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PHASE ♡ Broken hearts and last goodbyes

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Le retour avait été plus compliqué que prévu pour la jeune fille, elle avait du mal à sortir de chez elle et le retour à Harvard était encore plus compliqué puisqu'elle faisait tout pour éviter Chase, mais elle était heureuse d'être de retour, l'ambiance était assez tendu dans sa famille. Donc, elle était à la fois triste mais heureuse d'être revenue. Après tout, elle n'aurait pas assisté à Halloween si elle avait décidé de faire sa fille têtue jusqu'au bout. Et malgré ça, elle avait senti son coeur se brisait quand elle avait vu Chase et Sienna qui discutait ensemble, mais elle s'attendait à quoi quand elle lui avait dit ses quatre vérités ? A ce qu'il lui saute dans les bras dès son retour ? Non. Elle l'avait cherché aussi. Elle n'avait pas à dire ses mots, même si elle les pensait. Enfin certains mots, elle ne le détestait pas, elle ne le pouvait pas. Non, c'était impossible. Pas lui. Quoi qu'il en soit, elle repoussait la couverture du pied et enfilait son peignoir avant de passer sous la douche pour ne pas être trop en retard, elle allait se faire tuer. Elle se maquillait légèrement et prenait la direction du Mandarin Oriental, lieu du photoshoot du jour, son café à la main, une cigarette dans l'autre. Elle devrait arrêter de fumer mais elle n'en a pas envie, elle se détruit comme elle est capable de détruire ses relations. Elle poussait la porte et prenait l'ascenseur pour atterir à l'étage du photoshoot, elle saluait son agent en la prenant dans ses bras et commençait par enfiler la première paire de sous-vêtements et les enchaînait les uns après les autres, une heure durant. Elle gardait le sourire, mais tout ce dont elle avait envie c'était rentrer chez elle et s'enfoncer dans son lit. Mais Phoenix n'était pas une fille déprimée, Phoenix ne dépendait de personne. Lorsque le shoot était terminé, elle renfilait sa robe et ses escarpins, elle entendait aussi que le prochain shooting allait avoir lieu. Son ami photographe les enchaînait et elle l'encourageait en lui souriant, buvant sa tasse de thé. Lorsqu'elle le voit apparaître, quand les portes de l'ascenseurs s'ouvrent, elle lâche sa tasse et a un mouvement de recul. Son coeur se brise une nouvelle fois et elle se recule, aucune échappatoire. Bordel.
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Lorsqu'on m'avait fait part de ce shooting dans le cadre d'un magazine, j'avais souhaité dire non mais selon les membres du comité exécutif de ma société, cet article serait bénéfique pour la relance pure et dure de Walmart qui avait trop stagné depuis la déchéance de mes parents. Il était grand temps que le fils prodige de la famille Walton prenne fièrement ses responsabilités et qu'il montre au monde entier qu'il était réellement un Walton ! Il fallait aussi que je voie avec ma petite soeur pour les fameuses questions de succession et d'héritage mais je savais bien qu'elle n'était nullement intéressée par tout ça. Fin bref, le vice-président de la communication de mon entreprise avait accepté que je pose et que je réponde aux questions de ce magazine afin d'éviter à ce que ma vie privée soit étalée dans la presse à scandales comme certains autres hommes d'affaires. Quoique ma relation avec Sienna avait été lourdement médiatisée à cause de cette blogueuse de merde cachant sous le Pseudo Cambridge' Secrets donc il allait s'en dire que ma petite escapade en compagnie d'une mannequin n'avait pas échappé à l'oeil affuté des paparazzis... Maintenant que j'étais officiellement célibataire, j'étais l'un des célibataires les plus convoités selon certains magazines mais je ne m'y intéressais pas puisque je refusais tant de faire étalage de ma vie privée. Alors que nous arrivions au Mandarin Oriental, je ne me doutais pas que ma journée allait être perturbée par l'apparition de la personne que je voulais le plus éviter... En effet, alors que nous sortions de l'ascenseur avec mon VP des Comm, je me figeai soudainement en reconnaissant la jolie blonde qui tenait une tasse dans la main... " Bonjour Phoenix... " parvins-je difficilement à prononcer tant j'étais paralysé en la voyant. Elle m'avait terriblement manqué mais il nous avait fallu cette distance pour pouvoir réfléchir à tout ce qu'il avait pu se passer. Encore aujourd'hui je ne savais pas quoi penser, qui croire mais une chose était sûre c'était qu'une partie de moi semblait heureuse de voir la jeune femme.
