Mon voyage en Suisse vient tout juste de terminer et je n'ai qu'une idée en tête, voir Jaysaël. Je tente une nouvelle fois de le lui faire comprendre mais je me fais pas de fausses idées, je sais que rancunier comme il est, ce que je vais lui prouver, passera à la trappe mais tant pis, j'ai besoin qu'il le sache. Il est 19h et je sors de l’aéroport, attrape un taxis en compagnie de Tate et Jake, se dirigeant vers le campus. Quelques minutes plus tard, me voilà devant la Winthrop House, nerveuse. Comment va t'il réagir ? Va t'il me repousser, encore une fois ? Va t'il ne rien dire et me laisser partir ? Ou me retiendra t'il ? Pfff, j'en sais rien... je souffle nerveusement alors que Tate m'encourage. Mais il faut impérativement que j'y aille. Je sors de la voiture et entre dans la maison des rouges. J'repère plusieurs têtes que je connait quand l'un d'entre eux me dit que Jaysaël est dans sa chambre. Je m'arrête devant les escaliers, ma respiration s'accélère quand j'entends Simba me demander si ça va. Je prends une inspiration et lui réponds en montant. J'arrive devant sa porte et m'arrête encore une fois. Sérieux, Six, reprends toi ! C'est qu'un mec, après tout, non ? Non. La main tremblante, je frappe à la porte.
Enfermé dans ma chambre assis à mon bureau, le nez plongée dans mes bouquins pour faire preuve d'un minimum de sérieux, parce que cette année c'est quand même celle de ma maîtrise, pour l'obtenir. Alors je bosse, puis c'est un bon moyen pour oublier un peu tout le reste. La réapparition d'Anna, ma relation avec Lottie assez compliqué à cause des personnes qui nous tourne autour et l'éternel problème... Sixtine. Je n'avais plus eu de ses nouvelles depuis un moment, dans un sens, c'était pas plus mal vu ce qu'elle m'avait fait... Samaël... Sérieusement, ce gars, qu'est-ce qu'il avait de plus que moi ? Qu'est-ce qu'elle pouvait bien lui trouver ? Je soupire. J'arrivais pas à me la sortir de la tête alors qu'au final, je suis bien avec Lottie, on s'entend bien que ça soit en soirée, entre nous, avec nos potes ou même au lit... Alors, je devrais pas me plaindre et profiter de ça... Sauf que Six' occupe toujours mes pensées, même si je n'ai plus aucune nouvelle d'elle depuis nos échanges de messages... Messages assez étrange.
Je soupire en fixant mon corps de Sociologie annotant quelques détails dans la marge pour compléter le cours du prof avec mes notes au final. Je me redresse alors en entendant frapper à ma porte. "C'est ouvert." Lançais-je sans plus de cérémonie, me disant qu'il devait s'agir de Simba, d'Andrew ou bien même d'un autre Winthrop. Je dépose alors mon portemine et me retourne sur ma chaise pour faire face à la personne qui vient de rentrer dans ma chambre. Je tombe des nues en voyant Six'. Je fronce alors les sourcils après un moment de beug, de what the fuck total, parce que non, elle pouvait pas débarqué comme ça dans ma chambre après avoir fait la morte et surtout après la façon dont elle s'était foutu de ma gueule. Je retourne à mon cours, reprenant mon porte mine. "Qu'est-ce que tu veux?" Lançais-je alors froidement, serrant un peu trop mon crayon entre mes doigts.
