Le hasard est contre moi - Sally

C'est une belle journée...

Surtout, ne demandait pas pourquoi je suis debout a sept heures du matin alors qu'aujourd'hui, je ne travailles pas. C'est sûrement parce que la veille je me suis couché tôt, alors mon horloge de sommeil me sort du lit. Je prends un bon petit déjeuné, une bonne douche, et me vient alors l'idée d'aller sur le campus quand même pour m'avancer dans mes préparations de cours. Façon, je n'avais pas grand chose a mieux à faire.
Vêtu d'un jean noir, d'une chemise a carreaux -rouge, blanc et noir-, je mets ma veste en cuir noire sur mon dos et je prends la route en compagnie de mon sac.
Une fois sur le parking, je me rends au stand de café le plus proche pour en reprendre un. Oui, celui du réveil n'est pas forcément suffisant pour bien réveiller mon cerveau. Une fois la boisson chaude en main, je me diriges vers le parc de l'université. Il est huit heures et demi, alors, logiquement je vais être tranquille. Les élèves ne viennent pas ici a une heure si précoce. Et les professeurs présents, ils s'occupent des cours qui commencent.

Il ne faisait pas trop chaud, mais je ne suis pas d'une nature frileuse. Je m'installe alors sur un banc, et je commences a sortir mon bloc note pour bosser un peu. Le vent frais me fait du bien, et ma boisson chaude sait comment me réchauffer l'intérieur. C'est comme ça que je me plonges dans une concentration extrême, et que je ne me préoccupe pas de ce qu'il pourrait se passer autour. Ou même, de ce qui pourrait s'approcher de moi.

Depuis l'autre soir avec la dispute avec Dean je m'étais pas senti très bien, j'avais été au médecin le lendemain parce que je m'étais pas senti bien et j'avais vraiment peur de perdre cet enfant mais ce n'était rien de grave je devais juste arrêter de m'énervée autant que je le faisais seulement quelques temps après j'avais appris par Gael que Dean avait embrassé June en sachent qu'elle était en couple et enceinte exactement ce qu'il a fait avec moi quand j'étais avec Zed donc en fait tout était calculé chez lui pour foutre la merde dans les couples. Bref en gros je ne voulais plus le voir, le croiser, lui parler non rien mais bien sûr j'étudiais dans le même campus où il enseignait c'était juste une question de temps, je ne lui avais donner aucune nouvelle et il en avait demandé aucune à savoir si tout ce passait bien sachant que j'étais enceinte. J'étais en train d'entrer dans le campus d'un pas déterminé, je n'avais pas spécialement cours tout de suite du coup je prenais mon temps mais en apercevant Dean assit seul je m'approchais de lui d'un pas déterminé et là je lui mis une gifle. "Celle là c'est pour avoir embrassé June." Il l'avait bien mérité en même temps, quand ce n'était pas Solveig c'était une autre. "Et j'ai juste une chose à te dire, ne t'approche plus de moi." Si là il avait pas compris qu'il me faisait du mal à jouer au mec hyper libre et ben il était con,je repris mon chemin du sens inverse pour retourner dans le campus pour rejoindre mon casier.

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C'est une belle journée...

