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was this a joke for you? (hardin)

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Dernièrement, je passais tout mon temps entre mes cours, des réunions, m’occuper des jumeaux, et travailler sur ma thèse. Je délaissais énormément mes amis, ou ma soeur, ou même tout le monde en fait. J’avais tout simplement du mal, sous la charge de travail, de me retrouver dans ma vie. J’avais une bonne organisation, là, n’était pas la question. Toute fois, je ne savais pas tout coordonner, et je me concentrais principalement sur mes études et mes enfants. Je venais de sortir de 4 heures de cours de théorie quantique, et ma tête était entrain d’exploser. J’avais pris ce cours, surtout par curiosité, mais je me rendais compte qu’autant j’étais forte en mathématique et informatique, la physique n’était pas totalement ma tasse de thé. Je vérifiais mon téléphone, sillonnant les couloirs de l’université en direction de la cafétéria. J’avais reçu un message de lui pendant mon cours. C’était stupide, je connaissais tout sur lui et pourtant un nom je ne savais pas, juste un numéro. Je n’avais pas besoin de plus, de juste parler, à quelqu’un qui ne sait que ce que je lui dis, sans me juger. Je ne faisais pas attention où je marchais, rentrant dans quelqu’un, où plutôt une des personnes que je déteste le plus. Je fais tomber mon téléphone, sous le choc, alors que je recule de plusieurs pas.
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Je crois que les cours ne m'ont jamais paru aussi longs que depuis mon retour. Non, vraiment. Avant ça allait, mais là plus la fin de mes études approchait, plus j'avais envie d'y être. Fini l'université, fini ces cours barbants où j'ai envie de m'endormir la plus part du temps. Puis je crois que j'avais perdu le goût des études en quittant pendant trois mois. C'était nécessaire de toute manière, j'aurai pété un câble si j'étais resté ici alors que mon père mourrait à l'autre bout du monde. Ma présence ne l'a pas empêché de mourir, mais au moins j'étais là. Bref. Je quittais mon cours, et quelqu'un me rentra dedans. Encore? Il fallait toujours qu'on me rentre dedans depuis que je suis revenu ou quoi? L'autre jour Alaska et maintenant.. Oh non. Putain, c'est vraiment ma fête. Sous le choc, elle reculait, laissant tomber son téléphone. Je levais les yeux au ciel, jetant un coup d'oeil à ce qu'il y avait à mes pieds. Je me baissais alors pour le récupérer. « Comme par hasard il faut que tu... » Je me stoppai net. Pourquoi elle avait ça, elle? Pourquoi elle avait ce message, pourquoi elle avait mon numéro affiché? Je relevai la tête vers elle. « Tu te fou de ma gueule, j'espère? » Je ne sais pas pourquoi je disais ça, j'avais clairement une saloperie de sms sous mes yeux. Je relisais le message, mon message sur le téléphone de Feldt, merde!
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La prochaine fois, je ferais attention où je marcherai. Heureusement que j’avais une coque robuste que mon iPhone n’éclate pas en mille morceaux alors qu’il venait toucher le sol en marbre. J’étais sous le choc de la percussion, ayant besoin de plusieurs instants pour m’orienter à nouveau. Déjà que j’étais pas bien car j’avais très peu dormi. Les jumeaux n’avaient pas fait une bonne nuit, et m’avait gardé éveillé tout la nuit. J’en payais les frais maintenant, en plus des quatre heure de physique quantique. Enfin, bref, c’était juste la joie. Je m’orientais et vis Hardin devant moi, agenouillé, mon téléphone dans ses mains. C’était une blague?! Après Elios, c’est lui que je dois retrouver. Je croyais qu’il s’était cassé, et il n’avait pas pu rester dans son pays où qu’importe où il était. Pourquoi me faire chier là? Je grinçais des dents alors qu’il tenait mon téléphone dans sa main, et qu’il lisait clairement ce qui se trouvait sur mon écran. « Tu connais le privé? Visiblement, non! » Je lui arraches mon téléphone des mains. C’était privé cette conversation, ce numéro, c’est mon numéro, celui en qui je peux me confier. Y avait un tas de truc personnels dedans que je ne voulais pas qu’il apprenne.