J'entends sa voix préciser que c'est ouvert, j'ouvre la porte et la referme aussi tôt. Je reste là, plantée comme une conne en plein milieu de la pièce quand le rouge se retourne laissant place à un visage froid. Qu'est-ce que je veux ? T'ouvrir les yeux comme on a ouvert les miens, crétin. Puisqu'il ne me regarde même pas, je prends l'initiative de m’asseoir sur son lit, sinon, je crois que je vais tomber tellement que tout mon corps tremble. J'inspire profondément. Je veux juste te parler, Jaysaël. Je le regarde, essayant de se concentrer sur ses cours, le crayon serré dans sa main. Limite, il va le casser en deux. Bon, ça prouve que ma présence provoque quelque chose chez lui, même si c'est négatif mais au moins, il réagit. Finalement, c'est pas plus mal qu'il me tourne le dos, le stresse va pouvoir descendre, ou presque. Je ne sais pas par où commencer, j'ai tellement de choses à lui dire... bref, je me lance. Si j'ai pris la peine de venir te voir après une semaine en Suisse, c'est parce que j'ai pris du recule. Je m'arrête, voyant aucune réaction. J'en avais besoin. Je sais que j'ai fais une grosse connerie et je t'assure que je le regrette. J'aurais pas du et encore moins aller vers Samaël. Mais j'étais complêtement perdue, Jay. Je ne savais plus quoi penser, la peur sans doute... Je souffle. Dis quelque chose, au moins.
Je fixe la feuille devant moi, mon crayon entre les doigts, la jointure de ceux-ci blanchissant un peu à cause de la pression que j'exerce dessus. Je ferme les yeux en l'écoutant. Ne pas soupirer... Je fini par le faire, un soupire franchit mes lèvres quand elle a fini de parler. J'ouvre alors à nouveau les yeux. "Et?" Je bouge alors, me tournant sur ma chaise une nouvelle fois, pour la regader. "Tu veux que ça me fasse quoi ?" Mon regard posé sur elle est froid, je lui en veux. On se tournait autour, puis la chose la plus logique est arrivée et on a couché ensemble... Parce qu'on le voulait ! Merde quoi, elle devait bien s'être rendu compte qu'elle me plaisait que je lui courrais après. Mais maintenant, c'est mort. "Si t'espère que je vais te dire que c'est la même chose pour moi, tu peux oublier. Le seul regret que j'ai, c'est de m'être intéressé à toi." C'est méchant ce que je dis, mais elle s'est foutu de ma gueule et ça, ça ne passe juste pas, même si aujourd'hui encore, j'ai des sentiments pour elle, je dois les faire taire et l'oublier. Lottie peut m'y aider j'en suis certain. Je m'accoude alors au dossier de mon siège. "C'est tout ce que tu voulais ? Si c'est le cas, tu sais où est la sortie." Je la fixe alors, je pourrais me retourner pour lui montrer que la conversation est réellement close, que je n'ai plus envie de lui parler, mais la revoir... Dans un sens, ça me faisait plaisir, même si je ne pouvais pas faire taire cette rancune... Elle avait trop joué avec moi.
Ses aroles sont dures. Je m'y attendais, dans un sens mais elle font l'effet d'un coup de couteau dans la poitrine. Je me mords la lèvre inférieur et tourne la tête vers la fenestre. Je ravale mes larmes alors qu'il me fixe. Ok... Je dégluti mais une larme arrive quand même à passer le seuil de mes yeux. Je la sens couler le long de ma joue sans que je puisse maîtriser ça. Ca coule tout seul. Je continue de fixer la fenêtre, je ne veux pas qu'il voit ça même si je sais qu'il en a conscience. Je comprends qu'il m'en veut, j'ai déconné et je peux pas revenir en arrière même si je le voulais. Je pousse un cri intérieurement, j'ai si peur de l'avoir perdu à jamais. Je sais qu'il est bien avec Lottie et je peux pas lui en vouloir, j'ai pas le droit. Jamais, je n'ai eu aussi mal. Cette douleur est plus foudroyante que celle que m'a procuré Angel. Je tourne la tête vers lui laissant apparaître mes yeux rouges, remplis de larmes. Je le fixe droit dans les yeux comme il sait si bien le faire. Je t'aime, Jaysaël. Je ne pouvais pas le garder plus longtemps pour moi, ça me détruit déjà assez. Tu peux bien dire ce que tu veux, tu peux me poignarder, tu peux me jeter du haut d'une falaise, tu peux faire l'autruche... ça ne changera rien. Tu peux me faire autant de mal que tu veux pour te venger, vas-y. Je ne t’en voudrais pas mais sache que quoi que tu fasses, mes sentiments sont là.
