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Aujourd'hui, la France avait mal. Enfin non pas la France parce qu'osef un peu, mais Cody avait mal. Vous savez, en vrai, il était un peu au bout du rouleau du PQ de la vie. Déjà, parce que ne plus vivre chez maman Bleeker, ça lui manquait. Non mais c'est vrai, le confort, la bouffe, la sensation d'être réellement chez soi, la bouffe, la vue imprenable sur la rivière qui séparait Cambridge de Boston, la bouffe, la maison de son enfance, la bouffe ... Ça manquait. Puis il s'avérait qu’être marié en secret avec Dia, ce n’était pas si cool que ça. Vivons heureux vivons cachés, OK, mais vivons heureux vivons frustrés. Ce sentiment d’insatisfaction était permanent dans l’esprit de Cody Bleeker. Sans compter les nombreux courriers du cœur adressés à Beyonce et toujours sans réponse … Lui qui espérait un like de sa déesse sur sa cover ’don’t worry, be yonce’ (reprise de Bob Marley), il déchantait pas mal en voyant qu’en réalité, la diva n’en avait rien à foutre de sa gueule. Pourquoi n’obtenait-il absolument rien de tout ce qu’il voulait ? Qu’est-ce qui poussait le monde à s’acharner sur lui ?  Il se trouvait à Boston, en plein centre-ville, quand il décida qu’il était temps de rentrer à la casa. Naturellement, il emprunta le bus pour rentrer. Il acheta son ticket, puis alla s’asseoir à une place super confortable, près de la fenêtre, doublure mousse, bref, Cody jouissait de ce petit bonheur de la vie. Puis, il constata qu’il avait forgotté de composter son ticket, alors que des gens continuaient de monter dans l’appareil. Qu’à cela ne tienne, il se leva pour réaliser son devoir de citoyen et passa son ticket dans la machine. En revenant vers son siège, il constata avec effroi qu’il se trouvait en plein épisode de Game Of Throne ; QUELQU’UN LUI AVAIT VOLE SON TRONE. Et pas n’importe qui, le hasard – ou le malheur – voulut que ce soit Alaska, ou l’ennemie publique numéro 1 dans la vida del Cody. Mais le truc, c’est qu’il en avait marre de rien contrôler dans sa vie, marre de ne pas avoir ce qu’il voulait, alors cette fois-ci, il ne laisserait pas sa place lui filer entre les doigts ! Il s’avança et s’arrêta debout à côté de Laska et, fermement, déclara ; « Dégage. » Elle avait plutôt intérêt à moover son ass. Il n’hésiterait pas à être aussi méchant que la dernière fois. No mercy avec elle.
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J'étais fatiguée de ma journée. Aujourd'hui, je ressemblais vraiment à une femme. Jupe crayon et petit chemisier. J'avais même sorti les talons et le maquillage naturel. Ce n'était pas le genre de truc que je faisais tous les jours, on pouvait le dire. J'étais assez garçon manqué habituellement. Mais, aujourd'hui, j'avais eu entretien sur entretien pour me trouver des stages tout au long de l'année. Une semaine par si, une semaine par là en même temps que mes cours à Harvard. Je commençais donc à me lancer dans la vie professionnelle et c'était vraiment stressant. Après une journée à piétiner en ville, j'avais décidé de prendre le bus pour rentrer à la Mather House. Je m'occupe rapidement de mon billet et je me trouve une place parfaite auprès de la fenêtre, ce que je préfère. Regarder le paysage défiler, ça donnait l'impression que ça passait plus vite parce qu'on rêvassait. Sauf que... « Dégage. » Je ne relevais même pas la tête, j'avais très bien reconnu la voix de grincheux. Il croyait vraiment que j'allais m’exécuter ou quoi ? Je ne le regardais même pas, j'étais toujours fâchée et sous le choc depuis la dernière fois. Alors je regardais ce qui se passait dehors, mon sac sur les genoux. S'il était un tant soit peu adulte, il n'en ferait pas tout un plat et il pouvait très bien s'asseoir à côté de moi, silencieusement, comme si j'avais été une inconnue. « Non » m'exclamais-je finalement avec le ton le plus neutre qui soit.
