Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityNaimès #3. • « M’en veux pas de te faire du mal, je m’en fais déjà à moi-même » ♡ - Page 2
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Naimès #3. • « M’en veux pas de te faire du mal, je m’en fais déjà à moi-même » ♡

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Mes jambes enlacées à son bassin, je me perdais dans mes sensations qui semblaient si irréelles. Mon cœur battait à un rythme infernal et je n’en pouvais plus. Ma respiration se faisait haletante, mon corps brûlant contre le sien. Même si j’avais voulu, je n’aurais jamais pu lui résister, jamais. Il était ma moitié, celui à qui j’avais tout donné depuis des années et je ne regrettais en rien mon engagement auprès de lui. ces sentiments que j’avais refoulés pendant tant d’années me rendaient tellement fébrile que j’avais peur de faire des gestes inutiles. De dire des choses inutiles. C’est pourquoi, lorsqu’il me demandait si je n’allais plus partir, je lui confirmais avec mes mots, resserrant mon corps contre le sien avec une douceur et une tendresse que je ne réservais qu’à lui. je l’aimais. Fort. Passionnément. Je n’étais du genre fleur bleue d’habitude et pourtant… je pouvais affirmer sans un doute que cet homme était l’homme de ma vie, celui que j’avais aimé, que j’aime et que j’aimerais encore tout le long de ma vie. Ces sentiments si forts me rendaient vulnérable et pourtant, je ne ressentais aucune peur vis-à-vis de ça. J’avais juste envie de lui prouver que je ne voulais plus le quitter, jamais. Mon cœur est sur le point d’exploser tandis que je lui fais des révélations sur mon envie qu’il me garde à ses côtés, que je ne repartirais plus jamais. J’espérais qu’il n’entendait pas les battements si irréguliers de mon cœur à nouveau si vivant, comme s’il avait retrouvé son souffle de vie. Tremblante, je le regardais se redresser tandis que son regard plongeait dans le mien. Je lui avouais alors que je lui appartenais pour toujours, que je ne pourrais jamais l’oublier et, les yeux humides de larmes que je ne pouvais contrôler, je me contentais de lever ma main vers son visage pour effleurer sa joue du bout de mes doigts. Le regard perdu dans le sien, je savais qu’il ressentait des émotions aussi fortes que les miennes et je tentais tant bien que mal de faire comme si je n’avais rien vu. Je connaissais sa fierté et je connaissais aussi sa force de résistance. Il devait ressentir tellement de choses sans pouvoir les assumer que j’eus presque envie de pleurer pour deux, en silence, juste pour évacuer ces douloureux sentiments de son cœur meurtri. Je ne voulais plus le blesser comme je l’avais fait. Jamais. J’avais tellement envie de supprimer toutes les blessures de son cœur, de le rendre heureux à nouveau comme au premier jour de notre relation. Mes larmes commencèrent peu à peu à s’apaiser lorsque ses lèvres reprirent possession des miennes avec une douceur qui me perturbait à nouveau. j’avais peur de me réveiller, demain matin, seule dans mon lit à penser à cette journée qui me semblerait si irréelle. Je n’avais rien prévu, comme d’habitude, et on s’était retrouvés dans ma chambre, sur mon lit, enlacés dans une étreinte si brûlante et passionnée que j’en perdais la raison.

