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The night still goes on
Dans ses cheveux, mes doigts glissent lentement, les malmenant un peu sous le plaisir de ses caresses. Je ferme les yeux, pour sentir les doigts d'Andrew sur moi, pour ressentir ses caresses entièrement, pour frissonner sous elles, pour lui, sous ses lèvres, sous son corps chaud qui m'appelle, me tente, me hante même depuis un long moment. Je murmure doucement son prénom alors que mes doigts se referme sur sa chevelure ébène et les empoignent exerçant une légère pression dessus en les tirants. Je le laisse me torturer de cette façon divine, mes lèvres entrouverte laissant entendre une respiration douce mais saccadée. Je frémis, alors qu'il bouge que ses lèvres laisses mon bouton de chair à l'air libre, un frisson me parcourant, une sensation de froid après la chaleur de ses lippes... C'est atroces, mais en même temps, je ne peux me plaindre, mon coeur bat la chamade, s'affolant alors qu'il descend, que ses lèvres glissent sur mon ventre, descendant de plus en plus bas pour finalement effleurer mon intimité. Je gémis, alors qu'il ne m'a pas encore toucher à cet endroit... Impatiente de savoir le traitement qu'il me réserve... Je me mords à nouveau la lèvre inférieure, sous l'envie, un geste lent, tentateur... Un geste qu'il ne voit pas alors qu'il glisse son muscle intrinsèque en moi... Je me cambre, sous la sensation de chaleur que celle-ci m'apporte... Je tire un peu plus sur ses mèches, non pas parce que je veux qu'il arrête, bien loin de là... Je veux qu'il continue, mais uniquement parce que ça me fait du bien. Je prends une grande inspiration, tremblante, mais profonde alors qu'il continue, qu'il approfondi cela en y glissant ses doigts. Je ferme les yeux, mon bassin remuant alors que je gémis... Une main dans ses cheveux, l'autre serrant l'oreiller sous ma tête... J'essaie de luter contrer ces vagues de plaisirs qu'il me procure, de tenir bon pour en profiter le plus longtemps... Mon corps en demande plus, remuant et se contractant... J'ai l'impression de devenir folle à lutter comme ça... A me retenir, pour ne pas faire trop de bruit à cause des deux autres qui dorment... Mais il me fait tellement de bien... Il est tellement doué... Je prononce son prénom, sous le plaisir, d'une voix que je reconnais à peine... Je lutte encore, mon corps se contractant, mes muscles me tirant... Je perds la tête et finalement je lâche prise, je laisse les sons franchir mes lèvres sans gênes, sans vergognes. Mes mains glissant frénétiquement dans sa chevelure. Il me pousse à bout...
Il remonte alors, je suis haletante, une légère impression d'être poisseuse, je réponds à son baiser, mon palpitant battant à tout rompre dans ma poitrine. Je le laisse venir contre moi, ma main relâchant un peu la prise dans sa chevelure et l'autre glissant dans son dos, pour le caresser pour le garder contre moi alors qu'il vient en moi pour de bon cette fois, m'arrachant un grognement de plaisir et un sursaut sous la brutalité de son geste. Je prends ses lèvres, l'embrassant avec force et passion alors que mes ongles glissent dans son dos aux risques de lui laisser certaines marques. Sauf qu'il me torture avez ces mouvements lents... Je grogne contre ses lèvres, mes jambes autour de ses hanches. Je l'embrasse, cherchant à le pousser à aller plus rapidement, à bouger plus en moi. Je ne réponds d'ailleurs pas à sa réplique, pas avec des mots, juste avec des gémissements et des baisers brefs et rapidement. Je veux qu'il bouge plus... Je grogne. Il me frustre... Et je peux même pas dire de le pousser sur le côté pour prendre le contrôle, car le lit est bien trop étroit pour ça. Putain, pourquoi c'est pas lui qui est venu me rejoindre dans ma chambre ?
Il remonte alors, je suis haletante, une légère impression d'être poisseuse, je réponds à son baiser, mon palpitant battant à tout rompre dans ma poitrine. Je le laisse venir contre moi, ma main relâchant un peu la prise dans sa chevelure et l'autre glissant dans son dos, pour le caresser pour le garder contre moi alors qu'il vient en moi pour de bon cette fois, m'arrachant un grognement de plaisir et un sursaut sous la brutalité de son geste. Je prends ses lèvres, l'embrassant avec force et passion alors que mes ongles glissent dans son dos aux risques de lui laisser certaines marques. Sauf qu'il me torture avez ces mouvements lents... Je grogne contre ses lèvres, mes jambes autour de ses hanches. Je l'embrasse, cherchant à le pousser à aller plus rapidement, à bouger plus en moi. Je ne réponds d'ailleurs pas à sa réplique, pas avec des mots, juste avec des gémissements et des baisers brefs et rapidement. Je veux qu'il bouge plus... Je grogne. Il me frustre... Et je peux même pas dire de le pousser sur le côté pour prendre le contrôle, car le lit est bien trop étroit pour ça. Putain, pourquoi c'est pas lui qui est venu me rejoindre dans ma chambre ?
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