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Super Connard is back et il never let go his place. Déjà, Cody était naturellement énervé en ce moment. Genre une bouteille de Breizh Cola sous pression, qu'on remue, remue, remue, qui était même à deux doigts d'exploser son bouchon quoi, et j’dis pas ça parce qu’il a des problèmes intestinaux hein, tout va bien à ce niveau-là. Anyway, voilà, cette place de bus était son rayon de soleil. Et voir qu'Alaska posait délibérément son gros cul sur son soleil, ça foutait la rage à Bleeker. Bon OK, c'est pas vrai, il n'est pas gros son cul, il est même très bien et du temps où ils étaient potes, c’est pas par hasard que Cody faisait genre il avait du mal à marcher à son rythme dans la rue. Juste, son cul, il n'avait rien à foutre là. Mais la rebelle de la forêt répondit non à la demande tout à fait sympathique de Cody pour qu'elle bouge son cul. « Quoi ? » Il fronça les sourcils, n'acceptant pas le non pour réponse. « Alors j'ai eu une sale journée. J'ai eu deux vues de plus et trois dislike sur ma cover, phénomène que je ne peux expliquer, je suis vener, j'ai mal aux pieds, et surtout j'ai payé mon ticket de bus comme tout le monde alors je mérite cette place plus que tout le monde. Conclusion, tu as le choix de ta destinée. Soit tu bouges, soit j'te bouge et crois-moi, t'as pas envie de vivre ça. » fit-il en s'accoudant au dossier de SON siège, signe qu'il n'en démordrait pas.
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« Quoi ? » Commença-t-il. Putain, il va vraiment me faire chier ? J'ai envie d'être tranquille là, j'ai certainement pas envie que l'on me face une scène devant tout le monde dans un  bus. « Alors j'ai eu une sale journée. J'ai eu deux vues de plus et trois dislike sur ma cover, phénomène que je ne peux expliquer, je suis vener, j'ai mal aux pieds, et surtout j'ai payé mon ticket de bus comme tout le monde alors je mérite cette place plus que tout le monde. Conclusion, tu as le choix de ta destinée. Soit tu bouges, soit j'te bouge et crois-moi, t'as pas envie de vivre ça. » J'y crois pas. Il est où le Cody drôle et gentil ? Certes, nous étions dans une passe où nous nous détestions tous les deux, mais ce n'était clairement pas une raison pour me parler de cette manière et de me faire tout un bordel pour une place dans un bus. Puis, ses arguments, on en parle ? Moi aussi, j'avais mal au pied et j'avais payé mon billet de bus, alors moi aussi je méritais cette place plus que n'importe qui. Je tournais finalement la tête pour le fusiller du regard. « Je n'existe plus Cody, alors s'il te plaît, applique la règle et oublie-moi ! » Ouais, juste qu'il arrête de me faire chier et qu'il aille se faire voir, je n'allais certainement pas bouger d'ici. Puis, s'il ose me toucher pour me faire bouger, je lui colle la baffe de sa vie.