Une nouvelle fois, je sens ses lèvres quitter les miennes et je retenais un gémissement de protestation. Ses lèvres si douces et si tendres m’avaient tellement manquées que j’aurais voulu les embrasser pour le reste de mes jours. Je le vois reprendre son souffle tandis que je reste haletante, ne le quittant pas des yeux. il était si sexy, si tentateur que je ne pouvais lui résister. Pas avec ce regard empli de désir et d’envie. il allait me rendre folle s’il continuait à me toucher de cette manière, je le savais. Je sentais alors sa main glisser sous mon débardeur, le faisant remonter doucement tandis que je me mordillais la lèvre doucement. avec Hadès, tout avait toujours été si facile, si naturel. Lorsqu’il me touchait, j’en redemandais toujours plus, sentant mon corps se réveiller doucement sous ses caresses qui me faisaient perdre la tête. Je sens ses lèvres reprendre possession des miennes, me rendant de plus en plus fébrile, gémissant presque sous leur caresse tandis qu’il rompait à nouveau le baiser en me laissant toujours aussi désireuse d’en avoir plus. Il en profitait alors pour me retirer mon débardeur, laissant ma poitrine, enfermée dans mon soutien gorge, révélée sous son regard de braise. D’habitude, j’aurais voulu me cacher, j’aurais aussi rougit avec beaucoup de réserve … mais c’était Hadès.  Avec lui, j’étais toujours à l’aise. Je me sentais désirée, aimée et j’avais envie qu’il me montre encore quelques-uns de ses tours de magie pour me faire perdre la tête. Tandis qu’il venait me murmurer quelques mots à l’oreille, je frissonnais, ouvrant de grands yeux ébahis devant sa déclaration, perdant la notion de temps et d’espace. Le baiser qu’il déposait dans ma nuque me rendait fiévreuse, ses lèvres reprenant possession des miennes me rendirent plus fébriles que jamais. J’étais touchée par ces quelques mots et j’avais envie de le lui montrer. Resserrant l’étreinte de mes jambes sur son bassin, je continuais de frotter sensuellement mon corps contre le sien, sentant cette douce chaleur irradier mon corps si avide de sensations. Mordillant ses lèvres avec une application certaine, je lui murmurais « chéri, je suis toute à toi… pour toujours… » d’un ton faible tandis que mes mains glissaient sur la peau de son dos si chaude. Venant parfois faire glisser mes ongles contre sa chair si douce, je tirais doucement sur son t-shirt pour lui faire retirer. J’avais soif de lui. j’avais tellement envie de son corps contre le mien que j’allais me perdre très loin. Alors qu’il l’avait retiré, je venais coller ma poitrine contre la peau de son torse, l’embrassant avec cette même passion qui m’habitait depuis que j’étais avec lui. le corps tremblant, je laissais mes mains caresser toujours aussi fébrilement son dos, frottant de temps à autres mon intimité contre son membre qui semblait à présent si réactif. Fermant les yeux, je tentais à nouveau de surmonter mes sentiments, en vain. Quittant ses lèvres pour venir déposer un baiser sur son épaule, je lui avouais « j’ai envie de toi … » d’un ton presque inaudible. J’assumais maintenant l’envie qui irradiait mon corps. Il était là, près de moi, il me touchait comme jamais je n’avais permis à quelqu’un de le faire et bizarrement, cela me confortait dans mon choix… Hadès était le seul homme dont j’étais réellement tombée amoureuse. Rien ne pourrait jamais m’enlever ce sentiment de bonheur quand je penserais à lui…
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Se faire du mal. ☼ Naima
L’ambiance est chaude. Brûlante même. Autant que peut l’être mon corps au contact de celui de Naïma. De la femme qui fait battre mon cœur dans un sens étrange et à un rythme effréné. La femme qui peut te faire baisser des barrières que tu penses insurmontables et qui peux te faire détruire n’importe quel principe. C’est cette même femme qui me donne envie de bien autre chose qu’être sage. Les retrouvailles. Toute cette longue absence. C’est si dur à contenir que des gestes me semblent être la solution la plus efficace pour lui faire comprendre à quel point elle a pût me manquer. A quel point je suis prêt à tout pour la récupérer. Même si je ne peux pas l’avouer, pas maintenant, pas tout de suite. Je serai toujours le même homme face à elle. Celui qui fond. Malgré tout ce qu’elle a pu me faire. Tout le mal. Toutes les souffrances. Je sais et je me souviens de tout ce bonheur que nous avons partagé. Elle et moi. Il y a de ça plusieurs années. Mais les souvenirs sont là. Ma tête s’en souvient. Mais mon cœur encore davantage. Et c’est tout ce que je retiens de notre passé. Et c’est tout ce que je veux pour notre futur.

Pour toujours. Je dû fermer les yeux une seconde pour m’imprégner de ses mots. De comprendre. D’être certain d’avoir bien entendu. Pour toujours. Comme si elle promettait quelque chose. Ou qu’elle confessait un désir qu’elle cache au plus profond d’elle. Quand j’ouvre à nouveau les yeux j’ai toujours son visage sous les yeux et les questions s’envolent. Comme si elles n’avaient jamais existées. Comme si ses mots se font partager par les miens. Pour toujours. C’est peut-être ce que je souhaite aussi, mais je suis trop fier pour assumer quoi que ce soit. Et encore davantage quand il s’agit de sentiments aussi puissant. Je ne peux lui répondre alors je ne fis rien. Bousculé par les mains baladeuses de Naïma qui me pousse à retirer le t-shirt et que je fis dans un mouvement rapide pour pouvoir retrouver ses lèvres le plus vite possible. Comme si ce contact m’affaiblissait quand il devient absent. Je retrouve sa bouche depuis si longtemps et ne peut me résigner à les laisser partir à l’autre bout du monde. Non. Alors j’en profite le plus possible. Les imprégnant de mon envie. Sa poitrine contre mon torse me donne encore plus chaud, malgré le fait que je viens de retirer du tissu. Je regrette presque qu’elle en a encore sur elle et que sa poitrine soit toujours autant bloquée par son soutien-gorge. Nos baisers sont toujours si ardents et je peine à garder la respiration à un rythme régulier. Car malgré toutes mes tentatives, je peine à respirer, je peine à rester à flot, je ne peux pas être insensible. Tous mes sentiments sont là pour me le rappeler. Tous ses gestes. Tout son corps. Tout en elle me pousse à ne plus savoir ce que je fais. Juste à me laisser guider par toute cette envie de la retrouver. Comme si je ne l’avais jamais quittée. Comme si elle n’était pas partie. Comme si rien de tout notre calvaire n’avait pu arriver. Malgré que la réalité soit là, bien présente et que cela ne reste que des désirs.