J'étais totalement concentré dans ce que je faisais. J'étais entrain de chercher des idées pour changer un plus le coté monotone du sport dans l'université. Je voulais faire des activités que mes collègues ne faisaient pas. Non, ce n'est pas pour devenir le professeur de sports préféré, mais c'est plutôt pour diversifier le quotidien des étudiants. Pour certains, le sport est autant une passion que ca ne l'est pour moi. Alors je veux faire plaisir.
Je pensais vite fait a Sally, je suis franc. La dernière fois, nous nous sommes un peu pris la tête. Je n'avais donné aucunes nouvelles parce que je voulais la laisser souffler un peu. J'ai vraiment l'impression d'être un poids pour elle des fois, alors je me tiens loin en attendant que ça se calme. Je m'inquiétais un peu, elle est enceinte et c'est peut être de moi. Et, c'est une chose qui m'a fait réfléchir. Sur mes responsabilité, sur mon rôle a jouer mais aussi sur ce que je pensais ou ressentais pour la jolie blonde. Sauf que la, vous pouvez modifier l'expression. Ce n'est plus, quand on parle du loup, mais, quand on pense au loup on en voit la queue. Sentant une personne venir de façon déterminé vers moi, je redresse mon visage de mon bloc note et la ; Je reçois une bonne gifle. Ma tête décale un peu sur le coté, et je fermes les yeux sous l'impact. Bouche ouverte, je grimace un peu de douleur et je pivotes pour poser mes yeux sur son visage. Sally justifie le pourquoi de la claque, je fronces les sourcils et je dis " Pardon? " Pas le temps de me défendre, elle commence a partir. En vitesse, je fous mes affaires dans mon sac, et je cours derrière elle. " Sally.... Sally! " J'arrive a sa hauteur, et je me poste devant elle en mettant mes deux mains en avant comme pour l'arrêter. " Tu débarques, tu me gifles, et tu te barre? Ca tourne plus rond. " Je la fixe, un peu énervé, ce qui est normal. " Et tu me dis que c'est pour avoir embrassé June... Faut m'expliquer la. "

Il y a une chose qu'il me déplaisait en ce moment c'était de venir au campus, j'avais déjà u ventre bien arrondi pour une début de grossesse, ayait tout le monde était déjà au courant alors quand je n'entendais pas les gens m'insulter de pute j'entendais des remarques sur le fait que je me sois taper un professeur et qu'il était surement le père mais maintenant que je savais que Dean e moquait royalement de moi j'avais beaucoup de mal à assumer tout ça. Comment assumer être enceinte d'un mec qui avait d'autres relations avec plusieurs nanas, si vraiment il aimait sa liberté et qu'il voulait vivre s vie avec ces meufs je préférais qu'il me laisse tranquille avec mon enfant parce que je n'avais pas envie de le perdre à cause de lui et du stress qu'il me foutait sur les épaules. J'étais donc arrivé vers lui pour le gifler et lui demander de ne plus s'approcher de moi et cette fois ci j'étais sérieuse, je ne comptais plus m'accrocher à un mec qui ce foutait de moi. Je préférais donc partir et reprendre mon chemin avant que les gens ne s'intéresse à notre dispute mais bon tout le monde ou presque était au courant de ma relation avec lui, pas en détail mais presque. J'entrais dans le campus pour rejoindre mon casier mais quand il m'arrêtais en passant devant moi je le repoussais pour qu'il ne me touche surtout pas avec ces mains. "C'est bon arrête j'en est marre de ton petit jeu tu sais très bien que tu a embrassé June alors ne me prend pas pour une conne. Solveig, June il y en a encore combien des comme ça?? Non en fait je ne veux même pas savoir je veux jute que tu sortes de ma vie."

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C'est une belle journée...

C'est encore une journée pourrie. Oui, le fait de me faire gifler de bon matin m'indique que j'aurais du rester chez moi au lieu d'avoir l'idée stupide de venir a l'université pour bosser gratuitement. Forcément, je suis un peu trop le genre de mec qui n'aime pas rester dans le flou. Alors je cours après Sally, avant de l'arrêter dans un endroit un peu fréquenter par l'ensemble des personnes qui enseignent ou étudient ici. Tant pis.... Mes mains se font dégager un peu méchamment et je soupires en la fixant d'un regard un peu noir. " Tu vas déjà commencer par te calmer d'accord? " C'est le genre de phrase qui énerve je sais. Pour éviter une dispute énorme devant tout le monde, je lui ordonne " Viens ici. " Et j'ouvre une porte. Une porte qui donne dans un genre de grand placard. Dedans c'était des outils d'entretien pour le personnel chargé de l'hygiène de l'établissement. J'allume la lumière, et une fois qu'elle accepte de rentrer, je fermes la porte. Au moins ici, aucune fenêtre et personne. Oui, l'isolation n'est pas bonne alors les gens dans le couloir vont surement entendre si jamais nous en venons a crier.
" Oui j'ai embrassé June. " Je gardes mon regard froid, je ne souris pas, et je poursuis " Je l'ai embrassé au Summer Camp. " AH! Ca calme de savoir que c'est il y a un petit bout de temps? Je passes ma main dans mes cheveux et je poses mon sac au sol " C'était avant de savoir que tu portais peut-être mon enfant. " Sauf que la, j'étais vraiment énervé de ce que Sally a fait et dit. Susceptible? Ouais. " Me gifler c'est une chose. Dire que je te prends pour une conne, c'est déjà pousser. Mais me demander de sortir de ta vie... C'est un truc qui a tendance a m'énerver. " Je laisse échapper un petit souffle, comme ci je tentais de me contenir, et je dis séchement " Va falloir que tu sois claire si tu attends que je le sois en retour. C'est bien de venir me taper une crise, mais je ne t'ai pas trompé a ce que je saches. Alors maintenant, je vais te poser la question pour la dernière fois. " Je m'approche d'elle, et je lui dis sans cligner des yeux " Qu'est ce que tu attends de moi? "

