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fall down (orvana)

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Cheveux au vent, les mèches rebelles de ma tignasse brunes virevoltent dans tous les sens. La vitesse, le bruit des petites roues qu glisse sur la route, le trottoir. Slalom entre les mégots, les p’tites mamies et les lampadaires qui commencent à peine à s’éclairer à cette heure qui se fait tardive. POUSSE TOI MAMIIIIIIIE ! Le pied arrière sur le frein de la trottinette, fort, tellement fort. La vieille dame qui ne bouge pas d’un centimètre, paniqué, la bouche ouverte, presque à laisser voir la ferraille de son dentier. Déviation, reflexe, surflèxe. On évite le drame pour la centenaire.. Millénaire. Le fossile de dame. Toujours à toute allure, dévalant la rue. Je me redresse pour regarder en face de moi.. HAAAAAAA. Un cri, strident, directement sortie de mes cordes vocales de fille. Cul sur le sol, la trottinette à quelque mètre plus loin, ce mec en face de moi qui comprend pas tout. Ce mec évité de justesse. Le genoux en sang, très élégant, franchement. Aaaaaaaayayaaaie. J’ai même pas redressé la tête vers le type pour savoir qui a peut bien être. Trop concentré à serrer les dents sur mon genoux qui picote. J’vais mourir, du tétanos, ou d’un truc comme ça ! Qui sait, peut être que quelqu’un avec le sida s’est piqué une veine juste ici et hooop, j’ai le sida ! J’savais que j’allais finir comme ça, de toute façons. Morte, tuée à petit feu par cette maladie.
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Orvana
Trois heures d’affilées assis sur une chaise dans un amphithéâtre. Ma concentration avait été mise à rude épreuve. Le marchand de sable venu en avance, avait failli m’avoir deux fois, mais j’avais résisté. Mes yeux usés par la fatigue, ils voyaient troublent. Baillant à moitié, j’excusais le coup avec une main sur la bouche. Encore hébété, je sortais du bâtiment. Sentir l’air frais sur ma peau était bien plus plaisant que l’odeur d’humidité qui emplissait les salles de cours. Il était difficile pour moi de passer autant de temps inactif. Plus habitué à être dehors, je me laissais facilement gagné par une impression de malaise. Le cahier sous le coude, je me retrouvais contre mon gré dans une drôle de mise en scène. A mes pieds, gisais une jeune femme, le genou en sang. Mon premier réflex fut de me baisser pour évaluer les dégâts. « Tu peux te relever ? » L’odeur du sang venait imprégner mon odorat. Sa couleur vif s’infiltrait dans mon esprit, ravivant à ma mémoire, d’ancien souvenir. Trop absorbé par cette vision, je ne m’apercevais pas tout de suite de l’identité de la jeune femme. Il me fallut plusieurs minutes, avant de me rappeler de cette jeune femme. Nirvana. L’ouragan d’il y a trois ans. Elle avait débarqué à Fort Bragg, dévastant tout sur son passage. « Soit tu lui ressemble énormément. Soit ton prénom c’est bien Nirvana. »
AVENGEDINCHAINS
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Bouffer le sol, c’est agréable, vraiment. Ca laisse un petit gout de ciment, de petits gravillons dans la bouche, sur la langue. Si j’dois pas mourir du sida, du tétanos ca sera pas infection, par mycose. Hoo des champignons. Pas besoins d’aller en chercher dans la forêt, j’t’en trouve sous ma langue. C’est absolument degeulasse mais c’est pas vraiment ça qui me perturbe pour l’instant. Ma langue et ses petits smarties pas vraiment comestibles. Je saigne, mon pauvre genou esquinté come les enfants de six ans qui apprennent à faire du vélo. J’suis une enfant, don’t caaaare. Le type en face de moi se penche, surement pour s’la jouer gentleman, ou gentil. J’en sais rien. Au quartier le mec se serait marré en m’demandant mon numéro pour soigner le bobo par voix interne, si tu vois ce que j’veux dire. Tu peux te relever ? Je relève mes yeux foncé vers le type avec cette voix particulière. Familière. Haaaaaaa, j’me souviens de lui, et pas juste pour sa voix, sérieux. J’étais pas plus haute que quatre pommes à l’époque, bon l’époque. Calmes toi. Ca fait trois ans. J’crois, peut être quatre.. Soit tu lui ressemble énormément. Soit ton prénom c’est bien Nirvana. Un sourire, gracieux, élégant, le temps d’un instant. Souvenir d’une nuit à la cool. Un sourire pour lui dire sisi, yoyo c’est bien moi. Et mon genou ca va être le Niagara si t’as rien pour faire compresse ! Niagara, Nirvana. Ca rime, on s’en fou c’est jolie. J’me suis franchement pas loupé en vue de la p’tite trainée rouge qui coule le long de mon mollet dénudé. Bien sûr que j’peux me relever d’ailleurs. Les chochotte c’est pas ici. J’entoures sa nuque de mon bras pour m’aider à me relever. Un petit effort sur ma jambe intact. Debout, comme une estropiée, tenue par l’beau mâle toujours aussi imposant. C’est cool de t’avoir comme poteau, c’est stable et confortable !
