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PHASE ♡ Broken hearts and last goodbyes

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Comment regagner la confiance de quelqu'un qui nous a brisé, qui a joué avec notre coeur ? J'avais peur de la suite des événements, j'avais encore en tête notre dispute, les passants qui nous regardait et les mots qu'il avait employé. Je ne pouvais pas me les enlever de la tête, comme si j'étais traumatisée. Mais après tout, il les a dit, il a dit qu'il ne voulait plus me voir mais on est ou ? On est la, tout les deux, dans un endroit assez intime, puisque nous n'étions que nous deux, les serveurs passant de temps à autre pour voir si nous n'avions besoin de rien, mais moi, je n'avais besoin de rien, j'avais juste envie de discuter avec lui, comme deux vieux amis le feraient. Parce que finalement, c'est ce qu'on est. Deux vieux amis, deux anciens amants qui essayent de passer au-dessus d'une situation qui les a détruit. Ou plutôt qui m'a détruite. Je ne savais pas ce qu'il en était de son côté, si lui aussi ressentait les mêmes choses que moi. Si, il avait autant de mal que moi à dormir, à passer une journée sans penser à moi. J'avais trop de choses en tête pour ne plus penser à lui. Je me souviens encore de son regard froid presque glacial, quand il me parlait. De son visage fermé, un visage que je ne lui connaissais pas et qui m'avait apeuré. Si nous n'étions pas dans un lieu public, est-ce qu'il m'aurait frappé ? Je n'en sais rien, et je ne veux pas de réponses à cette question, si la réponse s'avérait positive, je l'aurais perdu pour toujours. Je ne voulais pas d'un homme qui me faisait peur au point de trembler à chaque fois que j'aurais été à ses côtés. Non, je ne voulais pas ça, mais heureusement, il ne m'avait pas touché. Heureusement. Je pense que je ne serais jamais revenue de Sydney si ça avait été le cas. Il m'annonçait qu'il voulait retrouver ma confiance, qu'il allait tout faire pour. Mais si seulement il savait à quel point ça allait être difficile, il ne dirait pas cela. Je le fixais simplement à la suite de sa phrase, le coeur menaçant d'exploser tant il tambourinait dans ma poitrine et j'avais l'impression que mes jambes ne pouvaient plus me supporter alors je m'étais assise. J'avais les jambes en coton, le coeur en mode accéléré et je ne savais pas quoi faire de mes mains, tant elles tremblaient. Toutefois, il était rassurant et cela me soulageait. Ses lèvres sur les miennes était tout ce que je voulais, tout ce que j'avais désiré ces dernières semaines et je ne pouvais pas m'appliquer à ne rien faire, à rester de marbre. Non, j'étais obligée, je me sentais dans l'obligation de prolonger ce baiser, et même si c'était l'inverse, j'étais persuadée que mes désirs n'auraient pas écouté ma conscience et j'aurais tout de même continuer cet instant afin de ne pas perdre cette sensation de bien-être qui m'envahissait. Et mon père m'a toujours dit que les mots avaient plus d'impact que les gestes alors je ne les contrôlais pas, je lui disais tout ce que j'avais sur le coeur, même si, peut-être il n'en avait rien à faire, toutefois il me forçait à le regarder et je ne pouvais m'empêcher de me perdre dans son regard. “Alors ne me perd plus, ne nous prenons plus la tête comme ça, vivons simplement.” J'espérais qu'il approuve cette décision. Je me mordillais la lèvre, stressée, apeurée une nouvelle fois, écoutant sa voix qui me berçait. Les mots se bousculaient dans ma tête, comme si ils voulaient sortir rapidement, j'avais peur de dire une bêtise alors je soupirais pour me calmer, apaiser cet état qui était un mélange d'excitation et d'affolement avant de dire simplement “Et moi ? Tu crois que tu ne me rend pas folle ? Je tournais en rond à Sydney, j'avais tellement mal que je voguais comme un fantôme chez moi. Mon père m'a dit qu'il ne reconnaissait plus sa petite fille, que j'avais l'air d'être une enfant perdue...” Sa tête dans mon cou, je caressais distraitement sa joue avant de fermer les yeux. Il semblait si faible, si bizarre que je ne le reconnaissais plus. Je le forçais doucement à remonter son visage pour plonger le bleu de mes yeux dans son regard avant de rajouter “Vivons simplement Chase, je ne demande pas d'effusions d'amour en public, je ne veux pas qu'on parle sur nous, même si je ne sais pas ce que nous sommes actuellement, néanmoins, je sais ce que je veux que l'on soit. Mais peut-être qu'on a pas encore assez de forces pour ça. J'ai peur que tu partes, que tu ne me supportes plus. Alors, restons amis pour l'instant. Juste assez proches pour que l'on ne se perde pas...” Amis. Ce mot me semblait impossible quand je pensais à nous, mais peut-être que c'était ce qu'il nous fallait pour le moment. Juste des bons moments, sans prises de têtes. Même si au fond, je voulais bien plus.
