« Mais qu'à nous deux, dieu et diable l'emporte » ∇ JASPEANDRA

C'est vrai que ça aurait été plus simple, une tièrce personne. Une fille qui vient tout simplifier. J'aurai préféré ne jamais rester accroché à toi, et que toi, tu passes à autre-chose. Sauf que c'est pas arrivé. On a continué, chacun de notre côté, jusqu'à laisser les sentiments se réinstaller, sans faire quelque-chose contre. On les a laissé croître, jusqu'à ce qu'ils emplissent tout l'intérieur de ce truc qui bat. Qu'ils soufflent le bonheur et la douleur. « Je te quitte pas. » C'est pas ça. Je sais pas ce que c'est, comment le dire. « C'est.. » La langue humecte ses lèvres asséchées par les frissons hérissant sa chaire. « Je peux pas continuer comme ça, en sachant que t'as pas vraiment choisi. T'es.. » Les mots sont aussi flous que son esprit. « Ca marchera jamais comme ça. T'es pas pleinement avec moi. » Tu le vois sûrement plus que moi, et je sais que dans la durée, ca bouffera tout le reste. « La distance et ça, c'est trop pour nous. » J'ai pas envie qu'on gâche tout ce qu'on a fait, et qu'on se haïsse. Parce que ça aussi, on sait bien le faire.

Le cœur bat plus vite, plus fort. Il a peur. J'ai peur. Cette boule au ventre qui ne part pas, parce qu'il me quitte, là. « Je te quitte pas. » Comment t'appelles ça, toi ? « C'est.. Je peux pas continuer comme ça, en sachant que t'as pas vraiment choisi. T'es.. Ca marchera jamais comme ça. T'es pas pleinement avec moi. » fronce les sourcils, c'est pas moi qui ne suis pas pleinement avec toi, c'est l'inverse. "Bien sur que j'ai choisi Jasper !" c'était toi, on est là, ensemble. « La distance et ça, c'est trop pour nous. » secoue la tête et se lève. J'approche de lui, m'assois sur lui. Rétablir un contact, il faut qu'il sache que je suis là, que je mette fin à cette distance, alors me voilà sur lui, la main dans sa nuque. "On va s'en sortir.. on va trouver un moyen.." ne baisse pas les armes. Pas contre nous, on s'est toujours battus, c'est lâche de me faire ça maintenant. J'essaie de me convaincre qu'on trouvera un moyen mais il est comme moi, c'est la carrière qui passe avant le reste. Moi, dans dix ans, je serais toujours là. Je serais toujours la Leandra qu'il a connu, toujours présente pour lui, mais son opportunité de développer son entreprise, de faire quelque chose de grand, dans dix ans, ce sera parti. Je pose doucement mes lèvres sur les siennes, dis moi que tu t'es pas déjà fais à l'idée de m'abandonner.

"Bien sur que j'ai choisi Jasper !"Ca, c'est des putains de conneries. Auxquelles tu crois, j'le sais, je le vois dans tes billes convaincues. T'y arrives pas. Tu veux la stabilité, le foyer, et l'inattendu. La liberté que je t'offre, et les poignets liés qu'il te donne. Tu veux les deux, et tu peux pas les avoir. Et t'as beau te rapprocher, acheter ma conviction de ton parfum, détruire quelques défenses de ta douceur, j'arrête pas de me le répéter. "On va s'en sortir.. on va trouver un moyen.." Répond au baiser, parce que son corps, cœur inclut, ne lui en laisse pas vraiment le choix. Le bras entoure la silhouette féminine installée. « Je t'ai dis, la dernière fois dans la ruelle, que tu l'aimais encore. Tu ne m'as pas contredis. » Je l'ai pas soulevé à cet instant, parce que j'étais pas capable d'entendre que t'arrivais pas à le dire, que je savais que je pourrais pas te pardonner ça. Et, idiot que je suis, j'voulais te pardonner, malgré tes errances. Les doigts se serrent sur la taille fine, la voix essaye d'être certaine, bien que faible. « Je veux que tu le fasses maintenant. » C'est dur à sortir, ça brûle sa gorge. Comme un coup qu'on s'apprête à prendre, où la souffrance débute alors même qu'on a pas encore prit la violence. « Dit-moi que tu ne l'aimes plus. Et dit-lui, clairement. » Et, là, peut-être, seulement peut-être, qu'on a une chance.