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Apparemment, les gens, le monde, la vie, tous ces agrégats s'étaient cotisés pour saouler Cody Bleeker. Mais pas saouler dans le sens qu'il aimerait. D'ailleurs, ça faisait un moment qu'il n'avait pas pris une bonne charge quoi. Peut y avait-il une corrélation entre sa mauvaise humeur de ces derniers jours et son absence de cuite ? Il est temps de calculer le coefficient de détermination par la régression linéaire. Oulalalala malheureuse, arrête de parler économie stp tes études te siphonnent le cerveau, déjà que y a pas grand-chose dedans. Mais TG moi, pourquoi je m’auto-casse ? Donc Alaska s'arma du 'tu n'existes plus' de la dernière fois de Cody comme justificatif de présence de ses fesses sur ce siège, ce à quoi il répondit ; « Exact. Mais ça m'arrangerait que tu n'existes pas sur un autre siège. » Et histoire de lui montrer la voie, il lui attrapa ... La jambe. Oui, toute personne normalement constituée tirerait Alaska par le bras. Mais elle semblait toute fragile et Cody ne voulait pas la casser. Alors que les jambes ... Vue la facilité avec laquelle Hamilton les écartait, elles avaient fait leurs preuves. Les mains entourant la cheville d'Alaska, il donna tout de même une dernière chance à cette dernière pour se rattraper #TropSympa. « Alors ? Tu bouges ou je te bouge ? » Il kiffait trop cette phrase en vrai, ça fait racaille.
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Même dans un bus on trouvait le moyen de me faire chier. Ce n'est quand même pas croyable, vous ne trouvez pas ? Cody Bleeker avait été très clair la dernière fois que l'on s'était vue, il ne voulait plus entendre parler de moi ? Très bien, qu'il fasse comme si je n'existais pas et tout se passera pour le mieux. « Exact. Mais ça m'arrangerait que tu n'existes pas sur un autre siège. » Je n'y crois pas. Ce mec est devenu une princesse. Je plissais les yeux en le regardant. Je sentais que Bleeker avait une bien mauvaise image de moi. Il devait croire que je m'étais tapée plusieurs mecs cet été alors que c'était faux et archi-faux. Non, je n'écartais pas les cuisses dès qu'un homme me semblait intéressant. Cody Bleeker en était la preuve et parfois, je me demandais s'il en était pas frustré. (ICI C’EST LE CANADA, PAS L’ALASKA ₪ LASKA 3861440630) Je sentis sa main empoigner ma cheville. Il fait quoi là ? Petit un, ce n'est pas le truc le plus naturel du monde, du coup, ça faisait vraiment peur. Petit deux, je n'étais pas la fille la plus souple du monde alors ça tirait dans les cuisses et les mollets, du coup c'était vraiment désagréable. Petit trois, je portais une jupe. Soooo, il était en train de montrer ma culotte à tout le monde malgré mes efforts pour serrer les cuisses. J'ai bien dit SERRER LES CUISSES. « Alors ? Tu bouges ou je te bouge ? » Petit quatre, je t'emmerde Cody Bleeker. C'est d'ailleurs ce moment que je choisis pour lui envoyer ma main dans sa figure et lui coller une gifle digne de ce nom. Croyez-moi, il a peut-être tiré un trait sur la Hamilton, mais il va se souvenir de sa main droite. Et ce n'était pas pour le... Je le fusillais du regard, attrapant mon sac et me levant après lui avoir gentiment arraché sa main de ma cheville. « Ma parole, plus tu vieillis et plus t'es con ! » J'aurais très bien pu dire que c'était un connard, mais il n'aurait pas était surpris de l'entendre de ma bouche en même temps. J'aurais aussi très bien pu déblatérer sur le fait qu'il avait changé et qu'il y avait un fossé entre le nous d'avant et le nous d'aujourd'hui, mais je crois que ça n'avait plus une si grande importance que ça apparemment. Je partais en trombe jusqu'à l'escalier pour monter à l'étage du bus. Ouais, fuck, j'suis anglaise et à Boston aussi les bus ont des étages.
