(ROBEAL) ✯ tu as ce sourire au coin des lèvres quand tu mens.

tu as ce sourire au coin des lèvres quand tu mens.

Robin & Neal ✯ ✻ ❝ La vie est merdique. Et pour s'en sortir, j'ai trouvé un seul moyen: la débauche, pour tomber dans l'oubli de soi total.❞

L'effet s'installe petit à petit et tu sens que ça circule en toi. Tu fermes un instant les yeux et tu les ouvres au moment même ou Robin pose sa main dans la tienne. Tu la serres un peu plus fort. Bordel! Elle est bien dosée cette coke! T'as pas pensé que Robin n'était peut-être pas habituée à ce genre de coke. T'espères quand même que ça ira, parce que tu ne veux pas qu'il lui arrive quelque chose de grave. Tu te sens un peu plus lourd sur le sofa. Comme si tu avais grossi d'un seul coup. Tu bois une nouvelle gorgée de ton verre. La drogue fait son petit bout de chemin, son petit effet. Tu commences à oublier. Oublier que ta sœur à tenter de se suicider. Oublier que ta famille n'est pas géniale malgré son argent. Oublier que le monde est merdique. Oublier que t'es qu'un con, qu'un bon à rien. Rien. Le vide. Tu te tournes vers Robin et tu vois bien que ça commence à faire effet sur elle aussi alors tu ris. Tu ris, même si ça parait complètement délirant. « On t'as déjà dis que t'étais plutôt belle? » Mon dieu. C'est pas le genre de chose que tu dirais si t'étais clean. Tu viens caler ton nez au niveau de sa nuque, respirant son odeur, l'incrustant en toi. « Et que tu sens bon en prime. » Heureusement qu'elle était dans le même état que toi, au sinon elle aurait sans doute fuis en entendant des paroles pareilles.

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Tu as ce sourire au coin des lèvres quand tu mens

Je crois que ma respiration ralentie... J'ai plus la même conscience du monde qui m'entoure, des emmerdes que j'ai, de ce que j'ai fait... J'oublie que j'ai tuer mon frère, que j'ai pousser Nate à faire une tentative de suicide, j'oublie tout simplement ma vie de merde et ce n'est pas plus mal dans un sens. Je continue de fixer le plafond, clignant des yeux avant d'entendre la voix de Neal pas trop loin de moi, j'ouvre un peu la bouche, surprise par ses paroles, je crois... Non, en fait, un léger rire franchit mes lèvres à cause de sa déclaration et quand il vient poser son nez dans mon cou, je lève ma main libre vers sa tête pour caresser ses cheveux. Je rigole encore. "Et toi, on t'as déjà dit que t'étais tout doux ?" Je tourne alors la tête, faisant glisser une de ses mèches entre mes doigts, jouant doucement avec dans un geste assez lent.

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tu as ce sourire au coin des lèvres quand tu mens.

Robin & Neal ✯ ✻ ❝ La vie est merdique. Et pour s'en sortir, j'ai trouvé un seul moyen: la débauche, pour tomber dans l'oubli de soi total.❞

C'est fou ce que ça détend. Mais c'est un cercle vicieux cette coke. Parce que lorsque tu en prends, tu as l'impression que tu vas bien et que tu apprécies, mais ce n'est qu'un leur. Lorsque la drogue commence à se dissiper, tu replonges deux fois plus dans tes malheurs. C'est à double tranchant et c'est comme cela qu'on en devient dépendant. Une peu plus au fil des jours. Parce que le réveil est de plus en plus brutal et on part de plus en plus loin pour planer. Doux? Toi? Tu ris une nouvelle fois, parce que malgré l'effet de la drogue qui t'apaises, tu as toujours eu ce don de rester un minimum lucide pour tenir une conversation, même si celle ci n'est pas très productive. Une de ses mains se perd dans tes cheveux et tu laisses échapper un petit soupir de plaisir. Tu n'as pas l'habitude d'avoir ce genre de gestes affectueux. C'est sans doute pour ça que tu continues à tirer Robin vers le bas. Parce que t'as peur de plus avoir l'affection qu'elle te donne quand vous vous retrouvez dans cet état là. « Pour le coup, on me l'a jamais dis! » Il t'as fallu du temps pour répondre, mais c'est arrivé. Tu te loges un peu plus dans le cou de Robin, venant même y faire courir tes lèvres, comme un petit enfant innocent. Bien que tu sois à des années lumières d'en être un.