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Orvana
Un sourire amusé s’emparait rapidement de mes lèvres. « Je suis sûr que ça va s’arrêter. C’est juste une égratignure. » Une belle égratignure tout de même, mais j’avais vu bien pire. Alors pour les chutes du Niagara, on repassera. La jeune femme dit pouvoir se relever. A d’autre ! S’aidant de mon corps, elle se relève tout en s’appuyant contre moi. Passant un bras autours de sa taille, je lui donne la stabilité dont elle avait besoin pour tenir. Par terre, gisait sa trottinette. Ce n’était pas pour les gamins ça ? Elle ironise en me comparant à un poteau. J’en sourie. « T’as vu ça. Plus stable que ta trottinette en tout cas. »Tout en gardant une main sur son dos, mon corps s’abaissait pour ramasser son engin. « J’ai ma voiture garé pas loin. Je te dépose ? » Avec son genou, il était inutile de vouloir rentrer avec son engin. En l’observant du coin de l’œil, une partie de moi était curieuse de savoir pourquoi la jeune femme était ici. Etudiait-elle à Harvard ou travaillait-elle simplement dans le coin ? « Plutôt étonnant de se retrouver ici. »
AVENGEDINCHAINS
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Je suis sûr que ça va s’arrêter. C’est juste une égratignure. Une égratignures c’est le début des emmerdes, des complications, non ? Je saigne, mon système immunitaire me fait défaut, il est à l’air libre. L’invasion de microbes est imminente. Ca pique de fou, putain. Ca picote à fond, je sers les dents pour pas faire la chochotte, parce que ca craint devant un militaire. Son bras autour de ma taille, un petit frisson qui me parcours le corps.. C’est le froid, juste le froid, okay ? Il est toujours aussi canon ce mec, imposant, une grosse corpulence de muscles. J’ose à peine imaginer le dessous du t-shirt, hummm. J’ai moins mal de suite. T’as vu ça. Plus stable que ta trottinette en tout cas. Il ramasse Maurice, mon fidèle compagnon de route, esquinté de partout. Pauvre Maurice. J’ai ma voiture garé pas loin. Je te dépose ? Et merde. Me déposer ce qui veut dire chez moi, ce qui veut dire, dans ma caravane médiocre.. ? Jamais, à ses yeux comme aux yeux de tous j’habitude un appart universitaire de boston mais où personne peut aller à cause du règlement trop strict. Okaaay, réfléchiis. Me déposer.. Non. C’est trop tard, ils ont fermés les portes de résidence à cette heure si. C’est foutu. C’est une bonne excuse ça, okay. Plutôt étonnant de se retrouver ici. Et bieeeen.. J’habite ici depuis toujours, j’ai juste pas quitté ma ville natale. J’ai ricané, en gardant mon corps bien collé à lui, un pied en l’air. Rassures moi, y’a pas mon ex avec toi, hein ? Ce serait le comble. Je me stop un instant, mon visage tourné vers le sien. Ma main libre qui se glisse contre sa joue, tout en délicatesse et lenteur. Fascinée par ses yeux. Les années t’ont réussis t’sais ?
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Orvana
Paniqué. Son pouls s’accélère. Je peux le deviner à sa voix et à son instabilité plus fréquente. Je la maintiens tout de même contre moi tout en faisant semblant de ne rien voir. Elle me disait que sa résidence était fermée. Mensonge. Pourquoi est-ce que ça puait le mensonge ? A moins que je sois devenu trop paranoïaque. Acquiesçant, je capitulais. « Si c’est fermé, tu dois bien aller quelque part ? » Une résidence qui fermait aussi tôt, laissait les clés aux propriétaires. A l’inverse, cela serait du mensonge pur et dur. Chose que je pouvais facilement deviner grâce à ma formation. Cependant, je lui laissais le bénéfice du doute. Voir Nirvana à Boston était étonnant pour moi, mais cela c’était avant qu’elle me rappel y avoir toujours vécu. Plus jeune, mon esprit était beaucoup moins porté sur les détails. Surtout avec les femmes. Je n’avais jamais été le bon gars. Tout avait changé avec mes deux dernières missions. Plus mûre, j’étais plus stable. « C’est vrai » En réalité, je n’en avais aucun souvenir, mais je me contentais de faire comme si je venais de m’en rappeler. A l’énonciation de son ex, un léger ricanement prenait possession de mes lèvres. « Non. De ce que je sais, il est perdu quelque part en Floride.» Il n’était pas resté longtemps à l’armée. L’année d’après, il était retourné vivre en Floride. Une partie de moi, savait que j’avais contribué à son départ anticipé. Brusquement, elle s’arrêtait. Surpris, je tournais mon visage vers elle comme pour lui poser une question silencieuse. De sa paume, elle venait caresser mon visage. Geste inattendu. Les mots qui suivirent furent d’autant plus déconcertant. Elle parlait de mon physique ? Intérieurement, j’étais persuadé que les années n’avaient fait que me réduire à un homme inapte. Voilà ce que je retenais de mon départ. Loin de vouloir pourrir l’ambiance, un sourire goguenard venait dissimuler le flottement qui s’emparait de mes pupilles. « Eh oui ! Je suis devenue un homme mûr maintenant, mais toi en revanche t’es toujours la même. » En d’autre terme, toujours bien foutue.