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J’suis désolée, mais dans les pays un temps soit peu civilisés comme les Etats-Unis, il y a des règles de propriété. Et Cody appliquait la règle du ’j’te touche, j’te garde’, comme si le fait d’avoir posé ses fesses dessus avait libéré un fluide qui rendait cette place inaccessible à quiconque tenterait de la voler. Oui, un fluide, je sais, c’est un peu dégueulasse comme comparaison, mais vous voyez tous où je veux en venir. Toujours est-il qu’en attrapant le cheville d’Alaska pour la faire déguerpir, il ne penserait pas déclencher un réflexe qui enverrait mécaniquement la main de l’Anglaise dans sa gueule. Wow. Il ne l’avait pas volé celle-là. Il resta quelques secondes la tête bloquée vers là où la main de Laska l’avait emmené, jusqu’à ce qu’elle ne le traite de con et s’en aille. Il cligna des yeux, une fois, deux fois, avant de s’asseoir sur le siège tant convoité. Comme pour justifier son comportement, il déclara aux personnes qui le fixaient avec des culs de bouteille à la place du regard ; « J’ai eu ma place. » Oui voilààà, nothing else matters comme dit Metallica, parce qu’un petit point culture fait toujours du bien. Mais pris de remords, il décida de se lever. Bon OK, il y a aussi que la mamie avec son cabas foutait les pétoches à Bleeker, elle ne sourcillait pas, genre même la statue de Pokora au musée Grevin paraissait plus vivante. Ah, ben ouais, voir la culotte d’Alaska Hamilton paralysait les gens, chose que Cody comprenait. La pauvre vieille, elle avait sûrement vu déjà assez d’horreur pendant la guerre, et sans faire exprès, il lui avait infligé ça en plus. « Excusez-moi. » fit-il en se levant, puis en escaladant quatre à quatre les escaliers du bus. Il s’assit sur le siège en face de la Mather ; « Que ce soit clair, je te déteste toujours. Je pense cependant que je n’ai pas été correct avec cette histoire de place, donc je m’en excuse. Voilà, c’est dit, c’est fait, on peut continuer nos routes séparément sans se voler les places de bus. Après tout, un grand poète du 20è siècle a dit un jour ’chacun sa route, chacun son chemin, passe le message à ton voisin’. Sur ces belles paroles, je m’en vais. » Il se leva et alla sur un siège tout devant, parce que la vue était tout de même vachement plus sympa de là.   
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Je ne regrettais absolument pas de lui avoir envoyé ma main dans sa figure. Si cela pouvait lui remettre les idées en place alors tant mieux. Après lui avoir hurlé dessus qu'il était un con, j'avais attrapé mes affaires pour me réfugier à l'étage du bus. J'en avais marre de voir sa tête, je ne voulais pas la voir plus longtemps. Je pouvais comprendre qu'il n'ait pas apprécié ce qui c'est passé cet été. J'avais eu des sentiments pour Alexander et j'avais décidé de persister dans cette direction malgré le fait que j'avais beaucoup d'estime pour Cody. Sa compagnie était agréable et j'avais passé des bons moments avec lui cet été. Mais voilà, je n'allais pas m'excuser d'être amoureuse d'un autre que lui et j'aurais au moins espéré qu'il arrête vraiment de me parler. Mais je trouvais cela bizarre que Cody n'ait pas eu d'autres conquêtes pendant son été. Du coup, je décidais de sortir mon portable et d'allais sur CS que je ne lisais jamais pour peut-être y trouver des informations. J'étais étonnée d'y voir mon prénom dans plusieurs articles. Comment cette personne pouvait-elle tout savoir sur nous ? « Que ce soit clair, je te déteste toujours. Je pense cependant que je n’ai pas été correct avec cette histoire de place, donc je m’en excuse. Voilà, c’est dit, c’est fait, on peut continuer nos routes séparément sans se voler les places de bus. Après tout, un grand poète du 20è siècle a dit un jour ’chacun sa route, chacun son chemin, passe le message à ton voisin’. Sur ces belles paroles, je m’en vais. » J'avais relevé la tête pour regarder Cody, décrochant mon regard de mon téléphone portable pendant quelques minutes. J'étais toujours énervée et à ce que je voyais, ce n'était définitivement pas le moment de venir me chercher les emmerdes. Bleeker se leva et d'un pas déterminé, je me levais de mon siège pour lui suivre et m'asseoir à ses côtés, portable à la main. « Bleeker, tu as essayé de me prendre pour une andouille ! » m'exclamais-je alors pour lui faire comprendre que je suis à côté de lui. « Sympa de me reprocher des choses Cody... mais, je vois que tu n'as pas été totalement réglo en retour... Comment vont Diamantika, Solveig et Palmyr ? » lui demandais-je ensuite en le fusillant du regard. Apparemment, il s'était plus amusé que moi cet été !