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Tu as ce sourire au coin des lèvres quand tu mens

Mes doigts continuent de glisser sur ses mèches, doucement, lentement alors qu'il rigole et qu'à son rire se joigne le mien, plus discret quand même, mais bel et bien là. Je rigole avec lui de cette connerie, de cette façon que l'on a de se faire des compliments cons à cet instant. Puis quand sa voix retentit dans la pièce, je l'écoute, décodant lentement ce qu'il me dit, mais je ne réponds rien, parce que je n'ai rien à dire. Pourquoi parler? Nous n'avons pas réellement besoin de cela... Surtout quand il se love comme cela contre moi, son souffle tiède heurtant ma peau... Mon corps réagit tout seul quand ses lèvres se poses sur ma peau, je redresse un peu la tête avant de la basculer en arrière, mon crâne reposant maintenant sur l'assise du fauteuil contre lequel on est assis. Je lui donne un accès plus facile, plus grand à ma gorge, frissonnant sous ses lèvres, il ne fait pas grand chose, mais c'est plaisant. Moi, je continue simplement de jouer dans ses cheveux. Après tout, dans cette position que pourrais-je viens faire d'autre hormis profiter de ce qu'il m'offre, de sa coke et de ses lèvres... Je ferme les yeux. je suis réellement bien à cet instant précis... Si seulement ça pouvait toujours être ainsi, si cet instant pouvait ne jamais s'arrêter, que l'on soit figé ainsi tout les deux à jamais.

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Robin & Neal ✯ ✻ ❝ La vie est merdique. Et pour s'en sortir, j'ai trouvé un seul moyen: la débauche, pour tomber dans l'oubli de soi total.❞

Tes lèvres se frayent un chemin dans son cou avec une aisance trop habituelle. Tes yeux sont fermés, mais tu sais exactement comment Robin réagit, car tu la sens se grandir pour dégager son cou. Pour te laisser tout l'espace nécessaire. Et t'apprécies ce geste. Tu mordilles doucement son cou par endroit, mais jamais tu ne la marques, parce que tu ne fais pas ce genre de chose. Puis tu te stoppes et tu prends ton verre. Tu happes du liquide que tu laisses dans ta bouche. Et tu viens déposer tes lèvres contre celle de la jeune femme, forçant un peu cette barrière pour y déverser une partie de l'alcool que tu viens de prendre dans ta bouche. Comme pour partager, comme pour l'emmener un peu plus avec toi vers le bas et c'est bon. C'est bon cette sensation de partage, cette sensation de se mêler à quelqu'un d'autre. Tu avales le liquide qu'il te reste dans la bouche, mais tu laisses tes lèvres sur celles de Robin, tu approfondis ce baiser qui sonne comme un baiser de désespoir. Parce que c'est ça votre vie à tous les deux. Du désespoir encore et encore...

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Je laisse ses lèvres se glisser sur les miennes, puis l'alcool se déverser dans ma bouche puis dans ma gorge. Je l'avale, gardant mes lèvres contre les siennes, répondant avec avidité à son baiser, mes doigts jouant dans ses cheveux à l'arrière de son crâne pour l'emprisonner, pour l'empêcher de reculer sa tête ne serait-ce que d'un seul millimètre et ainsi rompre ce baiser. Je laisse ma langue glisser jusqu'à la sienne, venant la caresser doucement, tourner autour, jouer avec en réalité. Je tire probablement un peu sur ses cheveux également, sous l'envie, le plaisir que ce simple contact me donne. Je me raccroche à lui, à ses lèvres, à ce qu'il me donne. Les yeux fermées, je me laisse complètement faire, ma deuxième main s'étant glisser sur son torse pour le caresser, pour tenir sa blouse également. Je ne veux pas qu'il me laisse, qu'il se recule, qu'il brise ce moment de complicité, cette proximité. Je m'agrippes de tout mon corps à lui pour le retenir et l'empêcher de reculer... Sauf que le manque d'air commence à se faire sentir, alors je relâche un peu la tension, basculant un peu la tête sur le côté pour reprendre mon souffle. Je rigole même, ce qui complique encore un peu la tâche. Je suis bien à cet instant.