Mon regard est posé sur elle alors qu'elle ne daigne même pas me regarder. Elle vient ici, pour me balancer qu'elle est désolé, mais elle a même pas le cran de me faire face quand je la regarde. Tss. Elle me fait rire. Je la regarde pleurer, sans rien dire. Je n'ai rien à dire. Elle a provoquer toute seule cette situation et si elle s'attend à ce que je tombe à genoux devant elle, elle se fout le doigt dans l'oeil et ce, jusqu'au coude. Je ne dis cependant rien de plus, la laissant chouiner comme elle l'entend alors qu'elle fixe ma fenêtre. J'hausse alors les épaules, tandis qu'enfin, elle me regarde, ses yeux emplis de larmes. Non, je ne dois pas avoir pitié d'elle, je ne dois pas m'approcher d'elle à nouveau, elle se moque juste de moi. Puis elle me dit ces mots. Ces trois petits mots que j'avais attendu un moment, que j'aurais aimé lui dire également, sauf que la situation ne s'y était jamais prêté parce que je n'étais pas sûre que cela soit réciproque et je n'étais pas désireux de recommencer cela à nouveau, même si elle me disait ces trois petits mots.
Je passe ma main dans mes cheveux, assez mal à l'aise... Dans un sens, j'avais encore des sentiments pour elle, sauf que je devais les faire taire. "Ecoute Six', rien n'est possible entre toi et moi. Tu as eu ta chance, tu n'as pas su la saisir, maintenant c'est trop tard. Retourne donc avec ton très cher Samaël. Lui peut-être qu'il voudra encore de toi, sauf si tu t'es aussi foutu de sa gueule comme de la mienne." Si au début, j'ai essayé d'être conciliant, je n'ai pas su le rester, à cause de ma rancune face à ce qu'elle m'a fait et la jalousie que je peux éprouver à l'égard de Samaël... Jalousie qu'elle a clairement pu percevoir en vue de mon ton très, trop, ironique quand j'ai mentionné son prénom. Je la regarde, ma main ayant finalement atterrit dans mon cou, que je masse légèrement. Je suis assez mal... Parce qu'avec Lottie, j'aimerais être sérieux... Mais savoir que Sixtine m'aime aussi... Je sais plus ce que je dois faire... Choisir la certitude avec Lottie ou bien laisser ma blonde pour prendre la Dunster alors qu'elle m'a déjà fait un coup de pute en quelque sorte ? Pour le moment, mon choix est fait. Si Sixtine me veut réellement, des paroles ne suffiront pas. Je ne peux juste plus la croire... Et je ne suis même pas sûr de pouvoir croire ses actes aussi... Je n'ai plus aucune confiance en elle, il faut se rendre à l'évidence.
Je ne te crois pas. Je sais qu'il ment. Simba me dit le contraire et pas de bol pour lui, le lion est aussi proche de moi que de lui. Il dit ça pour se persuader lui-même alors qu'il sait très bien qu'il ne m'oubliera jamais. Ta jalousie envers Samaël me rend malade. C'est vrai, il ne cesse de toujours remettre nos conversations sur lui. A croire qu'il n'a que le mot "Samaël" à la bouche. C'est ridicule, il est ridicule. Pourquoi je pleure pour lui alors qu'il veut se convaincre qu'il en a clairement rien à foutre de ma gueule. Je me lève et je me mets à sa hauteur. Regarde moi droit dans les yeux et jure moi que tu ne ressens strictement rien pour moi. Je sais qu'il déteste jurer quand c'est faux. Jure le moi et je m'en irais, je ne serais plus dans tes pattes si c'est vraiment ce que tu veux. Je sais que je le mets au pied du mur mais j'ai vraiment besoin de savoir. J'ai besoin de savoir si c'est mort ou ci il ne fait que ça pour se dissuader d'autre chose.