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Je ne devrais pas être là ! Ma raison me le dictait depuis le moment même où j'avais vu la jeune femme sauf que mon instinct de son côté me dictait d'avancer et voir ce que donnerait ce moment que j'allais partager en sa compagnie. Sauf que maintenant, ces deux-là étaient en train de se battre pour prendre pleinement contrôle de mon corps parce que j'avais utilisé mon instinct pour accepter de retrouver Phoenix dans ce fameux salon privé et maintenant pendant que je parlais c'était surtout ma raison qui dictait la conduite à tenir. Cependant, je luttais contre les vrais mots ! Contre ce que je voulais réellement ! En somme j'étais bien content qu'il y ait des serveurs qui venaient nous interrompre de temps en temps parce que cela me permettait de réfléchir pendant une fraction de secondes à ce que je pourrais dire. Pour le moment, tout semblait être correct sauf que je voulais dire bien plus que cela... Genre prononcer ces fameux trois mots mais ça ne voulait pas sortir et ni de son côté d'ailleurs, par conséquent je ne pense pas que je vais faire le premier pas aujourd'hui... Pour l'heure il fallait qu'on parvienne à passer au-dessus de notre dernière et terrible dispute qui m'avait carrément brisé le coeur au point de me faire devenir un sale con qui n'accepte plus rien de la part d'une personne. Encore moins d'une fille ! Au final si je devais écouter ma raison qui était devenue mon côté le plus con, je devrais prendre ce que j'avais besoin de cette fille avec qui je me trouvais et la laisser par la suite.. Oui vous avez bien compris ! Je devais juste m'envoyer en l'air avec elle et l'autre on s'en fout, parce que ce n'était plus ce que je voulais ! Sauf qe mon instinct qui était à la base un truc de tueur en série, voulait quelque chose de plus avec Phoenix... D'où cette bataille en furie totale dans ma tête ! Il fallait vraiment que j'arrive à me contrôler sauf que les barrières, les remparts que je m'étais forgé depuis mon plus jeune âge afin de ne pas souffrir n'étaient plus là pour me protéger alors je subissais clairement la vie. Mais j'ai dit ça suffit ! Je faisais ce que je voulais donc esprit de malheur, laisses moi tranquille ainsi je pourrais profiter de la jeune femme avec qui je me trouvais à l'heure actuelle. Je l'embrassais avec une tendresse que je ne me connaissais guère alors que récemment, c'était plutôt de rage que j'aurais pu embrasser une fille ! Quand je lui disais que je ne voulais pas la perdre non, elle me proposait de vivre tout simplement, sans prises de tête. " J'aimerais beaucoup faire ça avec toi... " avouai-je à demi-mots avant de poursuivre sur le fait qu'elle me rendait vraiment fou dans tous les sens du terme. Dans le même temps, je ne pus m'empêcher de poser ma tête dans son cou, montrant ainsi une certaine faiblesse que je n'affichais qu'en de très rares occasions. Mais voilà en ce moment, je n'avais plus la force de lutter contre ce que la vie me réservait, j'essayais simplement de vivre au jour le jour. " Moi aussi j'ai erré en Californie, dans la villa de ma famille... J'étais seul au milieu d'une armée de domestiques. J'ai même prié sur la tombe de mes défunts parents pour qu'on me donne la force de vivre... Sauf que je ne pouvais pas, il me manquait quelque chose... ". En vrai il me manquait quoi ? La présence de Phoenix ou celle de Sienna ? Je ne savais plus désormais mais une chose était sûre, c'était que pour l'heure, je voulais oublier Sienna tandis que mes sentiments devenaient vraiment réels pour Phoenix. Est-ce que j'arriverais à lui dire Je t'aime un jour ? Certainement mais cette récente dispute qui n'avait servi à rien, hormis à nous éloigner totalement, ne m'aidait vraiment pas dans mon choix... J'étais face à une impasse que je n'arrivais pas à contourner. Je l'écoutais me dire ce qu'elle aimerait actuellement... Amis hein ? Je ne pense pas vraiment que ça soit possible pour nous surtout que j'allais certainement être jaloux des hommes qui s'approcheraient trop près d'elle et surtout, je ne pourrais pas m'empêcher de vouloir plus que cela. Je dus doubler d'efforts pour répondre d'une voix enrouée : " Vivons au jour le jour alors. Les choses viendront d'elles-même si on veut vraiment tous les deux la même chose. Restons amis dans ce cas ! ". Sur ces mots, je reculais légèrement afin de lui faire face et afficher un sourire pour la première fois depuis une bonne semaine. " Comment veux-tu sceller cet accord à l'amiable ? Un baiser ? ou un serrage de la main ? ". Un peu d'humour en ce bas monde, cela ne ferait pas de mal non ?