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Elle avait besoin de lui, elle avait besoin qu'il lui prouve qu'elle pouvait compter sur lui à chaque seconde de sa misérable vie mais en quelques temps, ils avaient réussis à s'éloigner au point qu'elle quitte le continent, qu'elle s'éloigne pour réfléchir à ce qu'ils étaient, et elle avait réussir à se détruire au point de devenir tout ce qu'elle détestait. Chaque seconde qui passait, elle menaçait de fondre en larmes parce qu'il lui manquait, même se prendre la tête avec son frère ne lui importait plus. Ils avaient même enterrés la hache de guerre et ils s'étaient réconciliés, mais rien ne lui mettait du baume au coeur. Rien ne pouvait remplacer l'absence de celui qui lui avait brisé le cœur. Mais heureusement pour elle, elle avait son boulot, elle se contentait de sourire devant les appareils photos, se persuadant que tout irait bien. Que ça passerait. Elle s'était remise au sport, elle ne pensait plus à rien quand il s'agissait de sport, elle voulait être parfaite pour les photos de campagne de Victoria Secret's. Et tant qu'elle serait déprimée, elle ne serait pas parfaite, alors elle continuait encore et encore à s'épuiser en faisant du sport. Puisqu'il paraît qu'elle était anorexique, elle prouverait à cette pétasse de la Dunster House qu'elle ne l'était pas, qu'elle était seulement musclée. Et pas comme elle. Son agent lui avait bien dit qu'elle avait une mine affreuse, mais une fois le maquillage passé, elle se sentait déjà un peu mieux. Jusqu'au moment ou elle le vit apparaître à travers les portes de cet ascenseur, la, elle ne savait pas où se mettre. Est-ce qu'il allait lui adresser la parole ? Elle n'en savait rien, elle avait peur. Peur de sa réaction, peur de fondre comme un bonhomme de neige au soleil en entendant sa voix. Elle ramassait sa tasse et s'excusait pour la tache sur le tapis, promettant de payer si jamais la tâche ne partait pas et ses mots lui glaçait le sang. Non pas d'effroi mais de bonheur. Elle était heureuse, mais en même temps si triste de voir qu'il agissait comme si c'était une inconnue, quelqu'un avec qui il n'avait rien partagé. Elle se contentait de lui sourire avant de se rapprocher de lui pour lui faire la bise, elle ne voulait pas qu'il ne soit plus rien l'un pour l'autre « Hey... Comment vas-tu ? » Elle voulait fuir, loin. Elle entendait le photographe qui appelait Chase pour la séance photo, elle se mordillait alors la lèvre et attrapant sa veste, elle l'enfilait avant de lui laisser un mot rejoins moi dans l'un des salons privés de l'hôtel. Je t'y attendrais. ils ne pouvaient pas rester sans une explication et elle ne voulait pas voir les maquilleuses présentes baver devant celui qu'elle aime, elle ne le supporterait définitivement. Elle fuyait alors, rejoignant l'un des salons privé de l'hôtel un étage au dessus, elle s'installait dans un canapé, passant une main stressée dans ses cheveux. Putain de sentiments incontrôlables.
