you're my bro right ? - Alezaël

☮ YOU'RE MY BRO RIGHT ?
alexander et azraël.
mise en page par blasphemyEt peut être bien que ça avait prit une année. Voir même un peu plus mais ça venait de se produire et aussi affreux que ça puisse être, t'avais adoré ce moment. Peut être que tes anciennes famille avaient raison. Peut être que t'étais juste totalement tordu et que c'était ce qui expliquait que t'étais incapable d'agir correctement. Quoi qu'il en soit, il avait été tout aussi consentant que toi. Ouais, j'suis une sorte de sorcière mais t'aurais du t'en douter, j'suis rousse. Que tu disais avec un petit sourire alors que tu ne pouvais t'empêcher de frissonner quand il caressait ton corps de sa main. Merde quoi, c'était Alex, pourquoi est ce que ça te faisait autant d'effet ? C'est tentant en effet que tu finissais par répondre juste avant que ses lèvres ne viennent trouver les tiennes pour un nouveau baiser passionné. Et une fois le contact rompu, tu souriais presque timidement avant de retourner attraper la bouteille au pied du lit. Le but ? Ne pas laisser l'alcool redescendre. Continuer à être dans cet état d'ébriété pendant de longues heures puisque le retour à la réalité ferait mal.

15/03/2013

Pour le coup, je regrettais pas ce qui s'était passé. J'veux dire, j'ai pris clairement mon pied, bien plus que je devrais l'admettre et j'recommencerais bien si je pouvais. Enfin, bien sûr que je pouvais, à condition d'avoir assez d'alcool dans le sang. D'ailleurs, fallait veiller à ce que mon taux d'alcoolémie reste assez élevé pour le coup. « Ceci explique cela, ça va de soi en fait » La rousseur et toussa quoi. Non mais au final, ça avait du sens, carrément même. Même si pour le coup, j'aurais bien voulu que ça se passe avant parce que c'était putain de bon au final. « J'suis sûr c'est parce que mon lit est confortable, avoue » Je tentais l'humour, avant qu'on ne s'embrasse à nouveau, passion clairement présente pour le coup. Ma main toujours sur sa fesse, je la voyais ensuite récupérer la bouteille au sol pour boire directement au goulot et dès qu'elle avait fini, je la récupérais. La bouteille ouais ouais. A mon tour, je buvais au goulot pour m'imbiber et retrouver encore mon état flottant que j'aime tant quand j'étais bourré. Je l'avais encore, mais nos ébats avaient fait que ça s'était légèrement dissipé. « Donc tu restes, » disais-je en reposant la bouteille sur la table de nuit, collant mon corps au sien

(Rhys Ackerman)

“take a deep breath and remember who the fuck you are ”

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alexander et azraël.
mise en page par blasphemyAlors tu portais la bouteille à ta bouche pour ingurgiter une nouvelle fois de l'alcool. Fallait que ça monte, que ta tête tourne au point de continuer comme ça. Pour ne pas laisser le tout redescendre, pour ne pas laisser cette soirée s'terminer. T'étais consciente au fond qu'il y aurait une fin et pas la meilleure qui soit alors tu tentais de la prolonger comme tu pouvais. Dis rien, j'sais que si tu m'aimes autant c'grâce à ma couleur de cheveux. Ou pas. Mais t'avais eu envie de le dire. T'aurais presque pu être victimisé pour cette couleur flamboyante que tu arborais. Mais tu pouvais quoi si tes parents biologiques étaient probablement deux putain d'Irlandais parsemé de tâche de rousseur. Pour quoi d'autre pourrais je être tenté ? Un petit rire cristallin sortait de ta bouche avant ce baiser qui déclenchait ce feu dans ton ventre. C'était étrange, tellement étrange. Et c'était délicieux en même temps, tu voulais encore sentir ses lèvres sur les tiennes, sur ta peau. J'crois bien que oui que tu murmurais avec un petit sourire alors qu'il revenait s'coller à toi. Ta main venait s'loger dans ses cheveux alors que tu plongeais ton regard dans le sien. J'ai encore envie de toi D'une puissance extrême même.

15/03/2013

« Évidemment, pour quoi d'autre sinon? » C'était faux, je l'aimais pour elle, pour ce qu'elle était.. parce qu'elle était la fille que je protégeais envers et contre tous, surtout contre nos bourreaux lors de l'enfance que nous avions partagé. Ouais, je l'aimais pour ce qu'elle était et non ce qu'elle représentait. Haussant les épaules, je retrouvais assez rapidement ses lèvres, qui se calaient parfaitement avec les miennes. Même sa langue était parfaitement compatible avec la mienne et c'en était que meilleur pour le coup. Une fois qu'on avait fini - et j'avais bien remarqué son petit sourire - elle prit la bouteille pour boire, que je pris ensuite, pour boire aussi et puis en la reposant, je faisais bien exprès de coller mon corps au sien. Et ma main remontait, doucement le long de sa peau, alors qu'elle avouait éprouver encore du désir pour ma personne. Est-ce que ça me flattait ? Totalement. Est-ce que j'en avais envie ? Et comment. Ma main arrivait au niveau de son sein accessible, puisqu'elle s'était légèrement tournée - chanceux que je suis - et je la caressais doucement, cherchant à faire monter encore plus son envie. « Faut croire qu'on est sur la même longueur d'ondes ce soir » Non mais parce que clairement, j'étais prêt pour le round deux là. Même plus que prêt.