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J'étais à peu près certaine de mes sentiments pour Chase, oui je n'avais jamais ressenti quelque chose d'autre fort pour personne mis à part pour Walter et pour Neela. Walter, mon premier amour et Neela celle qui m'a fait devenir cele que je suis désormais. Je lui en voulais d'une certaine manière d'avoir pris mon coeur comme ça, de me faire douter sur ce que je pouvais ressentir pour lui, mais il n'y était strictement pour rien. Je m'étais enlisée toute seule dans mes sentiments, dans mon envie de relation avec lui tandis qu'il était encore avec cette fille qui me détestait et que je détestais soi dit en passant. Mais il le savait très bien et je ne voulais pas parler d'elle avec lui parce que je savais que cela mènerait à une dispute, tant la jalousie était présente dans mon esprit. Je ne pouvais pas l'imaginer avec une autre fille que moi, l'imaginer lui donnait ce que je voulais qu'il me donne. Je ne voulais pas imaginer Chase avec une autre fille que moi, lui procurer du plaisir autant qu'il pouvait m'en donner dans diverses situations. Non c'était clairement impossible.Cependant mon esprit assez torturé me donnait certaines images que je me contentais d'effacer dès que je le pouvais. Mais cela n'empêchait pas le fait que j'avais peur. Peur qu'il m'échappe. Mais il n'était rien pour moi, mis à part un ami, mon ex. Il n'était pas mon copain, petit ami ou tout ce qui pouvait le qualifier. Je ne savais pas s'il pouvait être jaloux des hommes qui s'approchaient de moi, je savais uniquement que la petite photo que je lui avais envoyé, lui avait fait mal. Mais est-ce qu'il avait ressenti de la jalousie en la voyant ? Je ne savais pas. J'agissais tellement méchamment, tellement rapidement quand il s'agissait de Chase que j'avais peur de prendre de mauvaises décisions le concernant. Comme le fait de lui demander de me rejoindre alors que je savais que notre conversation n'aurait aucun sens, je voulais juste l'éloigner de ces filles, de toutes ces filles que je pouvais voir baver sur celui que j'aime. Quand il m'embrassait, quand il daignait poser ses lèvres sur les miennes, pour m'offrir un baiser qu'il ne m'avait jamais offert auparavant même quand nous étions ensemble, mes envies se concrétisaient, j'avais envie de partager tellement de choses avec lui. Regarder des films blottis l'un contre l'autre avec un chocolat chaud, voyager et visiter le monde avec lui, revivre ce que nous avions vécus à Paris, le voir au premier rang d'un défilé et lui sourire comme si je défilais uniquement pour lui, j'avais tellement d'idées quand il s'agissait de notre futur que je m'apeurais moi-même, mais peut-être désirait-il la même chose. Peut-être. Je voulais arrêter le temps quand ses lèvres étaient contre moi, quand il se blotissait contre moi comme s'il voulait se sentir en sécurité. Quand il m'avouait que lui aussi était mal en point quand il était en Californie j'étais heureuse, non pas heureuse de son malheur mais de voir qu'il était un peu comme moi “Tout comme moi il me manquait uelqu'un dans ma vie.” Toi. J'étais sûre qu'il comprendrait et je voulais qu'il comprenne, je ne pouvais pas lui dire les choses comme ça, je n'étais pas prête. Pas prête pour lui dire que je l'aimais, que je voulais faire ma vie avec lui et surtout ne plus jamais être séparée de lui. Mais ça allait être tellement long, que je ne savais pas si j'allais supporter tout ce temps à prétendre vouloir être amie avec lui alors que chaque seconde qui passaient, je voulais être pendue à ses lèvres comme une adolescente énamourée. Lorsqu'il validait l'idée que nous puissions être amis, je cachais ma déception en souriant, toujours se cacher derrière un sourire. Et il me souriait aussi, alors je murmurais “Amis...” comme si je ne voulais pas entendre ce mot. Et il me faisait rire avec la phrase qu'il rajoutait et j'haussais les épaules avant d'être coupée par une fille qui se ramenait dans le salon, un visage assez excitée et énamourée comme si elle avait cinq ans et qu'elle était à Disneyland. J'ouvrais la bouche pour répondre et elle me coupait dans mon élan en prononçant dans un ton assez rapide “Chase Walton ! Ici ! Mon dieu ! Est-ce que je peux prendre une photo ? J'ai attendu la fin de mon service pour faire ça mais mon dieu, je mourrais d'impatience de demander une photo au Célibataire le plus en vogue de Boston quelle chance!” Je sentais mon coeur qui faisait des bonds dans ma poitrine et lorsqu'elle me tendait son téléphone, je fronçais les sourcils et me levait après avoir fait la bise à Chase “Démerde toi pour prendre ta photo poufiasse. On.. On se voit plus tard.” Je levais les yeux au ciel, agacée et récupérais mes affaires avant de partir par les escaliers de service, pendant qu'il s'affairait à rendre ses fangirls heureuse. Et moi pendant ce temps la, j'avais envie de pleurer, d'hurler au monde entier que j'étais amoureuse de lui. Je me dirigeais alors au bar de l'hôtel, commandant une limonade. Et je souriais au barman qui tentait de me charmer. De toutes façons, je n'ai plus rien à perdre.