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Ma vie était vraiment devenue insignifiante depuis quelques jours, j'avais perdu tout ce qui m'était cher... Mes parents, mon fils ou ma fille, Phoenix et elle... Sienna, ma Sienna ! La femme que j'aimais mais que j'avais brisé parce que je n'avais pas su m'interdire des choses... Sauf que je n'y pouvais rien parce que plus le temps passait, plus mes sentiments pour Phoenix grandissaient pour devenir quelque chose que je ne saurais définir tellement cela me faisait à la fois du mal comme du bien. Je ne pouvais pas aimer deux fois en même temps, c'était infect de ma part mais il se trouvait que je n'y pouvais plus rien désormais. Mon récent célibat démontrait clairement que je n'avais plus aucun contrôle sur ma propre vie et c'était peut-être la raison pour laquelle je me mettais à fond dans tout ce que j'accomplissais désormais. Qu'importe, il fallait que je cesse de penser à tout ça, j'avais bien d'autres occupations là vu qu'on me proposait de faire des shootings pour un magazine. Vu que c'était mon VP des Communications qui m'avait pris ce rendez-vous afin d'éviter que ma vie privée soit de nouveau étalée dans la presse à scandale, je n'avais pas tellement le choix. Sauf que je ne m'attendais surement pas à la scène que je voyais actuellement une fois que nous fûmes hors de l'ascenseur. J'avais devant moi, la femme qui occupait mon esprit depuis notre petit voyage à Paris... Ne sachant guère comment me comporter face à elle, surtout à cause de ce qu'il s'était passé avant Halloween, je l'avais simplement saluée alors que pour sa part, elle s'approchait de moi pour me faire la bise en me demandait comment j'allais. " J'ai connu mieux... " répondis-je avant de m'interrompre alors qu'on m'appelait pour aller prendre ces fichues photos. Elle s'éclipsa rapidement, mais non sans avoir oublié de me remettre un mot où elle me demandait de venir la rejoindre dans un des salons privés de l'hôtel à l'issue du shoot. " D'accord, je t'y retrouverais " lui lançai-je alors qu'elle disparaît de mon champs de vision puis j'allais faire ces fameuses photos. Ce fut de longues minutes interminables puis lorsque le photographe annonça que c'était fini, j'allais me démaquiller afin de remettre ma tenue normale puis après avoir annoncé à Stuart que je rentrerais un peu plus tard, j'allais rejoindre Phoenix. Je la vis assise dans un canapé. " Je suis là maintenant. "
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Au plus profond de mon être, je m'en voulais. Je m'en voulais d'être tombé amoureuse de lui alors qu'il était heureux avec une autre que moi, d'avoir tout fait pour que cela cesse entre eux deux et d'avoir fait cette escapade parisienne alors qu'il était encore avec elle. Mais je n'y pouvais rien, ce n'était pas de ma faute, je n'avais pas contrôlé mes sentiments à son égard, peut-être qu'ils étaient juste endormis et que le revoir, le voir aussi mal en point avait tout réveillé chez moi. Quoiqu'il en soit, je ne m'en voudrais pas longtemps parce que Sienna n'avait pour moi, que ce qu'elle méritait, elle avait trop tirer sur l'élastique et au bout d'un moment, l'élastique finit par se briser. C'était peut-être cela qu'il s'était passé et je n'y étais pour rien. Peut-être, on ne sait pas. Et je ne le saurais certainement jamais. Mais si on m'avait demandé comment je voyais l'évolution de notre relation à notre retour de Paris, je n'aurais pas imaginé un quart de ce qui avait pu se passer entre nous, les coups bas, les insultes et la haine que j'avais pu engendrer à son égard n'aurait pas exister si on m'avait demandé mon avis. Mais ce qui était fait, était fait et je ne pouvais pas revenir en arrière. Quand il apparut, je me demandais immédiatement la réaction que je devais adopter, et rester le plus naturel possible était la seule qui me venait à l'esprit, alors je lui avais fait la bise, lui demandant comment il allait, visiblement