Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityWe need to talk || Damon - Page 2


We need to talk || Damon

Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
We need to talk
Grand Hall
Damon ✧ Adélade
Je n'ai pas cherché d'excuses, tout simplement car je n'en ai pas à en faire. Dans l'histoire, c'est moi qui étais au bout de ma vie et pas les autres. Eux, ils étaient heureux et moi, je regardais ce spectacle en me sentant mal. Vivre pour mes amis qui n'étaient pas là tu veux dire ! Aucuns de vous Damon, ça ne vaut pas que popur toi mais pour tout le monde, même pas famille ne s'est pas rendu compte de mon mal être, dis-je en continuant sur le même ton. Ce que tu ne comprends pas, c'est que j'ai besoin de vous pour vivre Damon !. C'est pas si difficile que ça à comprendre pour temps. C'était des médicaments pas un couteau..., je lui fais remarquer. Bah ouais, si il se sent temps concerné, il devrait être au moins au courant de ça. Comment ça j''en ai rien à foutre de sa gueule ? Est-ce que je serais là, entrain de lui parler si j'en avais rien à foutre ?Damon, je tiens à toi c'est pour ça que je suis là, devant toi, dis-je en baissant le ton de ma voix, essayant de me calmer, sinon, je vais me mettre à pleurer. Je n'ai pas changé Damon ! Enfin, à cette époque j'étais là même....par contre, maintenant oui, je suis différente sur quelques points....mais tu me manques, ton amitié me manque Damon, je rajoute en haussant mes épaules.
© Starseed
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
J'en avait rien à faire de ses reproches, tentant de me convaincre que la femme devant moi n'était rien de plus qu'une pâle copie de l'Adelaide que j'avais connu. Elle me criait presque dessus, se plaignant que personne n'avait été là pour elle, que même sa famille l'avait abandonné. « Et tu crois que j'avais quelqu'un moi quand toute ma famille s'est barré ? Quand mon père s'est ouvert les veines ? Non j'en parlais pas et pourtant je suis toujours là sans être passé par la case hôpital. » lui fis-je constater d'une voix dure, les sourcils froncés, sans pour autant crier. J'étais d'une froideur sans égale, hors de question que je craque, que je sois ami avec une femme aussi faible que l'avait été mon père. « Tu devrais même pas avoir besoin de nous. T'es trop dépendante et je peux pas gérer ça donc.. » dis-je lentement, laissant ma phrase en suspension, évitant de dire ce qui lui ferait sûrement mal d'entendre. Adelaide tentait de me convaincre, de m'adoucir mais je restais de marbre face à ses confidences. « Rien à foutre. » lâchais-je dans un souffle, ouais qu'elle aille se faire voir avec ses médicaments. Les personnes ne nous regardaient maintenant presque plus pourtant on devait avoir l'air étrange. « Qu'est ce que tu veux que j'y fasse ? Faudra que t'apprennes à te détacher de moi ». Je commençais à faire demi tour, continuant mon chemin, avant de m'arrêter pour lui dire : « Ah et, la prochaine fois, se planter un couteau en soi prend moins de temps, si t'as toujours envie de crever ».
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
We need to talk
Grand Hall
Damon ✧ Adélade
Bon, ben visiblement ça ne va pas être une tâche facile. Je crois que je vais limite devoir me mettre à genoux, ou tout simplement me barrer. On gère tous nos problème comme on peut, qu'est-ce que tu veux que je te dise ? A ce moment-là, je ne voyais que cette option, je lui répond en essayant de baisser le ton, sans vraiment y arriver. Je ne l'avais jamais vu ainsi, me parler et me regarder ainsi, comme si j'étais de la merde. Il est froid, distant et me fusille du regard. Je le vois, il retient ses mots et pourtant, j'ai bien l'impression qu'il a énormément de choses à me dire. Peut-être même des choses qui peuvent me faire mal. Je suis peut-être lâche, mais dans un cas, c'est un gros con à me traiter ainsi, comme de la merde, comme si notre amitié n'avait jamais existé. Je ne répond pas, je l'écoute parler, se défouler sur moi quand je le vois faire demi tour. Là, il se retourne et m'achève avec ses mots. Je n'y arrive plus, je craque laissant quelques larmes couler. Le regardant partir je lui hurle un tu n'es qu'un gros con, faisant demi-tour afin de regagner la sortie. Je pensais que tout pourrais s'arranger, mais non, c'est pire, j'ai perdu mon ami et j'ai l'impression que rien ne changera cela.
© Starseed
(Invité)

Préférences de jeu
veritas
Contenu sponsorisé
est en ligne
(Contenu sponsorisé)