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Désirer son ex était quelque d'assez particulier, d'assez awkward et ça rendait l'être humain encore plus niaiseux qu'il ne l'était déjà. Or je n'échappais guère à la règle et ce même si je m'étais toujours promis d'être plus fort que ces sentiments aussi destructeurs comme l'amour. Sauf que, comme je le disais quelques temps plus tôt, je ne pouvais plus vraiment me protéger... Sienna avait clairement fini de m'achever, de briser les derniers remparts de ma vie contre la souffrance. Au final si je pouvais faire un reset de ma vie en cette année 2015, je le ferais bien volontiers parce que j'avais vraiment vécu des choses que je ne voulais pas du tout. Entre mon accident de voiture, la perte de ma famille et la fausse couche de ma petite amie, je ne pouvais plus penser comme il le fallait alors j'avais fait toutes les bêtises de la terre. Si j'étais en pleine possession de mon esprit, je n'aurais peut-être jamais pu aller vers Phoenix sauf que le résultat était bien là et je ne pouvais guère me défiler. La dernière fois, notre dispute était clairement une fuite de ma part parce que je n'avais pas voulu accepter qu'elle puisse m'atteindre de cette façon et cela avait été encore pire lorsqu'elle m'avait envoyé cette fameuse photo avec ce sale type... Je me demandais encore comment j'avais pu réussir à contenir ma rage à la vue de celle-ci; au final j'étais bien content d'avoir le basket pour calmer mes ardeurs, ma colère et autre parce qu'au moins dans mon sport de prédilection, je pouvais exprimer tout ce que je ressentais sans fausse honte... Mais voilà j'étais bien là en ce moment dans ses bras, à goûter ses lèvres qui m'avaient tant manqué et je m'ouvrais légèrement à elle, chose que je n'avais pas spécialement envie de faire suite à ce qu'il s'était passé auparavant. Sauf qu'il s'agissait d'elle, alors je ne pouvais pas continuer à me défiler ! Je lui devais la vérité alors oui je lui avouais qu'il me manquait clairement quelque chose et quand à elle, elle surenchérissait en disant qu'il lui manquait quelqu'un à ses côtés. Je savais bien de qui elle parlait, c'était pour cela que je me contentais d'hocher la tête en signe d'approbation avant d'accepter sa proposition d'être amis même si je savais bien que ça serait difficile pour nous deux de se voir comme tels à l'heure qu'il est. Elle était bien plus que ça à mes yeux mais avec ce qu'il s'était passé entre nous, et ma récente rupture avec Sienna, je ne voulais pas du tout me remettre aussi vite en couple. Je pouvais facilement remarquer qu'elle était déçue malgré son sourire... " Amis mais mon lit t'attendra tous les soirs, si tu veux de moi... " murmurai-je à son oreille d'une voix douce avant de me redresser pour lui demander si elle voulait sceller notre accord. Et par quel moyen aussi ! Elle se mit à rire mais avant qu'elle ne puisse répondre, une putain de groupie vint nous interrompre en m'interpellant. Quelle plaie ! Je détestais vraiment ce titre de "Célibataire le plus en vogue de Boston". Alors que je soupirais de mécontentement en tournant ma tête afin que ça ne se voit pas, Phoenix vint me déposer un baiser sur la joue avant de lancer à la chiante qu'elle devrait se débrouiller avec sa photo et j'eus légèrement le coeur serré de la voir partir mais voilà je ne pouvais pas m'échapper aussi rapidement. J'étais vraiment assailli de groupies et s'il y avait bien une chose que je n'appréciais guère, c'était ce genre de choses ! Je déglutis légèrement avant de prendre la parole à l'attention des nanas qui avaient rejointes l'autre qui nous avait interrompus Phoenix et moi. " Puisque j'ai des choses assez importantes à faire, je vous demande de prendre vite un selfie avec moi et on en restera là. Inutile de me demander des rendez-vous ou encore mon numéro de téléphone, ça serait une perte de temps. ". Je ne pus m'empêcher de sourire d'un air satisfait en voyant la mine déçue des quatre groupies braillardes et empotées. Et avant que la photo ne soit prise, je prévenais : " Personne ne dépose ses lèvres sur mon visage ! ". Heureusement parce que je voyais la première biatch qui s'apprêtait à m'embrasser sur la joue qui fit une moue déçue. Qu'importe, une fois que les selfies furent pris, je m'éclipsais sans demander mon reste, les plantant là pour retrouver rapidement ma Blonde ! Je la voyais au bar alors je me précipitais pour lui prendre la main et l'emmener hors de l'établissement. " Et si on profitait du beau temps ? On peut aller faire tout ce que tu voudras ! Un petit strip basket t'intéresse ? ".
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Comment les choses allaient-elles évoluer pour nous ? Est-ce que ces mots que je voulais tant prononcer allait finalement sortir un jour ou est-ce que j'allais constamment vivre avec l'envie mais l'impossibilité de prononcer ces mots ? Pourtant c'est pas compliqué, je sais les dire, je les ai dit auparavant, peut-être pas assez, peut-être à la mauvaise personne, ou peut-être que j'ai simplement peur de lui dire parce qu'il le prendrait comme des mots en l'air. Après tout, je n'arrivais pas à lui prouver que je l'aime, mais au fond de moi, je débordais d'amour pour cet homme. Lors de notre première séparation, nous avions décidés d'un commun accord que cela ne marcherait pas, qu'il n'y avait finalement pas d'amour entre nous, mais c'était une terrible erreur. Bien sûr qu'il y avait de l'amour entre nous, c'était juste un amour différent, un amour qui ne demandait qu'à être comblé. Et je sais que tout ce que je veux, c'est qu'il comble cet amour. La question que je me posais à ce moment précis, alors qu'il était en face de moi était : Comment on sait qu'une personne est la bonne pour nous ? Est-ce que c'est quand tout ce qu'on a envie d'être avec cette personne à chaque seconde de notre vie ? Est-ce que c'est quand on regarde notre téléphone toutes les cinq minutes en espérant voir son nom apparaître sur l'écran allumé ? Alors si c'était ça, savoir qu'une personne est la bonne pour, Chase l'est. Définitivement. Même en pleine nuit, parfois quand je suis tirée de mes rêves, j'espère qu'il soit à mes côtés, ou qu'il apparaisse sur mon écran de téléphone. Peut-être étais-je