il n'allait pas bien et mon coeur se serrait peu à peu, toujours mentir « Moi ça va ! » Le plus gros mensonge du siècle, non je n'allais pas bien, je voulais juste partir avec lui, loin d'ici. Mais nous ne pouvions pas. C'était impossible. J'étais une poupée cassée mais je montrais le contraire pour qu'il ne se dise pas que j'étais pathétique. Lorsqu'il fut appelé pour le shooting, je lui laissais un mot pour qu'il me rejoigne, j'avais lu dans un article qu'il était désormais le célibataire le plus convoité de toute la ville et je savais aussi que les maquilleuses le trouvait particulièrement attirant de ce que j'avais pu entendre tout a l'heure, sans savoir qu'elle parlait de lui. Je ne voulais pas les voir, baver, le regarder avec des yeux qui trahiraient leurs sentiments, leur désir à son égard. C'était impossible pour moi. Alors je l'attendais. Sur ce canapé, le coeur serré, les mains moites et les larmes aux yeux. Je patientais, regardant mon téléphone, attrapant un magazine qui trainait par la et qui parlait du défilé que j'avais fait quelques semaines auparavant. Lorsqu'il m'apparut une nouvelle fois, mon coeur s'accélérait et mes yeux se perdaient dans les siens. Je me levais alors, instinctivement, baissant les armes et mettant ma fierté de côté, je le prenais dans mes bras, et le serrer à tel point que j'aurais pu le briser s'il était en verre, ou même en sucre. Je déglutissais alors, me reculant, gardant une distance raisonnable avant de prononcer d'une voix brisée « Je suis désolée. Pour tout ce que j'ai pu te dire, je ne te déteste pas Chase au contraire je... » Non, les mots ne voulaient pas sortir, ils restaient bloqués au fond de ma gorge « Je m'en veux. » Ce n'était pas cela que je voulais dire, je voulais tout lui avouer mais rien ne voulait sortir, comme si je désirais me protéger de choses inutiles. Mais je ne pouvais pas lui dire ce que je ressentais maintenant, j'avais trop peur qu'il joue avec mon coeur, avec mes sentiments.
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Clairement je ne m'attendais vraiment pas à me retrouver auprès de la jeune femme aujourd'hui, du moins à la voir devant moi alors que je sortais à peine de l'ascenseur mais je me disais aussi que j'avais à peu près 35 % de chance de tomber sur elle surtout si je devais faire des photos shoots puisque la jeune femme n'était autre qu'une mannequin de plus en plus reconnue maintenant. Qu'importe, je ne savais vraiment pas comment me comporter vis-à-vis de ce qu'il avait pu se passer entre nous quelques jours auparavant... Néanmoins je lui avais répondu honnêtement que ça pouvait aller mieux avant de lui retourner la question et à sa réponse, je comprenais facilement qu'elle mentait sur ce dernier point mais je n'en tenais guère rigueur. Surtout que nous n'avions pas trop le temps de nous éterniser là-dessus pour le moment puisque j'avais autre chose à faire alors après avoir assuré que je serais là; que j'irais la rejoindre dans le salon privé, j'allais faire ces fichues photos. Ce fut trop long à mon goût mais une fois que j'eus terminé la séance, je me rendais jusqu'au fameux salon où je la retrouvais finalement. Et comment dire... Je fus clairement surpris par ce qu'elle était en train de faire : elle me prenait dans ses bras ! Je ne pus m'empêcher de lui rendre son étreinte avant de me figer légèrement tandis qu'elle s'excusait en me disant qu'elle ne me détestait pas et tout. La voir dans cet état me retournait clairement le cerveau et je ne pouvais réfléchir sainement, néanmoins je m'avançais calmement vers elle afin de lui caresser tendrement la joue et murmurer d'une voix douce : " Je sais... Moi aussi je m'en veux beaucoup de ce qu'il s'est passé. Je n'ai pas été très correct avec toi, j'ai agi sans réfléchir et je t'en demande pardon. ". En ce moment, il était bien rare que je reconnaisse mes erreurs mais depuis quelques jours, je ne cessais de penser à tout cela et je commençais à entrevoir tout ce qui n'allait pas chez moi. " Je t'ai accusée sans te donner l'occasion de t'expliquer et c'était vraiment méchant de ma part... "