A peine commencé, déjà terminé. Comme si nous n'avions pas nos chances, comme si la seconde n'était pas la bonne non plus. On aurait certainement dû rester à de l'amitié, celle bizarre que nous avions, ne jamais rien officialiser et rester amis. Juste amis auprès des autres. C'est ce qui nous réussissait, non ? Non. Non ne pense pas ça, c'est faux Jasper. J'avais mal de cette journée, moi qui était venue dans un tout autre état d'esprit. « Je t'ai dis, la dernière fois dans la ruelle, que tu l'aimais encore. Tu ne m'as pas contredis. » Fronce les sourcils, essaie de s'en souvenir alors que ses doigts se resserrent à la taille. Oh j'ai bien compris ce que tu attends, tu peux même t'arrêter de parler maintenant. « Je veux que tu le fasses maintenant. » Pose ses yeux dans ceux plus bleus, « Dit-moi que tu ne l'aimes plus. Et dit-lui, clairement. » Un nœud dans la gorge, et de plus en plus de mal à respirer. Hausse les épaules, un sourire gêné. "J'suis avec toi maintenant." j'ai vécu avec lui et il a été la plus longue de mes relations, j'm'en suis pas encore remise et j'aurais certainement toujours de l'affection pour lui. De l'affection, ou quelque chose comme ça. "J'pourrais pas effacer Jude et tu l'sais Jasper.. mais j'suis avec toi." je riais nerveusement, "Enfin j'suis avec toi.. " rire amer, je suis ? j'étais ? "En venant j'pensais même que.. " s'éclaircit la gorge, "enfin j'pensais pas que t'allais.. vouloir.." les mots ont du mal à sortir, je pensais pas que nous allions finir comme ça. Je pensais être venue pour toi, pas pour terminer cette relation trop courte.

Oh, il aurait pu prédire sa réponse. Qu'elle serait incapable d'y répondre, si ce n'est pas une énième pirouette. D'habitude, je te laisse t'en sortir comme ça, mais pas là. J'te fous au pied du mur, et je te demande de le briser ou de faire demi-tour. Tu cherches des issues. "J'suis avec toi maintenant." « Arrête. » Mais je ferme les portes, une à une. "J'pourrais pas effacer Jude et tu l'sais Jasper.. mais j'suis avec toi." C'est pas ce que je demande. Bordel, c'est pas ce que je demande. « Arrête de faire la fille qui n'entend pas la question, Leandra, ça va m'énerver. » Mais vraiment. Ce genre de colère à laquelle t'as pas envie d'être confrontée, et moi non plus. « Joue pas à l'idiote qui comprend pas des mots simples, tu vaux vraiment mieux que ça. » Les billes sont sévères. Je t'estime, tellement. Moins quand t'es lâche. "Enfinj'suis avec toi.. En venant j'pensais même que.. enfin j'pensais pas que t'allais.. vouloir.." Un sourcil se hausse, pause dans la rage, divertie par la surprise. « Que j'allais vouloir quoi ? » Un hotel luxueux, tu t'étais fais quoi comme idée ? « Tu sais ce que je voulais, au départ ? Je voulais que tu viennes avec moi à New-York, qu'on s'fasse notre vie là-bas. » Secoue la tête. « Ou n'importe où, j'm'en fous. Ailleurs qu'ici. T'avais qu'à choisir où tu voulais aller. » Tu vois, j'suis prêt à reconstruire mon empire ailleurs, j'te fais passer avant mon entreprise. Les deux bleus se plantent dans celle d'en face. Entend bien mes mots. « Ouais, je t'aime à ce point. » Les traits se tournent ailleurs, déçus et atteint. On se laisse deux-trois secondes, pour reprendre figure neutre. C'est con l'amour hein, c'est traître et ça vous flingue un solide gaillard. « Mais je me rends compte qu'en fait, ca arrivera jamais. T'arriveras jamais à quitter Jude et son fils, tu vois. T'es coincée, et tu vas me perdre à cause de ça. » Il est temps d'être adulte Leandra, de faire ce pas redouté. Ou de reculer, et te réjouir de tes pages identiques.