Je pense que Dean en savait pas encore quel genre de femme j'étais, j'étais à priori folle d'après certaines personnes et c'est vrai que je m'énervais assez vite, en même temps quand une chose me touchait beaucoup je n'arrivais pas à contenir et là Dean me faisait beaucoup de mal, il me demandait d'être clair mais lui ne l'était même pas, c'est lui qui jouait sur deux tableaux avec Solveig bien avec moi. Une fois qu'il m'arrêtais en tentant de me stopper de ses mains je lui virais mais sa phrase m'énervait encore plus. "Je me calme si je veux." Bon aller on ce connait en spectacle et j'allais encore en prendre pour mon grade, un petit plus ou un petit moins en même temps c'était pas la chose qui m'importait le plus, être enceinte d'un prof faisait déjà beaucoup parler donc pour le coup je n'étais plus à ça près. Quand il me demandait de venir dans un local d'entretien je soupirais parce que je n'avais pas envie de parler avec lui mais je savais qu'il ne lâcherait pas l'affaire comme ça, je rentrais alors en m'avançant vers le fond pour être loin de lui, je m'adossais contre une étagère mais ces raisons pour moi était bidon. "Mais je m'en fou de tout ça, je me fou que sa soit au summer camp, hier ou bien il y a des années si tu l'as embrassé c'est que tu l'aime toujours, tu l'as embrassé en sachant qu'elle était avec Gael donc tu l'aime toujours." Cet enfant c'est moi qui l'est voulu, lui à la base il n'en voulait pas, du moins pas avec moi. "Tout ce que je dis est vrai j'en ai plus qu'assez de tout ça et puis sa t'arrange comme ça tu pourra continuer avec ta Solveig." J'étais mauvaise pour le coup et je ne pourrais pas faire le premier pas, il m'avait énormément blessée. "Tu n'as jamais été clair avec moi donc ne me demande pas de l'être et oui tu a raison tu ne mas pas trompé tu est parfait comme mec." Il savait très bien ce que j'attendis de lui mais après ce que je venais d'apprendre de lui il me demandait d'être directe avec lui alors qu'il avait d'autres femmes dans sa vie. "Je n'attends plus rien de toi Dean, fait ce que tu veux de ta vie avec qui tu veux."

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C'est une belle journée...