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Je ne savais clairement pas comment définir mon état actuel, je ne pouvais pas mettre de mot sur mon état parce qu'il était tellement complexe qu'il n'y avait pas de réponses à la question « Est-ce que tout va bien dans ta tête ? » Non, aucunes réponses, j'étais partagé entre l'envie, le désir de lui pardonner, de lui demander à repartir de zéro, mais d'un autre côté, la peur qu'il se moque de moi, qu'il joue avec mes sentiments. Je n'avais plus une entière confiance en lui, après tout ce qu'il avait pu dire ou faire. Non, c'était impossible de penser à un avenir accompagné de Chase Walton pour le moment. Qui pouvait m'assurer qu'il ne partirait pas comme ça du jour au lendemain, me laissant avec cet afflux de sentiments en moi, sans pouvoir le combler ? Personne. Je n'arrivais pas à lui dire que tout allait mal dans ma vie, non je masquais cette vérité derrière un mensonge aussi gros que ce que je pouvais ressentir pour lui. J'étais tellement apeurée de ce que je pouvais ressentir pour lui, que j'avais juste envie de partir sans rien dire, au lieu d'être dans ce salon, à attendre. La patience n'est pas dans mes qualités, mais pourtant avec lui, je pourrais avoir toute la patience du monde pour qu'il finisse dans mes bras, dans mes draps, dans ma vie. Si on m'avait dit, quand j'étais entrée dans ce bâtiment qu'il allait être la, je ne serais pas allé à mon shooting, prétextant un décalage horaire trop important ou autre. Mais visiblement, j'étais masochiste et quand il apparaissait devant moi, je ne pouvais pas faire autre chose que le prendre dans mes bras. Je me sentais en sécurité tout contre lui, humant son odeur pour m'en imprégner les soirs où rien n'irait. J'étais faible, trop faible face à cet homme et je n'étais plus apte à faire quelque chose de censé en sa présence. Cependant, malgré ma peur et mes doutes, je ne pouvais me contraindre à m'excuser pour ce que je lui avais dit quand nous nous étions pris la tête l'autre jour, au centre commercial. J'étais tellement mal à ce moment précis, quand je l'ai vu partir, que je n'avais même pas pu cacher mes larmes derrière mes lunettes de soleil. Il m'avait affaibli au plus haut point. On pouvait clairement voir la tristesse sur mon visage, ponctué par mes cernes de dix kilomètres de long suite au décalage horaire. Lorsqu'il se rapprochait de moi, j'eus un mouvement de recul avant de me stopper, de quoi avais-je peur ? Qu'il lève la main sur moi ? Jamais il ne le ferait, j'en étais persuadée. Alors lorsqu'il déposa sa main sur ma joue, je fermais les yeux à son contact, bercée par ses mots rassurants. « Ne t'excuse pas... J'étais fautive dans cette histoire, toi tu n'as strictement rien fait... » Je réouvrais les yeux tandis qu'il continuait à parler, et le fait qu'il me dise qu'il ne m'ait pas laissé le temps de m'expliquer, je sentais encore une fois, mon coeur qui se serrait. Je n'avais pas envie de m'expliquer, je ne pouvais pas, j'avais bien trop peur de sa réaction. « Je n'ai pas envie de m'expliquer Chase, je t'ai déjà dit que je n'avais pas de compte à te rendre et ... c'est le cas. Nous ne sommes plus rien l'un pour l'autre, mes actes et mes paroles ne concernent que moi... » Je ne savais pas si c'était bien ce que je disais, mais il fallait que ça sorte « J'attendais juste de toi, que tu me rassures, que ... tu sois la, en comprenant que j'étais mal en point, mais tu ne l'as pas fait. Le passé est passé, les erreurs ont été faites c'est tout... » Je me reculais, avant de m'asseoir dans le canapé, les jambes tremblantes, j'étais au plus mal, j'avais envie de partir mais je ne pouvais pas. Je ne pouvais et pourrais pas fuir éternellement devant cet homme, même s'il m'apeurait, même si il m'avait déçu.