vraiment amoureuse de lui. Et cela m'appeurait, il ne m'appeurait pas. Pas lui, mais le fait de dépendre de lui, que mon humeur dépende de sa personne. Comme par exemple le fait que je sois triste quand je lui dis que je veux être amie avec lui pour le moment et que quand il me dit que son lit m'attendra tout les soirs si je le veux me rende heureuse “Chase... Ce n'est pas raisonnable.” Après la tristesse, la joie, refaites place à la tristesse. Lui dire cela ne me fait pas du bien au contraire, mais je ne veux pas d'une relation comme celle-ci, je ne veux pas le retrouver un soir sur deux, m'abandonner dans ses draps, et m'imaginer qu'il peut faire la même chose avec d'autres filles. Comme avec ces filles qui venaient de débarquer comme des furies parce qu'elle venait de le voir. Est-ce que je supporterais ça ? J'aurais peut-être dû dire qu'il n'était finalement plus le célibataire le plus convoité de Boston, mais je n'y suis pas parvenue, au contraire, j'ai fui. J'ai fuis comme une pauvre fille qui n'arrive pas à supporter que celui qu'elle aime puisse avoir une autre vie en parallèle, une vie ui ne l'implique pas forcément. Je me sens tellement stupide. Tellement faible. Pourquoi est-ce qu'il a fallu qu'elle gâche tout ? J'étais à deux doigts de lui dire que je l'aimais et cette folle furieuse est venue tout gâcher. Assise au comptoir, adressant des sourires au barman, je tentais d'oublier ce qui pouvait se passer au dessus de ma tête, j'avais peur. Peur qu'il profite de son statut, de l'état euphorique de cette fille. J'avais tellement mal, tellement peur. Je ne me reconnaissais définitivement plus. Je notais mon numéro sur le sous-verre en carton que m'avait donné le serveur et je fus interrompu par Chase qui me tirait par la main pour m'emmener à l'extérieur, j'avais eu à peine le temps de récupèrer mes affaires et de déposer un billet que je me retrouvais en face de lui et de sa proposition indécente. Un strip basket, non mais franchement. “Je n'ai pas envie de faire un strip basket Chase, non. J'ai juste envie de passer du temps avec toi, boire un chocolat chaud enroulé dans un plaid. Te dire tout ce que je ressens pour toi à chaque fois que j'en ai l'occasion...” Je soupire en levant les yeux au ciel, passant une main dans mes cheveux pour me calmer “Parce que tu vois, j'arrive pas à me dire que tu peux procurer autant de plaisir que tu me procure à une autre fille, que tu puisses poser tes mains sur une autre fille. Je veux pas être amie avec toi, c'est au dessus de mes forces. Parce que... Parce que je t'aime Chase.” Voilà c'est fait, c'est sorti tellement rapidement que je pourrais toujours faire croire à des paroles en l'air si jamais il ne me prend pas au sérieux ou je ne sais quoi d'autre. Mais je ne pouvais clairement plus garder ça pour moi, c'était comme une bombe prête à exploser à chaque secondes que je passais avec lui.
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Une amitié améliorée avec son ex c'est juste impossible si on y réfléchit bien, parce qu'outre le fait que j'éprouvais de puissants sentiments à l'égard de Phoenix, à l'heure actuelle, elle n'était qu'une ex-petite amie pour moi et je ne pouvais clairement pas concevoir le fait que je puisse un jour être ami avec elle sans ressentir une quelconque once de sentiments ou autre... Cela voudrait dire aussi que je ressentirais toujours quelque chose pour Sienna, sauf que là c'était totalement différent parce que la vice-présidente des Dunsters était l'amour de ma vie jusqu'à présent et je ne pense pas que je puisse l'oublier si facilement. Mon esprit était vraiment embrumé et j'avais besoin de le soulager par je ne sais quoi, sauf que j'ignorais clairement ce que je pouvais faire de mieux... Je lui indiquais que même si je voulais être son amie, cela n'empêchait pas que mon lit l'attendrait tous les soirs si elle le désirait. Je pourrais presque percevoir de la joie en elle même si elle me répondait par la suite que ce n'était pas raisonnable... " Et si on laissait la raison faire son office ailleurs ? On a dit qu'on vivrait simplement non ? " dis-je lentement d'une voix douce, pour ne pas la brusquer surtout que je comprenais ce qu'elle ressentait à l'heure actuelle. Je ne crois pas être capable de la partager non plus et je ne me voyais pas aller voir ailleurs pour l'heure... Je me faisais un peu moine en fin de compte ! J'étais clairement dans le déni total de ce que mon corps réclamait : la chaleur humaine et une bonne partie de jambes en l'air avec une femme ! Non je me réservais pour une femme, pas n'importe laquelle : la femme qui venait de me quitter parce qu'une salope réclamait mon attention ! Malheureusement je n'avais pas pu m'échapper à temps puisque d'autres filles hystériques venaient compléter l'équation... Rendant clairement ma tâche très difficile ! Elle voulait une photo avec le célibataire le plus en vogue de Boston, ce fameux titre qu'un magazine people m'avait affublé depuis ma rupture avec Sienna. Je détestais ça mais je ne pouvais pas éternellement échapper à ces putains de groupies alors je satisfaisais rapidement leurs désirs tout en mettant un sacré frein à leurs initiatives parce que je sentais qu'elles voulaient bien plus de moi sauf que non ! Jamais je ne me donnerais à ce genre de femmes ! Qu'importe, je m'étais finalement échappé et je retrouvais vite ma blonde au comptoir du bar en train de noter je ne sais quoi sur un bout de papier. Je la coupais carrément dans son élan en la prenant rien que pour moi et en l'emmenant loin de tout ça pour lui proposer une activité assez étrange comme le strip basket. Sauf que là, elle me mettait carrément dans une situation à laquelle je ne m'étais clairement pas préparé... Je restais figé sur place alors que la femme que j'aimais de plus en plus m'avouait son amour pour moi. Je déglutis légèrement avant de serrer ses deux mains dans les miennes tout en la regardant longuement dans les yeux, puis après une longue inspiration, je pris finalement la parole : " Phoenix, je suis profondément touché que tu m'aies avoué tes sentiments et je veux que tu saches que c'est réciproque. Que je désire au plus haut point t'appartenir, me réveiller à tes côtés tous les matins, te murmurer