En parlant de désir. Nos lèvres se quittent une nouvelle fois et le murmure de Naïma me fait serrer la mâchoire pour ne pas jubiler ou répondre trop vite. Elle a envie de moi. Ce ne sont plus que de simples gestes, ce sont des paroles. Et les siennes sonnent comme une invitation. Une autorisation à aller plus loin. Car je connais tous les droits et les devoirs que Naïma a. Par rapport à sa famille. Par rapport à sa religion. Et ça, ses mots. Ses gestes. Je sais qu’elle transgresse beaucoup de règles. Pour moi. Pour nous. J’acquiesce silencieusement. Tout en prenant son visage d’une main, caressant d’un doigt sa joue et plongeant mon regard dans le sien sans l’embrasser. Admirant ses traits. Ses finesses que je n’avais pas vu depuis si longtemps et encore moins dans un tel contexte. Je lui répondis le plus tendrement du monde. « Je te veux aussi, pas que pour maintenant, mais pour le plus longtemps possible. » Dis-je avant de fermer les yeux et de l’embrasser tendrement, doucement, déguster ses lèvres avec plaisir. Retournant à un baiser brûlant, relâchant son visage non sans arrêter de l’embrasser. Glissant mes mains jusqu’à ses hanches un moment, les laissant posées aux extrémités de son bassin et l’accompagner dans ce mouvement d’envie avant de les glisser dans son jogging doucement. Une douceur que je fais rare, probablement seulement pour Naïma. Laissant alors glisser son pantalon plus bas en le relâchant, une de mes mains va se glisser dans son sous vêtement, défiant alors son envie en caressant simplement l’intérieur de sa jambe. Tandis que mon autre main vient retrouver son visage pour un baiser plus partagé. Plus chaud. Plus envieux.


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Mon corps s’échauffait, ma raison se perdait tandis que je me rendais compte qu’il avait à nouveau brisé mes barrières. Tremblante, presque fiévreuse sous ses baisers brûlants, je respirais difficilement, tentant tant bien que mal de calmer les battements saccadés de mon cœur si vivant. Pendant si longtemps, j’avais refusé aux hommes ce corps qui répondait si tendrement à l’homme qui m’embrassait en ce moment même. Hadès connaissait ma situation. Il connaissait aussi les risques que je prenais à lui donner ce que j’avais de plus précieux, de plus intime aussi. Je l’aimais, oui. Je lui prouvais en répondant à ses baisers fiévreux, en caressant presque trop sensuellement la peau de son dos si chaude tandis que mon regard se perdait parfois dans le sien si rassurant. Il retirait alors son t-shirt, se décollant de moi tandis que je ne quittais pas cet homme des yeux. j’avais tellement rêvé de ces retrouvailles… j’avais tellement imaginé ce moment dans ma tête que j’avais l’impression de perdre toute trace de résistance ou de conscience. J’aurais du dire non, j’aurais du lui dire que je n’avais pas changé et que je ne pouvais toujours pas avoir de relation sexuelle hors mariage mais … il n’y avait rien que je ne pouvais lui refuser. Il était le seul à qui j’avais permis de me toucher aussi intimement, aussi sensuellement et je ne le regrettais pas. Jamais je ne réussirais à m’en vouloir de lui avoir donné ce qu’il voulait. Tout ce que je désirais, c’était de le garder près de moi, contre moi… haletante, je sentis ses lèvres retrouver les miennes quelques secondes plus tard, presque impatiente de les sentir à nouveau contre les miennes. J’avais presque oublié ce goût si doux qu’elles avaient à l’époque et sentir à nouveau sa peau contre la mienne me rappelait des souvenirs plus que doux et agréables. Replonger dans le passé me rendait fébrile, me rappelant la douceur de ses caresses, l’attention qu’il me portait, le bonheur que l’on ressentait juste en se voyant, juste quand je glissais mes doigts entre les siens pour lui montrer que j’étais là et que j’avais besoin de contact, même si ce n’était qu’un simple toucher sur mes doigts si impatients de le toucher. Je n’allais pas mentir. Nous avions été heureux et malheureux aussi mais, aujourd’hui, j’avais envie de voir l’avenir et de penser que plus jamais, je ne chercherais à lui faire du mal. J’allais rester, là, près de lui et lui faire oublier