J'ai beau lui dire que maintenant je suis avec lui, c'est comme s'il ne voulait pas entendre. « Arrête. Arrête de faire la fille qui n'entend pas la question, Leandra, ça va m'énerver. » J'arrête. Je sais bien comment il est, comment son impatience prends le dessus parfois. « Joue pas à l'idiote qui comprend pas des mots simples, tu vaux vraiment mieux que ça. » Je le connais trop bien. Trop bien que c'est presque comme si ces mots ne me touchaient plus. J'insiste sur le presque. Je ressens toujours ce pique au cœur. « Que j'allais vouloir quoi ? Tu sais ce que je voulais, au départ ? Je voulais que tu viennes avec moi à New-York, qu'on s'fasse notre vie là-bas. » Pose ses yeux sur l'homme, surprise, étonnée. « Ou n'importe où, j'm'en fous. Ailleurs qu'ici. T'avais qu'à choisir où tu voulais aller. » Le cœur loupe un bon, les yeux se posent sérieux sur lui. Aller tous les deux à New-York, et se reconstruire ailleurs ? Toi, Jasper, t'es prêt à faire ça ? Même ailleurs, là où je le choisi, je n'ai qu'à poser mon index sur la carte du monde ? « Ouais, je t'aime à ce point. » Le cœur qui accélère, et je commence à me rendre compte ô combien il m'aime. Je commence à comprendre que pour lui c'est sérieux. Et ça ne me déplait pas, non. « Mais je me rends compte qu'en fait, ca arrivera jamais. T'arriveras jamais à quitter Jude et son fils, tu vois. T'es coincée, et tu vas me perdre à cause de ça. » Le reste n'est que bruit de fond, encore trop sonné par les phrases précédentes. Jusqu'où t'es prêt à aller pour elle, ce dont tu es capable de faire. La lèvre se mord, la main passe dans la nuque. L'envie est présente, c'est ce que ça déclenche en elle. Trop d'émotion, elle évacue comme elle peut. J'approche mes lèvres des siennes et lui offre un baiser. Trop fougueux pour être innocent. Je l'aime comme ça, quand il se dévoile, quand il me fait confiance, quand il me dit ce genre de chose dans des rares moments qu'il s'autorise. Quand il pose la fierté près des armes, sur le côté, et qu'il s'offre à moi. "Tu sais qu'il y a que peu d'états où j'voudrais faire ma carrière.." trois, ou peut-être quatre à tout casser. Chanceux, New-York fait parti de l'un d'eux. "j'dois finir l'université avant.." et puis on ira dans l'un de ses états, faut juste savoir être patient. Parler d'un avenir presque incertain, éviter les conversations plus sérieuses pour ne se concentrer que sur nous.