des mots doux et t'apporter le petit déjeuner au lit... ". Je me dégoûtais de faire ça mais il était grand temps que je me montre vraiment honnête et que je sois celui que j'ai toujours été. " Mais je ne veux pas te faire souffrir en accélérant les choses... Je viens juste de rompre avec Elle et je refuse de me servir de toi. Si j'ai accepté qu'on soit juste amis, c'est parce que j'aimerais guérir de ma dernière relation mais c'est pas pour ça que je procurerais du plaisir à une autre femme. Je n'ai jamais été comme ça, je ne compte pas commencer à l'être. Je ne veux pas te faire du mal, je crois que j'en ai assez fait dernièrement... Je ne veux que ton bonheur désormais sauf que je ne peux pas encore te donner pleinement ce que tu veux. Je ne t'oblige pas à m'attendre mais on se retrouvera je te le promets... Ce n'est que le début de notre histoire et je compte écrire de beaux chapitres ! ". Ma voix se brisait au fur et à mesure que je terminais de parler comme si j'essayais vainement de refouler des sanglots et une sacré envie de pleurer... Je savais qu'elle serait grave déçue. Je ne serais même pas étonnée qu'elle me plante là mais je n'avais pas le choix : c'était autant pour elle que pour moi que je faisais ça.
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Pourqui est-ce que ce sont les choses qu'on aime le plus qui nous font le plus de mal ? Je ne voulais pas souffrir autant pour un homme, je n'y étais pas préparé, quand je me souviens de mes relations, ou du peu des relations que j'ai pu avoir, ce n'était pas aussi douloureux, est-ce que c'est ça le vrai amour ? Avoir mal, tout le temps, à chaque seconde qui passe ? Ou est-ce que c'est moi qui a un putain de souci ? Ca se trouve, c'était moi, uniquement moi qui me faisait du mal, qui m'imaginait des choses, les choses que je désirais qui pouvait devenir vraie alors que pas du tout. Peut-être que finalement, il n'aimait plus Sienna mais il ne m'aimait pas tout autant, ça se trouve il se jouait de moi et tout ce que je lui disais, tout les mots que j'avais pu prononcer allaient un jour ou l'autre se retournait contre moi, rien que d'imaginer cela, mon coeur se serrait une nouvelle fois, mais c'était devenue une habitude maintenant, à chaque fois que je pensais à lui j'avais l'impression que mon coeur allait exploser. On a dit qu'on vivrait simplement je ne répond rien à sa phrase, je n'ai pas envie de répondre tellement j'ai envie de lui mettre des claques. J'ai envie de le frapper, de lui dire que putain, non je ne veux pas vivre simplement avec lui, je veux vivre des choses que personne ne penserait à vivre, je veux qu'un jour, il m'emmène je ne sais pas où sans me prévenir, je ne veux pas vivre simplement avec l'homme que j'aime, je ne veux pas tomber dans cette lassitude pesante qu'ont les vieux couples. Non, je ne veux pas ça. Si c'était pour avoir a supporter les filles hystériques quand nous serions tout les deux dans la rue, ce n'était juste pas la peine. Je ne voulais pas voir d'autres filles avec lui, j'en crèverais de jalousie. C'est dingue quand même de ne pas supporter que celui qu'on aime se fasse draguer, se fasse accoster de cette façon, ça ne devrait pas être permis et pourtant, ça m'arrive. Moi, qui ne pensait pas pouvoir ressentir cela un jour, je me retrouve à haïr des filles qui ne m'ont strictement rien fait. Tout comme j'avais pu haïr Sienna, mais c'était une histoire différente, ce n'était pas du tout la même chose, et la je ne m'en voulais pas. Tout comme je ne m'en voulais pas de noter mon numéro sur ce dessous de verre avant qu'il ne m'emmène au dehors. Faire semblant n'était pas dans ma nature, et je ne pouvais plus le faire avec lui, j'étais trop atteinte par ses paroles, ses gestes qu'il me donnait avant de me les reprendre que je laissais exploser la bombe. Je lui disais tout, tout mes sentiments, ce que je ressentais, avec difficulté mais j'y arrivais. Les mots que j'avais tant gardé au fond de ma gorge avaient fini par sortir et j'étais comme soulagée d'un poids. Je me sentais légère, mais au fond de moi j'avais un peu peur qu'il ne me prenne pas au sérieux. Son regard dans le mien, ses mains dans les miennes, je sentais mon coeur qui battait à la chamade. Quand il prenait la parole, je fermais les yeux. J'écoutais sans rien dire, et je me réapprenais à respirer quand il m'avouait la réciprocité de ses sentiments et à ce moment précis j'avais envie de me pendre à ses lèvres jusqu'à entendre la suite. La, je pouvais entendre mon coeur qui se brisait et tout ce que j'avais espéré, tout mes espoirs, je pouvais les voir s'envoler. Voilà. Phoenix Cahill qui s'avance trop, Phoenix Cahill qui imagine des choses qui ne sont pas vraies. Dans un sens j'avais le coeur brisé mais dans l'autre, je savais que ce qu'il me disait il le pensait et, je n'arrivais pas à prononcer un mot cohérent. Pour toute réponse, je me blotissais contre lui, avant de me mettre sur la pointe des pieds et je déposais mes lèvres sur les siennes pour lui offrir un baiser passionné, entourant ma nuque de ses bras avant de me reculer « Alors ne m'attend pas non plus. Je ne veux pas que tu te dises que je suis assise dans mon canapé à attendre que tu viennes, que tu me dises que c'est bon, c'est officiel on est un couple ou je ne sais quoi. Je n'aurais pas la force de t'attendre longtemps Chase, j'ai déjà... -je serrais les poings pour me calmer- j'ai déjà attendu beaucoup de temps et je ne sais pas si j'arriverais à attendre autant de temps. Tu m'as changé Chase. Je me met dans la patience alors que je suis peut-être la fille la plus impatiente du monde... Mais pour moi tu en vaux la peine. Bordel, j'ai l'impression d'être tellement niaise, mais j'arrive enfin à mettre des mots sur ce que je ressens et ça me fait tellement de bien. » Je soupire en enfonçant mes mains dans mes poches, restant stoïque, ne sachant pas quoi faire. Est-ce que je lui propose de venir ce soir à la maison ? Je n'en sais rien. Je ne sais même pas si Andrew est la. Est-ce que je le libère ? Je lui dis que de toutes façons ça ne marchera pas ? « Et si tu venais ce soir ? J'ai des choses à te montrer que j'ai ramené du défilé... » Et c'est à ce moment précis que j'ai enterré définitivement ma dignité.