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Là clairement, je sentais la ciel me tombait lourdement sur la tête. Non pas car il y avait eu collision, mais bien à cause de cette saloperie de message que je venais de lire. Le message que j'avais écris il y a moins d'une demi heure à cette fille. A elle. Il était destiné à cette personne et pas à Feldt. Mais je comprenais rapidement que ces deux personnes ne faisait qu'un. Non, je devais rêver! « Privé? C'est une blague? » dis-je, énervé. Un truc pareil ne pouvait pas m'arriver à moi quoi, pas maintenant. Putain c'était trop là, c'était la goutte d'eau qu'il allait faire déborder le vase. « C'est moi qui ai écris ce message. Putain, c'est moi ce numéro. » Est-ce qu'elle savait? Non je ne pense pas. C'était une manière de se venger de moi? Aucune idée mais j'avais l'impression que c'était loin d'être le cas. L'un comme l'autre, je crois qu'une réalité très redoutée allait nous exploser à la figure. J'en reviens pas. Je n'ai pas pu me confier à elle quoi. Je la déteste, même quand elle n'est pas là je ne la supporte pas. Et là, on viendrait me dire que c'est celle qui m'a permis de remonter la pente après la mort de mon père.. C'est juste, pas réaliste.
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J’avais envie de m’en aller en courant, de tourner le dos à Hardin, et de le voir disparaître de ma vie. J’étais bien quand il n’était pas là, alors pourquoi il revenait là, et qu’il osait en plus de cela lire mes messages. C’était de la sphère du privé. Il n’avait absolument pas à lire ces choses, ou ce message. Les messages que j’échangeais avec lui étaient privés, m’aidaient à tenir en place, et à la fois, j’aidais lui aussi. Il s’agissait de rien de plus que de deux personnes qui se confient l’un en l’autre. Je n’irais jamais en parler à quelqu’un d’autre, de crier sur un toit les problèmes de cette personne. Et là, Hardin, il lisait comme si il avait tous les droits. Puis, je me pris une gifle dans la figure. C’était lui? Impossible, il voulait me torturer, se foutre de ta gueule. « Tu te fous de moi? » Je refusais d’y croire, que c’était vrai. Il voulait rigoler, me faire une bonne blague, et plus voilà, l’habituel. Ce n’était pas Hardin ce numéro. Je refusais catégoriquement de le croire, et même de l’accepter.
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Mais giflez-moi, pincez moi bordel. Je rêve, là, c'est ça? Feldt est pas en face de moi, je ne suis pas en train de comprendre que je me confie à une personne que je déteste au plus profond de moi.. Putain. Mais mettez moi au fond d'un puits, ça ira plus vite j'aurai pas à creuser pour aller jusqu'au fond tout seul. Non, je ne me fou pas de toi, j'aimerai, vraiment! Malheureusement non. Mais j'pensais pas à son malheur, j'pensais qu'au mien et maintenant je m'en fou de ce qu'elle pense et ce que ça lui fait. J'lui est dis tellement de chose, que j'ai peut être jamais pu avouer à d'autre quoi. « J'ai l'air, peut être?! » dis-je agacé. J'passais une main dans mes cheveux, contractant la mâchoire. Calm down. « Putain mais tu me feras vraiment chier jusqu'au bout! » J'étais énervé, et surtout j'me sentais con maintenant. Je me sentais tellement abruti de pas l'avoir remarqué. Comment j'ai pu louper ça, quoi?
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C’est juste un mauvais rêve. Je me suis endormie en cours, et voilà ce dont j’étais entrain de rêver. Ce n’était pas la réalité. Pourtant, si. Il y avait bien trop d’étudiants, trop de bruits pour que cela ne soit pas vrai. Hardin, vraiment? J’en revenais pas. je voulais me casser d’ici, aller voir mes enfants. Limite, je préfère encore devoir parler avec Elios que d’être en présence de Hardin. Ce mec, je peux pas le voir en peinture, et maintenant, il m’annonce que le mec à qui j’envoie des messages depuis fin juillet, c’est lui. Je lui ai dis des trucs dont j’avais même pas parlé avec mes meilleurs amis, que personne ne savait, style mes insomnies depuis mon viol, ou ma peur vis à vis d’Elios, ou même ce que j’avais ressenti quand j’avais perdu mes parents. Je lui avais dis un tas de trucs, et c’était lui. Il fallait que ça soit lui. La vie aurait été bien trop belle sinon. « Non, c’est toi ! Ça te fait plaisir de me torturer? De te foutre de ma gueule? Tu le savais, depuis le début en fait, et ça t’as juste fait plaisir de voir à quel point je pouvais me confier à un inconnu. T’es vraiment qu’un connard. » Je lui crachais à la figure, sans aucune honte.