Tu sais, t'en trouveras pas beaucoup des filles qui acceptent tes déviances, tes mots de travers, ces remarques qui les vexeraient toutes. Ta rugosité, ton esprit étroit. Celui qui pose des questions, qui veut des réponses. Qui n'en accepte pas d'autres. Et toi, dame Leandra, t'en trouveras pas de plus sincère. De fou qui pardonne ce qu'il qualifie d'impardonnable, d'amoureux qui se sent à l'étroit dans ton cœur trop partagé. Naif qui a laissé partir la parfaite, celle qui aurait renoncé à une couronne pour ses yeux bleus, peut-être seule occasion d'un bonheur sans faille, pour tes hésitations.  Masochiste, accro à la souffrance, et à elle. On le dit intelligent, le Jasper ? Y a pas plus idiot que lui. Ce même garçon qui lui donne la carte, la laissant maitre de leur destination. Mais l'homme, derrière le transi, sait qu'il n'en sera rien. Ton avion, tu le prendras seul, ou juste accompagné par miss tristesse et son ami le cœur saignant. Ils te glaceront le lit quelques temps, tu te vengeras sur le travail. Tu seras excellent, brillant. Et un jour on t'aimera, pleinement, merveilleusement. Tellement qu'on pourra te suivre à l'autre bout du pays. Ouais. Mais pour l'instant on t'embrasse, alors t'as du mal à voir un autre futur. Il devient plus coloré l'espace de quelques secondes.  Ces secondes où t'as envie de repousser ces conneries de sérieux à demain, de louer une chambre, et d'aimer. Les doigts s'empruntent sur ses hanches, et ont du mal à les lâcher. "Tu sais qu'il y a que peu d'états où j'voudrais faire ma carrière.." Je sais que New-York n'est pas une destination si désagréable à tes yeux. "j'dois finir l'université avant.." Et ça, je le sais aussi. « Ca tombe bien, y a quelques universités aussi bien côtés qu'Harvard. » Ne croit pas que je n'y ai pas réfléchis, pas un instant il n'a été question que tes études soient mises de côté. « Yale, Stanford, Berkeley.. » Un fin sourire, mais déjà battu d'avance. « Mais ça sert à rien que je te dise tout ça, hein ? Tu ne me suivras pas, et on le sait très bien tous les deux. » Le bout des doigts qui s'attardent sur les traits féminins.  « Pourtant, j'te jure que je t'aurais rendu heureuse. » C'est pas parce que j'offre souvent le pire que je ne suis pas capable du meilleur.

Les études étaient importantes pour moi, et mes parents s'étaient toujours donné pour celle là, pour Harvard, la plus prestigieuse au monde d'après mon père. Il paie pour ça, il attends à chaque semestre des nouvelles de mes cours, de mes notes surtout, sa déception serait trop lourde à porter sur mes épaules et tu le sais. « Ca tombe bien, y a quelques universités aussi bien côtés qu'Harvard. » un sourire étire mes lèvres, tu as été jusque là ? C'est une idée réfléchie, on dirait bien, monsieur Ellington. « Yale, Stanford, Berkeley.. Mais ça sert à rien que je te dise tout ça, hein ? Tu ne me suivras pas, et on le sait très bien tous les deux. » fronce les sourcils, t'émet déjà des conclusions ? « Pourtant, j'te jure que je t'aurais rendu heureuse. » Je comprends plus rien, "Qu'est ce que tu dis là ? Tu m'rends déjà heureuse." le cœur palpitant, la respirations courte, j'ai peur de la suite, j'ai peur de pas comprendre où tu veux en venir. M'inviter à New-York avec toi est la plus belle chose que tu m'ai dites. Ces derniers sont les plus beaux que j'ai entendu venant de toi, mais tu les grimes par ton négatif. "Tu sais qu'Harvard c'est important pour mon père, mais il m'reste entre une et trois années de plus, c'est rien du tout." presque rien. "J'vais bientôt.. trouver un stage chez un politicien et ça fera avancer les choses et.." et j'en sais rien de l'avenir, j'suis déjà assez apeurée des cinq prochaines minutes. Qu'est ce que tu m'fais là ?