toutes ces années douloureuses passées loin l’un de l’autre. Le corps brûlant, je me blottissais contre lui, ma respiration se faisant de plus en plus saccadée tandis que je lui rendais ardemment son baiser, comme si ce serait le dernier. Il me rendait follement amoureuse de lui, délicieusement éprise de sa douceur et sa manière de me montrer son attachement, agréablement surprise à chacun de ses gestes si tendres et délicats. Avec lui, j’avais l’impression d’être aimée pour ce que j’étais vraiment, d’être respectée comme jamais je ne l’avais été et je ne pouvais que retomber dans ses filets si bien tendus. Hadès était décidément un homme toujours aussi désirable et passionné à mes yeux…

Je ressentais alors un désir passionné, presque fou et décadent, cherchant à lui prouver tout mon attachement. Tout ce que j’étais capable de faire pour l’homme que j’aimais plus que tout au monde. Chancelante, je le voyais serrer les mâchoires sous mon aveu. Oui, j’avais envie de lui. Comment j’aurais pu ne pas avoir envie d’un homme aussi désirable ? De l’homme qui faisait battre mon cœur aussi follement et rapidement ? J’avais envie d’être honnête envers lui. Je savais que ce que je faisais était très mal. Si ma mère le savait, je serais probablement corrigée par mon père et par elle… je connaissais les règles. Je n’avais pas le droit de me donner avant le mariage.. mais avec Hadès, c’était différent. Je l’aimais. Profondément, sérieusement… j’avais toujours eu envie de lui prouver que je n’étais qu’à lui et que pour le garder à mes côtés, j’étais prête à tout, même à enfreindre une des lois les plus importantes de l’islam. Il était mon double, mon cœur et je ne pouvais me résoudre à ne pas lui montrer la profondeur de mon amour si tendre pour lui. Notre relation avait toujours été très fusionnelle. Il avait toujours veillé à ne jamais éveiller les soupçons devant mes parents et pour cela, je lui en serais éternellement reconnaissante. Le voyant acquiescer silencieusement, je le laissais attraper mon visage, sentant son doigt caresser ma joue tandis que mon regard brillant suivait son regard si doux. J’aurais voulu qu’il m’embrasse, qu’il me prouve que lui aussi avait envie de moi et j’étais plus qu’impatiente. Lorsqu’il m’avouait tendrement qu’il me voulait aussi mais pas seulement pour maintenant, je me sentais pousser des ailes, mes yeux devenant de plus en plus humides. Je me retenais à nouveau d’éclater en sanglots. Il m’avait touchée en plein cœur, moi, celle qui l’avait tant blessé par le passé. Je voulais cacher mes émotions, ne pas lui montrer que sa douceur me touchait autant et pourtant, je lui avouais « Hadès… Je t’aime tu sais… » sur le ton d’un murmure, d’une révélation qui me semblait pourtant une évidence. Sentant ses lèvres s’emparer à nouveau des miennes, je lui rendais son baiser avec force, brûlante d’une envie que je n’avais plus ressentie depuis près de deux ans. Je fermais les yeux comme pour imprimer ces retrouvailles dans ma mémoire, sentant ses mains glisser le long de mon corps pour atterrir sur mes hanches, accompagnant pendant quelques minutes les mouvements sensuels de mon bassin contre le sien. Puis, je sentis ses mains glisser dans mon jogging, le faisant glisser plus bas tandis qu’une de ses mains passait dans mon sous-vêtement. Retenant ma respiration, je sentais ses doigts caresser doucement l’intérieur de ma cuisse et je dus me faire violence pour ne pas lui demander d’aller plus vite. Désireuse et impatiente, je répondais à nouveau lascivement à son baiser, laissant ma langue venir caresser la sienne timidement puis, agrippant son dos de mes mains, je laissais quelques gémissements presque plaintifs dépasser la barrière de mes lèvres entrouvertes. Je n’allais plus tenir très longtemps. La chaleur de ma chambre me rendait totalement dingue. Je me rendais compte que je ne voulais être nulle part d’autre actuellement. J’étais à sa merci, sous son pouvoir, mais j’aimais cela. C’était tellement excitant que je ne pouvais me résigner à faire quoi que ce soit, trop heureuse de retrouver sa chaleur réconfortante.
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