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Dès l'instant même où tous ces mots avaient pu franchir mes lèvres, j'avais compris que j'allais les regretter amèrement et alors que ces maudites lèvres bougeaient encore pour dévoiler mes intentions actuelles à Phoenix, je n'avais qu'une envie : m'enterrer vivant alors que j'étais en train de faire du mal à la personne qui avait arraché mon coeur comme s'il s'agissait d'une friandise ou encore d'un cadeau d'une valeur inestimable... Parce que je ne pouvais plus nier l'évidence et c'était ça qui me faisait peur : que je sois capable d'aimer une fille à ce point ! Comme si mon amour envers Sienna n'était qu'un simulacre alors que non, j'avais éprouvé de très forts sentiments à l'égard de la vice-présidente... Je l'aimerais toujours, c'était indéniable mais aujourd'hui, il n'y avait qu'une personne dans mon esprit... La jolie blonde à qui je déballais toutes ces horreurs... Je ne devais pas faire ça, je refusais de précipiter les choses à cause d'erreurs que je ne voulais plus commettre alors qu'en réalité, plus je parlais, plus je savais que je faisais la plus grosse erreur de ma vie. Que je regretterais celle-ci pour toujours... Parce qu'il fallait se l'avouer : je n'étais plus du tout aussi tolérant qu'avant et que surtout, je ne pourrais vraiment plus la voir si elle venait à aller voir ailleurs. Rien que cette pensée m'était vraiment intolérable, et mes larmes me brûlaient les yeux alors que je voulais éviter de pleurer... Je venais de finir de parler et comme je le disais, je regrettais amèrement ces mots, j'avais envie de m'arracher l'âme tellement je m'étais auto-brisé le coeur en faisant cela. Je n'avais jamais été aussi lucide depuis la mort de mes parents, je l'aimais et je ne voulais pas simplement avec elle ! C'était juste impensable ! Je la voulais comme un damné, au point que je faisais exactement tout le contraire de ce que je souhaitais ardement. J'en tremblais presque mais ce qu'elle fit soudainement, me figea littéralement sur place... Elle me donnait un baiser comme s'il s'agissait d'un adieu et cela me fit déglutir alors qu'elle se mettait à parler. Ces mots qu'elle prononçait, je les avais perçus avant même qu'elle ne les dise, comme si je me doutais ce qui pourrait arriver, comme si mon coeur était vraiment connecté au sien. Parce que c'était ce qu'il y avait entre nous, une connexion inexplicable, une alchimie qui ne pouvait qu'être consumée par les deux protagonistes et pour le moment, il n'y avait qu'elle qui était prête à casser ses propres convictions... Et elle le faisait vraiment POUR moi ! Mais réveilles-toi Chase ! Elle finissait ses mots par me demander si je voulais venir chez elle ce soir... Je déglutis avant de la regarder les yeux larmoyants tellement j'avais mal, puis je la serrais tout contre moi, puis la relâchant légèrement afin de ne pas l'étouffer, je repris la parole d'une voix rauque : " Phoenix... Je n'y arriverais pas... J'essaie de me trouver toutes les raisons du monde... Mais je ne pourrais pas tenir sans toi. ". Tremblant légèrement, les yeux toujours aussi larmoyants mais qui parvenaient à contenir ces horribles larmes qui me feraient paraître pour un être faible, je m'interrompis pour lui serrer fort les mains avant de reprendre : " Je t'aime... Cet amour me fait peur, je ne veux pas te faire du mal, te faire souffrir... Sauf que je ne VEUX encore moins te perdre, je ne supporterais pas le fait qu'un autre puisse... Non JE TE VEUX TOI ET SEULEMENT TOI PHOENIX CAHILL... ". Ces derniers mots, j'avais l'impression que mon coeur s'était mis à jaillir de ma poitrine pour les hurler... " S'il te plait... Ne me laisses pas nous éloigner de nouveau. Je veux vivre cet amour... Avec toi ! Peu importe ce que les gens penseront, j'en ai assez de réfléchir. Aimons-nous à l'abri ou sous les yeux des curieux... Veux-tu être mienne ? "