Bingo. Dire a une femme en colère de se calmer, c'est comme tenter d'éteindre un feu avec de l'essence. Sauf qu'il est hors de question que j'alimente les bruits qui circulent déjà dans l'université sur Sally et moi. C'est donc pour ça que j'ouvre la petite pièce pour les produits d'entretiens afin d'être un peu a l'abri. Une fois dedans, je laisse la jolie blonde qui décide de se foutre dans le fond en s'adossant a une étagère. Je dis ce que je pense, et la, elle s'enflamme un peu. Les nerfs montent, et je sens que c'était un peu la dispute de trop, une dispute qui n'avait rien a voir avec les précédentes. La voix sèche, je serres un peu les temps en m'exprimant " Tu t'en fous mais tu viens me gifler pour ensuite taper un scandale? T'as vraiment une drôle de façon de t'en foutre. " Je fais un petit non de la tête, et je reprends " Ah mais madame sait mieux que moi ce que je ressens? Bah vas y éclaire moi de ta lumière. " Je hausses les sourcils de désespoir. Non, personne ne sait qui j'aime ou non, alors c'est vraiment pas a elle de me faire un bilan sur ça.
Je m'approches d'elle pour lui demander une dernière fois d'être clair avec moi. L'inconvénient de se foutre dans le fond de la salle, c'est qu'on ne peut pas reculer. La fixant d'un regard noir, j'écoute sa réponse. Et, dans mon cerveau mon sang ne fait qu'un tour. Je fermes les yeux l'équivalent de cinq seconde, et quand j'ouvre a nouveau, la tête baissée... La première chose que je vois, c'est un seau a moitié rempli d'eau. Je serres les dents, les poings... Et d'un seul coup je donnes un énorme coup de pied pour l'envoyer valser a l'autre bout de la pièce. Dans la direction inverse de la où nous sommes. Ensuite, je me remets face a Sally, approchant un peu mon visage et je dis, sur un ton énervé comme jamais elle n'a pu le voir " J'ai jamais été clair avec toi? Putain j'y crois pas. J'ai jamais été en couple, je ne t'ai jamais fait de multiples crises de jalousie. Et j'ai promis d'assumer mes responsabilités sur la grossesse. " Je ne lâche pas le regard " Alors que toi tu as un comportement contradictoire de tes paroles. Tu ne veux pas être franche avec moi, et me dire définitivement ce que tu attends de moi? C'est ton choix. Mais assumes en les conséquences sans tout me foutre sur les épaules. " Je fais un petit non de la tête en serrant la mâchoire. Je relâche ensuite son visage de mes yeux pour tourner le dos. Et je regardes les dégâts du seau d'eau que je venais de shooter.

Je n'avais même pas envie d'argumenter cette histoire avec lui, je savais exactement ce qui ce passait dans sa tête, il ne montrait rien mais je savais exactement ce que je représentais pour lui et je n'étais rien, si j'étais juste surement enceinte de lui mais rien de plus qu'une élève à ces yeux contrairement à June qui était son ex et qu'il avait embrassé alors qu'elle était en couple. On était à l'abri des autres dans cette pièce et j'allais me foutre au fond du local loin de lui mais il s'énervait et plus il s'énervait plus je m'énervais aussi. "Arrête de jouer au con tu veux bien, elle était en couple et tu l'as embrassé, elle est aussi ton ex faut être complètement débile pour ne pas s'apercevoir que tu l'aime encore." Il levait le ton et moi aussi et m'engueuler dans un local d'entretien je ne faisais pas ça tout les jours le pire c'est que je n'avais même pas envie de le faire à la base je voulais juste lui demander de me foutre la paix après cette gifle. Il s'approchait de moi et j'étais un peu bloquer pour le coup vu que j'étais déjà plaquer contre l'étagère et je fronçais les sourcils, il ce retournait pour foutre un gros coup de pied dans le seau d'eau qui était à ces pieds et il valsait à l'autre bout de la pièce en ce renversant partout. "Mais t'es complètement fêlé comme mec." Sur le coup j'avais sursauté mais bon je m'étais bien exploser la main l'autre fois en apprenant la nouvelle. Je relevais le regard vers lui quand il reportait son regard sur moi puis il enchainait, je lâchais un long soupire avant de répondre mais cette fois en baissant le ton comme ci je me moquais de lui. "Justement on a jamais été en couple et tu ne m'as jamais fait aucune crise de jalousie justement parce que tu en a rien à foutre de moi. Oui tu est simplement le potentiel père de cet enfant j'ai compris." Il c foutait de ma gueule, en fait il confirmait s'en battre les couilles de moi puisque lui rien à mon égard ne le rendait jaloux, je soupirais en le poussant pour passer. "Qu'est ce que j'ai pu être conne de commencer à tomber amoureuse de toi." Une fois que je l'avais pousser je cherchais simplement une chose dégager de ce local, regagner les couloirs du campus et le laisser ce démerder avec ce bordel qu'il venait de mettre.