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Je sentais la colère me monter mais pas que. Je ne sais pas, un autre truc que je ne pouvais pas identifier m'envahissait et j'étais totalement incapable de mettre de mot dessus. C'était elle.. merde quoi! J'avais merdé sur toute la ligne, à penser que jamais je ne connaîtrais cette fille en personne. Y avait un côté rassurant à ça, à savoir qu'elle ne saurait pas qu'il s'agissait de moi, de mes secrets, mes sentiments, mes émotions... Elle savait beaucoup de choses à présent. Et le pire qu'il soit.. elle savait que ces choses m'appartenaient et ça c'était affreux. Ses paroles me révoltaient, clairement. J'veux bien être le plus finis des enfoirés, mais j'me serais pas amusé à ça, certainement pas. « Mais va te faire foutre Feldt! Tu crois que si j'savais que c'était toi je t'aurais raconté que mon père était mort? T'es vraiment une pauvre fille, je sais pas comment j'ai fais pour pas me rendre compte que c'était toi! » J'avais aucune pitié à cet instant. « Si tu parles de ce que tu sais à qui que ce soit, je te jure que je te laisserais même plus déambuler dans les couloirs! » Façon de parler, mais elle avait intérêt de la fermer, sinon je n'allais pas me gêner pour faire de sa vie un enfer.
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Mon monde était entrain de s’écrouler sur mes pieds. Moi qui était d’habitude si forte, si adroite sur mes convictions, je perdais mes repères. Je ne m’ouvrais que très peu, ne parlant à personne de ma vie privée. Je m’étais ouverte à un inconnu, quelqu’un dont je ne connaissais rien d’autres que le numéro. J’aurai dû faire attention, j’aurai dû aller voir à qui j’avais accidentellement envoyé mon premier message. Et pourtant, ça m’avait fait du bien, de ne pas savoir à qui je parlais, que cette personne ne me jugeait pas pour mon nom, mon passé. Je pouvais m’ouvrir à lui pour dire ce que je ressentais à ce moment même, et inversement. Je m’étais dis que ce n’était pas grave, que je n’allais jamais rencontrer cette personne, qu’elle ne connaîtrait jamais mon nom ou mon visage. Aujourd’hui, toutes mes peurs devenaient réalité. Le pire dans toute cette histoire était qu’il s’agissait de Hardin. Je ne pouvais pas tomber plus bas que cela. Je m’étais ouverte à lui. Je laissais échapper un rire las à ses paroles. Ma main ma démangeait pour lui mettre une baffe tellement que c’était insensée ce qu’il racontait. « Tu me prends pour qui?! Qu’est-ce que j’en gagne d’en parler à quelqu’un? Rien. Je ne suis pas comme cela, jamais j’irais dévoiler les secrets de quelqu’un. Mais cela en va de même pour moi. Tu dis juste une chose sur moi, sur ce que tu sais, je te promets que tu ne reverras plus jamais Harvard. »
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Je bouillonnais de l'intérieur. Feldt était une des personnes que j'aimais le moins, que je détestais même. J'aurais jamais pu ne serait-ce que confier un truc minime sur ma vie à cette fille. Elle me dégoutait, j'pouvais lui cracher dessus si j'en avais envie, que ça ne me ferait rien. J'aurai aucun regret à ça, tellement je ne l'aimais pas. Oui mais voilà, Feldt c'est aussi cette personne qui m'a soutenu, qui m'a écouté, à qui je me suis confié et qui s'est aussi confiée à moi. C'est effrayant comme constant, et ça me donne la gerbe. Clairement, j'voudrais m'enterrer six pieds sous terre tellement j'étais pas prêt une heure plus tôt pour me prendre une nouvelle comme celle-ci dans la tronche. Et alors quoi, on vient de se menacer mutuellement et maintenant hein ? On va juste se contenter de se lancer des regards noirs en sachant tout l'un de l'autre ? Ridicule, absurde. « Très bien. » Je voulais simplement dégager de là maintenant,s sauf que mes jambes ne bougeait pas.
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