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Parfois on a envie de craquer mais pour ma part, je refuse de le faire parce que ça serait le signe que je ne peux vraiment plus tenir alors que je suis un Walton et rien ne peut déstabiliser un Walton... Hormis la mort ! Or si on faisait une rétrospective de ma vie actuellement, j'avais vu la mort plusieurs fois cette année directement ou indirectement. Ce n'était pas comme les morts qu'on avait lors des opérations à l'hôpital, non c'était bien plus terrible et on ne s'en sortait jamais réellement indemne de tout cela. Donc si je pouvais expliquer mon état d'esprit à l'heure où je vous parle ça serait bien : traumatisé par toutes ces pertes dans mon entourage... Sincèrement j'avais cru que les prises d'otage de janvier 2015 et mon accident survenu quelques jours plus tard m'auraient suffi mais il semblerait bien que non... J'avais perdu mes parents dans un crash aérien dont on ne savait pas encore la nature, ensuite ma petite amie et moi-même nous avions décidé de faire un enfant ensemble sauf qu'elle avait fait une fausse couche qui avait clairement accéléré la fin de notre relation... Ensuite, il y avait LA fille... Celle qui occupait mon esprit en ce moment, cette jolie blonde qui m'avait presque détourné de ma blonde de copine ! Phoenix Cahill... Je ne saurais jamais expliquer ce qu'il avait réellement pu se passer dans mon esprit pour que je sois à ce point foudroyé par elle mais toujours est-il que je ne serais pas dans ce salon privé avec elle en ce moment même si je ne ressentais pas au moins un petit quelque chose... Sauf qu'à l'heure actuelle, je savais qu'elle n'avait plus aucune confiance en moi mais je ne lui en voulais pas puisque moi-même, je n'av ais plus confiance aux gens tout court... Je n'étais que moi-même et je ne pourrais avancer dans la vie, uniquement par moi-même. J'avais trop compté sur les gens pour être heureux alors qu'on m'avait toujours inculqué que j'étais né pour être au-dessus de tout le monde, que j'étais un enfant prodige destiné à faire de grandes choses et c'était ce que je comptais faire dorénavant. Si la jolie blonde qui était dans mes bras souhaitait me suivre, je ne la repousserais plus mais je ne la forcerais pas ni rien. J'étais vraiment seul sur mon chemin, en quête de mes propres réponses. Je l'écoutais parler désormais vu qu'elle avait fait de même avec moi et je ne pouvais qu'être d'accord avec ses dires... On avait aucun compte à se rendre mais au final, c'était tout comme. J'avais juste refusé de voir au-delà de ma propre personne... Elle avait aussi raison sur le fait que mon rôle était de la réconforter et de la rassurer mais je n'avais fait que la blâmer d'une faute qu'elle n'avait certainement pas commise et qui ne me concernait pas... Je déglutis légèrement alors qu'elle reculait pour finalement s'asseoir sur le canapé. Après une brève inspiration, je m'installais à ses côtés afin de poser ma main sur la sienne. " Je ne veux pas que tu me croies sur parole mais je pensais vraiment ce que je disais... Je regrette sincèrement tous les mots blessants que j'ai pu dire aussi. Mais voilà quand je te disais que j'avais des sentiments pour toi, c'était la plus stricte vérité que je refusais de voir et qui me faisait réagir comme un con parce que je voulais te garder rien que pour moi... " dis-je d'une voix posée en la regardant dans les yeux avant de poursuivre : " Tu m'as manqué ces dernières semaines... ". Ma voix était tremblante comme si j'avais peur de ces mots mais je pris une initiative que j'allais peut-être regretter plus tard... Mais voilà, je me penchais vers elle et lui prenais les lèvres pour l'embrasser tendrement.