Mes lèvres s'écartent l'une de l'autre sous le choc de sa réponse... Elle me traite de menteur. A raison, mais comment elle peut le savoir ? Je la fixe, la dévisage et me lève de ma chaise quand elle approche, tandis qu'elle me reproche d'être jaloux de Samaël. La faute à qui hein? Je me le demande bien. Je la suis du regard, soutenant son regard alors qu'elle me demande de lui mentir en la regardant dans les yeux, de lui jurer un mensonge. Je serre les dents et la fixe. Comment ne pas mentir, mais quand même réussir à la faire partir ? Je la fixe donc, silencieux, cherchant un échapatoire en essayant de ne rien lui montrer de mon état d'esprit. Pourquoi est-ce qu'il fallait qu'elle revienne comme ça ? Qu'elle réapparaisse maintenant ? C'est un peu comme Anna qui sort de nulle part en mode, Yolo, je fais mes études à Harvard aussi maintenant. Bref, il ne m'arrive rien de bon pour le moment.
Un soupire franchit alors mes lèvres et je la regarde dans les yeux. "Tu t'attends à quoi ? A ce que je te dise je t'aime ? Je ne le ferais pas. Jamais. Je suis avec Lottie maintenant et j'ai pas envie de la perdre à cause d'une fille comme toi qui n'est pas capable de savoir ce qu'elle veut en temps voulu. Tu as eu ta chance alors maintenant, laisse tomber Six' en persistant comme ça, tu ne nous fera que du mal à Lottie et moi et je n'ai pas envie. Je tiens à elle." Au final, ce n'était pas un mensonge cela, je tiens réellement à la petite blonde avec qui je sors maintenant. Je ne dirais pas que je l'aime comme je peux aimer Sixtine, mais je n'ai pas envie que mes erreurs lui retombent dessus. Je ne veux pas jouer avec Lottie, je veux juste oublier Sixtine avec elle et essayer d'être sérieux avec elle, alors il est préférable que la Dunster oublie cette idée de me courir après. Je continue de la regarder dans les yeux. "Alors maintenant, bouge de là." j'ai l'impression d'être horrible avec elle, mais c'est elle qui a commencé... C'est elle qui a provoqué cette situation... Si seulement on pouvait revenir en arrière... Il est certain que je la toucherais pas à la soirée Gatsby... Non, je continuerais de lui tourner autour, mais ne franchirait aucunement le pas pour ne pas que l'on se retrouve dans cette situation... Pourquoi avait-elle fuit comme ça... Pourquoi me poussait-elle à lui en vouloir ?
Etant donné que la version Sixtine gentille ne fonctionne pas, on va jouer une autre carte. J'ai essayé, vous en êtes témoins. Ou pas. bref, on s'en fou, moi je le suis pour moi-même >< Je l'écoute me balancer ces choses auxquelles je ne crois absolument pas et je souris. Je genre de sourire fouteur de gueule que je maîtrise très bien et qui rend les autres complètement fous. Je me rapproche de lui, il ne me fais pas peur avec ses paroles blessantes. Vas-y, c'est tellement amusant de t'écouter essayer de te persuader. Dis ce que tu veux, Jaysaël. je ne te crois pas et je ne te croirais plus. Là, soit il me saute dessus pour m'en coller une, soit il me jette clairement dehors mais je sais qu'il ne fera aucun des deux car je sais qu'au fond de lui, il veut des réponses. Je ne te lâcherais pas, je ne te laisserais pas partir. Tu dis qu'il est trop tard mais il n'est jamais trop tard, bien au contraire. Tu respectes peut-être Lottie mais jamais tu l'as respecteras autant que moi et c'est ça qui te fait peur. Aller, avoue le. Je ne compte pas te laisser partir, mon grand. Si tu savais comme j'ai besoin de toi mais bien trop fière pour te l'avouer. Je le regarde, ne le quittant pas du regard. Je vais répondre à cette fameuse question qui te hante depuis le début: si j'ai si peur de toi, de nous c'est parce que je ne t'ai jamais avoué quelque chose. Cette chose que je ne peux pas effacer. Tu sais qu'il y a un an d'ici, un homme m'a trahie. Mais tu n'as jamais su comment. Je souffle, il faut qu'il le sache. La balle sera dans son camps. La fois où j'ai passé le pas avec Angel, il avait tout filmé pour le montrer à ses potes de "pari". Je dégluti mais si c'était seulement ce qu'il avait fait. Mais je ne vais pas tout lui raconter, pas aujourd'hui.