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Le plaisir charnel est une de ces choses qui te sauvent de la mort. Entre la drogue, l'alcool et le sexe, tu trouves une lueur dans le noir. Tu as besoin de ces choses, c'est essentiel dans ta vie. Sans l'un de ces trois éléments, tu ne serais sans doute plus là. Plus là pour raconter à quel point tu es mal et que tu ne trouves pas ta place dans ce monde, même lorsque tu es entouré de tes amis. C'était vide. Désert au fond de toi. Alors avec Robin, tu pouvais relier ces trois choses qui te maintenaient en vie. C'était sans doute une de tes seules fréquentations avec qui tu pouvais lier les trois sans aucun problème. Tes lèvres restent sur les siennes, approfondissant le baiser. Elle reprend son souffle et rigole, mais tu ne te joins pas à elle. Tes lèvres refilent sur son cou alors que tes mains retirent habillement ton haut, interrompant un instant l'action de tes lèvres. T'as envie d'elle. Mélange de drogue, d'alcool et de sexe. Oui ce soir tu seras enfin bien, enfin en harmonie avec toi. Mais demain sera pire. Tu le sais, mais tu t'en fous maintenant. Tu veux juste profiter de ce moment d'abandon total.

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Tu as ce sourire au coin des lèvres quand tu mens

Mon léger rire fini par se transformer en soupire d'aisance alors qu'il dépose des caresses de ses lèvres sur ma gorge. Je ferme les yeux, mes mains glissant sur sa tête, mais quand il se retire, rompt le contact brièvement, je le regarde, me questionnant sans être capable de formuler une question... Puis je souris, en découvrant son torse, mes doigts se faufilant rapidement jusqu'à sa peau maintenant dénudée pour la caresser doucement, pour la découvrir encore, détaillant ses contours, ses muscles. Je me laisse alors tomber sur le côté pour me retrouver allongé, me glissant sur le dos, t’attirant sur moi. Peu importe le fait que je viennes de renverser mon verre, que celui-ci roule un instant avant de s'arrêter probablement sous la table ou à côté de celle-ci. Je laisses mes doigts glisser sur son torse, remontant sur ses épaules pour glisser dans ces cheveux à nouveau. Je fais une fixette sur eux je crois... Je referme ma main dessus, les tirant un peu avant de me redresser légèrement pour venir chercher ses lèvres encore. J'ai envie de le sentir contre moi, alors dans le baiser, je me laisse encore retomber en arrière, l'entraînant avec moi. Je veux le sentir au dessus de moi. Ma seconde main glissant dans son dos, le long de sa colonne vertébrale en des caresses.

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La parole n'est pas nécessaire. Ce n'était pas comme si tu allais demander la permission pour ce qui allait se dérouler par la suite. Ce n'était pas ton genre. Puis Robin semblait complètement réceptive à tes avances. Tu ne savais pas si c'était parce que la drogue et l'alcool étaient présents qu'elle y succombait à chaque fois. Si vous n'étiez pas droguer et clean, Est-ce que ça serait arriver? Vos plaisirs charnels se déroulaient souvent quand vous aviez basculé de l'autre côté. Lorsqu'elle bascule sur le dos, s'allongeant sur le canapé, s'offrant à toi, tu entends un bruit sourd. Le bruit de ce verre qui se renverse mais tu t'en moques et tu réponds à son désir, aussi ardent que le tient visiblement. Tu quittes ses lèvres l'espace d'un instant pour retirer son haut avant de venir les sceller de nouveau, toujours à califourchon sur elle. Tes mains glissent le long de ses côtes, et remonte, parcourant le contour de sa poitrine, caressant le bout de tissu restant alors qu'une de tes mains s'activent à déboutonner ton jeans.

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Tu as ce sourire au coin des lèvres quand tu mens

Allongée sur le fauteuil, je le regarde, l'aidant à me retirer ma blouse cette fois, pour pouvoir retrouver ses lèvres plus rapidement, pour également sentir la chaleur de sa peau contre la mienne. Mais je frissonne, quand ses doigts glissent sur moi, si doucement, si sensuellement. Je me tends un peu, une douce chair de poule marquant ma peau alors qu'un léger gémissement franchit mes lèvres... Tout cela à cause d'une simple caresse... Je réagis trop... Mais je connais la suite, mon corps connait la mélodie et appelle aux vices. Je l'appelle lui, lui qui est entrain de déboutonner son pantalon alors qu'il continue à me caresser par dessus mon soutien-gorge. Je le regarde, le suppliant dans un sens du regard de passer sous le tissus alors que mes doigts glissent dans son dos, ma main droite venant encore et toujours jouer dans ses mèches. L'autre main fini quand même pas quitter son dos, pour glisser sur son torse, pour le détail un moment du bout des doigts avant de descendre plus bras, attendant avec une certaine impatience qu'il retire sa propre main pour se glisser sous ses bouts de tissus pour caresser son intimité.

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