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Je ne pouvais plus me cacher derrière mon allure de garce, Chase m'avait décrypté, avait fait tomber ma carapace et j'avais juste envie qu'il m'emmène loin d'ici, loin de tout ces gens. Dans un coin de ma tête, je me posais des questions, sur ce que l'on ferait si jamais un jour, on officialisait notre relation, ce que les gens allaient dire. Je m'inquiétais de ce que pouvait penser les gens alors qu'avan, ça n'aurait eu aucun impact sur moi, même le plus petit des impacts n'aurait pas eu lieu. Mais plus maintenant, plus maintenant que je sais que je ressens des choses pour lui, pas maintenant que je sais que je suis amoureuse de lui. Je suis amoureuse de Chase Walton et j'ai malheureusement atteint un point de non-retour. Je repensais tout le temps à la sensation que je ressentais quand il me prenait dans ses bras, quand ses lèvres se déposaient sur les miennes, je me souvenais aussi de notre escapade à Paris, quand il m'avait prise dans ses bras, en haut de la Tour Eiffel et que ses lèvres s'étaient déposées sur les miennes, avec seul Paris illuminé pour nous éclairer. Tant de choses qui se mettaient en place dans ma tête, comme un puzzle que je venais enfin de résoudre. Mais je me demandais aussi si ce puzzle n'allait pas être brisé. Après tout, il était désormais officiellement célibataire, mais est-ce qu'il voulait de moi ? Est-ce qu'il allait enfin m'avouer tout ce qu'il pouvait ressentir ? J'avais peur qu'il me dise le contr1aire, qu'il m'avoue qu'il ne m'a jamais aimé, alors que moi, je suis prête à lui ouvrir mon cœur, de toutes les manières possibles et imaginables.  Lorsque je me tenais en face de lui, il était beaucoup plus facile de lui dire ce que je pensais, que nous n'avions pas de comptes à nous rendre,  je n'avais pas à lui dire ce que je faisais, ni même avec qui, puisqu'il ne le ferait pas avec moi. Alors pourquoi se tuer à dire des choses qui ne sont pas faites pour être écoutées ? Pour rien. J'aurais brassé du vent. « Comment est-ce que tu veux que je te crois Chase ? J'ai pas confiance en toi, j'ai plus confiance en personne désormais. Je ne suis plus qu'une poupée de chiffon qu'on peut manipuler à sa guise... » Oui, on pouvait me manipuler. Oui, je me laissais faire alors que d'habitude non. Je me détestais. Et si seulement, j'avais le culot de me jeter du haut d'une falaise, je le ferais. Je m'installais sur le canapé, sentant mes jambes qui menaçaient de me lâcher et je ne m'attendais pas à ce qu'il s'installe à côté de moi. Mon coeur s'accélérait quand ses mains se posaient sur les miennes et je retenais ma respiration quand il m'annonçait que je lui avais manqué ces dernière semaines. Si seulement, il savait à quel point il avait pu me manquer. J'ouvrais la bouche pour répondre, mais les mots ne sortaient pas, à la place, je le laissais déposer ses lèvres sur les miennes et je restais stoïque quelques secondes, ne bougeant pas, avant de nouer mes bras autour de son cou, prolongeant de la façon la plus tendre possible ce baiser qu'il m'offrait, mon coeur était au bord de l'explosion, son rythme cardiaque au maximum. Je me reculais alors, les joues bordaient de rouge et je déglutissais avant de murmurer « Tu m'as manqué aussi... Dis moi juste que tout ça, ce n'était pas que du vent... » Je soupirais, prenant ma tête entre mes mains avant de le fixer, la voix emplie de larmes « Je supporterais pas de te perdre, non je ne peux pas Chase, je ne peux pas me dire que tu joues avec moi parce que je.. » Les mots ne sortaient définitivement pas. Je n'arrive pas à prononcer ces trois mots, ces sept petites lettres, j'étais encore trop faible pour ça. Trop faible pour lui dire que je l'aime.