Et elle continue de me tenir tête, refusant de m'écouter, de m'obéir alors que je lui demande de sortir de ma chambre, de me laisser, d'abandonner. Je croise alors les bras en l'entendant. " Au moins, on est d'accord sur une chose. Moi non plus je ne te crois plus. Tu t'es bien moqué de ce que je pouvais ressentir avant, alors ne fait pas genre que tu sais ce que j'éprouve pour toi Sixtine, tu n'en sais rien." Je la regarde froidement, le visage fermé, parce que je n'ai plus envie de me livrer à elle, de passer de bon moment avec elle comme ce soir-là sur la plage par exemple... Mais je continue de la laisser me parler, de me dire ce que je suis sensé éprouver, non, en réalité ce que j'éprouve réellement. Je soupire. "Ne te mêle pas de mon histoire avec elle. Car vois-tu, maintenant, j'ai plus de respect pour elle que pour toi. Car vois-tu le respect, c'est un truc que l'on accorde à une personne quand elle le mérite et toi, tu ne mérite plus rien de ma part. Peu importe ce que tu penses savoir, ce que l'on t'a dit sur ce que je peux éprouver pour toi. C'est de l'histoire ancienne." Je marque alors une pause, la regardant toujours, un soupire franchissant une nouvelle fois mes lèvres. " Tu sais très bien comment je suis. Je ne pardonne pas. Alors pourquoi est-ce que je te pardonnerais hein ? " Je la fixe alors, attendant sa réponse et là, elle se confie... Je lève un peu les yeux aux ciels, parce que pour moi, c'est trop tard maintenant, elle aurait du faire ça avant, quand j'étais encore prêt à l'écouter. Sauf que je tique au prénom du gars et je dévisage Sixtine, décroisant alors les bras pour me diriger vers la porte de ma chambre, posant ma main sur la poignée de celle-ci. "Angel, toujours Angel, mais vous avez quoi avec lui hein ? Que ça soit Mecky ou toi, je vous ai montré à toutes les deux que je ne suis pas comme lui, que moi, j'ai des principes et je paie à chaque fois les pots cassés de ce gars ! Faut arrêter de te trouver des excuses Six' Avoue simplement que tu t'es foutu de ma gueule et voilà. Ok, Angel t'a fait du mal, mais je pensais que tu me faisais confiance, mais il faut croire que ce n'était pas le cas. En quoi est-ce différent maintenant ? Parce que t'es partie en Suisse, parce que tu t'es tapé un autre mec et que tu t'es foutue de ma gueule ? Il n'y a pas de différence entre avant et maintenant, sauf le fait que moi, je ne te fais plus confiance. Tu m'as déçu Sixtine, je pensais que tu étais une fille bien, mais au final, tu vaux pas mieux que beaucoup d'entre elles. Et ce n'est pas parce que ton ex t'as fait souffrir que ça te donne une raison de faire du mal à d'autres personnes. Alors maintenant part s'il te plait." Je ponctue alors ma dernière phrase en ouvrant la porte de ma chambre. C'était la deuxième fois que ma vie sentimentale partait en vrille à cause de ce dénommé Angel, d'abord avec Mecky et maintenant avec Six. Si j'avais été concilient alors la première, je le serais moins avec la seconde car on a échangé des long moments ensemble, je lui ai bien montré que j'étais pas comme ce gars alors non, je ne cautionne pas sa crainte.
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