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"Everything gets better with a cup of coffee... or not."
Channing M. Takahashi Δ Seth M. Kim
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“ Last Chapter : Wait... What ?! ”
Lorsqu'il prit mon chéquier et mon stylo, je ne pus retenir un sourire de empli de malice. Victoire, me dis-je en dodelinant la tête sur le côté. Il allait enfin signer ce maudit papier. Peu importe la somme astronomique qu'il écrirait dessus, j'avais enfin atteins mon objectif : virer cette vermine hors du champ de vision de la firme, et ce pour de bon. Certes, j'allai subir les remontrances de mon père pour ça, vu qu'il perdait quand même un acheteur et une somme important. Mais d'un autre côté, j'étais aussi certaine qu'il serait ravi d'apprendre qu'il n'aurait plus affaire à eux. Donc... c'était un peu un gros mal pour un bien... une perte extrêmement nécessaire au final.
Dans la foulée, je ne fis même plus attention aux paroles de mon aîné coréen, étant beaucoup plus concentrée sur ses mains qui tenaient toujours fermement le chéquier et le stylo. Tout ce que je captais par moment étaient des propos qui ressemblaient à "j'ai du courage", "qu'il s'était bien retenu de me faire souffrir" et tout le reste. Mais moi, dans mon fort intérieur, je l'incitais plutôt à la boucler et signer ce chèque synonyme de tranquillité et de paix pour ma famille.
" Enfin... Tu pourras dire à ton père, que je me sens disposé à couper tout contact avec vous. Nous ne ferons plus jamais appel à vous, nous arrêterons immédiatement toute transaction entre nos deux sociétés. "
Je jubilais intérieurement et si j'avais pu, j'aurais presque crier de joie. Cependant, je restai fidèle à moi-même et ne fis rien, l'observant avec une expression satisfaite. Enfin... mes efforts pour me débarrasser définitivement de lui avaient payé de part sa "coopération". Seulement, ce qu'il rajouta ensuite me laissa de marbre.
" Quand toi et moi on aura passé une nuit ensemble. "
En quelques secondes, mon visage se décomposa et mon sourire disparut en un éclair. Mon cerveau pris un moment pour analyser sa phrase et la comprendre. Est-ce que... j'avais bien entendu ? Il avait...bien dit ça ? Passer... une nuit avec lui...? Juste...quoi ?, me dis-je en le regardant tandis qu'il écrivait sur mon chèque. En lisant ces deux mots, j'esquissai une légère grimace, complètement dégoûtée.
Je restai figée, les yeux rivés sur mon chéquier, le lisant et le relisant encore comme si j'essayais de me convaincre qu'il s'agissait d'un mirage. Mais non. Ça n'en était pas un. Est-ce qu'il... me proposait vraiment de me souiller pour avoir la paix ? De coucher avec lui pour être tranquille et en sécurité ? De lui céder ce que j'avais de plus "précieux" ?
« Attends Seth... ! » M'exclamai-je presque tandis qu'il s'apprêtait à sortir du café.
Je le retins une dernière fois, afin d'en être certaine. Je n'osai même pas imaginer ça. Une fille comme moi, qui n'était jamais tombée amoureuse, qui n'avait jamais été en couple et qui n'avait jamais "passer le cap" avec un garçon... en train de le faire avec une personne comme lui, que je haïssais par dessus tout. Une fille comme moi... entrain de céder sa virginité à un homme aussi détestable. Non. NON. C'était le pire des scénarios possibles. Aussi, je tenais à m'en assurer, même si les deux mots sur le chèque voulaient tout dire. Je ris donc nerveusement, effectuant quelques pas un peu maladroits dans sa direction, tant je n'étais pas rassurée.
« Quand tu parles de passer la nuit ensemble... j'espère que tu veux dire que tu veux me défier aux échecs et que si je gagne, tu nous fous la paix. C'est bien ça hein...? »
Bon sang, une partie d'échec... qu'est-ce qui m'avait pris de dire ça ? Je le regardais, inquiète, attendant ses derniers propos. Une chose était certaine : si c'était bien ce que je prétendais, je me retrouvai actuellement dans une impasse : ne pas respecter sa condition et l'avoir encore longtemps dans les pattes en tant que gros danger potentiel pour mon entreprise, où la respecter et être tranquille. En tant cas, ce qui était sûr, ce que si j'optais pour la seconde option et que mon père l'apprenait,... Non, je ne voulais même pas y penser. Mais alors, une question se posait : est-ce que je serai capable d'allée aussi loin juste pour protéger ma famille et l'évincer ?
Tout en rajoutant que, si cette affaire venait à s'ébruiter, je pourrais faire du tord à ma famille.