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Je l'écoutais me dire qu'elle n'avait plus confiance, ni même confiance en personne avant de se traiter de poupée qu'on pourrait manier à notre guise, ce qui ne me plaisait pas vraiment... Je déglutis légèrement avant de lui répondre d'une voix douce : " Je ne te demande pas de me croire mais je ne sais pas mentir sur mes sentiments, même si j'ai pas l'habitude... Et je comprends que tu ne puisses plus me faire confiance, je ferais de mon mieux pour la regagner un jour. Et non tu n'es pas une poupée... Tu es une remarquable jeune femme et tu sauras toujours trouver la force qui se trouve ici. ". Sur ces mots, je montrais son coeur tandis qu'elle se reculait pour aller s'installer sur le canapé. Pendant ces quelques secondes, mon esprit se mit à divaguer au loin. Etait-ce une chance de rédemption ? Je n'en savais trop rien et clairement je n'avais pas envie d'y penser mais toujours est-il que j'étais vraiment content de me retrouver en compagnie de la jeune femme à l'heure actuelle alors quelques jours plus tôt, nous avions essuyé une terrible dispute... Bien pire qu'une dispute de couple et en mode lâche, je l'avais laissée sans demander mon reste, sans même m'excuser de mon comportement abject. Quoiqu'en réalité dès le moment où je m'étais retrouvé dans la voiture blindée qui m'attendait, j'avais ressenti le besoin de la retrouver sauf que mon corps lui-même avait dit non. Ma fameuse chute avait fait son effet, j'étais bel et bien malade mais je ne comptais en parler à personne tant que je ne serais pas sur de ce que j'avais réellement. Qu'importe, je ne m'attendais vraiment pas à la retrouver au Mandarin Oriental et ce même si au final j'aurais du me douter que je la croiserais un jour à une séance photo puisque la miss n'était autre qu'une mannequin qui émergeait de plus en plus. Clairement je ne saurais définir et encore caractériser ce que je ressentais à l'heure actuelle... Etais-je heureux ? Je ne pouvais pas l'affirmer mais une partie de moi criait victoire quand la jeune femme s'était mise à parler. C'était cette même partie qui avait décidé de la rejoindre sur le canapé pour avouer la véracité sur mes sentiments à son égard... Afin de prolonger ce moment intime, je lui avouais qu'elle m'avait manqué ces dernières semaines avant de prendre possession de ses lèvres pour lui offrir un baiser des plus tendres, ce qui était bien rare chez moi quand même... Depuis que Sienna m'avait quitté, toute trace de tendresse avait déserté mon corps sauf avec Phoenix et cela me confirmait encore plus l'importance de la jeune femme dans ma vie. Je ne savais guère combien de temps avait duré notre baiser mais je regrettais qu'il soit terminé... Alors qu'elle parlait tout en mettant sa tête entre ses mains, je l'obligeais à me regarder dans les yeux avant de dire d'une voix tendre: " Non ce n'était pas des paroles en l'air... Et moi non plus, je ne supporte pas le fait de te perdre Phoenix. ". Je savais quels mots elle essayait de dire avec difficulté mais je ne lui tenais guère rigueur. " Tu me rends fou... Je ne sais plus quoi faire quand je suis avec ou sans toi. ". Je déglutis pour éviter de pleurer avant d'enfouir mon visage au creux de son cou.
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