AVENGEDINCHAINS
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Si c’est fermé, tu dois bien aller quelque part ? Oui enfaîte je devais juste aller dans mon camping, dormir dans ma caravane qui pu la clope froide, remplis de seringues et de paquet de Granola finis depuis des semaines. Personne ne sait que je vis là-bas, c’est pourquoi j’ai pris l’habitude de squatter chez le monde. L’incruste c’est mon deuxième prénom hein. Sur le canapé des mather, chez la mamie à qui je garde son gros chat dégueulasse qui perd ses poils sur moi et mon super legging c & a. Oui.. a la mather house. Des petits yeux de chiens battus, souffrant, maltraités. Une petite mine triste, limite sans repères. Bordel je mens à un militaire censé être formé pour justement tout ça. Déceler le vrai du faux sur des champs d’bataille. C’est comme Call of Duty tu vois. Faut capter la stratégie adverse pour pas se retrouver bloqué dans un coin de map et baaah. Headshot. Non. De ce que je sais, il est perdu quelque part en Floride. Un soupir, presque soulagée. Damn fuck, qu’est ce qu’il était collant celui là. A m’faire un cinéma devant tous ses.. camarades là. Héééé tu m’as trompééé, avec mon pote, à quelques mètres de ma chambre nananana. Wooooo. Calmes toi, on était ensemble depuis quoi.. Cinq mois, il pensait que c’était sérieux ? Moi l’armée m’avait offert un voyage de quelques jours pour aller le voir, j’pas dis non, ça m’faisais des vacances ailleurs que dans mon bled d’où j’suis jamais partie. Entre deux crocodiles, il doit être bien là-bas. J’ricane à mon tour en continuant d’avancer. Peau contre la sienne, ma main qui effleure sa joue, mes longs doigts, fins, qui se glisse jusqu’à la naissance de ses cheveux au-dessus de son oreille. Un moment délicat, weird, mais cool. Eh oui ! Je suis devenue un homme mûr maintenant, mais toi en revanche t’es toujours la même. Mûr ? J’ai ricané en enlevant ma main de lui, toujours à le fixer. Tu parles comme une cougar qui veut serrer un p’tit jeune j’te jure. Un petit sourire, ma main qui relève ma poitrine, le peu de poitrine que dame nature la catin m’a donné. Ouui, comme tu vois j’ai toujours pas de seins et de cul. Un pied qui me sert d’appuis, petits sautillements pour atteindre le banc juste en face. Bon si j’dois mourir, ca sera en bonne compagnie, c’est déjà pas mal. Alors, comme ça t’as quitté l’armée pour étudier à Harvard ? Je pointe du doigt le cahier qu’il a sous le bras depuis tout à l’heure. J’me souviens d’un Owen super conquérant, qui avait peur de rien, qui rigolait pour rien. Ouais, un Owen méga cool. Dis moi que t’ai toujours cet Owen là, hein ?
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Orvana
Un ricanement s’échappait de mes lèvres, alors que j’imaginais cet imbécile perdu quelque part dans les Everglades. Cet idiot n’avait pas hésité à se ridiculiser dans notre batterie. Mal lui en a pris, car les faibles n’étaient pas ceux qui étaient le plus apprécié dans les forces spéciales. Sa main quittait ma joue pour retomber mollement le long de son corps. Puis, comme pour accompagner ses dires, elle remontait ses seins. Ils étaient certes petits, mais je n’avais jamais aimé les femmes avec de trop forte poitrine. « T’es pas assez indulgente avec toi-même » disais-je en riant. M’entrainant dans son saut, elle nous amenait vers un banc, tout en se servant de mon corps comme béquille géante. La question qui se libérait de ses lèvres, venait raviver un désagréable souvenir. Je détestais parler de ça. Souvent, je mentais sur la raison de mon départ. Du moins, je tentais de rester vague. Cette fois-ci, ne dérogerait pas à la règle. « En quelque sorte. » Les traits de mon visage se refermaient presque instantanément. Heureusement, elle ne se penchait pas trop sur la question en changeant de sujet. Etais-je toujours le même ? Pas vraiment. J’avais laissé Ryan quelque part dans le désert Afghan. La guerre avait la douloureuse tâche de changer un homme. Etant tout de même de nature joyeuse, je devais reconnaitre que j’étais différent. Certains diront dans le bon sens. Plus réfléchis et moins stupide. D’une certaine manière. « Il est quelque par part là. » répondais-je avec un sourire. « Et toi, toujours à te foutre dans les ennuis ? » Légèrement taquin, une partie de moi serait rassuré de voir qu’elle n’avait pas changé. C’était comme récupérer un bout de passé le temps de quelques instants. Néanmoins, on ne pouvait jamais être la même personne. On évoluait tous. Assis près d’elle, j’avais gardé ma main autours de sa taille sans m’en rendre compte. « Si j’me souviens bien, ça me déplaisait pas » avais-je rajouté d’un ton plus bas.