(Rhys Ackerman)

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alexander et azraël.
mise en page par blasphemyFallait que t'arrête ouais. Tu pouvais pas ressentir ce genre d'envie pour lui. C'était pas normal du tout. Mais t'avais l'impression qu'avoir passé ce cap, ça avait déclenché un truc chez toi. Un truc que t'aurais sûrement bien du mal à contrôler. So sad. T'y réfléchirais plus tard, là t'avais juste envie de lui. Parce que je suis parfaite. Ouais, c'était une autre raison pour t'aimer. Ce qui pouvait sembler assez abstrait puisque tu ne voulais pas qu'on t'aime. Mais si tu repoussais les gens par habitude, Alex tu pouvais pas et lui, tu voulais qu'il t'aime alors voilà, fallait pas chercher à comprendre ta logique par moment. Bref, à peine t'avais prononcé ces mots qu'il s'amusait à te caresser comme si tout était normal. Et bordel ce que ça pouvait déclencher chez toi. C'était dingue parce que t'avais l'impression que tu ne contrôlais plus rien. J'aime quand c'est le cas. Bah ouais, comment ne pourrais pas tu aimer être sur la même longeur d'onde que lui ? L'air soudainement amusé, tu lâchais ses cheveux pour passer tes doigts sur son torse venant chercher ses lèvres pour un baiser un peu plus endiablé. Let's go pour le deuxième acte.

15/03/2013

Je me mis à sourire, quand elle parlait d'être parfaite. L'était-elle ? Je ne pense pas. Mais c'était mignon qu'elle veuille le penser en tout cas, et c'était ce qui me donnait encore plus envie de l'embrasser pour le coup. Mais je me retenais, me contentant simplement de laisser ma main glisser sur sa peau. Pour dire, elle finissait sa course sur son sein, que je commençais à caresser tranquillement. Mon pouce en caressait le bout, découvrant assez rapidement sa nouvelle envie de la soirée. « Et moi dont » Mes lèvres retrouvaient les siennes et un nouveau baiser endiablé était de mise. Je lâchais sa poitrine, glissant ma main dans son dos pour l'attirer contre moi. Quelle bonne idée on avait eu de pas se rhabiller pour le coup, parce qu'on perdrait moins de temps dans le déshabillage, pouvant même commencer immédiatement les préliminaires pour le coup. Lâchant ses lèvres, j'enfouissais mon visage dans son cou, y sentant son odeur, mais découvrant également la douceur de sa peau. C'était tellement mal, mais tellement bon. L'état d'ébriété qui m'avait envahi me faisait perdre tout jugement et c'était tant mieux. En aucun cas j'aurais fait tout ça sobre. Mais clairement j'aurais regretté de ne l'avoir jamais fait.

(Rhys Ackerman)

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alexander et azraël.
mise en page par blasphemyC'était vraiment du n'importe quoi. Tu savais même pas pourquoi tu t'en rendais pas compte. Ou peut être qu'au fond t'en étais consciente mais t'avais juste pas envie de réagir. De toute manière, vous étiez déjà allé trop loin ça ne servait plus à rien de se stopper. Mon dieu ce que les conséquences allaient faire mal. Pour lui comme pour toi. Puis d'toute façon, ton corps nue était déjà complètement collé contre le sien. Autant dire qu'il était plutôt compliqué de s'arrêter dans ces moments là. Et t'aimais trop ce qu'il te faisait ressentir pour lui demander de se stopper. Alors tu profitais juste de l'instant présent et de l'alcool coulant dans vos veines pour continuer tout ça. Tu frémissais quand sa tête venait se loger dans ton cou et tu ne pouvais t'empêcher de le tirer un peu pour qu'il vienne prendre place au dessus de toi. Tu plaçais une de tes mains sous son menton pour lui redresser le visage plongeant ton regard noisette dans le sien. J'voudrais que ça ne s'arrête jamais. Parole de bourrée. Ou peut être bien que c'était la réalité.

15/03/2013

Au final, c'était weird, mais pas tant que ça. C'était une partie de jambes en l'air... et une nouvelle qui allait passer. C'était une fille qui n'avait aucun lien sanguin avec moi et avec qui j'ai vécu seulement quatre ans de ma vie. Ouais, c'était pas grand chose et la seule chose qui nous avait stoppé jusqu'à présent, c'était l'opinion publique. Cette putain d'opinion qui nous juge sans nous connaitre. Mais forcément, on en prend beaucoup moins compte quand on est bourré. C'était bien pour ça qu'on était tous les deux dans le lit, nu, et clairement en train de recommencer à se chauffer pour coucher une nouvelle fois ensemble. Faut dire que c'était tellement bon, tellement chaud que ce serait un crime de ne pas recommencer alors que l'occasion se présente. Placé au dessus d'elle à sa volonté, mon regard fut forcé de croiser le sien quand ses doigts soulevaient mon menton pour me redresser le visage. « Faisons en sorte que ce soit inoubliable » Et de cette manière, ça ne s'arrêtera véritablement jamais, puisque dans nos souvenirs pour toujours. Et puis voilà, une nouvelle fois, on s'adonnait au plaisir de la chair, sans regrets. Ou presque.

(Rhys Ackerman)

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