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Bon voilà, excuses commandées, expédiées et reçues en un temps record, Cody n'avait rien à envier à Amazon wesh. Il pouvait s'en aller et espérer rentrer chez lui bientôt, malgré que le bus déviait dans toutes les petites ruelles de la ville de Boston. Aaaahhh ils n'étaient pas encore arrivés, oh ça non. Il soupira en voyant Alaska débarquer avec son téléphone, en mode trop fière genre j'ai découvert un truc. Accoudé à la fenêtre, Cody attrapa le téléphone et lut les quelques lignes – déjà lues auparavant, mais mémoire de poisson, il s’en souvenait maintenant parce qu’il avait déjà dû le justifier auprès de Kovache – avant de lui rendre son téléphone et déclarer, avec toute la sécheresse saharienne qui le caractérisait en ce moment ; « Sympa de me remémorer les râteaux que je me suis pris en essayant de t'oublier. J'apprécie beaucoup. » Et bim, t'as encore gagné des points Alaska. Il ne s'était vraiment rien passé avec Diamantika pendant l'été. Il n'avait d'yeux que pour la Mather. L'Eliot ? Elle avait littéralement servi de vide-testicule au début de l'été avant qu'il ne la jette, et plus rien par la suite. Il l'avait d'ailleurs en quelque sorte trompé, lui promettant de faire des efforts avec elle alors qu'il s'attachait dangereusement à Alaska. Avec Solveig, nada, et Palmyr encore plus le néant. Mais bon, CS s'était obstiné à inventer une vie sexuelle au gros de service, narmol, ça fait vendre. Bref, qu'elle ne cherche pas la petite bête. Pour le coup, cet été, avec Alaska, il avait été blanc comme neige finlandaise.
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Ne me demandez pas pourquoi... Mais en tout cas, je l'avais fait. J'avais sorti mon portable pour me rendre sur le blog de CS et regarder les articles de cet été. Le summer camp avait été absolument génial et nous avions tous profité et il n'y avait pas de raison que Cody échappe à cette règle. Bingo. Il avait apparemment eu trois nanas en plus de moi, alors, cela voulait dire qu'il n'était pas blanc comme neige finlandaise. Je m'étais levée une nouvelle fois, prenant mes affaires pour m'asseoir juste à côté de lui. Cody Bleeker, tu vas passer un sale quart d'heure héhé. Sauf que non. Cela ne se passe jamais comme prévu et de toute façon, je n'arriverais jamais à être assez méchante pour rivaliser contre le Bleeker level deux ! « Sympa de me remémorer les râteaux que je me suis pris en essayant de t'oublier. J'apprécie beaucoup. » Bah de rien, c'est gratuit. Je fais une petite moue boudeuse en récupérant mon portable, le rangeant aussitôt dans la poche de mon manteau. Je laisse échapper un soupir en le regardant à nouveau. Il avait l'air tellement grognon en ce moment... « Tu dis ça comme si tu aurais aimé t'installer en Alaska... » lui confiais-je doucement. J'avais encore un peu de mal à assimiler le mot sentiment. Je le comprenais quand il s'appliquait sur ce que je ressentais, mais j'avais beaucoup de mal à comprendre comment on pouvait me l'appliquer à moi. Comment on pouvait avoir des sentiments pour une fille aussi détraquée ? Est-ce qu'Alexander en avait pour moi ? Je n'en savais rien. Je pense... Mais il ne me l'a jamais dit. Alors, je ne sais pas. « Tu sais l'Alaska, ce n'est pas si terrible que ça... » lui dis-je ensuite en faisant une grimace.
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