La tête pleine de pensées et en constate ébullition, je passai une main dans mes cheveux tandis que l'autre se posa sur ma hanche. J'étudiai ensuite Seth du regard, légèrement - si ce n'est très - inquiète. Je comprenais peu à peu où il venait en venir à présent, lorsqu'il prétendait que je valais rien sans ma fortune. Est-ce qu'il mettait à l'épreuve ? Et puis d'abord, pourquoi est-ce qu'il voudrait passer la nuit en ma compagnie si on se détestait mutuellement ? Je ne parvenais pas à saisir.
Dans la foulée, je ne fis même plus attention aux paroles de mon aîné coréen, étant beaucoup plus concentrée sur ses mains qui tenaient toujours fermement le chéquier et le stylo. Tout ce que je captais par moment étaient des propos qui ressemblaient à "j'ai du courage", "qu'il s'était bien retenu de me faire souffrir" et tout le reste. Mais moi, dans mon fort intérieur, je l'incitais plutôt à la boucler et signer ce chèque synonyme de tranquillité et de paix pour ma famille.
" Enfin... Tu pourras dire à ton père, que je me sens disposé à couper tout contact avec vous. Nous ne ferons plus jamais appel à vous, nous arrêterons immédiatement toute transaction entre nos deux sociétés. "
Je jubilais intérieurement et si j'avais pu, j'aurais presque crier de joie. Cependant, je restai fidèle à moi-même et ne fis rien, l'observant avec une expression satisfaite. Enfin... mes efforts pour me débarrasser définitivement de lui avaient payé de part sa "coopération". Seulement, ce qu'il rajouta ensuite me laissa de marbre.
" Quand toi et moi on aura passé une nuit ensemble. "
En quelques secondes, mon visage se décomposa et mon sourire disparut en un éclair. Mon cerveau pris un moment pour analyser sa phrase et la comprendre. Est-ce que... j'avais bien entendu ? Il avait...bien dit ça ? Passer... une nuit avec lui...? Juste...quoi ?, me dis-je en le regardant tandis qu'il écrivait sur mon chèque. En lisant ces deux mots, j'esquissai une légère grimace, complètement dégoûtée.
Je restai figée, les yeux rivés sur mon chéquier, le lisant et le relisant encore comme si j'essayais de me convaincre qu'il s'agissait d'un mirage. Mais non. Ça n'en était pas un. Est-ce qu'il... me proposait vraiment de me souiller pour avoir la paix ? De coucher avec lui pour être tranquille et en sécurité ? De lui céder ce que j'avais de plus "précieux" ?
« Attends Seth... ! » M'exclamai-je presque tandis qu'il s'apprêtait à sortir du café.
Je le retins une dernière fois, afin d'en être certaine. Je n'osai même pas imaginer ça. Une fille comme moi, qui n'était jamais tombée amoureuse, qui n'avait jamais été en couple et qui n'avait jamais "passer le cap" avec un garçon... en train de le faire avec une personne comme lui, que je haïssais par dessus tout. Une fille comme moi... entrain de céder sa virginité à un homme aussi détestable. Non. NON. C'était le pire des scénarios possibles. Aussi, je tenais à m'en assurer, même si les deux mots sur le chèque voulaient tout dire. Je ris donc nerveusement, effectuant quelques pas un peu maladroits dans sa direction, tant je n'étais pas rassurée.
« Quand tu parles de passer la nuit ensemble... j'espère que tu veux dire que tu veux me défier aux échecs et que si je gagne, tu nous fous la paix. C'est bien ça hein...? »
Bon sang, une partie d'échec... qu'est-ce qui m'avait pris de dire ça ? Je le regardais, inquiète, attendant ses derniers propos. Une chose était certaine : si c'était bien ce que je prétendais, je me retrouvai actuellement dans une impasse : ne pas respecter sa condition et l'avoir encore longtemps dans les pattes en tant que gros danger potentiel pour mon entreprise, où la respecter et être tranquille. En tant cas, ce qui était sûr, ce que si j'optais pour la seconde option et que mon père l'apprenait,... Non, je ne voulais même pas y penser. Mais alors, une question se posait : est-ce que je serai capable d'allée aussi loin juste pour protéger ma famille et l'évincer ?
Tout en rajoutant que, si cette affaire venait à s'ébruiter, je pourrais faire du tord à ma famille.
La tête pleine de pensées et en constate ébullition, je passai une main dans mes cheveux tandis que l'autre se posa sur ma hanche. J'étudiai ensuite Seth du regard, légèrement - si ce n'est très - inquiète. Je comprenais peu à peu où il venait en venir à présent, lorsqu'il prétendait que je valais rien sans ma fortune. Est-ce qu'il mettait à l'épreuve ? Et puis d'abord, pourquoi est-ce qu'il voudrait passer la nuit en ma compagnie si on se détestait mutuellement ? Je ne parvenais pas à saisir.
par humdrum sur ninetofive
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