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C'est une belle journée...

Je peux comprendre que le baiser avec June ne soit pas bien passé, bien que ça date d'avant toute notre histoire. Mais de la a soutenir que j'aime encore mon ex petite amie, c'est vraiment abusé. Beaucoup de personnes s'embrassent sans avoir de sentiments non? Que ce soit par envie ou juste pour un défi, c'est une chose courante. " Faut surtout être débile pour croire ça. Mais tu sais quoi, crois ce que tu veux parce que peu importe ce que je vais dire, tu vas insinuer que je mens. Je ne vais donc pas m'épuiser a rien. " Bah quoi? Je ne vais pas répéter la même chose pendant cent ans, je n'ai a vrai dire, pas que ça a foutre.
Le ton montait entre nous, et la situation devenait un peu tendue. Je m'énervais tellement que mon pied venait a taper dans un seau rempli a moitié d'eau pour le faire dégager a l'autre bout de la pièce. A sa réflexion, je hausses les sourcils et je dis tout bêtement " C'est la meuf qui gifle avant de dire bonjour qui me traite de fêlé? Laisse moi rire. " Je souris nerveusement, et je reprends ensuite ma tête de mec enragé. le regard noir, les dents serrées. Je m'approche d'elle, et j'affiche mon ressenti avant de recevoir le sien. Je soupires, et je reprends la parole " Tu crois que le fait de ne pas faire de crise de jalousie c'est parce que j'en ai rien a foutre? T'es grave. C'est peut - être pour éviter des disputes inutile qui feraient perdre du temps. Mais non, t'as jamais envisagé de penser positivement. " Je hausses les épaules, et je me fais pousser, par réflexe je dis " Hep me pousse pas. " et la. Boom badaboum. Sally balance qu'elle a été conne, conne de commencer a tomber amoureuse de moi. Je restes figé. Je fronces les sourcils, et la phrase tourne dans ma tête. Première réaction? Sans comprendre, mes nerfs explosaient de cette situation. Mes mains prenaient les premiers trucs qui tombaient dessous, et je balançai le tout dans la pièce. Mon pied retaper dans le seau, les différents balai... Pétage de plombs complet.

Je le pensais et en plus le pire c'est qu'il ne démentait pas, à part faire des sous entendus il ne disait pas clairement que non ce n'était pas le cas alors oui comment ne pas y croire, ça m'énervait encore plus et j'avais vraiment envie d'être loin de lui, de ne plus le voir et le sortir de ma vie et cette fois pour de bon. "Ouais forcément tu ne dément pas et après c'est moi qui croit n'importe quoi alors que c'est toi qui n'ai jamais clair." J'en avais vraiment plus que marre qu'il n'agisse pas, qu'il ne oit ps clair avec moi et je le pensais vraiment quand j'espérais qu'il ne soit pas le père de mon enfant parce que franchement à le voir agir comme ça c'était tout sauf à son avantage pour être père. Il pétait son câble en mettant un coup de pied dans un seau rempli d'eau et répondit à ma remarque, bon sauf que moi à priori j'avais une raison pour ça et lui pas tellement parce que la nana qui ce faisait prendre pour une conne c'était moi. J'en avais vraiment marre alors maintenant qu'il avait dit ce qu'il avait eu à dire je n'allais surtout pas rester là à le regarder dans les yeux. "Je pense surtout que tu n'ai jamais clair dans tes paroles et que tu ne fait que des sous entendus." Je le poussais ensuite pour sortir de là et pour le coup je ne me retournerais pas, j'avais assez donner et j'étais vraiment fatigué de cette situation, je lui avais dis ce que je pensais et il avait aucune réaction à part tout péter dans ce local et je comptais pas rester ici pour me prendre un truc dans la gueule, je sortis du local en laissant la porte claquer derrière moi et je me mis à marcher vers mon casier mais cette fois ci les larmes coulaient toute seule, je n'avais pas réussi à les retenir.

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