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Je ne pouvais pas concevoir le fait que Chase ne me voulait pas autant moi que je le voulais, je n'avais jamais été confronté à cela et je ne voulais plus l'être, de toutes façons c'était bien simple,il voulait attendre ? J'allais le faire, j'allais attendre, mais qu'il ne pense pas que je l'attendrais sur mon canapé, avec Netflix en fond et du chocolat à me lamenter encore et encore sur mon triste sort, non j'allais sortir, profiter de la vie, profiter du fait que je pouvais faire baver les hommes. Je ne voulais pas être le genre de fille à attendre indéfiniment l'homme qu'elle aime. Je ne voulais pas être celle qui passe à côté de sa vie parce qu'elle attend un homme.Mais si je fais ça, j'ai peur qu'il ne veuille plus de moi, que je perde son respect ou je ne sais pas quoi d'autre. Non, je le voulais lui et j'allais tout faire pour l'avoir, qu'importe le prix à payer. Ses mots me blessaient, j'avais l'impression qu'à chaque fois que sa voix me parvenait aux oreilles, c'était pour m'enfoncer un coup de couteau dans le coeur. Pourquoi est-ce que l'amour fait si mal que ça ? Pourquoi est-ce que tout n'est pas aussi que les “il était une fois” ? Je n'en savais rien et je ne voulais pas savoir. Tout ce que je voulais, c'était m'enfoncer dans mon lit, ne plus en sortir ou alors, sortir, faire la fête, boire, et oublier. J'étais tellement contradictoire comme fille que je me perdais moi-même. Pauvre fille. Poser mes lèvres une dernière fois sur les siennes pour lui prouver, pour faire passer tout mes sentiments était certainement la dernière des choses à faire mais je ne pouvais pas m'en empêcher. Je voulais ressentir cette sensation une dernière fois avant de partir, de fuir comme une voleuse, mais je n'avais pas la force de partir, je ne voulais pas fuir comme ça,, alors je restais la, à lui balancer des mots, mes sentiments, mes pensées dans l'espoir qu'il me retienne. Qu'il me dise de ne pas partir, de rester avec lui. C'était encore rêver, je vis un rêve éveillé et la réalité était bien plus dure à accepter. On nous raconte des histoires dès notre plus jeune âge en nous faisant croire au prince charmant et je n'ai pas échappé à la règle mais, de toutes façons, le prince charmant n'existe pas, j'ai ouvert les yeux depuis trop longtemps. Et mes désirs de petites filles sont fânés, je ne veux pas me marier avant d'être sûre que la personne avec qui je vais faire ma vie est la bonne, et je ne veux pas d'enfants parce que je sais que je ne pourrais jamais égaler ma mère quand il s'agit de donner de l'amour, mais là n'est pas le sujet. Alors voilà, lui proposer de venir chez moi ce soir sonnait comme une évidence, après tout nous étions amis et il m'a clairement indiqué qu'il voudrait profiter des bénéfices de notre amitié, je ne suis pas folle, je sais ce que cela veut dire. Alors autant tenter le diable et jouer avec le feu. Lorsqu'il me serrait contre lui, je pouvais sentir les battements de son coeur affolé et les miens s'affolaient aussi. Je voulais tellement, tellement lui faire comprendre que je ne pourrais pas l'attendre plus longtemps mais j'avais déjà tout dit. Lorsqu'il prit la parole, je déglutissais, l'écoutant attentivement, j'avais tellement de mal à rester la, sans sourciller. A quoi il n'y arriverait pas ? A rester avec moi ? Je m'en doutais, j'étais trop aveuglée par mes sentiments pour voir que... Non, je l'écoutais attentivement et ce qu'il me disait me donnait les larmes aux yeux, mais je m'appliquais à ne pas lui montrer. Ses mots sonnaient alors comme une douce mélodie et je me mordillais la lèvre, stressée au plus haut point. Je sentais la force de sa poigne qui s'augmentait et je plongeais mes yeux dans les siens, j'avais l'impression d'être la fille dans une série télévisée qui n'attendait que ça et lorsque les mots sortirent de sa bouche, j'étais un peu ébahie, abasourdie. Mon dieu. Il me faisait peur à hurler de la sorte mais je ne cillais pas. Et cette question, mon dieu cette question. Je ne savais pas quoi répondre. Je déglutissais, les mots se baladaient dans ma tête et ma conscience et ma raison se battait en duel. D'un côté je ne pouvais pas faire cela, il n'était pas fiable, de l'autre, je n'avais attendu que ça depuis trop longtemps. Je prenais une grande inspiration fermant les yeux pour me concentrer et je murmurais “Je ne te promet pas que tout sera parfait, que tu pourras me changer du jour au lendemain mais...” Je soufflais un grand coup avant d'entrelacer doucement nos doigts “Je veux essayer, au début à l'abri des regards indiscrets parce que je ne veux pas que tu passes pour celui que tu n'es pas. Mais, oui, je te veux Chase. Pour ce que tu es, pour ce que tu peux me donner...” Et à la fin de ma phrase, mes lèvres se déposaient sur les siennes, pour lui offrir un baiser chaste, tendre comme pour sceller notre accord. Pour vivre heureux, vivons cachés qu'ils disaient.
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