"Qu'est ce que tu dis là ? Tu m'rends déjà heureuse." Ca, j'y crois pas. Et tu m'en as donné la preuve quand t'as été le voir. Tu m'en donnes la preuve dès que j'vois ton regard s'éteindre quand j'dois repartir, quand je rentre plus tard. « Pas comme ça devrait. » Pas correctement. On mérite mieux. "Tu sais qu'Harvard c'est important pour mon père, mais il m'reste entre une et trois années de plus, c'est rien du tout." Ton père, c'est qu'une excuse. Parce que ton père, moi, j'peux lui parler, et j'ai suffisamment de relation pour que tout aille mieux pour vous. Et ça, tu le sais aussi. « Une ou trois années ? Tu t'entends ? On tiendra jamais autant de temps, et tu le sais. » Parce que déjà deux mois, j'le vois que ça t'uses. Que t'as déjà perdu patience, et ça recommencera. Je peux pas vivre avec cette peur constante que tu retournes vers lui. "J'vais bientôt.. trouver un stage chez un politicien et ça fera avancer les choses et.." Un sourire se pointe, encore, tellement plus triste que les autres. « Et … ? Leandra, j'vais te dire où on en est. Je t'offre mon futur, et toi.. tu m'offres une à trois années, où on se voit entre deux avions, où je me demande constamment si t'es pas dans ses bras à lui. Et au bout, de trois ans, tu sais ce qu'il se passera ? Rien du tout. T'arriveras pas à t'éloigner d'Aaron, et de son père par la même occasion. T'arrives pas à me dire que tu l'aimes plus Leandra. Et tu veux qu'on continue ? » Ca l'fait pas, tu vois. Moi j'peux attendre, sauf que je le ferais pas si t'as rien de plus à m'offrir qu'un « peut-être », qu'un amour à moitié.

Il me rends heureuse, comment il fait pour ne pas le voir ? « Pas comme ça devrait. » C'est un moment compliqué, une étape à passer mais dans trois ans tout ira mieux, trois ans maximum. « Une ou trois années ? Tu t'entends ? On tiendra jamais autant de temps, et tu le sais. » On peut tenir, on peut le faire. Avec un peu d'effort, de bon sens et beaucoup d'amour. Je suis presque sûre qu'on peut réussir. Qu'est-ce qui a déjà réussi à nous abbatre ? Est-ce que quelque chose à déjà réussi à nous passer dessus ? Rien, jamais, pas pour le moment. « Et … ? Leandra, j'vais te dire où on en est. Je t'offre mon futur, et toi.. tu m'offres une à trois années, où on se voit entre deux avions, où je me demande constamment si t'es pas dans ses bras à lui. Et au bout, de trois ans, tu sais ce qu'il se passera ? Rien du tout. T'arriveras pas à t'éloigner d'Aaron, et de son père par la même occasion. T'arrives pas à me dire que tu l'aimes plus Leandra. Et tu veux qu'on continue ? » Un rire nerveux, t'exagère Jasper. Je veux te garder, mais tu me force à hausser le ton, à devenir celle qui t'affronte, encore. "C'est facile pour toi Jasper d'offrir ton avenir, il est à bout de bras. Le mien est encore à définir, j'ai pas une entreprise qui m'attends, j'ai pas des portes ouvertes quand j'claque des doigts, j'peux pas décider de bosser depuis n'importe quel pays du monde parce que j'ai rien pour le moment." J'ai rien. Toi, t'a un empire, moi rien n'est construit, tout est à faire, tout. Jusqu'aux fondations du dit empire. Tu peux m'offrir un monde parce que tu le porte dans tes mains, alors que dans mes mains je n'ai rien d'autre que de l'amour à t'offrir. Occasionnellement, entre deux avions, entre deux rendez-vous qui ne ferons que consolider ton monde à toi. "J'ai pas autant à t'offrir parce que j'ai rien." je dois tout faire depuis ici, je dois tout calculer pour que tout soit parfait, que tout soit lisse, tout à mon image. Chaque détail compte. Je n'ai personne avec qui bâtir mon empire, personne à qui reprendre la main. La seule chose que je peux offrir c'est ce que j'ai appris ici, à Harvard. "Et j'refuse d'être cette femme qui suit tout tes faits et gestes sans rien faire de sa vie." je suis pas née pour ça, je suis pas faite comme ça et tu le sais. Et arrête d'utiliser Jude ou Aaron comme argument, il ne s'agit pas d'eux là, mais de nous.