AVENGEDINCHAINS
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Oui non, j’ai pas de seins, pas de cul. Mais bon j’peux me balader sans soutif, mettre des décolleté super plongeant don’t caare. J’ai pas les gros lolo qui font sssbouim sbouuim quand je cours partout comme j’ai souvent l’habitude de le faire… pour mourir juste après d’étouffement avec mes poumons remplis de merdes que je prends depuis trop de temps. Il reste sombre sur ma question. Il ne répond pas. Mais j’men fiche un peu pour dire vrai. Si il veut pas parler je respecte. Ca sera pas mon délire de lui tirer les vers du nez pour avoir toute la vérité sur la vie de ce mec que je connais pas, si ce n’est la façons don’t il prend par la taille contre un mur. Le Owen fougueux qui m’draguait sans pitié pour son pote qui m’servait d’ex. Le Owen sauvage que j’ai rencontré pour quelques instants. Il est quelque par part là. Ca veut dire quoi ? Que c’est devenu un coincé du string frustré ? T’es entrain de me dire que t’es devenu un mec super sérieux ? C’est grave nul. Je ricane, surtout e vue de sa question. Les ennuis.. J’suis née dedans, j’ai grandis avec. Je mourrais certainement grâce ou à cause de ça. Si j’me souviens bien, ça me déplaisait pas. Je le pousse de mon épaule, légèrement, taquiner. Le petit regard coquin, un levé des sourcils à la loukas. Ha non ça semblait pas vraiment te déplaire hein. Maais oui, j’suppose que j’suis toujours comme ça. Je jette un œil à ma taille, sa grosse main toujours contre moi. Bon j’suis déjà rassurée, Owen l’coquin il est pas parti ! C’est pas pour autant que je lui enlève, c’est plutôt plaisant d’être entouré d’un bras musclé comme ça hein. On se sent invincible, protégé de tous les scénarios catastrophes possible. Ca veut dire qu’on va devoir se voir souvent maintenant, nan ? J’dis ça comme si c’était obligé.
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Orvana
Plus sérieux peut-être, mais je me plaisais à aller aux soirées. J’avais encore un peu de mal avec les fêtes étudiantes, mais cela ne s’éloignait pas vraiment des soirées que je passais avec mes collègues. Si ce n’est que les moyens mis en œuvre n’étaient pas les mêmes. Je me contentais d’afficher un simple sourire. Me rapprochant un peu plus d’elle comme pour jouer un rôle que je n’avais pas endossé depuis plusieurs années. Un rire franc sortait de mes lèvres, alors qu’elle me comparait au coquin. Les plaisirs de la chaire étaient toujours une compagnie agréable. Plus agréable que ma propre réflexion. Même si cette compagnie féminine se faisait rare ces derniers temps. « Toujours au garde à vous » Mes mots s’infiltrait dans l’air, non sans une certaine ironie. Le sous-entendu pouvait presque être palpable. Néanmoins, ce n’était pas avec une intention réelle. « On dirait bien. » Sourire énigmatique sur mes lèvres, ma curiosité se demandait ce qu’elle était exactement devenue. Faisait-elle des études ? Il me semblait l’avoir entendu murmurer à propos de la Mather House. Y connaissait-elle simplement du monde ou y étudiait-elle vraiment ? Des questions qui me brulaient les lèvres, mais qui était moins présente que le sang qui coulait de son genou. « On devrait te soigner ça, avant que ça s’infecte. » Mon regard se posait sur le même coulis rubis qui m’avait interpelé quelques minutes plus tôt. « Alors, Mather House ? » Mon argent passant dans mes études, je n’avais pas les moyens de me louer un appartement. Cependant, je me renseignais déjà sur des petits studios. Avec mes cauchemars, ce n’était pas idéal de vivre en cohabitation.  
AVENGEDINCHAINS
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