia, elle n'aimait pas le fait que j'appartienne à une confrérie de drogués, de dépravés mais c'est ce que j'étai, c'est ce que je suis depuis trop longtemps djà et je vais pas changer parce que j'ai de compte à rendre à personne. Si elle n'aime pas ce que je suis, c'est son droit mais qu'elle assume et c'est pour ça que j'ouvre de nouveau la porte de mon appartement, qu'elle puisse partir si elle ne se fait pas à l'idée de m'accepter comme je suis, j'en rajoute en appuyant les dires de ma sœur, que je ne suis pas bon pour elle. Olyvia se rapproche, un peu trop même, nos visages à quelques centimètres et elle me raconte ce qu'elle a pu vivre à New-York, des drogués comme moi prêts à tout pour leur doses et elle veut que je lui jure que je ne lui ferai pas de mal pour qu'elle reste Je suis un drogué, j'assumes mais j'ai pas encore de pitié sur moi même pour tomber si bas. Je te ferai jamais de mal Oly. mes yeux restaient plantés dans les siens, j'attendais qu'elle ouvre les lèvres, qu'elle dise quelque chose.
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Tu étais prise entre deux chaises, là. Tu avais une décision à prendre. Soit tu allais partir, perdre à tout jamais cette opportunité de pouvoir vivre quelque chose de beau, de fort et d'excitant. Soit tu te battais contre tes préjugés et tu lui accordais cette chance, cette chance de te prouver qu'ils ne sont pas tous pareils, qui ne valent pas tous que de la merde. « Je suis un drogué, j’assume mais j'ai pas encore de pitié sur moi même pour tomber si bas. Je te ferai jamais de mal Oly. » Et là, un poids sur tes épaules s'en alla, te laissant à nouveau respirer librement, sans pression. « Merci. » chuchotas-tu avant de porter ta main à son cou pour l'attirer vers toi et l'embrasser avec passion. C'était peut-être mal ce que tu étais en train de faire, mais on n'a qu'une seule vie à vivre. Autant la vivre pendant qu'on est encore jeune. ~

(je vais me couuuuucher ! (walter) ω 'cause when we danced together, we were one pair of shoes. - Page 2 3997999705 raviiiiiie d'avoir pu faire avancer notre lieeeeen ! hanwii à demaiiiiin !)
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J'allais droit au but avec elle, soit elle acceptait ce que j'étais ou soit elle restait sur sa décision et elle pouvait se casser. Elle s'était rapprochée, me parlant de ce qu'elle a pu vivre à New-York et je peux comprendre que des camés soit prêt à tout pour leur doses, je le sais parce que même moi je l'ai déjà fais, du moins je suis pas allé jusqu'à voler mes potes, me piquer, j'ai une estime de moi encore assez haute et c'est en la regardant dans les yeux que même si je suis un drogué, jamais je ne lui ferai de mal, c'était ce qu'elle voulait entendre et c'était ce que je pensais. Elle me remerciait en ouvrant à peine ses lèvres avant de passer sa main douce dans ma nuque et de rapprocher son visage du mien pour m'embrasser, tout en savourant cet échange des plus langoureux, je refermais la porte et je la serrais un peu plus contre moi, passant mes mains sur ses hanches.
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Ça t'avait manqué. Cette proximité entre vous. Cette façon qu'il avait de te toucher, de t'embrasser. Ça faisait un bien fou de te sentir désiré de la sorte. Alors que vos lèvres ne se quittèrent pas, il posa ses mains sur tes hanches, te collant un peu plus à lui. Ce qu'il ne savait pas, c'est que sous ta robe, tu ne portais rien... - bah quoi ? C'était soit ça ou alors on voyait la démarcation de tes sous-vêtements. Tu te détachas alors rapidement de son emprise et recula d'un pas. « Tu me montres ta chambre ? » dis-tu d'une voix sournoise, un sourire en coin collé aux lèvres. Tu lui fis ensuite dos, regardant l'appartement et lança comme si de rien était : « À moins que tu ne préfères qu'on fasses ça sauvagement dans le salon ? ». Tu rias doucement de ta blague - qui au fond n'en était pas une - et attendait qu'il fasse un choix. C'était à ton tour, maintenant, de lui lancer un ultimatum. ~
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Elle préférait rester au lieu de suivre les conseils de son amie, ma petite sœur qui n'aime pas notre relation, qui veut protéger Olyvia mais elle est assez grande pour prendre des décisions et elle a prit la décision de rester, de voir où ce quelque chose entre nous peut mener, ses lèvres se sont plaquées sur les miennes. Je la collais un peu plus contre moi, intensifiant ce baiser qu'elle avait débuté, c'était si bon de retrouvé le gout de ses lèvres, j'aimais le rouge à lèvres qu'elle à mit mais ce n'est qu'un détail. Elle rompait le baiser pour se reculer et me demander où se trouvait ma chambre mais elle poursuivait avec une autre proposition plutôt intéressante Laisse moi voir. je me rapprochais d'elle, petit sourire aux lèvres, une fois assez proche je rouvrais mes lèvres Le salon. ouais je veux que ce soit sauvage, qu'on prennent notre pied, je m'en fou si on cassent des choses, je veux tout oublier avec elle, avec ses lèvres, son corps.
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feat. Walter J. Rutherford


C'est quand même étrange à quel point Walter a un effet plutôt intense sur toi. Il te fait dire des choses, il te fait faire des choses... Tu te sens en contrôle comme jamais auparavant et ça te fait te sentir bien, ça te fait te sentir femme. Et Dieu seul sait que ça fait du bien pour une femme de ce sentir ainsi. Tu en avais marre de tendresse, de doux baisés. Tu avais envie de plus et tu savais pertinemment que Walter pourrait te l'offrir. « Laisse moi voir. » dit-il alors que tu lui demandais s'il préférait la chambre ou... le salon. « Le salon. » dit-il en s'était rapproché de toi. Tu lui fis de nouveau face et d'un signe de doigt, tu l'invitas à te suivre. Tu trouvas ton chemin jusqu'au sofa et t'y installa, prenant la pose. T'étais sienne, ce soir. Il pouvait faire - te faire - n'importe quoi. ~
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Je ne ressens rien sentimentalement pour Olyvia, mais je sais que quelque chose est né cette nuit là dans ce camping cet été, quelque chose qui nous lie, la preuve on s'est retrouvés à Harvard et nous voilà à s'embrasser comme des amants perdus, j'aime ça, j'aime sa présence, le gout de ses lèvres.On s'en fichent du regard des autres, on se préoccupent que de nous et en l’occurrence, ce soir on va s'occuper de rendre cette nuit inoubliable pour tous les deux. Elle me laissait le choix entre le salon ou ma chambre, sur le coup j'ai hésité mais j'ai finalement porté mon choix sur le salon et aussitôt Oly à sourit, d'un signe de doigt elle m'invitait à la suivre sur le canapé. Je m'installais à côté d'elle, posant ma main sur sa cuisse,rapprochant mon visage du sien et là, je prenais possession de ses lèvres avec une telle force, c'était pire qu'un baiser fougueux, c'était sauvage, impulsif et passionnel.
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